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Très bon album dans lequel Capricorne se remet de son aventure lors du tome 10. Dans cet album il n'y a que deux personnages Capricorne et Patrick se qui donne une ambiance plus intimiste avec la découverte de deux personnages qui ne se connaissent pas. Chaque personnage a des choses à cacher et le fait de se cotoyer au fil du temps va peu à peu détruire les barrières qui les séparent pour enfin se découvrir totalement. C'est un vrai plaisir de lire cet album de bout en bout.
Petite nouveauté, la fin nous laisse sur notre faim ! Le scénario tourne encore autour d'une histoire de coeur et d'argent mais l'issue est moins confortable que les tomes précédents et c'est bien.
Très très beau dessins, superbe mise en couleur, histoire classique mais quels beaux dessins
La relecture de ce tome 2 me rappellee s'il en est besoin que cette série est une de celle que je préfère avec Carmen mc Callum. Merci Mister Fred DUVAL pour ce scénario très bien construit. De plus les personnages sont de + en + attachants tout en évoluant dans des décors toujours aussi beaux. Du coup, je pense que je vais relire le 3 !
Je relis cette série avec un grand plaisir. Ce premier tome est un concentré de savoir faire pour notre plus grand plaisir ! Les relations entre TRAVIS, PEGGIE et ANNA sont savoureux et VLAD et son équipe sont très crédibles. Les dialogues, les dessins et les couleurs sont irréprochables. Bref on décolle !
Très belle mise en page, cette BD respecte déjà le lecteur dans sa présentation. Le graphisme, les dialogues et les couleurs servent admirablement cette histoire dont j'attends la suite impatiemment !!!
Pardon, les dessins de Michel Blanc-Dumont progressent ... je n'ai pas réussi à corriger
Jonathan Cartland est un peu le Louis la Guigne du western (même si chronologiquement il est arrivé avant !). Il lui arrive en effet bien des malheurs dont il se tire toujours et il repart avec courage malgré tout, ses amours se révélant toujours impossible (mais n'est-ce pas la fatalité de tout héros qui se respecte). Les dessins de Laurence Harlé pogresse à chaque tome pour atteindre la plénitude que l'on retrouvera dans ses séries ultérieure (la jeunesse de Blueberry notamment).
Une bonne série donc qui mérite de rester dans les classiques.
Sur la lancée, confirme l'excellent premier tome. Un excellent moment de BD!
Une BD achetée en raison d'une couverture qui m'a plu. Et je n'ai pas ete decu, on se glisse immédiatement dans la trame qui tourne autour de 4 personnages se rendant a Arclan. Action, personnages attachants, et le dessin est simplement excellent. Quant aux couleurs, elle sont éclatantes.
Passionnant jusqu'au bout.
A consommer sans moderation.
Comme à son habitude, l'auteur conduit l'intrigue avec une assez bonne maîtrise, même si la vraisemblance, qui n'a rien d'obligatoire en l'espèce, peut sembler lointaine. Du bon roman d'aventure plus ou moins fantastique dans un cadre qui s'y prête. Néanmoins, la lecture de cette oeuvre, comme pour toutes celles de Jacques Martin, me laisse sur une impression de malaise : ces visages et ces attitudes d'hommes pour le moins équivoques, ambigües, ces visages de femmes, surtout les jeunes femmes, qui peinent à être des visages féminins et iraient tout aussi bien à de jeunes hommes... Chacun son style, bien entendu, mais je n'aime pas du tout et c'est dommage, car le dessin est par ailleurs particulièrement soigné et de qualité, ce que l'on peut raremement dire aujourd'hui dans le domaine de la bande dessinée.
L'autre : Fin de cette très bonne histoire qui aura tenue la distance sur les 12 épisodes qui la compose. L'intrigue est plutôt bien développée avec à la clef de nouveaux pouvoir pour Peter. J'ai bien aimé l'humour présent un peu partout et je l'ai trouvé très efficace. Bref un très bon moment.
La ligue des losers : Plutôt pas trop mal comme histoire. Les personnages utilisés sont des persos secondaires mais très intéressants. On passe un bon moment, l'intrigue est plaisante et bien développée. J'ai plutôt bien accroché.
Le colis : L'histoire est sympa, bien maitrisée avec un bon sujet bref c'est plaisant même si le côté histoire courte se fait vraiment sentir. Par contre niveau dessin je suis pas fan du tout du style.
L'homme blessé : Même duo que pour "le colis" et n'étant toujours pas fan du dessin là en plus je ne suis pas fan du scénario qui m'a un peu ennuyé (genre qui fait dormir).
Bref un numéro pas inoubliable ni indispensable.
Thorgal a-t-il enfin trouvé la quiétude auprès des siens ? On l'espère pour lui et pour nous ! Car même cette dernière aventure n'apporte rien d'original à la saga en faisant force rappel des anciennes aventures, ce qui a pour seul mérite de nous inciter à les relire. Mais les dessins ne fléchissent pas. Bravo à Van Hamme de savoir s'arrêter, il va falloir que Yves Sente fasse fort pour nous inciter à repiquer au truc !
La fin des Grey : Je trouve franchement que l'histoire est très bonne, bien maitrisée et promettant une suite très intéressante. Les états d'âmes de Rachel Grey sont bien utilisée ainsi que son histoire.
La fin de l'enfance : La nouvelle situation à l'academy après le jour M est bien présentée et une nouvelle intrigue qui risque de n'épargner personne chez les nouveaux mutants est bien mise en place.
Une véritable fable de la fontaine parfaitement illustrée par Hausman présentant une analyse psychologique sur le sujet souvent tabou de la vengeance et de la cruauté: l'écureuil ne peut s'empêcher de vivre l'expérience de la vengeance dont il est possédé, et ce n'est qu'en constatant les effets de sa vengeance aveugle (la mort du "vieux gris" qui l'avait autrefois aidé) qu'il prend consceience de son erreur et se trouve libéré de ces noirs sentiments.
Le tout dans une ambiance fantastique où la gent humaine se transforme en écureuil, et vice et versa.
Une tragédie qui montre l'existence de si peu d'instants de bonheur, au début détruits par un monde cruel, puis à la fin très fugitif par l'ironie du destin
Manga d'une extrême violence individuelle dans un contexte yakusa ou assimilé.
Mais violence extrême avec romantisme homo assez réjouissant. En fait on a l'impression que les scènes de sexe ont été censurées mais qu'une version originale complète doit exister quelque part et être visuellement plus explicite !!!
Le héros, ange de la mort à faire pâmer femmes et hommes de tous calibres malgré l'inconscience avec laquelle il tue sur ordre et pour rien, est ce que l'on fait de mieux dans le genre victimisé par son frère, sa mère etc.
Une relecture japonisante de Freud tout à fait stimulante pour le bas ventre à certains moments.
La cerise sur le gateau étant le flic homo speedé à la coke ou autre, body buildé, tueur abruti mais finalement amoureux!!!
je ne comprends pas trop ce dernier tome de la série, le scénar est bateau et cul cul la praline, renforcé en cela par les dessins de dany, je trouve qu'il dépareille totalement le cycle, quel intérêt?!!!
Fin d'un cycle j'éspère, car comment faire sans bouncer maintenant, en effet aprés avoir renouvelé le genre BD Western, Jodorowsky ne doit pas nous abandonner en chemin et arreter cette magnifique série, servi il est vrai par un Boucq au meilleur de sa forme, de plus ne pas se cantonner aux sacro saintes 48 pages est un régal.
A lire, relire et plus .....
N'étant pas un fan hardcore du genre Héroic Fantasy, je suis rentré à reculons dans cette nouvelle série. L'histoire, les personnages, l'ambiance se met doucement et efficacement en route et on ne peut finir qu'absolument fan par ce 1er tome en tout point réussi. Les personnages sont intéressants, l'histoire n'est ni trop compliquée ni trop simple (avec une bonne part de mystère). L'inévitable coté fantastique du genre se fait plutôt discret (et ce n'est pas plus mal) privilégiant l'interaction entre les différents personnages. Les dessins ne manque pas de personnalité et la couleur sépia ajoute encore un peu plus de classe. Au terme de ce 1er tome, on sent qu'il reste beaucoup à dire et à faire et que 5 tomes ne sera pas de trop pour cette série. Vraiment une agréable surprise qu'on ne peut que recommander. Vivement la suite même si d'après mon libraire, l'auteur serait hélas un peu lent (dixit lui même en dédicace).
Les origines de Spiderwoman enfin dévoilée mais de manière un peu trop résumé à mon gout. Cependant celà reste un très bon récit avec les éléments essentiels de la vie de ce Vengeur et le tout bien maîtrisé. On passe un bon moment et on ne décole pas une moment. Bref un bon numéro.
Bon album mais pour moi ce n'est pas le meilleur. Certes le personnage de Soda reste fidèle à lui même et l'ambiance est géniale mais l'intrigue est un peu rapidement traitée à mon goût. Elle aurait méritée plus de développement au lieu des quelques raccoursis présents qui gachent un peu tout. Celà reste quand même un bon album à lire.
Premier tome d'une série qui devrait en compter 3, ce volume est vraiment bien construit. On suit d'abord le parcours du jeune Yeso, ce qui l'a poussé a devenir kamikaze. A travers cette histoire l'auteur arrive à bien retranscrire les horreurs de la guerre, le fanatisme de l'époque et les méthodes plutôt immorale dont avait recourt l'armée japonnaise pour obtenir l'engagement "volontaire" de membre pour ses escadronts de kamikaze. Bref un très bon album.
C'est drôle, c'est frais bref c'est bien. Les histoires sont bien faites même si le côté humoristique n'est pas toujours réussi on ne s'ennui pas et on rigole bien la plupart du temps.
L’un des problèmes avec les séries de profilers ou de flicette c’est que nous avons droit soi au genre détective Conan, le flic qui recherche la vérité extérieure, celle des autres.
Ou bien, ceux qui recherchent la vérité intérieure (MPD- Psycho).
Dans les deux cas c’est toujours un combat pour la vérité.
Donc des batailles idéologiques, et de notion fatigantes pour ne pas dire lassantes.
Il est évident que nous allons retrouver par la suite des révélations. La notion de vérité est (trop) souvent liée à la notion de révélations ce qui rend les récits lourds, et indigestes .
Surtout si l’auteur ne prend pas la peine de les amener. La parole ira ainsi de pair avec une forme de brutalité de la révélations qui oblige un lecteur comme moi ( une petite nature ! !) à se faire violence pour passer l’écueil de la prise de poids ( du récit !) subite.
En gros, le récit de l’œuvre gravite, sur 10 tomes, entre « l’anarchisme mercantile » et « l’angélisme mécanico- informatico-informatif ».
Le « phénomène déclencheur-programmateur- artificiel » étant la mort de la petite amie, à tout le moins la première, d’Amamiya Kazuhiko. Dès ce moment là, notre héros s’enfermera dans un volonté d’accomplissement et de superiorité, un peu comme le personnage auquel le héros sera confronté, du « moi » en tant qu’ensemble de particules.
Il est interessant de noter que les auteurs ( Otsuka et Tajima !) rajoutent à chaque fois de nouvelles révélations, ce qui a pour conséquences de perdre le lecteur.
Enfin, très souvent lorsque les auteurs n’ont rien à dire, ils rendent leur récit ultra-complexe, mais ça ressemble plus à la montagne qui accouche d’une souris qu’a autre chose !
On pourra toujours me prétexter les thèmes du style : « la représentation de la violence » ( dont je me fiche d’ailleurs !), mais j’y vois plutot une fragmentation de la personnalité qui au final aboutit au néant, au rien.
Pour le graphisme… sans commentaire.
C’est à se demander si au final, les auteurs Sho-u Tajima et Eiji Otsuka n’ont pas voulu condenser notre charmante époque en une seule œuvre : dans laquelle je le rappelle le néant (le vide) est à la fois fascinant et angoissant pour son immédiateté, et son monde sous « perfusion informative ».
C’est en vogue, il paraît ! ! !
Mais ce qu’il y a de terrifiant, enfin je dis terrifiant pour ne pas dire affligeant, c’est que j’ai la sensation étrange que les auteurs sont des opportunistes et qu’ils pensent plus à leur succès qu’au lecteur.
Mais là, nous serions en plein délire!!!
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Les trois album sont vraiment trés bien coté scénario et dessin.
Les dessins s'améliorent à chaque tome.
cat album est culte!!
je me rappelle encore mes eclats de rire a la lecture de chaque planche
un trait proche de franquin et des histoires tordantes
des repliques cultes
" je vais tous les pourrir!!!"
"je pisse sur les twin et les cylindres a trous"
etc etc
bon le reste e la serie a oscillé entre le bon et le moins bon
mais sur ce tome 1 bar2 c'est le rossi de la bd moto
etant finisterien je suis de parti pris
mais a partir de la legende de la ville d'ys qui se trouve dans la baie de douarnenez comme chacun sait
deschamps nous concocte une superbe histoire et elle est magnifiquement mise en valeur par le noir et blanc de auclair
toujours disponible alors n'hesitez pas
je l'ai lu hier, et meme relu pour être sur, c'est réellement un bel ouvrage d'ambiance, réalisation trés soignée, dessin envoutant d'étrangeté, scénario diaphane, a recomander de toute urgence aux amateurs du genre. et seulement dirais-je. sans affinité avec ce style je me suis trouvé décu et perplexe.
c'est pas pour moi, quoi!!!
mais je reconnais le talent des auteurs.
a bon entendeur.
Beaux dessins pour les décors et très belles mise en couleurs. L'univers de cette série (via les multiples planêtes) est vraiment magnifique et plus original que le scénario. L'intrigue reprend, en effet, un peu trop les thèmes stéréotypés de la SF (messie, liberté-oppression, etc) et n'évite pas une impression de "déjà vue". Après, les dessins, pour les scènes d'action, ne sont hélas pas le point fort du dessinateur. Au final, les 3/4 de la bd est très agréable à lire mais vers la fin, certains passages (actions et réactions des personnages) ne sont hélas pas crédibles. Peut être, par manque de place, la fin a été trop vite expédiée où maladroitement mise en scène et cela décridibilise l'ensemble. Dommage, donc.
Bon début de série qui contient tous les éléments indispensables au genre : action, suspense, rebondissements, trahisons. Tous les éléments sont bien dosé et l'originalité du thème abordé est un point de plus en faveur de ce premier diptyque. On rentre facilement dans l'histoire et on se laisse porté par l'histoire sans décrocher avant d'avoir fini les deux tomes. Bref une bonne série.
Les histoires de ce HS sont globalement plutôt bonnes même si certaines ont plutôt mal vieillies. Celà reste toujours drôle même si le côté aventure / action est nettement moins marqué que dans les albums.
Et hop, on enchaîne sur le tome 2 et ses péripéties presque attendues et que je vous donne en mille qu'il va se passer ça et ça et que lui c'est un agent quadruple, etc. Et malgré tout ça marche, et on finit le tome et on est parti pour lire le troisième. Et au fond, c'est déjà pas si mal...
Le thème commence à me lasser. Et puis il y a tellement de bonnes choses qui sont parus la dessus que je commence à faire mon difficille. Et puis je dois avouer que Convard m'a largement plus intéressé sur le début de certaines de ses autres séries (Neige, Finkel) que sur celle çi. Reste le tome 1 d'un bon divertissement, au scénar, malgré tout accrocheur, mais parfois servi par un dessin trop académique et pas vraiment à mon goût...
Indispensable vraiment, mais oui!! Meilleur que le tome un qui était déjà
excellent, ce tome est magnifiques. On retrouve le mystérieux Gwénolé, le vieux
Budog, le sage Gwenc'hlan et le jeune Taran. Les assassins se retrouve face à
face avec un problème, l'impus dei renaît t'il??
Le dessin est vraiment génial, je dirai même sans défaut. Le scénrio est un des
meilleurs que j'ai jamais vu.
Malheur à vous si vous ne possédé pas cette série!!!!!
Vraiment bon, un de mes préféré dans toute la série. La question que je me pose
est, mais qui est donc réellement Greldinard. Sinon le combat entre Haazheel et
Wismerhill m'a beaucoup plus. Seul défaut que je n'ai pas tellement aimé, même
si c'est un détail, la première page où la bataille commence, si vous regardez
bien vous appercevrez un extraterestre. Sinon, j'ai pas à me plaindre, l'album se
lit vite, mais les dessins son magnifique et le scénario est quasiment mieux que
les autres tomes. On retrouve là dedans une vrai chroniques de la lune noire!!!!
Merci Froideval et PonteT!!!!!!!!!!!
Je trouve également que la série s'essouffle un petit peu. Le fait que Navïs se trompe lourdement et se fasse manipuler augure je l'espère d'une relance qui évitera à ses aventures de nous emmener dans une routine "d'employé de bureau".
Deuxième tome tout à fait à la hauteur du premier...on est happé par l'histoire et forcément épaté à chaque détour de planche par le serieux des recherches historiques des auteurs. Une série haletante et dont on se détache pas facilement...
Je suis pas focément très amateur de BD historique mais là j'avoue être vraiment bluffé. J'avais bien aimé la série télé Rome et on retrouve dans Murena le même esprit. Ca sent le souffre, la violence et le sexe. Mais pour le coup c'est pas trop gratuit je trouve, parce qu'on sent qu'au dela du scénar les auteurs ont tenu à nous dépeindre un monde cohérent. Dessins et couleurs sont classiques mais très à mon goût. L'histoire est bien évidemment passionnante, riche et pleine de rebondissements. Bref, j'aime beaucoup !!!
« Les beaux fonds des bas tiroirs » a été réalisé par Alec Séverin pour accompagner et compléter « Under The Ink ». Les hasards des retards de le sortie d’«Under The Ink » font que cet album est disponible en avant première.
Comme d’habitude avec les albums de Several Pictures, on commence par regarder l’objet, le toucher et s’en imprégner. Oh surprise, cette fois ci, l’album est volontairement moins luxueux que d’habitude (on pourrait presque penser qu’il s’agit d’un retour aux sources en pensant à l’affaire Tchang). Pour des fonds de tiroirs, il ne pouvait en être autrement vous certifiera l’auteur qui prend à malin plaisir à jouer avec ses lecteurs ! Mais rassurez vous, l’aspect est trompeur car même si le papier est nettement moins épais que sur d’autres productions, il est le fruit de longues recherches pour le dénicher et d’une qualité au dessus de la moyenne (certifié indéchirable) !
Vous vous attarderez longuement sur la couverture car l’illusion est presque parfaite et l’on se croirait en présence d’un dessin original.
La qualité de reproduction est quant à elle parfaitement en phase avec la qualité des dessins présentés. On apprécie le trait de l’artiste et ces planches remplies de croquis nous donnent une vision brute du talent d’Alec Séverin. On se prend à imaginer l’artiste en train de les réaliser et à les recoller dans le contexte des albums.
Cet album s’intègre avec goût dans l’univers que développe depuis des années Alec Séverin, et on se prend à rêver de voir la suite sortir avec la publication des hauts tiroirs qui doivent être encore plus étonnants !
Un album à posséder absolument !
Vraiment une série de SF à rebondissements (je viens de la relire pour la 30è fois !!). A noter le mélange humanoïdes/mécanoïdes/humains déchus-bêtes, que l'on retrouve souvent chez Gillon.
Enfin, pour terminer, une ballade dans une Venise dévastée, un théme que l'on retrouve également dans la série "Neige"...
On retrouve le "dada" de Gillon : les mécanoïdes à visage (parfois) humain, mais au comportement (toujours) humanoïde, y compris le côté "physique" (voir La Survivante....)
Un graphisme intéressant pour cet ouvrage de science-fiction ; avec un dessin un peu maladroit et/ou naïf. Mais une thématique intéressante : erret = terre à l'envers, cela n'aura "chappé à personne !!
Je rapproche un peu cet album de la série des "Krane"
A n'en pas douter l'un des chef-d'oeuvres de Graton et de la série. La découverte du monde des routiers dans les années 60 est très appréciable et sympathique.
Genèse mortelle : L'histoire reste complexe et très prenante. On sent que des évènements importants se déroulent (mais où est donc passé le professeur Xavier ?) mais peu de choses nous sont révélées. Vivement la suite.
Le big bang : Les choses ne sont pas simple pour les membres de facteur Xqui se retrouvent face à une concurence acharnée et bien mystérieuse mais aux pratiques plus que douteuses. L'intrigue est pleine de mystères qui nous sont dévoilées au compte goute. excellent.
Ombre sur les esprits : Au final l'histoire se termine de manière un peu décevante car beaucoup de questions sont sans réponses, ce qui laisse présager que tous ces évènements vont ressortir un jour ou l'autre.
Le fils d'apocalypse : Histoire très intéressante qui donne naissance à une alliance improbable mais qui nous promet également une suite pleine de révélation et pas des moindre.
Et voilà infinite crisis c'est partie. Une chose est sûr : il est préférable d'avoir lu "crisis on infinite earths" pour bien comprendre ce qui se passe et qui sont certains personnages qui réapparaissent. En tout cas la mise en place est bonne, on rentre bien dans l'histoire et au final on a envie de connaitre la suite. Bref infinite crisis c'est bon mangez en.
Ce second volume est aussi excellent que le premier. Il retranscrit bien les horreurs de la guerre du Vietnam même si le rejet de la guerre par le peuple américain n'est pas vraiment développé, j'espère que le troisième volume développera davantage ce point. Celà reste une série vraiment excellente.
Comme d'habitude l'histoire avait bien commencée et se termine de manière très rapide et sans réel intérêt. Il y a bien un passage qui relance un peu l'intérêt mais le "combat" entre Ban et Lucifer est sans intérêt. La nouvelle histoire développée à la fin du volume commence plutôt bien mais on peu déjà dire que ça n'ira pas plus loin comme d'habitude.
Encore un très bon album d'Andreas (mais depuis le temps on y est habitué) qui va, une fois n'est pas coutume, marquer par sa simplicitée. A travers de ses albums Andreas nous a habitué à des histoires complexes avec pas mal de fantastique mais ici on a plutôt une histoire simple centré sur 7 personnages toutes d'origines différentes combattant dans un pays en guerre lors de la monté du fascisme. Cette simplicité permet de rester centrer sur ces 7 personnages et de bien mettre en évidence leur personnalitées propres. Cependant on pourra toutefois regretter certains passages et certains points qui aurait eu besoins de planches supplémentaires pour être traiter.
Très bon diptyque signé Baru, auteur que je découvre avec cette euvre même si ce n'est pas la première qui m'intéresse. L'histoire est bien construite avec des thèmes intéressants et des personnages sympas au final. Pour le dessin il faut aimer le style mais en lisant l'histoire ça passe tout seul.
L'histoire compliquée s'éclaire un peu, on comprend mieux qui tire les ficelles mais on ne voit pas où ça peut aller donc on attend la suite. L'idée de la prise du pouvoir en virtuel est séduisante et bien traitée. De l'humour, du charme et des questionnements sur l'avenir possible du monde dominé par le web dans une mise en image plaisante donne une série à suivre.
Album amusant, l'histoire est sympathique. Cela ne restera cependant pas un " grand " Lucky Luke pour moi.
A mes yeux, c'es le grand album de la série, non pas pour son scénario ( aussi bon que les autres cependant ) mais simplement par l'apparition du M98 qui marque le véritable départ de ce que sera Durango.
Histoire tout simplement enorme, les dessins sont superbes et le scénario tient vraiment la route. On retrouve Durango dans la peau d'un personnage comme on les aime, a la fois attachant et héroique...
Je l'ai lu ça y est mais je conseille vivement de relire au moins le tome 4 avant.
J'ai pas été déçu et étonné qu'après 10 ans le passage du précédent album à celui-ci se fasse aussi bien.
L'univers de Cromwell s'est encore étoffé, nouvelles créatures et nouvelles machines et robots.
Son dessin est toujours aussi beau mais les traits des personnages sont plus durs qu'avant.
Comme dans les albums précédents on alterne par moments entre planches de couleurs sombres et celles de couleurs à dominante rouges/orangées ce qui donne une ambiance bien particulière à l'album.
Pour ce qui est de l'histoire c'est toujours aussi barré et farfelu et là aussi pas de couac entre cet album et les précédents, certaines répliques sont un vrai bonheur.
J'ai eu du mal à rentrer et à adhérer à l'histoire d'autant que je trouve les dessins un peu simplistes. Le deuxième tome donne malgré tout envie de lire le dénouement.
J'ai préféré le tome 3 à celui-ci. La première histoire et la dernière sont les plus faibles la faute à un interêt vraiment limité.,
Le récit de Barbucci et Canepa est le plus décevant, histoire vide et graphisme qui m'a beaucoup moins plu en comparaison de Sky-doll. Leur Navïs style manga est particulièrement laide (c'est mon avis, hein).
Le second est directement sorti de la série Nävis. Petite reflexion sur la loi de la nature, mais j'ai eu du mal à accrocher.
Le 3ème récit est une suite au 4ème tome de sillage. Le plus interessant à mon goût, même si le procédé peut paraitre facile (les anciens esclaves qui deviennent tortionnaires). Graphisme très interessant.
La 4ème histoire, reliée au tome 2 de sillage et au HS le collectionneur, est également interessante niveau scénario et apporte quelques petites explications sur le comportement d'un personnage de la série (le médecin). Dessin sympatique mais sans plus.
Pour le dernière histoire, objet de ridicules polémiques par ailleurs, je n'ai pas du tout accroché au dessin tout simplement. Elle n'apporte pas grand chose au final.
Un album très inégal, que ce soit niveau scénario ou dessin.
Quel plaisir d'y revenir. Navïs est toujours attachante et le scénario haletant est servi par par des personnages hauts en couleurs, des méchants très piquants, tranchants et un Rib'wund aussi redoutable que surprenant. Bref tout un univers en concentré !
Les stryges nous tiennent toujours, pas moyen de leur échapper, nous voulons savoir qui va gagner. Ce tome se laisse lire avec plaisir car on nous résume habilement la
Vraiment bon ce tome.
Le retour des femmes m'a pas mal imprésionné et je les trouves vraiment
courageuses. Excellent, grandiose, magnifique, sublime, je ne suis qu'éblouie
devant le dessin et le scénario de Van hamme et Rosinski. Encore une fois, ils
nous présentent un excellent tome sublisime.
C'est vraiment un tome à avoir et la série me parraît de mieu en mieu. Par
exemple, je trouve assé triste la fin avec la mort de Kriss. ( que je préférais de
loin à Aaricia!!!)
Bref superbe.
Pas mal , mais sans plus. C'est le 14 ème de la série, et un peu décevant, l'auteur réutilise des gags déjà vu dans les tomes précédents, dommage.
C'est l'histoire d'un môme amateur de poésie: il aime observer les oiseaux, il dit par coeur avec bonheur un poème de Beaudelaire...
Manque de bol, ça se passe sous l'occupation, pendant la deuxième guerre mondiale, re-manque de bol, il est juif, re-re-manque de bol, il vit hors de sa famille en pleine zone occupée...
Je n'aurais sans doute pas acheté cet album sans l'avis très favorable de mon libraire... Le dessin est un peu rude , les lignes épaisses et je n'aime pas les couleurs! Pourtant j'étais attirée par l'image de couverture...
... En fait, c'est un très bon album: si le thème de départ semble un peu misérabiliste, les auteurs ne se complaisent pas dans la noirceur, l'aventure est bien contée et on y vit des petits bonheurs émouvants. Les scènes contemplatives alternent avec les scènes d'actions, et les rencontres humaines sont traitées avec une grande sensibilité: rencontres avec des personnages hors du commun ou avec la bêtise ambiante...
J'ai beaucoup aimé!
Sans doute ce que j'ai lu de plus original depuis très très longtemps, c'est dynamique, inventif et drôle, l'histoire est complètement barrée et on sent vraiment que l'auteur (Run) se fait plaisir en faisant son album et veut faire plaisir au lecteur. Que du bon.
Très bon album, un de mes préféré. J'ai adoré ce tome, car dans les nouveaux il
n'y a plus d'histoire et ça me déçois beaucoup.
Vraiment amusant, parce que on met au premier plan Obelix et non astérix.
Bravo Uderzo et Goscinny
I loved this album when I was a child. Now, at 49, I've read it again and I understand why. It has charm, but this arises with no mystery from the fine drawing, the agile script, without loose threads, the lively outline of all characters -main and secondary-, the minute documentation and, not least, from an enthusiasm which engages the reader to the last page.
Of course, most of the "M. Vaillant" series is excellent, a great and sustained accomplishment in the Art of Bande Desinée, and this very album (in spite of being quite aside the usual racing world) is, for me, one of the best.
Crise de conscience : Fin de cette histoire dont le dénouement est à la hauteur de l'attente. Même si il ne pouvait en être autrement cette fin laisse présager une grande évolution de l'univers DC.
Vol retardé : Très bonne histoire de Green Lantern qui a un bon potentiel pour refaire parlé d'elle par la suite. Il s'agit en fait d'une introduction à une aventure plus importante.
En quête d'âme : Superboy est confronté à lui même et surtout à ce qu'il est. Le fait d'avoir été manipulé par son "demi père" et de s'être retourné contre ses amis l'a pas mal secoué. L'histoire est pas mal et la fin laisse présager d'une suite plus tournée vers l'action.
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Ou une revisitation du thème de Frankenstein.
Avec ce style de parole bien connu :
( Rire glauque) « il vit, il viiiiiiiiit……..ha !ha !ha !ha !ha ! »
Le début est terriblement hasardeux, d’ailleurs des évènements brutaux se succèdent, on prend donc le récit en pointillé.
Quand je dis brutaux, je veux dire que l’auteur nous les balance en travers de la frimousse sans aucun tact, sans amener l’événement, ce qui a pour effet de laisser le lecteur de coté.
Par la suite, une fois que le personnage principal sort de l’hopital. ( enfin, c’est tout de meme les 2/3 du récit qui vienne de passer !)
Tout comme la prison nous change un homme, l’hospitalisation fait de meme, il devient donc plus « male ».
Dès ce moment notre héros a le « mal » en lui.
Un jeux de mots dérisoire mais qui en dit long….
A partir de maintenant tout dépend de l’auteur, va-t-il faire une critique, au travers de son « héros », du système qui régit nos civilisations occidentales ?
Ou bien continuer dans la voie du Frankenstein ?
Entre nous si c’est la seconde ça ne m’interesse pas !
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Très beaux dessins, les personnages sont attachants et le scénario bien construit. Le monde de l'aviation est décrit de façon si plaisante et réaliste qu'il doit intéresser également les néophytes dont je fais partie.
A suivre absolument.
Aïe, j'en attendais beaucoup et au final je suis assez déçu ! J'ai pas accroché plus que ça à la vie quotidienne de cette famille d'origine algérienne, confronté à la montée du racisme et au retour des soldats français d'algérie. Les personnages sont attachants mais un peu "caricaturaux" à mon goût. C'est peut-être le parti pris de traiter l'histoire de manière douce qui me dérange au fond ! Je n'ai pas non plus éte très réceptif à l'humour de l'auteur. Bref, déception personnel..mais cette BD mérite tout de même un coup d'oeil, histoire de vous faire votre avis :o)
J'aime beaucoup le trait et les couleurs de Boiscommun. Le scénar est lui sympathique mais un peu expédié à la fin, je trouve, et un chouia prévisible...Les premières pages de ce tome 2 sont très drôle ! Sympatique au final.
Je ne pensais pas qu'on pouvais transformer une ville en cité magique...
L'univers esquissé est parfois fort étrange mais l'aventure du personnage est vraiment atypique. Les monuments comme le Beffroi ou le pont des trous sont bien retranscrits.
La plus belle planche est sans aucun doute le sous-marin qui descend le fleuve pollué par des déchets radioactifs...
Enfin un livre qui sort de l'ordinaire!
Représaille : Il s'agit de l'histoire où j'ai le plus de mal à accrocher. D'habitude j'aime bien les histoires complexes mais ici j'ai l'impression que l'on passe du coq à l'ane sans vraiment d'explication.
Psychodrame et Noir & Bleu : Bonne histoire avec quelques passages plutôt comiques. Globalement c'est sympa sans être exceptionnel.
Point de rupture : Retour de Ruin avec perte et fracas et on ne connais pas vraiment sa véritable identitée mais une chose est sûr infinite crisis est lancé
Percer la carapace : Début d'histoire sympa même si on ne sait pas trop où l'on va. On voit que Batman est encore sous le choc de son affrontement avec Red Hood et se pose plein de questions.
Nature Humaine : Très bonne histoire où Poison Ivy apparait plus humaine que d'habitude. Le suspense est bien maintenue mais il faudrait enfin en apprendre un peu plus sur l'intrigue.
Jekyll et Hyde : Fin de la mini série où on en apprend pas mal sur Pile ou Face alias Havey Dent. La fin est tout de même surprenante mais c'est plutôt bien trouvée.
La ville du crime : On en apprend pas plus dans cet épisode c'est dommage. Sinon c'est plutôt bien au niveau de l'ambiance mais on a du mal à voir où l'on va.
le dessin est toujours magnifique
les couleurs aussi d'ailleurs
admirez la planche
merci donc a la coloriste
delphine chedru
les planches sont superbes!
l'histoire evolue autour d'une course poursuite et la fin nous laisse impatient d'avoir le trois
pour petits et grands!
de superbes dessins,aquarelles ??
au service d'une histoire de stevenson (l'ile au tresor,etc)
l'objet est magnifique,belle couv,beau papier
graphiquement c'est superbe
inspiré de stevenson le récit est captivant
j'attends le tome deux avec impatience
le recit est en couleur,elles sont magnifiques, le dessin est a tomber par terre
je vous invite a aller voir la planche (manquante sur bdgest) sur bulledair
elle est superbe et tout l'album est de cette qualité
http://www.bulledair.com/index.php [...] m=fantagas
et l'histoire me direz vous?
l'intrigue policiere ,onirique est inracontable en tout cas par moi
vous aimez le dessin achetez la!!
vous aimez les histoires achetez la!!
vous dites aimer la bd achetez la!!
vous...achetez la!!
vous...achetez la!!!
http://www.editionslesreveurs.com/album.php?album=30
le lien vers le site de l'editeur avec la superbe couv et la possibilité de commander pour celles et ceux qui sont ravitaillés par les corbeaux
une vraie perle que cette bd
je vais pas paraphraser mes deux predecesseurs mais
sachez que vous ne regarderez plus une toile cirée de la meme façon apres avoir lu cette bd
une magnifique tranche de vie
gaudelette nous raconte sa version des festivals et du travail a fluide glacial
et c'est pas triste
larcenet,coyote,maester,moerell sont les victimes de ces petites histoires
ou l'auteur se pose en donneur de leçons
on rit beaucoup , les textes sont excellents
voila le cadeau "touch of class" pour les futures naissances!!
a offrir aux futurs parents
de petites histoires rigolotes autour de la future naissance du bébé de l'auteur
on rigole du début a la fin
ras le bol de natalys?
offrez du six pieds sous terre!!
cet avis vaut pour les quatre
recueil de strips d'un auteur grec
le personnage principal est condamné a perpette dans une prison ou les gardiens sont ignobles
la bouffe aussi
le medecin aussi
etc
affligé de la compagnie de monte-christo un rat particulierement vénal
notre pauvre héros subit moultes humiliations.
humour noir au programme
reprenant tout ou partie de l'abum "histoires noires" paru chez comics usa
ce recueil de nouvelles noires fait la part belle a l'humour noir.
certaines sont particulierement cyniques.
le genre humain en prend pour son grade
si vous aimez torpedo des memes auteurs n'hesitez pas
si vous aimez idees noires de franquin aussi
L'attaque du ranch est une des scènes d'action les plus intenses qu'il m'ait été de lire en BD. Rien que pour ce moment de bravoure et de talent (tant au dessin qu'au scénario), les auteurs méritent toute mon admiration.
sur un scenario de dionnet (metal hurlant)
les armées du conquerant permet a gal de nous faire la démonstration éclatante de sa maitrise du noir et blanc
chaque page est spendide avec beaucoup de recherche autour du découpage
nous sommes en 1977
paru dans mtal hurlant dans un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaitre, ça n'a pas pris une ride
c'est violent,pessimiste,etc
mais c'est indispensable
sacré PHILIG, il m'a volé la vedette sur cet opus de Bouzard !!!
Bon, pour compléter un peu, une BD à la madeleine Proustienne :
- les effluves de chipo et de Kronenbourg (le pack de 24),
- les lendemains difficiles,
- la tondeuse ou le retour aux joies simples (un peu comme le retour à la terre quoi...),
- la remise en question en se confrontant aux meilleurs,
- l'historique de l'expression "déposer le cerveau",
- "je vais boire 1 coup avec les copains et je reviens ..."
Enfin bref, tout ce qu'on aime.
Tout pareil, mais avec les Wampas - TOUT A FOND - et une spéciale dédicace à l'altier Ramon...
indispensable!!
3 jours de java pour le nouvel an 1966 a l'ombre des hauts fourneaux du pays haut lorrain
cette réedition de la precedente intégrale "roulez jeunesse" raconte la fin d'année 1966 d'une bande d'amis
biere rock et rateaux au programme
et non ce n'est pas une autobiographie!!!!
interessant entretien sur le site de baru [url]http//www.baru.com.fr[/url]
une excellente bande dessinée de baru sur un scenario de thevenet
on suit avec interet le destin de said boudiaf lors des années troubles de la guerre d'algérie
alph'art meilleur album angouleme 1991
prix philip morris 1991 geneve
prix france-info 1991
toujours disponible chez casterman
1à 3 :
du pur , du vrai MAKYO !
scenario à plusieurs etages . personnages tourmentés . fin déprimante . psychologie des protagonistes fouillée ... c'est bien lui !
il nous donne là une bien belle histoire sur les interrogations artistiques d'un maitre et d'un jeune prodige , le tout sur fond de nationalisme extremiste polonais .
pour illuster son propos , il renoue avec un ancien compere qui le complete à merveille .
les dessins de michel FAURE sont superbes . particulierement quand il se mêle de faire de la peinture en BD ... tout comme il l'avait déjà brillamment tenté dans ELSA .
héroïne sublime de beauté , toute en fragilité physique et force morale , Eliza m'à ému et fait rêver
à lire si vous êtes en pleine forme , à éviter si le spleen est déjà présent en vous ...
excellent , vraiment excellent .
dessins superbes , details fouilles des avions , couleurs magnifiques .
ajoutez à celà un scenario fort plaisant
et vous obtenez un album du même niveau que le précédent " dernier envol "
Hugault confirme ... pour notre plaisir
cet avis vaut pour la serie
cette serie de franz est un classique du franco belge
des personnages ayant du caractere,des grands espaces, de l'action des intrigues de qualité et des chevaux! grande passion de l'auteur
on suit les tribulations de lester cockney un irlandais enrolé de force dans l'armée britannique au 19 eme siecle
l'empire britannique est gigantesque et les premiers albums se deroulent donc en afganistan et en inde (1 a 3)
le retour en europe s'organise via la hongrie (4 ,5 et 6)
on arrive en italie (7)
les tomes 8 et 9 se passent eux aux usa ou lester et sa charmante tarana ont emigré
la serie s'arretera malheureusement là suite au deces de franz en 2003
irish melody et shamrock song evoquent la jeunesse de lester en irlande
deux excellents albums ou le dessin de franz fait merveille
il est souhaitable d'essayer de les lire dans l'ordre en commençant par les fous de kaboul
je me suis réconcilié avec Gerra avec cet album... Une histoire très sympa qui se tient de bout en bout.
Série fascinante. Des dessins exellents, un personnage principal qui n'est pas toujours le centre des histoires, on se trouve dans "simon qui cherche"...
Encore une réussite ...
On ne voyage pas très loin dans cet album, mais c'est égal !
C'est toujours aussi drôle et bien vu : c'est plein d'images d'Epinal sur les Belges, mais que c'est bon. Tout est dosé parfaitement et on rit volontiers aux différentes allusions qui sont faites.
A noter, une apparition-hommage des Dupond/t, la naissance des moules-frites, une petite allusion aux problèmes de "langue" (de boeuf) de la Belgique, aux peintres flamands ...
Le dessin d'Uderzo est toujours au top.
Vous l'aurez compris, un autre album indispensable.
Très bon album qui porte une fois de plus sur un fait historique très intéressant. C'est un vrai plaisir de suivre cette histoire pleine de suspense (même si on en connait forcément une partie de la fin). Le fait que les "gentils" ne gagnent pas toujours est aussi une bonne chose mais il est déjà difficile de distinguer des "gentils" parmis tous ces personnages jouant sans cesse à retourner leur veste. Le recit et même l'univers sont très complexe ce qui entraine une plus grande attractivité et des possibilités de développement toujours très intéressantes. Bref c'est très prenant et j'attend la suite.
L'ensemble des histoires sont globalement bonnes. Ma préférée étant celle où le Marsupilami fait son apparition pour une bonne tranche de rigolade. Sinon ça se laisse lire.
Voilà un bon one shot bien caustic où les personnages n'ont rien pour les sauver. L'histoire est plutôt bien développée et le propos, bien qu'exagéré, est bien rendu. On rentre bien dans l'histoire et au final l'album se lit très facilement.
Attention Private Joke pourrait-on lire sur la couverture ! Ceux qui n'ont jamais trainer leurs guètres d'aventuriers dans les poussiereux couloirs de Donjons et Dragons risquent fort d'être très désagréablement surpris par ce Donjon de Naheulbeuk. A réservé aux initiés donc ! Si vous faites parties de ceux là, jetez un coup d'oeil sur cette BD, parfois un peu grasse et bourrine mais la plupart du temps assez fidèle aux expériences que l'on a pu avoir durant nos parties de jeu de rôle, et rien que pour ça, ca vaut le coup.
Pas évident de rendre intéressant des papotages entre femmes iraniennes...surtout que ca frôle la conciergerie parfois ! Et pourtant j'ai lu la BD d'une traite, avec le sourire au lèvre et en prenant du plaisir. Marjane Satrapi dépeint finalement très bien la situation de son pays et des femmmes qui y vivent au travers de ces anecdotes douces amères, parfois franchement amères mais toujours racontés d'une manière qui évite le mélo pleurnichard.
Ce nouveau cycle confirme mon impression du tome 4, tout semble plus abouti et plus travaillé, même les personnages dont les expressions restent malgré tout (je me répète) encore un peu figées. Cette série est passée dans la catégorie des très bonnes.
Je dis à éviter car les dessins me donnent le goût de vomir, pas par laideur, mais
par le manque totale de couleur vive et joyeuse. Même le sang que bilal fait me
dégoûte, cette couleur est selon moi trop foncé. Ceci dit, je ne veux surtout pas
dire que Bilal dessine mal, car je serait plus porter à dire le contraire. Son trait
est superbe, mais quand je veux direle goût de dégopiller c'est vraiment le goût
de dégopiller. Son scénario est parfois et me paraît même souvent
incompréhensibla, mais ne soyez pas vexez fans de Bilal, car je suis encore
jeune et cela est normal que je me trompe parfois et que je ne comprenent pas
tout.
En gros, si vous voulez acheter cette série, ne vous attendez pas à un dessin
super joyeux et des couleurs vive, mais plutôt à une aproche froide et bizzare.