Les avis de la bedetheque

l'album est très bien scénarisé et somptueusement mis en couleur...C'est dommage que le dessin manque un tout petit peu de dynamisme (l'avant dernière page, nous livre le malheureux Tapner dans une position où le tragique n'est pas révélé dans toute son horreur, tant le dessin est statique et plat...), mais il demeure de très belle qualité...Les esquisses en fin d'album sont superbes...Très très bel ouvrage...

Indispensable? Pourquoi:
1. Le traitement, intelligent. Le scénariste utilise les zones d'ombres de l'histoire, la vraie. Et ma foi, c'est plausible.
2. Le graphisme: somptueux.
3. Le déroulement de l'histoire, donc le scénario. Fluide, comme je l'aime.
4. La conception des "bonus" en fin d'album: les explications sur l'histoire réelle et les zones d'ombre dans lesquelles s'est engouffré le scénariste. Très didactique. Les esquisses en toute fin d'album rajoutent un plus à un très bel ouvrage.

Franchement, j'aime beaucoup le style graphique et les couleurs de Reno, ca redonne une seconde vie à Auquablue et à Nao. Difficile de donner un avis sur l'histoire qui n'en est qu'à son commencement mais semble prometteuse quoique toujours un peu redondante.

Au secours les couleurs et le dessin ... Sur le T11, ca passait encore mais là, c'est triste et compliqué à lire. On a du mal à distinguer les personnages dans toute cette pénombre et ce trait grossier. Bon l'histoire est un peu tirée par les cheveux sans être mauvaise mais il va être temps d'arrêter la série à mon avis !

Les scénario de T.Gloris sont toujours un vrai régal d'équilibre entre humour et aventure. Cet album confirme la qualité de cette série. Les personnages sont vite attachants et on rentre à fond dans l'univers des forains qui supporte cette histoire.
J.Lamontagne fait preuve d'un vrai style original pour les dessins avec des personnages très expressifs, des décors fouillés et une mise en page réussie.
Un album et une série à ne pas manquer.

La série progresse gentiment, sans éclat...Le dessin est constant et les couleurs très belles...Notre héroïne est toujours dynamique et attachante, et nous passons un agréable moment de lecture...

Encore du sale boulot bien fait... C est bien que Punisher traite sujet sous silence... Tres bon titre ... Quand y faut y faut... Creve Bulat !

J'ai surtout apprécié cet album pour les dessins de Paris. l'intrigue tourne autour du pot, avec beaucoup de questions sans réponses entre les personnages. Cependant, la lecture reste agréable et je suivrai la parution du prochain tome

Indiquer l'origine de cette production "made in USA" est un abus de langage. La classification proposé par le logiciel et site est effectivement très réduite (comme si la BD était un continent partagé entre 4 nations franco-belge, américaine et japonaise...). Néanmoins, l'auteur est allemand, l'origine est donc européenne et le contenu est davantage du pastiche que du comics super-héro... A bon entendeur...

Regroupe diverses histoires fantastiques mais principalement reprend la série Night Force (Les Forces de la nuit) avec Marv Wolfman au scénario (série qui a commencé dans le # 6 et se termine ici dans le 8).

Regroupe diverses histoires fantastiques mais principalement reprend la série Night Force (Les Forces de la nuit) avec Marv Wolfman au scénario (série qui a commencé dans le # 6 et se termine dans le 8).

Reprend la série Night Force (Les Forces de la nuit) avec Marv Wolfman au scénario (série qui continue sur les # 7-8).

Chef-d’œuvre !! Je reste sans voix devant tant de maîtrises scénaristiques et graphiques.
L’histoire est tellement belle, réaliste, humaine que tout bédéphile qui se respecte devrait lire au moins une fois.
On a envie de rencontrer les personnages tant ils sont expressifs, chaleureux et attachants spécialement Leila, Célestin et le vieux français.
Le voyage est aussi bien présent et je me suis laissé transporté à travers l’Espagne, le Maroc et l’Afrique grâce à la puissance des images de Stassen et couleurs chaudes, lumineuses qui sont un vrai régal pour les yeux.
Lapière quant à lui n’a décidément plus rien à prouver, il est pour moi l’un des meilleurs scénaristes qui sait rester très proche du lecteur grâce à la fluidité, le rythme et l’humanité qui se dégagent de ses dialogues. Et puis le découpage est quand même vachement bien foutu, c’est du grand art. Merci aux auteurs.

Une bande dessinée originale et de qualité sur un épisode peu connu de notre histoire. Voir une présentation historique autour de cette BD sur le site Paratge : http://paratge.wordpress.com/2013/09/13/sarrasins-en-provence-histoire-et-bande-dessinee/

Un album très spécial et prenant.
La première chose qui frappe dans cette histoire est l’ambiance froide presque clinique de cette ville de Russie à l’aspect vide où les habitants se terrent, de peur des représailles du chef maffieux local. On ne sait pas grand chose de cette région ce qui renforce le côté mystérieux. Tout paraît désolant, presque sans espoir et on ne voudrait pas y être.
Le personnage de Spéracédes est complexe, on connaît peu de choses sur son passé, l'origine de ses névroses et certaines séquences vont assez vite (l’histoire d’amour entre Jules et Anja). Dommage, j'ai au final une sensation d'inachevé concernant le scénario qui reste quand même fluide et agréable à lire jusqu'au bout.

Excellent pour le dessin.

Pas mal du tout pour la mise en couleur.

Passable, mais dépassé pour le scénario.

un recueil vraiment sympa, on u trouve plusieurs histoire jamais parus en album.Cela me rajeunis de quelques années.Je le conseille fortement

Et voilà, encore une BD de plus dans ma collection alors qu'elle ne figurait pas sur ma liste d'achat!

Je me suis laissé tenté par le petit résumé, par quelques planches dans un mag mais surtout par mon libraire qui m'a assuré qu'une fois passé le côté dessin, l'histoire est très bien!

Le dessin deBrüno ne me plaît guère et c'est peut être pour ça que j'avais reposé l'album la 1ère fois. Donc après 3-4 pages, ce mauvais ressentiment passe car l'histoire prend le dessus. Le coup des chapitres est pas mal, cela permet de voir l'histoire en arrière avec les yeux d'autres protagonistes et de rajouter quelques détails à l'histoire. Même si certaines actions se déroulent (trop!?!) vite, la lecture est fluide et prenante. J'avais une impression de "comédie burlesque" à certains moments. Normal? Est ce du au dessin un peu en long et large? La plus part des personnages correspondent à certaines caricatures de romans/film/série: le père grand, dominateur, patriarche; les fils, un peu bêtes et dominés par leur père; la belle demoiselle en détresse (un peu cruche?); Tyler Cross, un homme au sang froid qui finalement a du coeur.
La petite ville dominée par la famille Pragg fait pensé à un western où se type de situation était courante.
Il manque quelques pages pour avoir des détails sur les 2 mafiosos qui règlent leurs comptes dans le train.


Une suite est prévue? (car c'est marqué "Tyler Cross (Tome 2 - Angola) à paraître)
Je pose la question car la fin de cette album ne présage pas de suite...

à lire et à pleurer ... tous les personnages sont hyper attachants, et on s'identifie à eux assez facilement quand on a connu une histoire semblable. Merci

Une excellente bd, tant au plan du scénario que du dessin. Une plongée dans les méandres de l'esprit, une approche accessible de concept psychologique qui donne de la profondeur à cet ouvrage.
Les déboires des auteurs avec l'éditeur original EP ont finalement un intérêt pour le lecteur : lire ce triptyque comme un one-shot. Et on y reste scotché du début à la fin.Brava

Excellent premier tome. Tout est déjà bien présent pour faire de cette série une oeuvre culte du 9ème art : beauté de l'histoire, fluidité des dialogues, décors immersifs, actions, suspense, belles brochettes de personnages en tout genre et attachants (l'ingrat Major Bascom, le lieutenant Craig, le jeune soldat Crowe, l'indien Cochise, et enfin notre légendaire Blueberry)
Bref, on sent que les auteurs ont déjà mis la barre très haut et c'est un vrai régal de lecture. Incontournable!

Album à l'intrigue laborieuse et confuse. Les 30 premières pages sont très agréables (on se croirait dans un bon vieux J. Gabin) mais après ça se gâtent. Certains détails et dialogues sont troublants et demandent une certaine relecture attentive.
Bref, j'ai la net impression que tout n'est pas réellement expliqué ou alors de manière assez maladroite de la part du scénariste. Dommage.
Les dessins sont bons et les couleurs (claires-obscures) correspondent bien à l'ambiance du polar des années 50. Résultat : 2,5/5

j'ai cet album en NL ,
n°4 année 1973 titre : Mokie en Popie ontmoeten Teddy.
connaisez-vous la cote?
merci pour votre réponse.
cordialement

album faible, le dessin de Lamquet fait injure aux albums précédents si bien dessinées par Jigounov. Quant à la position de celui-ci comme scénariste, on a l'impression que les choses n'avancent pas dans cet opus... il serait peut-être bon que Jigounov se recentre sur Alpha et fasse une pause avec XIII...

Van Hamme nous livre un scénario décliné au féminin, avec des femmes de tête, farouches, rebelles, turbulentes, parfois amoureuses et souvent combatives…Jolanne est attachante et donne du souffle à cette saga, grâce à de multiples rebondissements qui s’enchaînent avec fluidité et cohérence….Le tout, servi par un dessin qui s’est bonifié au fil des opus, et de belles couleurs…Bon, ce n’est pas inoubliable mais Rani est une honnête série qui se lit avec plaisir et détente…Seul hic, 4 albums en 5 ans, et la série en compte 8…Que c’est long….

il y a longtemps que je n'ai pas pris autant de plaisir à lire un Lefranc.
le dessin est très classique et de qualité.
le scénario .est, quand à lui, assez sympa avec cette histoire d'un clone de Staline.
le monde y a échappé, ouf!

Ce nouveau cycle qui nous emmène sur une l’île de beauté, superbe et turbulente, se laisse lire tant les couleurs sont agréables et le dessin précis….Le scénario prend certes une liberté inouïe avec la réalité historique, mais Stalner sait y faire, et l’émotion, sans être vibrante est bien présente dans ces 2 opus qui sont tout de même au dessus de la moyenne….Toutes les séries ne peuvent pas exceller, ce n’est pas l’école des fans… « Ils étaient dix » tire très honnêtement son épingle du jeu…

Un scénario simpliste qui doit devenir alambiqué pour donner l'illusion d'être consistant. L'histoire est plus une suite d'évènements décousus qu'un fil conducteur. Un autre coup d'épée de Crisse-tal dans l'eau.

Le dessin fait feu de tout bois, et les mimiques manquent de précision, au point de devenir des moues; Une influence de Maître Crisse??

Certes, les couleurs plairont aux plus jeunes; Mais, hyper-saturées, elles agaceront les autres lecteurs. Cette série peux être laissé sur l'étalage du libraire, sans aucune arrière pensée.

Après la splendide épopée au "SOMMET des DIEUX", nous voilà replongé dans ce que je qualifierais "l'Âme de l'homme qui foule aux pieds la montagne des dieux", car ce qui ressort de ce livre, c'est la personnalité mental du héros ; certes mystérieux, anonyme même, on sait peu de chose sur K. On sait qu'on peut compter sur lui, sa force physique, son esprit d'analyse, son endurance et son mental inébranlable, et c'est le thème des petites histoires de ce livre où on fait appel à lui pour sortir de situations compliquées dans les montagnes. Pour autant K. ne se présente pas comme un héros ou une tête brûlée ; à l'instar d'Habu Jôji (Sommet des Dieux), K est ce genre de personne qui fascine et qu'on aimerait rencontrer en vrai, et qui inspire un profond respect. Quant aux histoires qui peuvent paraître se ressembler, parce qu'elles se situent toutes en Haute-Montagne, elles sont sobres et dures, très dures mêmes parfois.

Première impression: nettement en-dessous du premier cycle. Les événements s'enchaînent rapidement, sans doute un peu trop. De la même manière, les personnages restent très superficiels, manquent de profondeur.

Le dessin sauve l'album. Le scénario n'est pas sans intérêt mais reste toutefois classique: un polard. La déception vient plus du "Bruxelles Metropole", un titre qui n'a finalement que peu de lien avec le récit qui pourrait se situer dans n'importe quelle grande ville. En résumé: peu ou pas d'ambiance bruxelloise, certes quelques très beaux décors, mais est-ce suffisant pour baptiser le récit d'un tel nom?

Ce premier cycle en 3 tomes c’est une histoire, celle d’une amitié improbable : d’un côté un gamin blanc plein de malice et d’enthousiasme et, de l’autre, un homme noir naïf, persécuté et bon.

O’boys c’est aussi l’Amérique des années 30 et son décor : les locos à vapeur et les bateaux à roue, les musiques blues et folk naissantes ou le racisme post sécession.

O’boys c’est enfin l’art du vagabondage car les 2 "hobos" se déplacent de ville en ville à travers le sud des Etats-Unis en se cachant dans les trains de marchandises. Un art de vivre !

Que des bonnes raisons pour se plonger dans cette série qui est librement inspirée de Huckleberry Finn, le roman de Twain.

Après avoir relu" Frenchman" , je me suis plongé dans le dernier ouvrage de Patrick Prugne, "Pawnee". Car s'il est annoncé comme un one shot, cet opus n'est ni plus ni moins, la suite de" Frenchman", reprenant la destinée des principaux protagonistes huit ans plus tard.

Mais ce qui retient l'attention à première vue, c'est la beauté des planches de Prugne. J'ai pris beaucoup de temps à découvrir cet album, tant les paysages y sont magnifiques (et je ne vous parle pas des doubles pages, ni du cahier graphique imposant que nous offrent les éditions Daniel Maghen)
Par rapport à" Frenchman", le rythme est plus soutenu et le scénario plus dense, nous amenant parfois des surprises.
Peut-être un peu cousu de fil blanc, les dernières pages sont somptueuses, et teintées d'émotion. D'ailleurs, dans un de ses commentaires dans le cahier graphique, Patrick Prugne écrit "je crois bien que je voulais dessiner le silence", et bien le pari est réussi dans les dernières pages (pages 72 et 73)où tout est dit , presque sans dialogue.

Un album à lire mais surtout à relire, en prenant son temps.

Après le très réussi et remarqué "Terra Australis"-une de mes meilleures lectures de 2013-,LF Bollée nous revient avec un western haut en couleur, illustré par Rossi, à qui l'on doit déjà la série "W.E.S.T".
Ce qui frappe en premier, c'est évidemment le dessin et les couleurs de Rossi, qui sont tout simplement magnifiques, même si l'option prise par Rossi est telle que les premières pages, inondées de lumières sont parfois déconcertantes et à contrario, certaines scènes se déroulant de nuit ressemblent à de véritables photographies. C'est étonnant, déstabilisant mais cela donne des planches superbes.( en outre la mode étant au cahier graphique, on en prend plein la vue dans le supplément proposé)
Côté scénario, je m'attendais plus à une histoire plus sur les camps de prisonniers qu'à cette vengeance que l'on suit sur plusieurs années. Même si le thème de l'homosexualité est assez inédite dans le monde du western, LF Bollée nous le dilue dans l'Histoire des Etats Unis, celle de la guerre de Sécession, du Ku Klux Klan et de la désolation des Etats du Sud.
Un très bel album donc, qui mérite vraiment le détour pour cette rentrée

Une réussite tant par l'intrigue, certes prévisible, que par le dessin, qui peut paraître très sombre au premier abord mais qui retranscrit parfaitement l'atmosphère de l'époque. Le travail de la lumière en clair-obscur est très beau.

A lire pour découvrir des lieux de Paris peu connus et très bien illustrés par Dim.D. L'intrigue est intéressante, à confirmer dans le prochain tome.

Sur fond de guerre de Sécession un face à face oppose geôliers sudistes et prisonniers nordistes que sépare la deadline. Franchir cette ligne c'est signer son arrêt de mort...Louis Paugham, dont les parents sont assassinés par des noirs est recueilli et élevé par un itinérant porteur d'idées progressistes...Le Sud très conservateur deviendra son tombeau et Louis sera enrôlé de force dans les rangs confédérés...
Affecté à Andersonville, camp de prisonniers nordistes, il sera immédiatement troublé par un captif noir qui sera rapidement victime de la folie des hommes....L'itinéraire de Louis,,assumant sa différence (à une époque d'intolérance très marquée) avec détermination est touchant et est superbement mis en page et en couleur...Les auteurs évitent toute moralisation et nous offrent de superbes esquisses en fin d'ouvrage...

Pour répondre au commentaire précédent, j'ai ressenti cette "distance" également lorsque j'ai lu cette sérié mais je l'ai mise sur le compte d'une volonté de l'auteur d'obscurcir encore un peu un univers déjà quelque peu angoissant.
Sinon la série est très intéressante, c'est une histoire réfléchi accompagné de très beaux dessins.

Toujours excellent dans la continuité du premier tome. Forcément un peu moins de surprise et de découverte.
2 tomes est vraiment la bonne taille pour cette série, cela évite de se lancer dans une histoire sans fin. On lit les 2 tomes à la suite et en prend plein les yeux!

MAUS un survivant raconte Reedition (tome 2 note a paraitre, numero d'impression: 11683)
j'aimerai plus d'information sur cette eddition

D'accord il s'agit de héros de comics mais le plus passionnant dans re recueil c'est la qualité de la production journalière de Stan Lee et John Romita.
L'exercice est au combien difficile et périlleux mais ses 2 pères de spider-man ont passé les difficultés haut la main. L'ensemble est d'une cohérence parfaite.
Les auteurs se permettent même d'inventer de nouveaux personnages. Le scénario colle au présent de l'époque avec une foule de références et de clins d'oeil.
Bref un résultat d'une excellente qualité qui justifie d'être noté et bien noté.
9/10.

Episode de transition mais superbe analyse psychologique d'un chef de "gang" mégalomane.
Une plongée dans l'horreur très réussie.
Du bon.
8/10

Une correction à apporter dans la base sur la première édition : l'ISBN est 978-2-84857-115-7 (imprimé au dos de couverture) et non 28458571552 comme imprimé par erreur en dernière page.

Le scénario est plaisant, les couleurs et les décors sont vraiment réussis, mais le dessin des personnages , à part les lignes pures d'Alexandra, est très moyen...Il y a aussi quelques longueurs inutiles, mais globalement je reste intéressé par ces 4 1ers albums...La belle Alex a du mal à s'imposer émotionnellement au lecteur, tant sa vie affective et amoureuse est aussi plate qu'une limande...Néanmoins le nectar de Bacchus est un thème bien présenté et mis en couleur, ce qui rend cette série sympathique...

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C'est un tome 2, qui s'il fait avancer l'intrigue, reste bati sur le principe du tome1.
c'est propre et bien fait.
Une référence assumée à Indiana Jones.
Une découverte de Bruxelles plaisante.

Pas indispensable, mais un bien bel objet pour une bibliothèque.

C'est mon équipe de supers préférée. Au scénario on a Daniel Way, je n'ai pas particulièrement suivit une de ses BD mais il est très présent chez Marvel, et au dessin Steve Dillon, que je connais comme le dessinateur de mon premier numéro du Punisher, et ça marque. Son style est critiqué mais on s'y habitue vite. Bon pour ce qui est de l'équipe en elle-même, on a un casting de dingue : Venom, le célèbre ennemi de l'araignée, utilisé à des fins militaires sur Flash Thompson; Elektra Natchios, la ninja qui a fait chavirer le coeur de DD; Deadpool alias Wade Wilson, la plus grande gueule de Marvel, le clown de service armé; Frank Castle, le justicier le plus impitoyable et le plus froid; et tout ce beau monde est dirigé par le général Thaddeus Ross, Red Hulk, que tout le monde croit mort. Le résultat est fun, violent et explosif !

Le manque de progression du récit laisse penser que la série n'est que du sous Golden City. A peine quelques pages d'intéressantes, c'est fort peu.

Un dessin exceptionnel allié à un scénario finalement sans grande originalité. Le récit n'est finalement qu'une histoire d'amour sans grand développement et dans réelle profondeur. Dommage, c'était tellement bien parti...

Rien de très nouveau mais pas mal non plus. Un début de nouveau cycle qui commence très correctement même si de nombreux éléments sentent le "déjà vu".

Il s'agit d'aventures de Flash Gordon post-Ming.
Les dessins sont superbes mais le scénario a beaucoup vieilli..
pour ma part je ne connaissait pas le film "Flash Gordon" mais en lisant l'adaptation BD je ne peut que regretter que Georges Lucas n'ai pas poursuivi son projet d'adapter les aventures de notre héros terrien.
A réserver aux amateurs.
6/10.

Bon, il faut aimer, tant le sujet est spécial....Un général japonais qui transforme un idéaliste sous-lieutenant américain en animal de compagnie, ça peut surprendre, mais le scénario démontre avec justesse et parfois sensibilité que l'absurdité et la bêtise humaine n'ont vraiment pas de limites...Le dessin est particulier mais adapté à l'histoire, tout comme les couleurs...

Divertissant! L'intrigue n'est pas des plus élaborées et tient sur une ligne mais le principal est le plaisir de lecture qui est plutôt réussi.
La ville d'Incognito-City est relativement intrigante pour qu'on ait envie de poursuivre l'aventure avec nos héros.
Le gag de fin avec le marsupilami et les policiers est super (il fallait le trouver).
Un tome que je ne me lasse pas de relire.

Dessin au rabais (Napoléon est méconnaissable), uniformes aux détails scandaleusement inexacts, scénario tout juste moyen auquel s’ajoute la date d’avril 1815 pour la bataille de Waterloo (pour ceux que ça peut intéresser, c’est un funeste 18 juin 1815), et voilà comment gaspiller son temps et son argent….DELCOURT exagère vraiment…..Fred Blanchard, directeur du label Série B nous annonçait que nous avions rendez-vous avec l’histoire…petit farceur, va…..Après un excellent tome 1, un tome 2 tiédasse voilà maintenant un navet comme tome 3…Reste comme lot de consolation une belle couverture…..Snif…

Vegeta et Trunks sont devenus surpuissants grâce à leur entraînement dans la salle du temps et sont enfin prêts à affronter Cell mais les choses ne vont pas se passer comme prévu. C'est vraiment à partir de ce volume que Dragon Ball va diminuer en qualité de plus en plus. La course à la puissance semble être le seul argument scénaristique de Toriyama désormais et les combats ont de plus beaucoup perdu en qualité. Toriyama va même jusqu'à nous ressortir un Tenkaichi Budokai par le biais du Cell Game. Inutile de dire qu'on est ici au comble du réchauffé, ce qui est bien décevant.

Je ne connaissais pas les auteurs et la couverture est assez laide.
Mais ne vous fiez pas aux apparences, cette bd en vaut vraiment le détour.

Le thème du colonialisme n'est que trop rarement raconté en bd surtout avec intelligence et humour. Car pour évoquer le route sanglante laissée par cette colonne au XIXe siècle, il en fallait.

Vivement la suite et fin.

Cette série repose sur une idée absurde et géniale à la fois. Un pari entre Dieu et le diable qui offrent l'immortalité à un pauvre quidam que la vie n'a pas épargné.

Malheureusement, ce dernier album semble être celui de trop. Depuis 3 albums, les auteurs tirent en longueur l'idée du libre-arbitre de l'individu et son immortalité pèsante. Ils ne renouvelle rien.

Les trois premiers albums étaient des perles d'humour noir. Pas celui-ci. On arrête les frais?

Lu, relu et 34 ans après sa parution, ce premier tome reste toujours une vraie tuerie. Aucun coup de vieux, tout est parfaitement maîtrisé de la part d’Hermann. Ici, on découvrira la rencontre entre Kurdy et Jeremiah et même si ce dernier n’est pas encore tout à fait dans le feu de l’action, on a déjà beaucoup d’attachement pour ce personnage. L’assaut de la forteresse à la fin est jubilatoire à souhait et les premières vannes de Kurdy, jouissantes !! Culte!

Nettement en dessous des tomes précédent du fait d'une grosierté affiché et d'un érotisme tape à l'oeil là où il était avant plutôt suggéré.
/

pour ceux qui ne connaissent pas Torpédo est un petit concentré d'humour noir. C'est politiquement incorrect mais rafraichissant à souhait.
lecture bien trop courte hélas.
7/10.

Une très bonne BD qui vaut la peine d’être redécouverte car mine de rien, les années passent et certaines séries sont parfois un peu oubliées.
C’est un peu le cas avec « Flag » qui illustre de manière très réaliste et sans artifices l’univers des flics en civil.
Le ton est juste et la tension omniprésente. Chauvel est un des spécialistes pour ce genre d’histoire et c’est ce qu’il faisait de mieux à l’époque j’ai l’impression.
Le récit et les dialogues sont prenants mais certaines séquences longues et démonstratives auraient pu être évitées (par exemple : la description et le fonctionnement d’une arme à feu) n’apportant finalement rien grand-chose à l’intrigue. A lire.

Un vrai régal ! Tout y est pour passer un agréable moment : les décors, l’action, l’imagination des auteurs et un chouia d’émotion à la fin du tome font de celui-ci un indispensable de la série. Impossible de s’ennuyer ! A lire et relire.

Un bon spirou et fantasio de derrière les fagots, de temps en temps ça fait pas de mal. C’est le cas ici avec ce tome « La frousse aux trousses » qui est un vrai concentré d’énergies, d’actions et d’humours. C’est simple, je me poile pratiquement à toutes les pages tant c’est rigolo. Moi, des albums ainsi, j’en redemande jusqu’à plus soif. La suite au prochain numéro avec « La vallée des bannis ». Génial !

J’ai toujours du mal avec les enquêtes abracadabrantes et poussives. C’est le cas ici avec ce tome 3 qui démarrait bien mais la fin est un peu touffue et demande une certaine relecture. A part ça l’univers de l’intrigue est original (les coulisses et l’ambiance des théâtres) et il y a de bons moments « humoristiques/romantiques » entre les deux héros qui sont toujours sympathiques. On sent quand même que la série a pris un petit coup de vieux notamment lorsque l’auteur mentionne le mot « internet » suivit de son explication par un astérisque. Bref, ça m’a fait sourire. 2,5/5

Quelle lecture fastidieuse !! Pourtant je n’en suis pas à mon premier Bilal/Christin mais ici, je n’y ai trouvé que de l’ennui et j’ai dû lutter pour arriver jusqu’au bout.
L’histoire sur fond de politique soviétique est complexe (faut dire que j’ai pas mal de lacunes dans ce domaine), froide et pas des plus réjouissantes. En dehors de la trame principale, j’avoue n’avoir rien compris grand-chose car à moins d’être un expert du sujet, Christin se contente de balancer des événements politiques historiques (des pays de l’Est de surcroît) les uns à la suite des autres sans rentrer dans les détails, ce qui nuit à la compréhension et devient indigeste.
Seul, les dessins et la mise en couleurs valent le coup mais le reste est franchement pas très folichon.

Quel bonheur!
J'ai eu envie de le relire après l'avoir fini...
On voudrait que l'album ne s'arrête jamais.

Quelle analyse! Quelle finesse! Et tellement vrai... Reiser est un grand. Vive Reiser! Cette BD aurait pu sortir hier. Comme dit Zuki, la BD n'a pas pris une ride. Ce livre est à posséder absolument dans sa biblio.

Sublime.

Destins croisés de ces premiers pionniers en partance pour l'Austalie.
Epopée que cette traversée des mers, description fidèle et sans concession de la vie à bord de ces voiliers.
Tâtonnement des premières année de construction d'un nouveau monde.

L'album est à la fois un livre d'histoire et un formidable livre d'aventure.

Les dessins en noir et blanc sont tout simplement époustouflant.

Bref un must. merci aux auteurs.
10/10.

J'en suis donc au tome 4. C'est très réussi. Dessin épuré, finesse d'analyse des sentiments du héros et des autres personnages, tous traités avec délicatesse. Une grande humanité de dégage de l'ensemble (hormis la maman mais on en sait peu à ce stade). Analyse au scalpel (mais en restant toujours très sensible) des expériences de la parentalité. A lire que vous soyez parents (on s'identifie facilement) ou non (pour la découverte de cette espèce :-) )

Cette série n'a pas la consistance des précédentes, mais le scénario nous emmène sur des chemins tortueux et sanglants, avec quelques rebondissements de belle qualité...Le dessin est par contre catastrophique, surtout au niveau des visages....Un véritable supplice nous est infligé à ce niveau....Les couleurs sont adaptées et les personnages (gentils comme méchants) sont crédibles et trouvent leur juste place...Série intéressante, mais pas inoubliable...

Bon moment de lecture, BD irréprochable sur la documentation et le graphisme des années 50 et la géopolitique de l'époque.
L'aventure des deux héros se poursuit, mais cette histoire peut aussi se lire sous un angle plus profond plein de symboles:les rituels, les paliers de la connaissance, l'ouverture à la lumière de l'esprit, le bien, le mal... etc

Je viens de terminer ce troisième volume. Un vrai plaisir de lecture. A ce stade encore quelques faiblesses de narration mais plein de promesses. Les personnages secondaires sont intéressants. Espérons qu'ils seront suivis (la lycéenne a pas mal de potentielle dans le côté "chieuse de première" attachante). Un petit côté GTO avec un héros violent au coeur tendre.

A la lecture de ce cinquième tome la lassitude commence à poindre. Le caractère violent du héros n'évolue pas, il en devient un peu plat et peu attachant. Ses questionnements sont finalement peu crédibles voir incohérents avec le comportement du personnage qui reste le même. Les personnages secondaires sont assez peu fouillés et surtout les développements d'intrigue, au-delà de la quête principale, comme la vengeance de la grand mère, l'histoire d'amour avec Otsu etc... sont un peu faiblards pour maintenir la tension. Bref, alors qu'on a une réelle qualité de dessin et un début de série assez prenant, on se dirige vers une accumulation de combats... J'ai commandé les deux suivants on verra si je continue après ces deux là.

Excellent Olivier Peru qui nous plonge dans cette histoire où l'on cotoie des nains et des dieux, tout en découvrant ou redécouvrant la mythologie nordique. Le tout accompagné d'un superbe dessin de Pieere-Denis Goux.

Tout a fait géniale. Le grand Arleston n'est pas en manque de d'inspiration! Cela fait pensé à l'univers de troy avec des créatures marrante. Le scénario est très approfondis!

Histoire rapide avec une fin très décevante. Un dessin pas trop mal même si les personnages se ressemblent. Heureusement que l'humour est au rendez-vous car sans celui-ci je n'aurais en aucun cas continué la série! Tome 7 plus que décevant avec une intrigue au plus bas niveau!

Le dessin et les couleurs sont particulièrement bien réussies, mais le scénario comporte des longueurs inutiles qui alourdissent une intrigue qui elle même n'a pas une très grande consistance...Le choix de la police n'est pas des plus heureux, car il rend la lecture des bulles fastidieuses...C'est tout de même une bonne série au graphisme soigné et avec une très belle mise en page...

Voilà c'est fini! J'ai suivi attentivement cette série depuis la publication du premier tome. Pour les amateurs d'anticipation, elle est à ranger à côté d'Akira.

Je pense sincèrement qu'il y aura un avant et après DMZ dans la bd US comme Akira avait révolutionné la bd Jap.

C'est la première fois qu'autant de thèmes sont évoqués dans une bd: la guerre et ses dommages collatéraux, les médias (CNN, Fox), les relations entre grandes industries et gouvernements (Alliburton), le terrorisme, le racisme et la mixité culturelle, la violence.

Ensuite, c'est le ton du reportage de guerre où la parole est donnée aux survivants de New-York.

A regretter la prise de conscience très moralisatrice qui clôture cette série.

Indispensable!!!!!

J'ai été un peu déçu par cet album. J'aime bien Nury et Bruno mais j'ai préféré leur Atar Gul.

Nury nous offre un découpage cinématographique et certaines planches semblent 'story-boardé'. J'aime bien les aplats de Bruno et sa mise en scène.

Le scénario semble déjà vu. J'ai pensé à 'U-turn' d'Oliver Stone pour le côté gangster pro qui se retrouve coincé dans un village de bousseux et rencontre la femme fatale. Mais aussi à 'Point blank' pour le côté très sombre du personnage. Hommage du genre? Peut-être mais rien de neuf sous le soleil.

Je suis longtemps passé à côté de cette série qui m'apparaissait comme un sous-barbe-rouge.
Toutefois, j'ai décidé de m'y mettre et je n'ai pas été déçu. C'est une très bonne série d'aventures que Pellerin nous offre et qui largement au-dessus de la (trop grande) production actuelle. Je ne peux toutefois m'empêcher de faire quelques remarques:
- Dessin: superbe! Je n'ai jamais vu une aussi grande précision documentaire (bâteau, costumes, armes) depuis les Passagers du vent. Le seul bémol, c'est la physionomie des personnages. Toutes les femmes se ressemblent. Pellerin semble reconnaitre lui-même cette faiblesse.

- Scénario: j'ai mieux compris quand j'ai lu qu'il s'agissait au départ d'un épisode de barbe-rouge. Les deux premiers albums font très JM Charlier: rebondissement, ruse, complot, la stratégie expliquée, dialogue. Le seul problème reste la longueur qui casse le rythme. Le premier cycle aurait pu tenir en 3 albums. Pellerin dit avoir voulu s'attarder sur la Bretagne, la vie à bord et enfin ses recherches sur la Guyane. D'accord, mais il faut 2 albums avant de mettre les pieds dans son bâteau, 2 dans le bâteau et 2 en Guyane.

Conclusion: une excellente série d'aventure. Vivement la suite!

Huit-clos marin à la narration ciselée soutenue par un visuel spectaculaire, digne des plus grande œuvres romanesques. Les dessins de Lauffray bouillonnent d'énergie. 5/5

Unique dans la série des Spirou, cette 46ème aventure est un polar techno-scientifique urbain qui fait basculer le célèbre groom et ses amis dans le réalisme et la maturité : les personnages ne sont plus des gosses jouant aux adultes, ils SONT adultes, lâchés dans un monde froid et noir où la mort est aussi imprévisible que l'amour.

Le lecteur n'a pas pardonné à Tome et Janry d'avoir voulu faire rentrer Spirou dans le 21ème siècle..."Machine qui rêve" reste une œuvre injustement critiquée. 4/5

Impression mitigée.
J'ai beaucoup aimé le thème car finalement les civilisations précolombiennes ont peu inspiré les scénaristes du 9ème art.
J'ai bien aimé les dessins
J'ai détesté toutes ses pseudo-références historiques qui plombent le récit et font passer le lecteur pour un ignare.
A voir avec le tome 2 si l'histoire s'emballe.
6/10.

Impression mitigée.
J'ai beaucoup aimé le thème car finalement les civilisations précolombiennes ont peu inspiré les scénaristes du 9ème art.
J'ai bien aimé les dessins
J'ai détesté toutes ses pseudo-références historiques qui plombent le récit et font passer le lecteur pour un ignare.
A voir avec le tome 2 si l'histoire s'emballe.
6/10.

Toujours aussi décalé et bourré de clins d'oeil.
Les dessins ont un coté rétro.
Mais il s'agit d'une BD d'espionnage;
Un bon moment de lecture.
8/10.

"Guyanacapac", c'est l'erreur de la série, le quatrième acte d'une grande épopée romanesque qui tombe abruptement dans la surenchère, le pop-corn Hollywoodien.

Le duo Dorison/Lauffray nous avait habitué avec les précédents tomes à une narration maitrisée, un suspens en crescendo, une atmosphère trouble et captivante, un regard nostalgique vers un genre que l'on croyait perdu...

...mais dès les première pages de ce quatrième album, toute la structure, toute la force de la série « Long John Silver » s'effondre comme un château de cartes. On ressent amèrement le désintérêt total des auteurs pour la conclusion de leur histoire, pourvu de « faire de l'épique » avec des dinosaures, des morts à la pelle et de grosses explosions...2/5

La première partie est prometteuse : une chasse au monstre au cœur des territoires sauvages de la Californie, une ambiance mystique où la science se heurte aux légendes amérindiennes, un groupe de héros sympathiques, un bon rythme et des dessins soignés de Jaouen Salaün...

...Mais on déchante très vite dans la deuxième partie, où l'auteur (Bec) bascule dans la série B et les clichés qui vont avec : mystères/complots sans aucun sens, romance dispensable, personnages agissant de manière stupide, jusqu'au climax furieusement bâclé...On referme l'album en oubliant vite ce que l'on vient de lire...1/5

Un T12 au scénario qui insuffle une nouvelle énergie à la série. Une reprise par Lamquet franchement à la hauteur. A lire !

A lire car le scénario donne envie d'en savoir plus.
A regarder pour les excellents dessins de Chabbert.
Espérons que le prochain tome lève un peu le voile sur la disparition de cet enfant et que les auteurs ne s'égarent pas trop.
6/10

J'ai vraiment adoré cette BD. Elle est totalement décalée avec des personnages tout droit sorti d'un cartoon.
Mais il y a un vrai scénario.
Un régal.
8/10.

La boucle est bouclée.
La fin est bien trouvée et annonce d'un 2ème cycle tout aussi passionnant.
Une belle réussite
8/10.

Toujours un excellent polar.
Histoire croisée de 4 destins d'homme et de femme paumés.
Finalement seuls les dessins paraissent un peu soft.
8/10.

Histoire assez légère pour ce tome 2 qui se situe toujours dans le milieu des objets d’arts. Cette fois-ci, nos deux héros seront confrontés innocemment à un anneau qui provoque bien des convoitises de la part de plusieurs camps. Ca reste sympas à lire, ça divertit mais rien de bien transcendant, on a fait mieux depuis. Béhé laisse la place à Danard concernant les dessins et ceux-ci sont plutôt agréables. Une série typique des années 90.

Même impression avec le tome 2.
A croire que l'hésitation des auteurs entre horreur et polar semble faire du tort à l'ouvrage.
Dommage.
5/10.

Les auteurs hésitent entre polar et horreur et le résultat est plus que mitigé. On appréciera tout particulièrement l'ambiance noire de la BD. Les dessins collent parfaitement au scénario.
Et pourtant il manque quelque chose.
5/10

Une BD à éviter.
L'auteur a tout fait pour retenir la petite histoire plutôt que l'Histoire et sombre dans le racolage facile et l'érotisme à 2 sous.
Bref on a droit à une banale histoire de Q teintée de gore alors qu'on aurait du avoir une vision de l'histoire de l'Italie et du monde façon Murena.
Les dessins ne sont pas non plus à la hauteur.
Un gros flop.
1/10.

Des enquêtes policières parodiant des films; vaste programme !!! L'humour est présent et l'équipe de dessinateurs du magazine Fluide Glacial aussi (les reconnaîtrez-vous tous ?) !
Le dessin est tellement riche en détail qu'un examen minutieux ou de nombreuses lectures seront nécessaires pour pouvoir tout voir.
Côté scénario, les différentes histoires sont plutôt bonnes et les références cinématographique nombreuses (normal me direz-vous....); de quoi passez un bon moment.......

Autant les tomes précédents étaient sympathiques autant celui-ci est ennuyeux. Certains gags peuvent faire sourire mais l'ensemble est pathétique. La plupart des gags partent dans tous les sens et l'encrage ne convient pas à ce genre de bd (il peut faire parfois mal aux yeux).
Pour faire simple : vous voulez une bd pour rire ? Aucune chance avec celle-ci....

Avec "Atar Gull", le duo Nury et Brüno nous avait déjà livré un album remarquable. Encore une fois, leur nouvelle collaboration débouche sur une histoire qui ne restera pas inaperçue pour cette rentrée.
En rendant hommage aux cinéma américain des années 50 (je pense en particulier à l'ambiance de "Traquenard" de Nicholas Ray (1958) ou encore de celle d'"Un homme est passé" de John Sturges (1954), références d'ailleurs rappelée dans la très belle édition en noir et blanc, limitée à 1 200 exemplaires, publiée chez Dargaud.
L'ensemble des canons du polar américain est présent dans cet album: le gangster, la belle, la ville aux mains d'une famille,une vengeance qui se dessine et des tueries en série que ne renieraient certainement pas un certain Quentin Tarantino.

Cet album est simplement jubilatoire. Le scénario de Fabien Nury, même s'il reste très éloigné de son chef d'oeuvre "Il était une fois en France", est de très bonne qualité.
Le tout servi sur un dessin très élégant de Brüno, qui prend toute son ampleur dans l'édition en noir et blanc proposé par Dargaud.
Un scénario puissant, un dessin superbe, bref un album très réussi et qui marquera sans doute cette rentrée.En outre, la voix off, style "le tueur" vient renforcer l'aspect romanesque de l'aventure.C'est certes un scénario classique, assez loin de ce que nous avait proposé Brüno avec son irrévérencieux et très déjanté "Lorna", paru en mai 2012.
A noter que deux versions sont proposées; une, mise superbement en couleur par Laurence Croix; l'autre , plus sobre, en noir et blanc, comme les éditions Dargaud l'avaient fait avec "Atar Gull".
Pour ma part, je n'ai pu résister à l'achat des deux versions.

Un second one shot est dores et déjà prévu, qui,aux dires des auteurs, pourrait se situer chronologiquement avant le présent opus, album que j'achèterai évidemment les yeux fermés.

Même si l’histoire pousse à la réflexion, j’ai trouvé sa lecture un poil ennuyante et peu percutante. Les dialogues sont parfois flous, complexes et manquent de détails surtout qu’on ne saura rien grand-chose de cette « Ville qui n’existe pas ». Dommage car il y avait de quoi exploiter. A part ça, l’ambiance pessimiste sur fond de crise sociale est bien retranscrite par les dessins de Bilal que j’aime toujours autant, accompagnés de couleurs froides, grisâtres propres au style. Une demi déception. 2.5/5

En critique de BD, c'est comme pour les vins : on peut reconnaître le talent et ne pas aimer.
C'est exactement ce qui m'arrive avec cette BD. Très forte graphiquement, avec une alternance de découpage excessif (et volontaire) qui traduit un enfermement psychologique et de pages voire de doubles pages en symboles de liberté ou d'illusion de liberté.
C'est l'histoire qui ne m'a pas accroché : un homme à la recherche de son père ou du fantasme de son père. Histoire aujourd'hui tellement rebattue que ça donne l'impression d'une auto-psychothérapie de l'auteur. La préface fait allusion à la série "la 4ème dimension", mais je ne partage pas trop cette référence. Dans la 4ème dimension, il y avait un "réel" transfert dans une dimension irréelle. Là, on peut suspecter que les passages dans une dimension parallèle sont des voyages dans l'esprit dérangé de ce anti-héros peu sympathique et en manque de père.

Pour ceux qui aiment les histoires de recherche d'un père absent et fantasmé, je recommande plutôt "Je te retrouverai" de John Irving (oké, c'est pas une BD mais on peut aussi lire des livres sans images !)