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Rien à dire sur qualité de l'œuvre, qui mérite largement 5 étoiles. Par contre cette édition intégrale est très décevante : L'album est en grand format mais les planches ont strictement la même taille que les éditions en format normal... bref on gagne de larges bandes blanches.
Les albums séparés comprenaient depuis toujours des pages de bonus, croquis, photos, textes, supprimés ici.
Et pour couronner le tout, l'auteur (ou l'éditeur) n'a pas juger utile de réaliser pour cette intégrale une nouvelle couverture et se contente de nous coller celle du tome 1. Quand on pense que toutes celles des tomes individuels des Passagers du Vent (plus vendeurs) ont été refaites pour appâter le complétiste, il y a de quoi se poser des questions sur l'intégrité artistique de la démarche.
Enfin bref, ce monument de la BD méritait nettement mieux que cette édition bâclée. Alors juste un conseil : achetez les 3 tomes séparément, quelle que soit l'édition, et fuyez cette intégrale.
Edit :
Mon avis concernait la première version de cette intégrale, publiée par 12bis en 2010. Depuis 2 nouvelles éditions ont été publiées par Delcourt :
- En 2017 une luxueuse édition sous fourreau, qui contient toutes les pages bonus des albums individuels, plus les illustrations de couverture recto / verso des albums individuels, époque Casterman. Très beau papier. C'est un peu cher mais y'a pas à dire, c'est beau et il ne manque rien !
- en 2021 une édition intégrale standard, qui ressemble à celle de 12bis mais dans laquelle ont été remises les pages de bonus qui étaient passées à la trappe.
Pour la taille des planches et l'absence couverture spécifique à l'intégrale rien n'a changé, par contre le terme d'intégrale est à nouveau justifié : on ne se retrouve pas avec des pages en moins.
Pour moi le meilleur Jonathan depuis qu'il a repris la série. Et je conseille vivement l'édition spéciale en grand format, agrémentée de croquis et dotée d'une superbe couverture pour à peine quelques euros de plus. Pour le reste, tout comme Hugui. Le tome 16 "Celle qui Fuit" sort le 6 septembre, avis aux amateurs.
Gags d'une page ayant pour prétexte la plus vieille profession du monde. La moitié sont visuels, le reste en jeux de mots. Des références un peu vieillottes vont être (peut-être) appréciées par les 50 ans et +. Même pas coquin.
Une BD tout simplement sur la vie. Plusieurs thèmes sont abordés : les relations humaines/amoureuses, la famille, la mort, la politique, les grèves, les doutes du quotidien,…bref, le combat ordinaire quoi. L’ensemble est assez réaliste et très humain et on ne peut que se reconnaître par moments à travers l’histoire du personnage principal, Marco. On s’interroge aussi parfois sur les discours de Larcenet tant ceux-ci sentent le vécu et l’authenticité, ce qui rend le récit crédible et passionnant. Les dessins sont ce qu’ils sont et ne correspondront peut-être pas à tout le monde mais ils collent très bien à ce style d’ambiance et de scénario. Un indispensable à découvrir et même à relire.
Très beaux dessins, biographie un peu plate mais l'émotion passe vu ce destin et ce caractère exceptionnel.
Les premières histoires de Rabaté, mais son style est déjà la, avec des trognes très expressives et des moments de la France profonde plus vrais que nature. Le premier,récit sur la débâcle de 1940 est excellent, le reste se laisse lire sans déplaisir.
Lorsqu'on ouvre cette bande-dessinée, on est tout de suite éblouis par les premières planches : pas de texte, des décors à couper le souffle, une action trépidante, un découpage "cinématographique". Le dessin est superbe et merveilleux.
Que de prétention de la part des auteurs !
Les deux premiers tomes étaient intéressants, mais celui-ci est d'un narcissisme écoeurant.
Série "Africa Dreams" est d'une grande qualité, les graphismes sont particulièrement bons, les couleurs les renforçant bien. Du point de vue scénaristique, ce n'est pas mauvais du tout. On ne baigne pas dans l'originalitée absolue, ni dans l'exceptionnel, mais on se laisse facilement envouter et on tombe sous le charme pour finalement passer un moment fort agréable
Dommage que Alex Toth ne soit pas crédité au dessin (il est pourtant bien précisé sur l'album). A noter la couverture par Gil Kane.
Certes il y a 7 histoires - histoires d'horreur dans la lignée des EC Comics - mais il est dommage de ne pas créditer Alex Nino qui dessine la première et la dernière.
Cela permet de faciliter la recherche pour ce dessinateur au graphisme élégant.
Je n'ai pas été convaincu par cette histoire d'espionnage compliquée auquel je n'ai pas compris grand chose. Certes l'humour du héros et de son acolyte est sympa mais pour le reste pas d'émotion. Le dessin est correct mais je n'ai pas vraiment accroché.
L'ambiance automnale, les couleurs, les mouvements... on se délecte à chaque case. Le scénario semble classique : un groupe hétéroclite avec un formidable combattant comme pilier central, qui subit de nombreuses attaques des forces du mal à cause du guerre.
Je ne sais pas si j'ai loupé quelque chose vu ce que je lis comme critique, mais personellement j'ai trouvé cette BD sans aucun intérêt. Les dessins ne sont pas à mon goût mais soit, ce n'est que subjectif. Par contre le scénario ne m'a fait ni chaud ni froid. J'ai trouvé ça insipide. Je me suis ennuyé à mourir et je ne lierais pas la suite (ce qui est très rare chez moi, car même déçu par le 1er tome en général j'attend le 2e tome pour voir si je ne me suis pas trompé). Une BD à oublier très vite !
L'auteur a eu l'excellente idée de rapprocher les évenements de l'équipage à diverses pages de l'histoire : la seconde guerre mondiale, la guerre froide... Les dessins sont superbes et, même si l'on a du mal à reconnaitre certains personnages entre eux, le lecteur n'a aucun mal à s'immerger dans cette série frissonnante. L'angoisse et le suspens vont croissants. Le 3e est l'apogée du suspens avec un dénouement des plus terribles et terrifiants, le scénario est imprévisible et c'est un régal de parcourir ces pages... A découvrir de toute urgence..
Il existe une EO Dargaud identique a celle du Lombard, les derniers titres parus au dos sont les même, le désert sans lumière pour comanche et le souffle du Moloch pour Bernard Prince.
Les 2 premiers tomes de cette série prévue en 3 épisodes sont brillamment ficelés. La construction de l’intrigue est bien menée et elle permet au lecteur de mesurer le poids des enjeux. Le contexte historique mêle l’époque de la renaissance et des références de l’antiquité. C’est un choix risqué mais payant. Le dessin de Nicolas Siner et son travail soigné sur les décors portent également cette bande dessinée dont le résultat est tout à fait agréable.
Je suivrai avec attention la sortie du 3ème tome.
http://bdsulli.wordpress.com/
Super Album ! Scénario captivant, superbes dessins, magnifiques couleurs, histoire passionnante, dialogues percutants, intrigue palpitante. Ce tome 1 est vraiment superbe, remarquable, splendide ! J’ai lu ce tome d’une traite, que dis-je, je l’ai dévoré ! Hâte de découvrir le tome 2 !
Dans cette série, Tony Parker tente la gageure de transcrire l'intégrale du texte du roman assez hermétique de Philip K. Dick, et s'en sort fort bien! Évidemment, l'ensemble est longuet, à plus de 600 pages. Parfois on lit ce pensum par obligation, pour bien appréhender les sources de Blade Runner, le film.
L'auteur fait le choix risqué d'illustrer ce monde post-apocalyptique en ne montrant que les seuls protagonistes, ce qui résulte en un étouffant huis-clos grisonnant sur fond noir. On a du mal à imaginer que derrière ça, il y a une société qui crée des androïdes, colonise Mars, crée des « voitures » volantes qui peuvent couvrir 700 miles en 40 minutes. Tout le contraire du film, qui crée un monde minutieusement illustré, chamarré et cohérent.
L'ensemble se tient, les dessins sont remarquables, les cadrages (Comics oblige) foisonnants. On applaudit L'artiste.
Kilimandjaro, sommet de l’Afrique. En pleine guerre froide, en 1947, une équipe est détachée au Kenya car il s'y passe des choses étranges ; OVNI, disparitions, animaux fantastiques... non non non, un scientifique doit garder la tête froide, et surtout veiller à la garder sur ses épaules, ce qui ne sera pas évident pour chacun des protagonistes de cette géniale série à la Conan Doyle, dont le scénario, à rebonds certes, fantastique certes, retombe sur ses pattes et dont le dénouement, restant dans le fantastique évidemment, ne manque pas de crédibilité ; pourquoi pas en effet. C'est ce qui est bien dans le Fantastique, tout est possible.
Un très bon moment donc, sans déception, dépaysant à souhait, avec des dessins nets et précis, parfois mêmes très beau (comme la chasse des lions). Les personnages ont chacun des personnalités très différentes, c'est presque amusant pour certains ; même le "méchant", l'espèce de conn... vulgaire imbu de lui-même, sorte d'obsédé phallocrate, écrivain baroudeur à ses heures qui ne rêve que de trophées de chasse, évolue tout au long de cette aventure éprouvante (quand même) ; on le serait à moins. Quant à l'héroïne, charmante et sympathique, elle poursuit ses recherches sans s'en laisser découdre ni par les événements extraordinaires qui parfois la déroutent, ni par les hommes qui lui tournent autour, sortes de mâles en chasse, eux aussi. Ouverte à toutes les explications, elle glisse naturellement vers un éclaircissement fidèle à l'histoire. J'ai beaucoup aimé.
A réserver aux fanatiques de l'histoire du Japon, car pour ma part je n'ai pas compris grand chose entre tous ces clans qui défendent on ne sait quoi. Tout le livre est une alternance de scènes de combats avec figures techniques et de discussion sur les complots en cours. Pas de sentiments, peu d'émotion, on est à l'opposé des scénarios contemporains qui ont fait connaître et apprécier Taniguchi en Europe.
Pour spécialiste du Japon, donc. J'ai trop de lacunes dans ce domaine pour pouvoir apprécier malgré les qualités graphiques indéniables.
Une trame scénaristique passablement décousue qui aligne les évènement menant des recrues pilotes de leur école de vol jusqu'au déclenchement « officiel » de la guerre du Vietnam.
Les scènes terrestres prédominent sur les aventures en vol, ce qui est dommage car si les avions sont très bien rendus, les faciès des personnages souffrent en comparaison. De plus, une rivalité peu crédible entre bleus bites vient alourdir la trame.
Ça sent le « Top Gun » mal réchauffé... L'épais dossier en deuxième partie est plus intéressant que la BD !! On espère plus relevé avec le Tome 2.
Isabelle Dethan nous fait partager sa passion et son amour pour l'Égypte ancienne. Le très beau dessin et la coloration en douceur de Mazan participent activement au rendu de la chaleur du delta du Nil.
Ici, point de Pharaon, nous vivons avec le peuple; Il est donc plus facile aux jeunes lecteurs d'avoir des connivences avec Kheti qui apprend le métier de scribe pour succéder à son père, et à Mayt sa copine. L'histoire est moins alambiquée qu'un Papyrus, mais tous les dieux du Panthéon sont bien là pour des aventures en douceur.
Le côté didactique sera apprécié des parents, qui apprendront une foule de détails sur le quotidien des fellahs. Un seul regret : les albums ont une trentaine de pages, ce qui est bien vite lu...
Dommage que la série s'arrête là, on s'en serait régalé encore et encore !
Du grand Taniguchi, où l'intrigue policière n'est que prétexte à des rencontres humaines qui secrètent beaucoup d'émotion. Dessin parfait pour un manga noir et blanc, car très expressif et très lisible.
Une très bonne lecture.
Clémentine a 16 ans, l'âge où l'on se cherche. On cherche à s'aimer soi-même, physiquement se trouver assez jolie pour être bien dans ses petites baskets d'ado, on chercher ses amitiés, garçons, filles, trouver sa place dans son lycée, sa famille... J'ai beaucoup aimé ce livre qui fait admirablement ressortir toutes les ambiguïtés des sentiments d'une adolescente, sa recherche de sa sexualité, son amour pour une autre fille, le rejet de sa famille. L'extrême réaction de certaines personnes peuvent parfois paraître cliché, mais finalement c'est bien possible. Car voilà bien le sujet délicat et Ô combien magnifiquement rendu dans cette BD splendide, où l'auteure a pris un soin méticuleux a étudier l'âme et les sentiments, les gestes, les mots et les non-dits, le coeur qui bat de joie ou d'une douleur extrême, la passion qui entraîne comme un tourbillon, la dégringolade quand on croit perdre l'amour de sa vie et où la raison n'a plus sa place, celle qui pourtant pourraît permettre de se relever, d'éviter des erreurs cuisantes ou fatales... à travers des dessins d'une très grande douceur et des couleurs envoûtantes tristes et émouvantes.
Nul n'est besoin d'avoir un avis sur l'homosexualité, pour découvrir ce très beau livre bouleversant et tragique ; non par sa fin (tragique cependant) mais plutôt par le constat de ce couple différent qui se regardent, seules... l'amour exclusif est-il un but ?
À l’aube du deuxième conflit sino-japonais, en 1937, les regards de deux enfants se croisent sur le quai de Shanghai. La fillette, Yaya, issue d’une riche famille de commerçants, se prépare à passer un concours de piano. Le garçon, Tuduo, multiplie les acrobaties pour glaner quelques pièces et satisfaire ainsi son protecteur, le redoutable Zhu. Leurs origines sociales, radicalement opposées, auraient dû empêcher toute rencontre. Pourtant, les premiers bombardements précipitent la fuite de Yaya et Tuduo et unissent leurs destins parmi les décombres d’une ville ravagée par la guerre.
Clairement destinées au jeune public, cette petit BD format poche / italienne aux dessins pas vraiment manga et servis par les couleurs très douces de Golo Zhao, ravira les enfants. Un vrai plaisir pour les yeux. Certes, l'amitié de cette rencontre improbable peut paraître un brin naïve (Candy, princesse Sarah..) mais pourtant l'histoire est crédible et surtout passionnante. On se laisse entraîner par ses deux enfants pétillants d'énergie aux milieux d'une guerre qui ne les concerne pas mais qui constitue un bon terrain de jeux. L’apparente légèreté du récit permet de toucher à des thèmes beaucoup plus graves, comme l’exploitation infantile et l’exode de la population en temps de guerre. Jolie découverte que voilà, j'ai hâte de connaître les autres tomes.
La débauche (ici) s'entend dans le sens contraire de l'embauche, et non pas, comme ce à quoi je m'attendais en ouvrant le livre, une descente noire (à la Tardi) dans l'engrenage infernal du sexe ou quelque chose comme ça. D'ailleurs j'ai mis un certain temps à comprendre, mais je suis un peu lourde, parce que de la part des auteurs c'est pas faute d'avoir enfoncé le clou ! Tout commence dans un zoo parisien, où à l'étonnement des visiteurs et à l'enchantement de la presse, un curieux animal est découvert derrière les barreaux d'une cage : un être humain : Vieux, sale, mutique, méconnaissable, il semble sorti tout droit d'une poubelle ; heu, à bien y regarder après quelques pages c'est pas faux. Un petit polar bien sympa avec un ton très second degré, avec un fin pour le moins... déconcertante. Les dessins ne sont pas vraiment beaux mais on sait forcément à quoi s'attendre quand on ouvre un Tardi. Pourtant ici il passe du noir caractéristique à des couleurs vives pour notre plus grand plaisir. Quant à Pennac (éblouissant d'écriture dans ses romans jeunesse) il s'éclate ici dans la mise en scène de ce scénario aux dialogues incisifs et aux relations humaines urticantes. Une chronique sociale derrière un petit polar.
j adore cette serie les dessins sont superbes les paysages idem les personnages tres differents l ensemble fait que l on adhere a cette quete j espere que la meute se remettra en chasse pour de nouvelles aventures
Pendant toute la lecture, je me suis demandé ce qu'on me racontait comme histoire et surtout pourquoi on avait jugé bon de me la raconter. Je ne suis pas sûr d'avoir tout compris, en tout cas. Au final, je n'en retiens pas grand-chose, hormis les très belles ambiances graphiques de Manuele Fior.
Ce troisième volet est sans doute celui qui m'a le plus plu. Je pense que l'habitude aide à adhérer aux introspections philosophico-absurdes du héros inventé par Dumontheuil ?
Ce personnage, sans grande épaisseur, n'est que le prétexte à la découverte de l'autre, celui que l'on ne connaît pas et sur lequel nous construisons des préjugés avant de les déconstruire en apprenant à le connaître. Le baron, toujours loin de chez lui, après avoir rencontré plusieurs peuples d'Afrique et d'Amérique du Nord, se trouve en Amérique du Sud puis revient en Afrique. Il y rencontre un blanc installé là et faisant partie du décor, chargé d'un secret bien gardé.
Comme pour les autres albums de la série, les dessins et les couleurs sont magnifiques, servis par une édition de qualité. Si l'histoire ne plaît pas à tout le monde, je reste séduit par sa créativité et son caractère unique.
Pour moi, Dumontheuil est un auteur à part, avec une personnalité qui n'appartient qu'à lui et qui reste inimitable.
Très bel ouvrage.
Acheté ces jours-ci sans vraiment connaître l'auteur.
Le dessin est à la fois précis et moderne.
Beaucoup d'humour, de l'esprit, du panache...
Bref, un album hautement recommandable !
Je suis passé complètement à côté de cet album qui envoie le fils de Dieu sur Terre pour qu'il se révèle à nouveau aux hommes, tandis que les peuples vivent plus que jamais dans la désolation. L'idée de départ est intéressante, mais ça tombe assez rapidement à plat. En cause, des textes qui ne "sonnent" pas très juste et une surenchère dans l'image excessivement subversive de Jésus, ici dans la peau d'un homme obèse, aveugle pour avoir désobéi à son père, et drogué pour oublier la douleur.
Alors là bravo !
C'est pour moi une série assez géniale !
Le dessin est simple et très lisible avec un découpage excellent qui crée une dynamique incroyable. Les personnages sont sexy, bien travaillés avec des belles expressions.
Coté histoire, c'est classique, assez puéril, mais vraiment jouissif. J'adore le côté apprentissage/compétition, typique du Shonen, mais avec un plus un humour assez subtil, le tout dans un univers très sympa !
On sent que les auteurs ont pris du plaisir et c'est communicatif .
Longue vie à cette série, pour ado et grand ados trentenaires, dont le rythme de production est un vrai plus !
Ce Titre vos le coup simplement pour lire la 1ere histoire (The Cell)
Cette histoire nous explique qui a tué la famille de Castle... comment tout s'est déroulé...les 2 autres histoire sont bien...sans plus et la derniere nous fait decouvrir l'enfance de Castle... un peu vaguement je trouve...Cassez vous pas le Bicycle LISEZ : THE CELL :)
Rapidement : très fine analyse du mythe du super-héros... On connaît le travail de déboulonnage par Alan Moore (l'esprit de son travail est repris et trahi en maintes versions mainstream par les majors) mais le britannique Pat Mills y va à la dévisseuse : l'archétype est démembré et mis à nu...
Bonne lecture.
Ouille, ouille, ouille, que tout cela est mystérieux mais surtout très confus. Les 32 premières pages sont pourtant très captivantes, intéressantes avec une ambiance très prenante mais au final, l’histoire se termine dans une complexité et incompréhension la plus totale. Déçu et grosse frustration donc, car je m’attendais à quelque chose de plus cohérent et facile d’accès. Reste les dessins qui sont vraiment très bien avec des décors architecturaux sublimes et originaux dont Schuiten a le secret. Bref, c’est pas le meilleur album pour rentrer dans l’univers de la série « les Cités obscures » car cela pourrait en rebuter plus d’un.
Des petits riens toujours aussi jouissif, et sans prétention, mais surtout des dessins croqués sur le vif très expressifs.
Addictif !
étant fan de youngtimer je trouve cette album très réussi une intrigue un peu légère tout de même , mais çà se lit facilement c'est de la BD pour ceux qui aiment ce genre je conseille de lire les "les aventures de Jacques Gipar cdlt
Héroïque-Fantaisie chez les Amérindiens : Une héroïne musclée, une quête, des compagnons aux pouvoirs variés, des monstres qu'on trucide (du moins, on essaye...)
Le dessin n'est pas inintéressant, quoiqu'il laisse une impression de froid, due à la combinaison d'un trait hyper précis et d'une coloration en mode mineur qui change selon l'endroit et l'heure.
Les grandes lignes du scénario se tiennent, mais les détails ne sont pas assez liés. Les dialogues hésitent entre cour d'école et banlieue; certes, on ne s'attend plus à des « Ugh! Plume blanche a parlé ! », mais on est supposé être dans une saga amérindienne.
Comme c'est une première publication pour Cristina de Arcos, on note 5/10 pour l'effort, en regrettant qu'un deuxième tome ne sois pas venu renforcer la série.
Cet album regroupe 6 histoires courtes :
- Gargamel et le crocodile (4 planches),
- Le frère jumeau de Gargamel (4 planches),
- L'ogre et les Schtroumpfs (8 planches),
- Les Schtroumpfs et le Bougloubou (8 planches),
- Les neveux de Gargamel (8 planches),
- Sagratamabarb (8 planches)
Le 1er volet du diptyque est poussif, avec des dialogues et un style graphique peu agréable à lire , et qui s'appuie sur un dessin aux contours trop bruts, voire naifs, avec des couleurs fades ...
Le deuxième volet, même s'il est plus plus dynamique avec un Missak accrocheur, n'apporte rien ou pas grand chose....Seul le final est bien trouvé...Bof, bof, bof...
pour Franquin forcément qui a épousé l'existence des fanzines & leur développement (ou non!) indispensable pour ce pan de l'histoire bd
La sulfureuse et scandaleuse Jeanne-Sophie de Sambre, son cruel père Augustin et le sinistre chanoine Saintange sont les personnages centraux de ce cycle époustouflant….Les dialogues sont incisifs, caustiques, percutants, et la perfidie assassine de nos héros est mise en image et en couleurs avec un exceptionnel brio…on ne saurait dire, qui de la fille, la comtesse de Sambre et du père Augustin est le plus obscène et retors…Werner et Charlotte subissent candidement les événements sans vraiment les comprendre et alimentent ainsi la guerre des Sambre …Leur innocence et leur passion vont se noyer dans un torrent de larmes et de sang…Kolossal cycle, dirait le très fade et benêt chevalier von Dantz….
Un superbe hommage à la nuit du chasseur, de Charles Laugthon, avec un peu de fantastique et un suspens terrible.
Cet album sort des sentiers battus et c'est là le principal problème. Exit la planète aquablue pour cette aventure spatiale qui malgré tout se lit bien.
Malgré un premier tome quasiment incompréhensible !?! les 4 suivants sont de qualité et servis par un dessin tout en finesse...
Un mélange des genres surprenant et agréable.
3/5
Coté dessins, tout juste bien. Rien à faire l'impersonnalité des dessins informatiques ne passe pas. Pas vraiment de vie et d'émotion dans ce graphisme, qui reste correct évidemment.
Coté scénario, ce cinquième tome de la collection Glénat_Explora (qui retrace l’existence d’hommes et de femmes partis à la découverte du globe et dont les expéditions ont marqué l’Histoire, du moins leur temps) est intéressant. Les auteurs ont privilégié le contexte historique et géopolitique plus que l'exploit lui-même. Si du coup c'est peut-être un peu trop résumé, et trop succinct concernant le vécu du point de vue des protagonistes (Edmund Hillary et Tenzing), l'essentiel est là pour nous plonger dans cette fabuleuse aventure finalement méconnue dans les détails ahurissants dont on a peine à imaginer la réalisation.. 8 tonnes ! de matériels acheminés par des centaines de porteurs, des semaines de marche d'approche et d'acclimatation, contexte politique compliqué.. à découvrir sans hésiter.
Je la trouve bien cette BD. Je pensais avoir affaire à un récit sur le sida, gnangnan à l’eau de rose, mais pas du tout, loin de là. L’histoire est simple mais bien ficelée, assez tragique pour toucher le coeur des ados comme celui des plus vieux... J’essaye d’ailleurs de lui trouver des défauts mais je n’en trouve pas ou peu (peut-être la réaction des parents qui n'est pas des plus crédibles). Il n’y a rien de dérangeant, le thème du sida est traité avec pudeur, réalisme (je trouve), sans chichis et ça se lit avec plaisir. Les personnages sont pour la plupart très attachants, Jo en tête mais aussi Laurent son fiancé, ses amis,…et l’ensemble procure pas mal d’émotion grâce notamment aux magnifiques dessins de Derib. Bref, une BD intéressante, un peu oubliée mais dont le sujet est malheureusement toujours d’actualité. Un livre à mettre entre toutes les mains.
Je trouve ce second cycle plus accrocheur, plus réaliste que le précédent...Bon, Jusseaume semble fâché avec les galons de la marine marchande (sur un dessin, le commandant alterne les barrettes entre 3+1 (ce qui est juste) et 1+3 (ce qui est fiction ou fantaisie)) et appelle capitaine un maréchal des logis chef de la gendarmerie... Néanmoins le cycle est cohérent, Yann Calec prend de l'envergure et les couleurs sont superbes...A lire et à conserver pour relire....
Le second cycle est très différent mais aussi bon que le 1er….L’Afghanistan, sa culture, sa complexité y sont décrits avec lucidité (pour ce que j’en connais, bien sur), sans parti pris ni jugement….
Vera est fidèle à elle-même, altruiste, courageuse et magnifiquement sensible….La précision du dessin et les couleurs ravissent nos yeux et notre esprit, en nous plongeant dans l’ambiance ultra violente mais aussi humaniste et sentimentale de ce théâtre Afghan en perpétuel conflit…
Ce qui est le plus dur dans cette série, c'est l'attente entre deux albums. Mais voilà, la qualité sait se faire attendre. Indispensable dans une bédéthèque, tant pour l'histoire, l'intrigue, le dessin, les personnages...
Quand même, c'est quand la suite ?
Moi j'ai trop aimé l'histoire de popol et virginie au pays des lapinos c'est trop marrant ça fait un peut pensé aux vieux cartoon de télévision mais en version Belge dommage que Hergé n'a fait qu'une histoire :(
Trop bien dommage qu'ils ont pris des planche de BD d'ancien petit spirou pour le 3 D sinon parfait je le recommande au fans d'humour et de spirou Tom et Janry
J'aime trop Katz dommage qui font pas un format normal pour une fois car sa fait tache dans ma bibliothèque de BD il y a que des format poket et italien des format j'aime pas mais bon on rie tellement avec Katz que on lui pardonne à lire pour les fans d'humour facile
L'histoire, le dessin ainsi que les couleurs sont absolument magnifique.
Chaque planche est une claque visuelle et on en redemande, les blasters font froid dans le dos.
Apparemment il n'y aura pas de tome 3 et c'est bien dommage.
Nirvana... à ne pas rater !!!
album super-héroic assez rare de nos séries tv d'enfance,je ne possède pas cette bd mais j'aimerai le trouver,avis aux collectionneurs?...
BD petit formats poche indispensable pour les collectionneurs et amateurs de bd aventure,je conseille de lire cette bd...
Une BD que j'ai appréciée dés la sortie du 1er tome et qui me paraissait prometteuse. Même si le dessin est limite, il se suffit à lui même pour cette histoire originale qui, au bout du compte, finit en eau de boudin. Les tomes 1 et 2 avaient du style, de l'accroche et tenait vraiment la route en terme de quête et d'action. Ce troisième tome est une conclusion rapide, et laisse un goût amer du genre "on n'avait droit qu'un un seul tome pour conclure cette histoire car les ventes n'ont pas permis de continuer l'aventure". Si c'est le cas, c'est bien dommage car ce dernier volet bacle le bon travail réalisé sur les 2 premiers. Je mets donc un 2/5 car je regrette vraiment un bon final (en 2 volumes) sur ce projet.
Une pure réussite !!! Des tomes qui sortent à quelques mois d'intervalle avec des récits indépendants. On découvre à chaque fois de nouveaux héros et on finit toujours par avoir la conclusion de l'histoire. On a également droit aux talents divers de différents dessinateurs et ça ce ne peut être qu'un plus pour ce beau projet. Merci à ses créateurs. Vivement le prochain tome.
Super BD pleine d'originalité. L'histoire nous absorbe et les personnages sont accrochants. Fondre des orks dans une culture orientale, il fallait y penser quand même. On pourrait penser à une fusion de Okko avec Trolls de Troy (je sais, c'est un peu tiré par les cheveux...). Le dessin est soigné d'un trait particulier. Bref, j'adore et je recommande aux passionnés du genre.
Hugo et Iris nous plongent dans une quête quasi-mystique qui pourrait confiner à la folie…Cependant la passion d’Hugo, fils d’un père régicide et d’une mère femme de tête, frère de 4 sœurs au caractère incisif, et mari sans amour pour Blanche, épouse de raison et non de cœur, nous transporte dans un univers méconnu mais parfaitement maîtrisé par Yslaire, et mis en image et en couleur avec une maestria à couper le souffle….
Iris, artiste frivole, insouciante et capricieuse, nous transperce de ses yeux rouges, qui nourrissent et alimentent la quête d’Hugo….
Vicaire, contremaître et homme de confiance tisse sa toile lentement mais surement…
La guerre des Sambre est pour moi une œuvre magistrale….
Une BD assez particulière au ton assez mélancolique, énigmatique et poétique où l’absence de héros est totale. Il s’agit ici d’une métaphore sur la solitude et la mort que l’auteur a essayé de décrire à travers sept chroniques. Les histoires sont courtes, très brèves (pas de détails concernant les personnages) et le principe est intéressant quand on n’y regarde de plus près. Les dessins en noir et blanc sont sympas et correspondent bien à l’ambiance « pessimiste » du tome. Malheureusement, il y a un goût de trop peu, ça se lit en cinq minutes. Dommage que Michel Riu s’est fait rare par la suite car il y a quand même de bonnes idées et il aurait pu apporter de bonnes choses dans le monde du neuvième art. 2,5/5
Dans cette biographie on traverse le malheureux parcours de Joseph et on se prend rapidement d’affection pour ce garçon à la laideur absolue. J’aurais d’ailleurs apprécié que le scénario exploite davantage le potentiel dramatique de l’histoire, car on a la désagréable sensation de passer d’une anecdote à une autre. À mon sens, le scénario manque un peu d’épaisseur.
Le dessin et la mise en couleur imprègnent une atmosphère crasseuse et violente à l’histoire. La plongée dans les rues sombres des villes anglaises de l’époque victorienne est plutôt réussie. En revanche, je n’ai pas été séduit par le trait du dessinateur dont le niveau est trop irrégulier et qui manque, selon moi, de finesse.
Une lecture intéressante pour une histoire vraie et touchante, mais ça manque de moelle !
http://bdsulli.wordpress.com/
Tres bonne bd je m attend a lacher le Punisher d un livre a l autre mais c est tjrs tres bien envoye un autre!
j'ai un original et je cherche a le vendre mais je ne sais pas ou le faire expertiser !! il appartenait a ma maman, il est encore pas mal pour son age.....vous etes sur de votre estimation?
J'ai lu d'une traite ce 1er cycle qui sans me décevoir ne m'a pas enthousiasmé...Yann Cadec pourrait être attachant, mais il ne fait pas grand chose pour, même s'il est parfaitement à sa place...Le genre humain, dans ces 4 tomes est montré sous son jour le plus sombre, c'est parfois un peu lourd...Les dessins, qui ne sont pas toujours constants, restituent bien l'univers maritime et sont de belles facture...TRAMP reste une belle série qui se lit avec plaisir, mais je pense qu'elle pouvait bien mieux faire si le scénario et le rythme avaient été un peu plus fouillés, un tantinet plus étoffés...
c'est en fait la 3° edition, par ANSALDI Bruxelles, D/1984/4085/001
ISBN 2-87137-000-1
le 4°plat est different
Carrément pas d'ac avec l'avis facile du site qui décrète qu'une bd issue d'un blog doit se mettre en mode chroniques réalistes. Dommage, moi je pense que si je veux du réel dépeint à la truelle, les millions de chroniqueurs radio ou web improvisés avec ou sans talent et légitimité me suffisent et que la bd peut s'en passer.
Au contraire, ce bouquin est un vrai joli livre-parenthèse qui trouve sa saveur grâce à ses caricatures idéales et drôles de nos quotidiens.
Ce livre m'a accompagné généreusement dans l'arrivée tardive de l'été. Chaque trentenaire peut se retrouver de près dans cette tectonique intérieure quand s'entrechoquent nos rêves et résolutions passés et la compréhension de vraies importances qui saillissent parfois de nos quotidiens bordéliques. Le trait et la poésie de ces pages amènent à une réflexion sur soi et une bonne dose d'humour aussi. Bien vu Margaux Motin.
Une seule réserve : les incrustations sentimentales dessins/photos sont de belles respirations mais dommage que le choix graphique participe au dégoulinage ambiant "instagram style", c'est l'overdose.
correct et dans la lignée de I.R.S. Les dessins sont bons mais le scénario est sans grande surprise. A réserver aux fans de la série
J'ai bien aimé mais au final, on ne peut s’empêcher de se dire : tout ça pour ça. Je pense tout simplement qu’à travers cette BD, Schuiten a voulu rendre hommage aux cheminots et à cette fameuse locomotive de type 12 (très belle d'ailleurs) qui a fait la gloire des chemins de fers belges durant pas mal d’années comme le témoigne le dossier en fin de tome. On rencontre bien sûr les thèmes chers à l’auteur comme : l’évolution des villes, le progrès, la modernité...et je reste toujours bluffé par son côté visionnaire au goût parfois mélancolique, mystérieux, son interprétation de l’architecture et son trait à l’encre de chine toujours très maîtrisé et vivant. Un artiste que j’apprécie beaucoup. Même si certaines situations ne sont pas toujours crédibles, l’histoire a l’avantage d’être simple, humaine et de se lire rapidement. A découvrir.
Ce tome vaut largement deux fois mieux que le premier.
Je ne pense pas que le parti pris du flashback total dans le tome 2 pour donner un cadre à l'histoire fade du tome 1 soit une bonne idée. Saupoudrer davantage de retours sur l'histoire des personnages plus en parallèle de la traque de Madison aurait évité un déséquilibre d'intérêt trop grand à mon goût.
Espérons que le tome 3 soit du même niveau que le 2 et ne reverse pas dans l'action fade en mode western spaghetti du 1er tome, moins intéressante que la trame historique qui apparaît ici.
Bien, mais n'en restez surtout pas là, la suite est meilleure !
Je conseille vraiment l'achat des 2 premiers tomes en même temps car ce premier volet n'a le mérite que de planter un décors et il faut bien reconnaître qu'il est scénaristiquement creux. Tout le relief de l'histoire et des personnages apparaît plus tard.
Une bien belle surprise que voici. J’ai été très vite embarqué dans cette histoire dès la lecture des premières planches tant les dialogues sont fluides, percutants et accrocheurs. Difficile d’expliquer mais cette BD à vraiment quelque chose de particulier que je ne peux décrire. Elle est à la fois mystérieuse et très charismatique. Peut-être est-ce du aux dessins anguleux, très étranges et personnels de Oriol (les défauts physiques sur les visages sont vraiment étonnants : longs nez, figures étirées, corps maigres,…) sans oublier les couleurs très vives, chaudes (on sent par moment la chaleur méditerranée à travers certaines planches). Seule la fin m’a un peu laissé de marbre, je m’attendais à quelque chose de plus frappant et moins artificiel mais ça reste tout de même dans l’ensemble très bon. A découvrir.
J'ai decouvert en 2013 cette intégrale qui reprend deux vieux albums. Je me suis régalé, le premier album datant un peu plus apporte l'apéritif au plat principal que constitue "20 ans après". Un scénario digne de Van Hamme, tortueux et machiavélique. Les dessins de Dany sont encore meilleursdns le second opus. A conserver dans sa bibliothèque !
J'avais découvert Manuele Fior avec le formidable Cinq mille kilomètres par seconde, primé à Angoulème il y a quelques années.
Avec ce dernier album, nous sommes à milles lieues de son précédent album.
Avec une histoire se déroulant en 2048, et le tout en lavis noir et blanc, Manuele Fior rompt complétèment avec son dernier succès. Graphiquement, rien à dire, les dessins sont superbes, les sous entendus entre les pages 94 et 97 , repris plus explicitement à la fin du récit (vers les pages 162/163) sont fort bien construits et j'avoue que le style m'a vraiment conquit dans l'achat de cet album.
Cependant malgré deux lectures attentives, j'ai l'impression d'être passé à côté de quelque chose. Bien sûr , l'histoire du couple de Raniero m'a tout de même ému mais l'histoire avec du psychologue avec Dora, tout deux témoins de phénomènes extra-terrestres m' a beaucoup moins convaincu.
Entre science fiction et roman graphique, j'avoue avoir du mal à me faire une opinion définitive sur cet album.
Malgré des approches graphiques audacieuses, je n'ai pas réussi à rentrer dans cette histoire
Bon moment passé avec cet album, & c'est bien là le principal.
Quelques sentiments mitigés, cependant, à la fin de cette lecture.
- Jim, au scénario, nous délivre une de ces histoires où le lecteur ne lâche pas prise & où ce dernier la lira certainement d'une seule traite.
Même si le dénouement n'est pas surprenant (en tout cas je m'y attendais sauf pour Inès qui s'en sort très bien au vu des ses "frasques" bien dissimulées).
Jim est très habile avec l'évolution de ses personnages & sont tous essentiels (jusqu'à l'apparition d'un soir des potes de Jean : cette scène et leur comportement sont très importants pour ce qui sera le clou du spectacle...)
Une histoire aussi haletante se devait d'être conjugué d'un dessin dynamique & c'est en partie réussi par Grelin... Mais c'est là que ça "pêche" un peu pour moi...
- La découpe des cases, les couleurs souvent vives & ce trait dynamique favorisent cette HGV (Histoire à Grande Vitesse ! :))
Pourtant j'ai été parfois gêné par ce rendu graphique, mix de Cartoon, Disney, Manga. Les visages ne me paraissent pas assez détaillés, les expressions faciales sont souvent peu fournies (sauf peut-être pour Jean). Il m'est ainsi arrivé de confondre les personnages : je pense notamment à la scène à St Georges de Didonne où une demoiselle aperçoit l' homme faisant son malaise : j'étais persuadé que la jeune fille était Callista...
C'est vraiment ce crayonné des différents protagonistes qui m'a un peu frustré car au niveau des couleurs, elles sont top et j'ai aussi bien aimé le fait qu'il n y est pas trop d'éléments de décor, cela aide à se focaliser sur l'essentiel, à savoir la psychologie d'Anna, Callista, Jean & consorts.
Juste histoire de faire celui qui titille ;) ;) : à la page 137, Jean est allongé sur le lit sans le pull rouge d'Anna. Page suivante, le pull est de retour sur son front... ! :p ).
Au final, cela reste un bon album que je conseillerai, notamment à ceux qui (comme moi) ont connu de mauvaises expériences avec les blondes : ça va pas arranger leurs préjugés !!! :) :) :)
Merci messieurs pour cette sympathique BD !
Dur dur d'offrir une suite aux tomes précédents, à savoir L'éveil et Les Méandres, qui sont des histoires sans grande saveur malgré un dessin qui reste à la hauteur selon moi. Mais ce tome 7 apporte un nouveau souffle à la série avec un scénario intéressant et des scènes d'actions dignes d'un combat des titans. Ce tome est la transition. Il ne s'agit que du combat de Slhoka. Pas de Sven ou de Kraal à l'horizon, et trés peu de Shanî. La suite (et fin je l'espère) est attendue. Souhaitons qu'elle soit dans la même veine que celui-ci.
C’est pas mal mais faut avouer que le scénario n’a rien d’exceptionnel, pas de quoi tomber de sa chaise. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, il ne s’agit pas d’une histoire sur la célèbre bière d’Orval et sa brasserie mais sur l’origine de l’abbaye d’Orval avec sa légende, ses moines, ses richesses ( les sidérurgies, les forges, les terres agricoles,…) mais aussi son déclin à cause de la Révolution française. Bref, un récit assez intéressant et enrichissant car j’ignorais pas mal de choses mais sans plus. Ceci-dit, Servais évite quand même le côté rébarbatif historique et intègre aussi une histoire d’amour romantique comme il aime le faire. Les dessins sont toujours excellents sans oublier les couleurs très jolies qui sentent bon la campagne et la sérénité chère à l’auteur.
@cedd79 : je crois que ce que tu as loupé c'est de lire les 7 autres tomes. Lanfeust est une SAGA et donc comment peut-on dire que c'est nul au bout du 1° tome. Et comme tout 1° tome il y a des choses imparfaite c'est vrai : le dessin se cherche, le scénario pose les bases, il faut introduire les personnages... ce qui est particulièrement difficile et puis ce tome c'est aussi celui de l'expérimentation, est-ce que le public va suivre. Et la réponse fut OUI au vu du nombre d'albums qui ont suivis.
C'est sûr que pour un "geek" de fantasy à la Tolkien cette série sort des sentiers battus car ne l'oublions pas Lanfeust est une série basée sur l'humour et aussi une sorte de satire et de parodie de cet univers. Donc pour te rassurer c'est tout à fait normal que tu n'aies pas aimé car cette série n'est pas faite pour toi. Lanfeust c'est de l'héroic fantasy pour ce qui n'aime pas l'héroic fantasy.
J'aie lu cet album pour la première fois il y a maintenant 35 ans environ,le relire demain m' émerveillerai autant.l histoire est génial on plonge dedans et on en ressort les yeux embues par l' Amour et l Amitié que dégage cette charmante japonaise.le dessin est super car accessible a toutes les tranches de lecteur,et Monsieur LELOUP a un véritable don pour inventer ses machines volantes ou autres... je ne saurais dire a quel point cette serie YOKO TSUNO m' a marque mais je peux dire en revanche MERCI a son auteur pour tant de moment passé a rêver et même plus pour certains jours plus noirs.
Y a pas à dire, Ferrandez est un bon faiseur. Ses dessins rendent magnifiquement l'éblouissement de l'Algérie. Et l'histoire est tout à fait raccord avec mon souvenir de lecture.
Mais c'est la que le bat blesse pour moi. Le roman se suffit à lui-même et cette bd ne m'apporte rien de plus. Si elle permet à certains de découvrir Camus, tant mieux. Mais lisez l'original !
Cela se laisse lire car les dessins sont à la hauteur, mais le scénario est moyen et un peu confus. On aurait aimé un peu plus de relation ambigüe entre Batman et Catwoman.
Ne sort pas du lot, même s'il utilise le débat sur la réglementation des armes à feu.
Les pires choses que je déteste en BD sont réunies dans ce tome mais même dans la série : complots, magouilles politiques confuses rendant la lecture longue, fatigante et désagréable, situations invraisemblables et pas crédibles, manque de fluidité au niveau du scénario très ennuyeux, c’est mal expliqué ce qui fait qu’on a l’impression que des choses nous échappent et le comble : l’absence totale de la présence de l’héroïne (on ne la voit que 4/5 fois et en plus, elle ne sert à rien). Bref c’est vraiment pas brillant, seul le dessin tient la route mais un peu vieillot quand même. Une série bien morte et bien enterrée.
Vivre que pour ses idées ... Quelques fois des lenteurs mais excellente description de ces années invivables de Grèce , ce temps là reviendra-t-il? espérons que non !
Les saisons passent , les amours aussi ,. Très beaux dessins de cerisiers en fleurs et autres De la poésie ....un moment de plaisir
Bonne suite , Rome sous Néron y est bien décrit, on veut connaitre la suite mais il faut savoir être patient
J'aime beaucoup le style d'Olson qui se rapproche de celui de G. Levis, un des maîtres de la bande dessinée érotique contemporaine, à mon humble avis.
Les éditions "dynamite" nous offrent ici les trois volumes de "mi anges, mi démons", parus en 1994 dans la collection "le Marquis" de Glénat....toute une époque.
Avec une prédominence donnée aux aventures lesbiennes de Wanda, interprète internationale, et de Cory, esthéticienne-toutes deux dotées de poitrines opulentes- ce récit reste sensuel, parfois pornographique mais dessiné de telle manière que cela apparait rarement vulgaire. L'auteur certes garde une vision le plus souvent consentante de la femme face aux désirs des hommes, ce qui ne correspond pas du tout à la réalité mais aux fantasmes des lecteurs masculins et d'une forme de cinéma érotique de la fin des années 1970. Cette soumission de la femme peut paraitre dérangeante (voir l'épisode du tailleur)mais cela illustre un certain état d'esprit de l'époque.
Olson renoue, en outre,avec la dernière histoire, avec le mythe de la belle et la bête,comme il l'avait déjà fait avec "Julia", publié dans "BédéX".
Un album de qualité, servi par un scénario tout de même construit pour ce genre de récit.
J'avais aimé le 1er et je restais sur ma fin...
bel album tant par l'objet que par le contenu ! a lire pour les amateurs d'intrigues et de rebondissements.. la qualité du graphisme est superbe et originalité du héros vaut le détour.. je l'ai dévoré
Bon, ça ne s’arrange pas pour ce tome 2, on ne sait toujours pas grand-chose sur Alexe, pire encore son rôle dans cette histoire limite ringarde et invraisemblable est très maigre. Ca manque de peps, j'ai encore du mal à m'attacher à l'héroïne. Les dessins sont pas mal spécialement les véhicules et décors très réalistes, par contre les personnages sont moyens. Globalement la série a quand même pris à un sacré coup de vieux.
Un premier tome assez mauvais!! La faute à un scénario mal ficelé, décousu et guère passionnant. L'histoire est survolée, ça manque de détails. L'héroïne a un physique plutôt sympathique et différent de ce qu’on a l’habitude de voir (coupe de cheveux, teint,…) mais manque cruellement de charisme, on la voit rarement dans le feu de l’action et semble effacée, sans compter qu’on ne sait rien d’elle (origine, sentiment, psychologie du perso…) Dommage. Je vais quand même m’attarder sur le tome 2 mais je reste sceptique.
je l adore trop il est genial rien a dire a par sa
Mazette ! Quelle histoire mais surtout quelle originalité et imagination dans le propos. Cette BD illustre de façons assez extraordinaires et surréalistes la lutte pour l’écologie et l’antimilitarisme. L’ambiance très particulière, l’humour et le héros assez mystérieux (un espèce de médium révolutionnaire possédant des pouvoirs de téléportation qui lutte pour un monde meilleur et recherché par les services secrets) font de cette satire une bien belle réussite. Les dessins de Bilal pour l’époque sont déjà très bons avec une abondance de détails correspondant bien à l’univers décalé d’un Pierre Christin (engagé?). A lire.
Bon dieu que c’est beau !! J’ai lu ce diptyque d’une traite tant cette histoire d’amitié, de rivalité, d’amour, de guerre est belle, sensible et prenante. C’est loin d’être du « déjà vu » car le tout est traité avec beaucoup de subtilités, de non-dits et de psychologie (le destin de Pierre est déchirant). Mais la grosse claque de cette BD, ce sont les dessins qui sont tout simplement époustouflants : la sensation de vitesse des avions, les combats dans les airs, les courses, sont d’une réalité scotchante ainsi que les expressions des visages humains assez expressifs sans oublier les couleurs éclatantes, fraîches et vives. Une BD à acheter sans hésitation.
Bonjour, on me parle d'une EO datant de 2002 avec quelques pages ( 4 ? ) en noir et blanc ? Est ce une édition chez un autre éditeur ?
C’est une bédé très ciblée aventure et action, il faut aimer les Westerns et le style des bédés année 60/70. Les dessins sont chouettes pour l’époque avec parfois de belles couleurs bien vives et l’histoire intéressante ; le Lieutenant Blueberry devra coûte que coûte se démener pour rétablir la paix entre les Indiens et le gouvernement Américain. C’est parfois un peu facile mais pourquoi pas. C’est un style, j’aime bien.
Pas " à LIRE absolument" mais "à VOIR absolument"
Génial, quand dessiné par Thomas Marco Nadal, nul quand ce n'est pas lui.
Mais quand c'est lui (Thomas Marco Nadal) les dessins d'animaux sont plus que somptueux..
Jungle africaine, éléphants, lions et autres mammifères même préhistoriques sont merveilleusement dessinés si ce n'est plus.
Quand au scénario, classique aventures petits formats, pas énorme intéret, mais vraiment à collectionner pour le graphisme de Thomas Marco Nadal.
Il existe 232 N° dont au moins 200 par Thomas Marco Nadal.
La critique n'est pas sur ce N° spécialement mais sur toute la série de ces Petits Formats IMPERIA.
Pour ceux qui ne veulent pas entasser les fascicules, il existe un hors Série "LUXE" de chez IMPERIA, qui reprends uniquement les meilleurs dessins animalier de Thomas Marco Nadal, et qui est un petit bijou.
That's all folks!!
Je découvre cette série par cette superbe intégrale...Scénario et dessins accrocheurs, de superbes couleurs, et des héros attachants et humanistes...Un vrai régal..Et un vrai moment de détente pendant les vacances...
Tomes 4 et 5.
Snif, quelle misère que cette série…Recherche à minima, découpage passable, souffle court, dynamisme d’octogénaire et documentation historique au rabais…
Que de sang, avec de tristes dessins….que de grades ou uniformes estropiés…Que de dialogues à l’humour balourd…Le Zaïtzev de WW 2.2 n’est pas le Jude Law de Stalingrad, et nos italiens de l’odyssée sicilienne sont bien pâlots…
Au prix où se vendent aujourd’hui les BD, réfléchissez bien avant d’engager la dépense….Positivons quand même, de belles couvertures et un excellent tome 3…
"Happy !", c'est fini ! Ce quinzième et dernier tome de " l'édition de luxe" nous fait vivre en un superbe et efficace "montage alterné" encore une fois très cinématographique la finale de Wimbledon entre Umino et la "reine Sabrina Nikolic", et la libération de la famille d'Umino par "le créancier" et par le Sampaï : le problème vient plutôt que le côté thriller est complètement irréaliste, une sorte de succession de coups de force pas très crédibles, et nous laisse du coup assez indifférents, tandis que le match crucial est réduit à des flashs d'images violentes, illustrant certes la dureté du face à face, mais ne comblant pas, et loin de là, nos attentes. Mais le pire de cette conclusion un peu bancale à une saga qui a battu de l'aile après un démarrage impressionnant, c'est la volonté de Urasawa de nous rasséréner après tant de vicissitudes par un happy end fédérateur, par une explosion de bons sentiments, où la réconciliation générale semble des plus forcées. Il y a en outre une certaine démission scénaristique dans le fait de créer in extremis une amoureuse de substitution - sosie de Umino mais encore plus dans le besoin - au "créancier", permettant ainsi à Umino d'échapper à l'amour réel, charnel, de ce dernier, pour continuer à vivre son amour d'enfance pour un Sampaï toujours aussi creux et fade, sans se poser de questions : le dilemme amoureux - si fécond pourtant - est d'ailleurs purement et simplement ignoré dans une conclusion sans arrières pensées, qui veut nous faire avaler que, même si rien n'a vraiment changé (Umino est toujours pauvre, son grand frère un boulet), tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes : les méchants ne l'étaient pas tant que cela, et l'impossible (devenir championne de tennis en deux ans) était certain. On voit avec "Happy !" que Urasawa a toujours vraiment du mal à conclure ses histoires, et que les choix "à l'eau de rose" qu'il fait ici sont indignes de son talent. Pourtant, la virtuosité narrative et graphique incroyable de Urasawa fait qu'on avale encore une fois, la dernière, toutes ces couleuvres scénaristiques. Et oui, on est... "heureux" !
Le septième volume de Billy Bat nous offre le dénouement crucial de l'imbroglio politico-policier autour de JFK et de Oswald, un dénouement portant la marque bien reconnaissable des scénarios de Urasawa, puisque l'histoire avançant, si une certaine logique apparaît, les énigmes résolues sont immédiatement substituées par de nouvelles interrogations : qu'y a-t-il donc sur la lune que les Américains ne devaient pas découvrir trop tôt, et qui justifiait "l'exécution" de Kennedy ? Quel va être le rôle du petit Kevin dans l'avenir du monde ? Et surtout, comment rattacher cet épisode à l'odyssée nippone, aux manuscrits ancestraux ? On craint bien entendu que Urasawa et Nagasaki se soient désormais aventurés trop loin dans une voie sans issue à force de déployer leur fiction à travers les siècles et les cultures, et qu'ils ne rattachent jamais tous les fils de leur récit... En attendant, impossible de nier que ce volume fonctionne impeccablement, mélange parfaitement dosé de thriller ultra-réaliste (belle reconstitution politique de l'époque, qui évoque encore une fois le thriller de Stephen King, malgré des thèses absolument opposées...) et de fantastique conceptuel : Urasawa nous offre finalement une version alternative aux habituelles théories conspirationnistes sur la mort de JFK, soutenue par une virtuosité narrative qui n'est jamais prise en défaut malgré la complexité des situations et l'ambiguïté des personnages. Oui, ce tome 7 est l'un des sommets à date de "Billy Bat" !