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Un peu meilleur que le tome un.
certes on est loin des dialogues à la "tontons flingeurs" mais l'histoire se laisse lire avec un certain plaisir.
le suspens n'est pas vraiment au rendez-vous mais les auteurs ont rajouté une bonne dose d'humour et des personnages de 2ème plan savoureux comme ce professeur un peu fou.
A lire sans prétention.
6/10.
Une déception !!
De la part d'un Goeges Lautner scénariste j'attendais des dialogues bien plus savoureux.
Reste l'humour et l'autodérision de cette série.
6/10.
Certes l'histoire est classique et ne renouvelle pas le genre, certes Ariane 15 ans après est toujours aussi jeune, ce qui est moins le cas de Germain, mais tel quel on retrouve avec plaisir nos protagonistes, et surtout les dessins si agréables â lire de Juillard.
Allez, rien de nouveau mais ne boudons pas notre plaisir de les retrouver.
Jeanne est à la recherche de son passé et découvre ce à quoi sa mère était prête pour quitter l'île et en quoi les actes de sa mère ont influencé sa vie. Voilà un deuxième tome qui complète parfaitement le premier.
On trouve effectivement réponses aux multiples interrogations posées.
Des tueurs psychotiques, des clones, des hermaphrodites, des nazis, des sosies du King,une naine, tout ce qu'il faut pour pondre un polar déjanté et pas si incohérent que ça. Un bon moment de lecteur, un peu court peut être. Les dessins sont sympas et colle bien avec l'histoire. Une bd a lire pour les amateurs, comme moi du non sens !
Plus déjanté que ce dernier volume de la trilogie des aventures de Dico et Charles me semble difficile...
aprés avoir beaucoup aimé le tome 1, j'attendais avec impatience le 2 et je n'ai pas été déçu.
les dessins sont toujours très plaisants et le scénario tient bien la route.
une tour eiffel en bois, il fallait y penser,
vivement la suite et découvrir une aitre ville "légérement" modifiée.
Les dessins de Gimenez sont toujours aussi sensuels, mais on sent un net relâchement sur la finition des personnages, surtout lors de scènes de groupes.
Le tome 1 était prometteur avec ses sept mondes "idéaux", chacun regroupant la portion d'humanité qui partage un trait de caractère bien défini. Pourtant, le tome 2 ne va pas creuser assez la spécificité de chaque planète.
On craint que la course de nos deux héros, pourchassés par la Gestaspo du temps, risque de se limiter à des sauts de puce interstellaires ponctués de baston et baisouille. On introduit un nouvel élément ésotérique pour aiguiser l'appétit du lecteur.
L'ensemble est certes graphiquement séduisant, mais manque de continuité.
Second tome. J'ai enfin compris qui est qui. Ce tome commence par une histoire plus humaine que politique (un homme cherche une femme). Et il continue avec cette histoire humaine, sur fond de chaos politique.
Toujours aussi bien monté. On voit que, quand les livres d'Histoire nous racontent des faits, il y a des gens qui vivent au même moment, qui ont leurs problèmes, leurs histoires d'amour, la recherche d'argent...
Enfin, bref, toujours aussi passionnant.
Ce bouquin est dense : il commence sans introduction, directement au coeur de l'action de la révolte Communarde.
Difficile quand on n'est pas un érudit (ce qui est mon cas pour l'Histoire), mais ça présente l'avantage de ne pas nous laisser, nous lecteurs, dans une passivité béate.
Nous voilà contraints de réfléchir et nos pauvres cerveaux, auxquels on présente souvent des gentils contre des méchants, ne trouve pas de prise sur tous ces personnages.
Certains méchants sont vraiment des méchants. Mais qui sont les gentils ?
Le parti-pris est bien sûr de se rallier aux Communards. Mais une révolution n'est jamais très propre...
Tardi excelle, et c'est notoire, dans son sens du détail. Ses vues du Paris du XIXème sont d'une précision remarquable. On est projeté dans le temps ; la moindre enseigne est lisible. Pareil pour les costumes et les décors intérieurs.
Vraiment, bravo à ces deux auteurs d'avoir uni, une fois de plus, leurs talents. Et merci à eux de nous faire connaître ce pan de l'Histoire qui a duré peu de temps mais qui a marqué notre histoire politique au point de transmettre des stigmates aujourd'hui encore.
La forme pourra en dérouter plus d'un, en effet les dessins et le découpage sont ultra classique.
Le fond est l'intérêt majeur de cette mini série : comment un groupe de super héros se bâtit sur des faux-semblants, et de sa composition de personnalités aussi diverses que névrosés.
Un bon moment de lecture.
(série des Minutemen)
Une excellente aventure en deux parties qui relate les essais atomiques de l 'époque ...Des gags , de l 'aventure de nos grands "Jijé et Charlier!!! "
J 'ai débuté ma collection par ces deux volumes...rien que du bonheur!
très belle suite ,on est vite plongé dans l 'aventure!
que du bonheur de retrouver nos deux comparses dans un cadre idilique..
Une des plus belles histoires de la série en deux parties avec le petit clin d 'œil sur la série télévisée du même nom!
à lire rien que par curiosité bien que l 'histoire est bien ficelée grâce aux Grands "Charlier" et "jijé".
Dommage que l 'ouvrage ne remporte pas beaucoup d 'intérêt vu son format en bibliothèque verte roman...Pourtant assez rare à dénicher!
Cat : Catalogue richement illustré des œuvres de Milo Manara de 1979 à 1985. Notamment avec un hommage à Hugo Pratt "Dedicated to corto maltese"
Cat : Catalogue richement illustré des œuvres de Milo Manara de 1984 à 1993. Notamment avec les illustrations des couvertures.
Les vikings ont aussi un Godzilla au panthéon de leurs démons mythologiques. Un affreux monstre aquatique qui terrorise les fjords en s'attaquant sauvagement aux pêcheurs et condamne les sessions de pillage des guerriers... Dès lors un équipage se compose pour traquer la bête. Commence un drakkar trip réunissant des personnages pittoresques, et plus particulièrement un estropié, ancien vétéran des razzias vikings, et une jeune esclave : deux êtres marqués cruellement par le poids des traditions scandinaves.
C’est tout d’abord le travail graphique attrayant des couvertures qui m’a convaincu de feuilleter Ténèbres chez Librairie 16. C’est juste magnifique et illustre parfaitement l’atmosphère d’Heroic-Fantasy que l’on retrouvera en parcourant les pages : guerriers aux parures énigmatiques, cités façonnées de bâtiments colossaux qui fourmillent de détails, marâtre perverse … mais surtout d’imposants dragons qui seront la menace permanente de ce récit. Donc une mise en forme détaillée comme par exemple l’introduction de l’architecture d’une ville sur 3 planches sans bulles, décrivant l’arrivée d’un messager. C’est fantastique et cohérent à la fois, de la pure magie. Un très beau dessin d’Iko qui peut rappeler certaines BD de Jean-Claude Gal, comme sa série « Arn ». La trame scénaristique de Bec reste assez classique au demeurant, pas de grosses surprises pour les aficionados de cet univers D’HF. Mais ça tourne suffisamment bien pour nous projeter dans les aventures du héro et rafraichir les souvenirs de nos années de rôlistes.
Le thème évoqué ici (le passage d'une époque à une autre) n'est pas nouveau dans la bande dessinée. D'ailleurs le fantastique fait parti intégrante de l'univers de Léo & Rodolphe (il faut lire "Kenya" pour s'en convaincre).
Pourtant, je n'ai guère été convaincu par la lecture de ce one shot.
L'histoire ne ménage pas ou peu de surprises, hormis un début assez original où le décor planté par Patrick Pion apporte son lot de mystère pesant et assez oppressant (l'orage, la veillée funèbre...)
Par contre, au fil de la lecture, l'intérêt s'estompe. Le thème de la porte entre deux mondes ne m'a pas semblé très original, trop souvent traité dans le cinéma par exemple.
Bref, une déception malgré un dessin tout à fait convenable.
Alors là, chapeau les auteurs ! E. Courbier & Benoît Dahan nous font entrer dans un univers aussi passionnant que malsain... Car à la fin de cette génialissime BD, qui ne s'est pas dit : " Waouh, ça serait trop génial d'avoir le don de Simon Radius & de pouvoir ainsi pénétrer dans les souvenirs des gens & de les changer !"
Il faut tout d'abord souligner la superbe édition confectionnée par Physalis : cette couverture découpée à l'emporte-pièce façon puzzle où on voit Simon "entrer" dans la conscience de Dora : c'est superbe !
Quant à l'intrigue, elle est des plus originales et des plus prenantes. Avec pour fil conducteur la propre amnésie de Simon sur le sort de sa bien-aimée, on découvre le don de notre psycho-investigateur au travers d'enquêtes policières somme toutes banales, mais qui permettent à Simon de faire valoir son talent...
Un talent, bien évidemment non reconnu scientifiquement parlant : comment faire comprendre aux plus hautes instances judiciaires qu'on possède la capacité de définir si oui ou non un suspect est effectivement le criminel... Je pense également à un crime commis beaucoup plus intéressant sur le fond car Simon ne devra pas prouver l'innocence de l'accusé mais plutôt justifier l'acte criminel...
Ces différentes intrusions mnémoniques relatées par un dessin chaleureux, agressif, coloré mais surtout délirant donnent un crédit important à B. Dahan dans la réussite de cet album !
Le final en apothéose avec son pire ennemi, John-Loup Bonseigneur, suivi des réponses concernant l'intrigue principale met magistralement un terme à cette histoire des plus addictives !
On n'est pas dans de la "psychologie de comptoir" avec cette œuvre : c'est du lourd, du très lourd !
Je n'ai pas lu les précédents commentaires mais comment ne pas être abasourdi par ce travail tout à fait remarquable.
On croit tout savoir sur la Shoah, sur le minutieux travail d'extermination des juifs orchestré par les nazis mais, racontée par un survivant, la transcription de l'Histoire prend une dimension humaine.
Et on constate que, pour revenir des camps, il fallait être coriace, avoir de la chance, avoir de l'argent (ou des biens échangeables), avoir un minimum de compétences vendables.
On reste humble devant une telle histoire. Et on arrive même à excuser la mauvaise humeur du personnage principal. Heureusement, l'auteur, fils de ce personnage, ne se laisse pas attendrir par cet acariâtre vieillard au passé si lourd et à l'amour tenace.
Si vous n'avez pas lu cette bible de la BD, il est temps, GRAND temps de réparer cette lacune.
Jolie surprise pour cette BD au graphisme naïf avec un fond plus profond qu'il n'y paraît.
Le thème de la BD est sans doute l'évolution de soi-même, les rapports sociaux entre les uns et les autres, et tout ceci dans un contexte de guerre spatiale avec des personnages témoins des dégâts de leurs congénères.
Avis mitigé cet album malgré ma "bonne volonté" de souscripteur de la première heure et l'appréciation toute particulière que je porte à l'oeuvre de l'auteur.
On reconnaît le style si agréable, mais la confusion qui règne dans ce tome associé au côté "introduction de 50 pages" me laisse clairement sur ma faim. En somme : très correct, mais très déçu...
Une merveilleuse poésie dans cet album. Une histoire très bien menée où on se laisse emporter, des dessins superbes, des personnages attachants. Un indispensable pour moi.
Une série qui débute...du tonnerre ! Les mots sont ajustés, le scénario bien ficelé, la composition est souvent bluffante, et surtout c'est vraiment drôle. Vous allez adorer Mamada, la raleuse.
Après avoir lu le loufoque "L'exode selon Yona", qui se déroule dans l'antiquité égyptienne, je suis ravie de découvrir maintenant notre époque croquée par David Ratte. Nous suivons donc Mamada, chef de village africain, propulsée par une magie venue d'on ne sait où (elle pense que c'est la faute d'un gri-gri défectueux, mais ce pourrait bien être plus mystérieusement compliqué)... dans le métro parisien. Sous terre, avec des spectres...Enfer ! Pendant ce temps quelques habitués du métro se retrouvent en Namibie...sans réseau...Enfer !
On apprécie le trait de l'auteur et aussi la mise en couleur intéressante et qui donne des ambiances bien calibrées.
Pour tous petits et grands, un moment de lecture à savourer, et à lire plusieurs fois pour saisir toutes les allusions dont l'auteur aime parsemer ses albums.
Je le recommande chaudement !
Avec "Lorna", il faut avouer qu'après coup, Brüno annonce ses deux albums à venir, à savoir Pornopia, pour des raisons évidentes avec le personnage de Tamara, et Tyler Cross tant le père d'Henri, Charles-Henri Luxe-Butol fait songer physiquement au charismatique Spencer Pragg.
Mais l'originalité de Lorna réside sans aucun doute dans son traitement scénaristique qui fait à la fois référence aux nanars des années 50 et aux films de science fiction.
Brüno nous offre là un ouvrage complétement décalé et loufoque,qui rend hommage à la fois au cinéma porno, aux films policiers et aux films de science-fiction....le tout dans un seul volume! Quel tour de force!!.
Cet ouvrage, tant par le scénario que par le dessin, souvent osé, , qui n'est certes pas à laisser entre toutes les mains, mérite tout de même une attention particulière pour les cinéphiles et bédéphiles que je suis (je rejoins d'ailleurs l'avis de Jean Pierre Dionnet dans sa préface sur le cinéma Bis)
Bref, un livre à découvrir, si cela n'est déjà pas encore fait.
on ne peut pas rester indifférent devant ce petit bout de jeune femme...PCHTOU.......(vin diou kel bo poisson chat) NON je ne pense même pas a ses jolie....enfin peu importe!!! Berthet et Yann nous offre la une Très bonne Bd.Un dessin qui ne souffre d'aucun reproche tellement mon dessinateur favori me comble(cela n'est pas très objectif,mais quand on est Fan....).Ce duo de nos artistes est vraiment génial,il me donne l'impression d'un couple en patinage artistique virevoltant sur chaque page et HOP triple salto....Nan vraiment c'est un délice!!! alors précipitez vous dans ce bayou ou cette jolie fleur pousse sans vergogne....
Décidément, Zidrou est un auteur prolixe. Après "La Mondaine"publié cette année , Zidrou nous propose un récit d'anticipation qui fait la part belle au poids des média, aux dérives des émissions de télés-réalités et de la société de consommation.
Le tout sur un fonds d'histoire de sérial killer.
Si le début de l'intrigue est assez bien amené, la suite reste assez classique avec Rosko, l'ancien flic, à qui on demande de reprendre du service.
Je ne suis guère convaincu par le style de dessin d'Alexeï Kispredilov mais je prendrai surement le deuxième tome pour connaître la suite de cette aventure prévue en 3 volumes.
il est évident qu il s agit la d une"oeuvre"de jeunesse,loin de moi de vouloir briser du dineur sur l 'autel de la BD,mais force de reconnaître que cela reste moyen dans l'intrigue! le dessin de l auteur se cherche surtout pour ses personnages principaux et autres.... mais il apparait indéniable que ses talents de décoriste sont déjà là et bientôt acquis a ne pas en douter....!!! le ton est comique voir un peu bébête mais deja nos deux compères forgent leurs caractères sans compter l’amitié qui les uniras tous le long de leurs aventures qui deviendront beaucoup plus rebondissantes(voir notre ami Tif).LE plus de cet album sera bien sur le bonus de quelques(dommage)pages,intégrés a l'album,merci pour cela a hachette collection.
Cet ouvrage n'est certes pas le meilleur des albums d'Ardem. Je préfère nettement "Les Films de Justine" ou encore "Chantages".
Pourtant le dessin d'Ardem est toujours aussi bon et d'un réalisme étonnant.
Comme souvent dans ses ouvrages, l'histoire débute par une confession, celle d'une jeune fille qui va s'initier, contre son grès, au sexe. Entre répulsion et attirance, la jeune Céline va se retrouver confrontée à Antoine, qui fera d'elle un véritable objet sexuel.
Les femmes, comme le plus généralement chez Ardem, demeurent soumises et ne recouvrent leur liberté qu' au fil d'une expérience dégradante.
Il faut tout de même souligner l'existence d'un véritable scénario, ce qui est assez rare dans ce type d'ouvrages pour adultes.
A réserver aux amateurs du genre, et aux amateurs de poitrines opulentes.
Avec les noms de Berthet & d'Hautière, ,je ne pouvais passer à côté de cet album qui inaugure une nouvelle collection "ligne noire", constitué de one shot de polar (sauf pour cet opus), chez Dargaud.
Pari réussi, en tout cas.
Avec son style très ligne claire, Berthet nous offre de splendides planches.En outre, les couleurs de Dominique David, donnent à cette histoire un ton plus réaliste. (Sur la série Nico, les couleurs étaient plus fashies)
Quant à Hautière, il nous a concocté un bon polar, sur fonds de révolution cubaine et de rêve américain, avec une fausse garce qui mérité vraiment le détour.
Cette rencontre, qui n' a rien d'explosive mais qui est assez maitrisée des deux côtés, entre Joaquim, modeste serveur, et Elena, arriviste avant tout, est très bien servie dans ce premier opus.
Scénario et dessin sont en parfaire symbiose pour cet album.
Classique mais efficace.
A lire évidemment
A quand la suite ? Le tome 4 est sorti en octobre 2011 et depuis je ne vois rien venir. Sachant que les autres tomes sont sortis dans des intervalles bien plus courts, quelqu'un peut-il me renseigner sur le devenir de cette série ? Merci
LEO LODEN et son oncle Loco sont en mission à Toulouse où ils doivent coincer un petit dealer d'héroïne. Une mission à priori facile mais qui les conduira dans de plus hautes sphères, sur la piste d'espionnage industriel et de sabotage au sein du CNES (Centre National d'Etudes Spatiales).
Une enquête assez complexe, un scénario bien ficelé, de l'action, de l'humour et des dessins de qualité : un très bon LEO LODEN.
Léo et tonton Loco sont chargés de protéger une juge italienne menacée par la mafia à cause de ses enquêtes sur la Côte d'Azur. Une mission risquée qui conduira Léo de Marseille à Nice, avec des tueurs à ses trousses.
Un scénario un chouilla moins maîtrisé que ceux des précédents tomes et un personnage plutôt horripilant (la juge italienne) rendent cet album moins captivant que ses prédécesseurs. Surtout, contrairement aux cinq premiers tomes, ici le fait de connaître d'emblée les méchants de cette aventure enlèvent une grosse part de suspens à l'enquête que mène LEO LODEN. C'est le principal écueil de cet épisode et ce dernier se révèle de fait moyennement intéressant.
Avec ce nouvel album démarre le dernier grand cycle d'aventures de Sangoku & Co. Ce dernier mort suite au combat contre Cell, c'est à présent Sangohan qui endosse l'habit du héros en devenant le personnage principal de la série DRAGON BALL. L'action se passe environ 9 ans après la bataille contre Cell, et tous les personnages phares de la série ont bien évolué : Sangohan est devenu étudiant, Krilin s'est marié avec C18, Bulma vit avec Végéta et le petit Trunks; bref tout le monde vit en paix et pour une fois aucune grande menace ne pèse sur nos amis.
En débutant ce nouveau cycle, Toriyama tente un retour aux sources de la série DRAGON BALL : en effet, après un précédent cycle marqué par une violence inouïe et une absence quasi-totale d'humour, l'auteur essaie de renouer avec l'esprit des premiers DRAGON BALL, caractérisés par un humour potache appréciable et des petites bastons sympathiques mais bien chorégraphiées. Pour cela, il n'hésite pas à se servir de la naïveté d'un Sangohan devenu adolescent plus ou moins indépendant et mal à l'aise dans une grande métropole dont il ne connaît aucun des codes, lui le campagnard de toujours. Une certaine fraîcheur et naïveté se dégagent donc de ce nouveau personnage, le rendant ainsi assez comique, et rappelant un peu le personnage drôle et candide de Sangoku enfant.
Si le résultat est moyennement convaincant, le procédé est toutefois louable et il est agréable de constater que Toriyama cherche à mener sa série dans un esprit plus léger et moins grave que le précédent cycle d'aventures dans lequel elle s'était un peu dénaturée.
Enfin l'exaspérant "cycle des cyborgs" se termine dans ce volume-ci ! Un volume qui voit Sangohan dévoiler toute sa puissance et supplanter son père. La manière dont Gohan élimine Cell rappelle fortement la façon dont Goku s'était débarrassé de Freezer : c'est en voyant ses amis proches se faire torturer à mort que Sangohan développera toute la haine et la force qui étaient enfouies en lui, lui permettant dès lors de se débarrasser de son ennemi.
Un procédé scénaristique qui sent donc le réchauffé mais qui a le mérite de mettre fin à cet horripilant "cycle des cyborgs", marqué par une violence extrême et des combats trop surréalistes pour qu'ils soient vraiment intéressants.
Bon album. Le rythme est toujours le même, un peu gentillet. On aimerait que le scénario soit un peu plus musclé mais l'album est très agréable à lire. On passe toujours un bon moment au milieu du monde vinicole.
Début de la pré-quel où on découvre le jeune Bragon attiré par l'aventure et qui va apprendre que ce n'est pas si idyllique que ça.
Les dessins de Lidwine sont à la hauteur du début de cette saga qui est toujours aussi agréable à lire.
Je suis deconcerté par ses albums , les dessins ne me plaisent guere , ils sont sans mouvement et je n'aime pas les contrastes , quand au scenario il est sans surprise et mené mollement , sans etre negatif il faut decouvrir cet auteur Ukrainien ,
Cette lecture du Rige prend un autre sens quand on a lu la pré-quel.
La quête maintient son niveau, c'est la rencontre finale du maître et de son ancien élève.
Fin en apothéose de la quête, tout se dénoue et nous ne sommes pas au bout de nos surprises.
Le dessin arrive à son sommet, je pense qu'on a pas fait mieux en terme de quête, et de fantasy.
Captivant !!
C'est l'adjectif qui convient le mieux à cette série et à ce tome 3.
Le scénario vous scotche à votre siège et les dessins vous transporte dans l'histoire comme le ferai un bon film.
Et puis un peu d'histoire ne fait pas de mal....
9/10
Un des tomes les plus abouti de cette série.
On y mélange l'heroïc fantasy où les femmes guerrières semblent le dernier rempart de l'empire et le mythe du dragon qui apparait timidement dans les dernières pages. Nos heroînes vont alors être confrontés à un choix difficile celui de trahir leur crédo ou de protéger l'empire.
Un plus pour les dessins.
Vivement la suite.
8/10.
La quête reste un incontournable de la fantasy, l'univers est toujours aussi bien rendu par le dessin de Mallié qui est tout à fait à la hauteur du premier cycle.
L'histoire avance, les éléments se mettent en place en raccord avec la suite raconté avant (!).
Mais bien entendu on laisse Bragon à la fin de l'histoire dans une bien fâcheuse posture et va-t-il falloir encore attendre 3 ans pour avoir la suite ?
Apres un premier opus raté, le deuxième volet est bien meilleur.
Malgré un dessin assez laid, le scénario explore plus en profondeur la noirceur de ces personnages, notamment celui de l'épouvantail qui ce trouve être le personnage central de cette histoire.
Un album correcte.
Cette serie de science-fiction se lit avec plaisir sans atteindre des sommets , le monde doit etre sauvé par notre heros aidé d'un ciborg au milieu d'Amazones musclées , on ne s'ennuie pas mais on n'a pas non plus droit aux chef-d'oeuvre , à lire
Des que j'ai fini de lire ce premier , j'ai cherche les suivants et rien , c'est frustrant , car on veut savoir la suite parce que le scenario et les dessins nous maintiennent en haleine du debut à la fin meme si la mise en place est longue mais normal ,
UN MOT AUX AUTEURS JE VEUX LA SUITE
Une belle surprise que ce « Cœur en Islande » de Makyo.
J’ai beaucoup aimé cette histoire, celle de Moïse, un jeune mousse en herbe très attachant qui s’est pris d’affection pour l’Islande et désirant par ailleurs, en savoir plus sur l’origine de son existence et celle de ses parents.
Les personnages ont une certaine profondeur et une part de mystère qui ont capté mon attention dès les premières planches.
L’ambiance maritime est assez bien restituée (le port de Dunkerque, la mer, l’entraide des marins, la pêche…) et teintée d’une certaine mélancolie et authenticité. On sent que l'auteur a puisé son inspiration dans ses propres racines.
Les dialogues sont fluides et agréables et les pages défilent sans s’en rendre compte.
Un peu dommage que certains protagonistes (l'armateur, l'écrivain...) s’écartent du récit dans le tome 2, ils auraient mérité d’être plus approfondis…mais ça n’entache pas le plaisir de lecture.
Du bel ouvrage dont je recommande la lecture et l’achat sans hésitation.
Amusant et acidulé, cela se laisse lire et fait sourire, même si on retrouve tous les clichés de la vie des jeunes parisiens.
Les dessins sont simplistes, mais frais et clairs.
Lisible mais je ne courrai pas partout pour trouver les autres tomes, mais à l'occasion...
Série qui vaut surtout pour le romantisme de l'histoire et la luxuriance des dessins, des décors et des costumes. Cette fée automate inachevée ressuscitée par l'amour du petit automate touche, même si la fureur destructrice des hommes fait un peu cliché.
À lire pour l'émergence d'une dessinatrice.
Conclusion douce amère de la quête d'amour de l'automate et de la fée au milieu de la fureur destructrice des hommes. Il ne faut pas chercher à comprendre mais se laisser porter par la poésie de l'histoire. La reprise du dessin se fait sans heurt.
Après un cinquième tome assez moyen et inutilement tiré par les cheveux, ce 6éme opus revient à quelque chose de plus abordable et de plus plaisant.
On assiste à la fin de toute la partie avec le docteur Hurt et Morrison apporte enfin des réponses attendues. Le récit est bien écrit et agréable et une fois de plus le Joker a un rôle de choix (très bon traitement du personnage par Morrison d’ailleurs).
L’arc se conclu en apothéose avant d’ouvrir de nouvelles portes pour Batman. Maintenant place à Batman Incorporated !
Saga s'impose encore un peu plus comme une référence du space opéra. L'univers regorge d'idée et de création originale et on suit avec beaucoup d'intérêt les péripéties de notre jeune couple.
Mais l'auteur ne se concentre pas que sur eux et n'hésite pas à s'attarder sur d'autres personnages comme les parents de Marko, le Testament ou encore le Prince Robot. Une très bonne pioche pour le comics indé.
Je ne sais pas où vous avez vu que cela se passait dans les années 40 ?? Le village sort de la guerre de 14 (on y parle beaucoup des mutilés de guerre, et on en croise un assez jeune) et d'autre part, la danse à la mode est le charleston. Donc, années 20 plutôt que 40 !
Et la veuve s'appelle Marie, pas Ginette :)
C'est juste énorme.
Enfin des héros amoraux , cyniques , cupides, bêtes ....
Avec en plus le dessin génial d'Alexis et sans oublier Lauzier au scénario.
Bd rare à lire absolument.
Bonne rigolade en perspective.
Dans la lignée des précédents épisodes, RALPH AZHAM poursuit ses péripéties et plans foireux au royaume d'Astolia afin de se mesurer au Roi et en découdre une bonne fois pour toute ... à moins que le venue d'un nouvel ennemi, bien plus terrifiant, ne vienne encore compliquer les choses !
La série a à présent trouvé son rythme de croisière et Trondheim s'en donne à coeur joie pour dérouter continuellement le lecteur en compliquant de manière systématique le scénario et en brouillant constamment les pistes. Loin de deviner comment tout ça va se terminer, on suit les périgrinations de RALPH AZHAM avec enthousiasme, tout en se marrant bien. L'action et l'humour sont sur un pied d'égalité, et font de ce sixième tome une vraie réussite.
http://lacasebd.overblog.com/2014/02/fantomas2-paris-or.html
J’en avais parlé à couille rabattue lors de la critique du premier volume de la trilogie concernant la Colère de Fantômas ; parce que oui, Fantômas il est en colère genre pas content du tout et prêt à assouvir ses besoins revanchards. Et devinez quoi ? Le deuxième tome est fraichement sorti des presses et est prêt à être dévoré des yeux.
Je ne saurais trop vous conseiller de relire la petite missive concernant le premier épisode et décrivant l’origine de la saga écrite par Marcel Allain et Pierre Souvestre, histoire d’y voir un peu plus clair sur cette suite des plus alléchantes.
Paris, toujours début du XXe siècle, il pleut.
Après un premier épisode dans lequel Fantômas terminait l’épisode en nous annonçant à cri qu’il se vengerait et dans lequel on avait vu ce Moriarty du crime, pourchassé, condamné, décapité , et revenu d’entre les morts pour nous annoncer qu’il allait lancer sa vendetta.
Toujours psychopathe, toujours insaisissable, et toujours aussi rusé, Fantômas fourbit ses armes et est en train de planifier ses représailles car il ne supporte pas que l’on se dresse contre lui. Son plan ? Voler tout l’Or de Paris afin de déclencher une crise financière de derrière les fagots et faire plier l’échine à Paris et donc à la France. Ceci fait, plus rien ni personne n’osera se mettre face à lui et ses plans. Et pour ce faire, Fantômas mettra la main à la pâte jusqu’à revêtir mille visages et commencera par piller toutes les dorures, statues en or, bref toute dorure de Paris et ce, avant de s’attaquer aux banques elles-mêmes. Mais pour ce faire, il va avoir besoin de Juve ... ou plutôt de son visage.
L’inspecteur Juve lui-même aura bien à faire dans son enquête mais pourra compter sur ses amis Fandor et un certain Georges Méliès … Mais qui sera le plus dupe à ce jeu ? Fantômas, Juve ou Paris ?
Avec ce deuxième tome toujours aussi stylisé, Olivier Bocquet et Julie Rocheteau nous confirment leur talent et nous remettent le couvert avec succès dans cette suite assez attendue. Plus violent, plus sombre mais aussi avec un ton parfois plus léger grâce à certains ressorts comiques à travers l’inspecteur Juve, ce conte allégorique sur le mal nous emmène à nouveau dans une aventure perfide où la ruse et la manipulation sont maitres-mots.
À noter tout de même que la fin reste ouverte pour un final, que l’on espère,apocalyptique puisque l’on annonce le retour de la mère de Fandor (oui oui, celle que Fantômas voulait tuer au premier épisode).
Un choix de couleurs judicieux liant jeux d’ombres et regard fou, un dessin dynamique et tonitruant, un plaisir de tourner les pages et vous aurez compris que vous tenez entre vos fines mains pleines de doigts une bande dessinée hautement fréquentable et recommandable.
Le mal est de retour, et rien ne pourra l’arrêter … alors profitez-en.
Un peu hésitant sur cette BD…c’est pas mal mais j'attendais un peu plus de cette histoire.
J’ai parfois eu quelques problèmes avec le style narratif de Franz, ses constructions de phrases sont parfois bizarres, hachées, syncopées et cassent un peu la fluidité de lecture.
La transition de certaines scènes n’est pas toujours très réussie et les motivations, réactions des personnages sont parfois étranges et difficiles à cerner.
Le dessin de Franz, quant à lui, est directement reconnaissable (à la fois fouillis et précis), c’est un style que j’aime beaucoup mais qui ne conviendra peut-être pas à tout le monde au premier abord.
Les destins des personnages sont quand même bouleversants et l’album se révèle au final correct et vaut largement sa lecture.
Comme beaucoup de lecteurs, j’avoue être tomber sous le charme de « Ma révérence »
Il faut reconnaître que l’album possède pas mal de qualités et ce n’est pas ce à quoi je m’attendais au départ. Je pensais qu’on aurait affaire à une simple histoire classique de braquage mais c’est plus que ça. C’est un polar mais aussi une chronique sociale bien proche de notre réalité avec une psychologie des protagonistes bien fouillée (c’est ça que j’aime avant tout quand je lis une BD)
Le personnage de Gaby est vraiment sympa et drôle, c’est un plaisir à chaque fois qu’il apparaît.
L’histoire est bien ficelée, dynamique, on rentre vite dedans pour ne plus lâcher jusqu’à la fin.
Le dessin, quant à lui, résolument moderne, est en parfait accord avec l'ambiance du récit.
A lire sans hésiter si ce n'est pas encore fait.
Un excellent album de transition... On s'attarde sur la psychologie des personnages. Toujours très bon!
La couverture n’attire pas! trop gore...et pas assez suggérée.
C'est la première fois que je trouve un tome de la série légèrement en dessous...le scénario traîne un peu trop en longueur à mon goût.
Mais bon sur 19 tomes on ne va pas trop râler! Vivement la suite.
3/5
Un album IN-DIS-PEN-SABLE pour tout ceux qui aiment et suivent la série Fables.
L'histoire (et les histoires) de ce hors série se situe bien avant la série mère et s'attarde sur différents Fables que l'on a l'habitude de côtoyer comme Bigby, Goupil, le roi Cole...
L'occasion pour l'auteur de développer et approfondir brillamment ses personnages (mention spéciale pour Ambrose qui prend ici une vraie tournure tragique).
Ce 1001 nuits de neige est un condensé de récits de qualités secondé par des dessins de tout aussi bonne qualité. Un vrai cadeaux pour tous les amateurs de Fables.
Ce troisième tome des aventures au pays d’Oz (deuxième dans l’ordre chronologique) nous amène à la rencontre de nouveaux personnages en la présence d’un petit garçon Tip, d’un homme-citrouille et d’un cheval de bois animé.
Ils partent tous trois pour la Cité d’émeraude mais vont vite se retrouver dans quelque chose de bien plus grand. Une fois de plus l’histoire nous embarque totalement et est truffée de création et petite trouvaille entre absurde et merveille.
Toujours aussi plaisant, cette mise en image des romans d’Oz est décidément un très bel hommage au travail de L. Franck Baum.
Le Joker revient sous la plume de Snyder plus terrifiant que jamais.
Cet arc instille une tension énorme et explore parfaitement la relation entre Batman et le Joker. La Némésis instaure le doute tout au long de ce tome et même si on se doute vite que Snyder n'ira pas jusqu'au bout, le récit fonctionne parfaitement. Plus que la conclusion on retient surtout le chemin emprunté, les ruses du Joker et les sentiments des deux protagonistes. Oh et si besoin est de le préciser les dessins de Capullo sont excellents.
Malgré quelques facilités, un arc de qualité.
En opposition radicale au commentaire de Ghostin : on change de maquette, pourquoi pas ? Celle-ce me plait bien et reflète le contenu de cet album. C'est un peu moins sexe et 'blondes à fortes poitrines' ? Ouf. Il n'y a pas que ça dans le catalogue Soleil. Certains auteurs évoquent les 25 ans de cet éditeur ? Tant mieux, c'est plutôt sympa dans l'ensemble. Comme quoi, les goûts et les couleurs, ça ne se discute pas !!! Bravo à l'équipe, et j'espère bien que la crise permettra quand même un nouveau tome en 2015, et les années suivantes.... ;-)
J’ai ressorti dernièrement les trois tomes de la collection « A Suivre ». La magie a opéré immédiatement ; plongé dans la Guerre de Cent Ans, on suit les pérégrinations de plusieurs personnages très différents, qui se rencontrent et sont emmenés par le « Chevalier », un homme qui a beaucoup souffert mais aussi beaucoup fait souffrir ; sa quête principale va l’emmener à combattre ses vieux démons et retrouver son passé. Il n’y survivra pas et sa lutte contre la « Force Noire » amènera les protagonistes à la fin d’un monde, comme le relève « la Mariotte ». La reconstitution est minutieuse et précise, l’utilisation du Vieux-Français ne gêne pas la lecture, au contraire. L’auteur nous fait voyager aussi dans les rêves des personnages et les vieilles légendes celtes ressurgissent au moment où on s’y attend le moins. Rajoutez à cela des thèmes aussi actuels que l’arrogance des puissants, la violence faite aux femmes depuis des temps immémoriaux ou encore la puissance de l’amour et des choses simples et vous devriez vous ruer sur ces trois albums magnifiques.
Léo et Loco se retrouvent coincés sur le château d'If à cause d'une tempête, en compagnie de membres d'un séminaire pharmaceutique. La situation est déjà particulière à la base, alors quand en plus le grand patron du labo de pharmacie meurt empoisonné lors du cocktail ... la nuit risque d'être mouvementée sur l'île d'If.
Une enquête sous forme de huis-clos mais qui n'apporte que peu d'éléments nouveaux à la série. Le scénario est encore plus tiré par les cheveux que d'habitude. Une vraie déception.
Léo et Loco sont au festival de BD d’Angoulême et doivent enquêter, pour le compte des éditions Soleil, sur le vol de planches du tout nouveau "Lanfeust de Troy", vol constaté par le dessinateur Didier Tarquin lui-même alors que les planches se trouvaient dans sa chambre d’hôtel et n'y sont plus. Une enquête qui mènera nos héros jusqu'à Bruxelles évidemment, capitale mondiale de la BD.
Le scénario un peu trop "private joke" fait de cet épisode un album quelque peu dispensable. Clairement pas le LEO LODEN le plus passionnant de la série.
LEO LODEN et Tonton Loco sont à Bordeaux, et plus exactement dans le Médoc, pour enquêter sur le meurtre d'un vigneron, propriétaire d'un grand domaine viticole.
Une enquête sympathique qui mêle Léo au monde du vin où se déroule tout un tas de magouilles et où les rivalités et tensions entre vignerons et négociants peuvent s'avérer néfastes pour certains. Un épisode où Tonton est bien évidemment à son aise et particulièrement drôle.
Initialement intitulé "Léo Loden et Jules sauvent la coupe du monde", cet album était paru début 1998, quelques mois avant le début du Mondial en France. Un épisode se déroulant donc en pleine coupe du monde de football où un attentat doit avoir lieu, mobilisant ainsi LEO LODEN.
Un album totalement loufoque, encore plus incongru que toutes les autres aventures de LEO LODEN. Léo y côtoie Aimé Jacquet, Zinédine Zidane, Ronaldo, Didier Deschamps ... bref, c'est un album très étrange et vraiment à part dans la série. Personnellement je n'ai pas accroché plus que ça.
LEO LODEN et son oncle Loco sont dans la Provence authentique, et plus exactement au cœur du Luberon, entre Gordes et l'Isle-sur-Sorgues, pour retrouver qui menace une vieille villageoise. Une enquête qui conduira Léo autant sur la piste de stars parisiennes du show-biz installés dans le Luberon que sur celles de vieux paysans provençaux qui trafiquent les truffes ...
Un bon album, au dessin et scénario plaisants, qui met en valeur l'arrière-pays provençal.
Léo et tonton Loco enquêtent sur le rapt d'Ivan Dlabibine Ossouzov, ex-officier du KGB reconverti dans les petites combines et arnaques marseillaises. Enquête qui conduira notamment nos héros sur la piste d'un trafic nucléaire, et qui les verra arpenter de nombreux quartiers de Marseille, depuis le palais Longchamps jusqu'aux anciens docks de la Joliette, en passant entre autre par la Plaine ou le cours Ju.
Un scénario un peu trop rocambolesque, amusant mais inférieur néanmoins à ceux des premiers tomes de la série (sans conteste les meilleurs). Toutefois le dessin est de bonne qualité.
Délaissant un temps Marseille, LEO LODEN se trouve à Lyon pour goûter aux joies du Beaujolais Nouveau ... et enquêter sur le vol de la Kabbale, ouvrage ésotérique de grande valeur, daté du 16ème siècle.
Une enquête "musclée" et résolument tournée vers l'action qui confrontera Léo et Loco au monde peu expansif de la grande bourgeoisie lyonnaise, et qui verra nos deux héros déambuler depuis les traboules du vieux Lyon jusqu'au village médiéval de Pérouges, en passant par les bouquinistes des quais de Saône de la cité lyonnaise.
Un excellent épisode plein de rebondissements qui fait surtout honneur à la ville de Lyon.
Un promoteur immobilier engage LEO LODEN afin que ce dernier trouve les personnes qui cherchent à le piéger en lui faisant endosser la responsabilité de plusieurs incendies dans la pinède provençale. Une enquête compliquée qui mènera Léo sur la piste d'un groupuscule néo-nazi et le fera se balader depuis la campagne aixoise au cœur de la Sainte-Victoire jusque dans le quartier du Panier, le plus vieux quartier de Marseille.
Encore un excellent épisode avec une enquête à la fois drôle et bien ficelée; l'un des tout meilleurs albums de la série.
Amédée, vieil ami docker de tonton Loco, est retrouvé mort chez lui dans son appartement de la Joliette (le port industriel de Marseille). Une mort qui ne semble pas naturelle selon sa fille et dont LEO LODEN va devoir résoudre le mystère. Une enquête qui mènera notre ami Léo de bistrots en parties de pétanque entre les calanques de Cassis, le quartier populaire de la Joliette à Marseille et la ville vauclusienne de Cavaillon.
L'un des meilleurs épisodes de la série, avec un scénario très bien ficelé et un dessin toujours meilleur.
Dans ce deuxième opus, LEO LODEN est chargé de retrouver Paméla Cayols, étudiante en journalisme disparue depuis plus d'une semaine alors qu'elle préparait un sujet sur la prostitution à Marseille. Une enquête dangereuse qui mènera Léo et son oncle Loco des quartiers Nord de Marseille aux riches quartiers bourgeois d'Aix-en-Provence, en passant par les bars à filles du quartier de l'opéra et du Vieux-Port.
Une bonne intrigue, très plaisante et efficacement menée, des personnages secondaires amusants et un dessin en nette amélioration par rapport au premier album. Le tout sous un ton plutôt drôle. Un bon album.
LEO LODEN, c'est un peu "Tintin à Marseille". Le détective privé LEO LODEN mène des enquêtes au cœur de la cité phocéenne, aidé et accompagné de son oncle Loco, un marin exubérant et gaffeur, sorte de capitaine Haddock à la marseillaise.
Dans ce premier album, le commissaire LEO LODEN est accusé à tort d'un meurtre qu'il n'a pas commis et est de fait destitué de ses fonctions et renvoyé de la police. Il décide alors de mener l'enquête pour savoir qui est derrière tout ça, afin de s'innocenter.
Le dessin de Serge Carrère, à défaut d'être exceptionnel, a le gros avantage d'être très efficace et d'être en total accord avec le ton humoristique de la série, ce qui le rend finalement plaisant. De son côté, Arleston (dont LEO LODEN est l'une des premières séries, bien avant le succès de LANFEUST DE TROY), développe des scénarios peu complexes mais bien imaginés, parsemés d'humour gentillet qui fait souvent sourire.
Les deux auteurs sont donc en adéquation et font de LEO LODEN une série policière sympathique qui fait honneur à la région provençale en général et à la ville de Marseille en particulier.
Avec ce tome débute la guerre de Sinestro et sans doute un des meilleurs travail de Geoff Johns.
On assiste donc à l'assaut féroce de Sinestro contre le Green Lantern Corps et le combat s'annonce terrible. Les affrontement s'enchainent et les morts tombent par pagaille.
On en prend plein les mirettes, l'action va à 100 à l'heure, on passe d'un groupe de personnage à un autre, G. Johns nous emmène sur plusieurs fronts pour un résultat vraiment haletant.
Un tome crucial dans la mythologie Green Lantern à ne surtout pas louper.
Fairest est une nouvelle série spin off de Fables, œuvre déjà très prolifique du génial Bill Willingham, qui prend le pari de d’approfondir et de développer les seconds rôles féminin de la série principale.
Pour ce premier tome on retrouve donc La Belle au bois dormant et La reine des glaces. Le récit en plus d’être vraiment sympa, lève le voile sur beaucoup de chose et s’assure des dessins de très grande classe en la présence de Phil Jimenez. Cette histoire fait directement écho à la Grande Guerre vu dans la série Fables et nous permet de voir ce que sont devenus Eglantine et Lumi, les fans devraient apprécier.
La dernière partie de l’ouvrage est constitué d’une histoire très efficace où on suit une enquête de la Bête. En résulte une révélation pour le moins étonnante à propos de la Belle (celle de La Belle et la Bête cette fois). Surprenant mais dans le bon sens du terme.
Voila un nouveau spin off qui démarre sur les chapeaux de roue.
Très déçu de cette nouvelle mouture de l'album promotionnel.
Non pas que les dessins soient affreux (certains sont très beaux mais ils sont peu nombreux) mais il représente tout ce qui est mauvais dans le monde de l'édition actuel.
Aucune cohérence avec les albums existants (changement de maquette), aucune cohérence interne au livre (certains dessins sont des "filles de soleil", d'autres n'ont rien à voir avec le thême, certains auteurs ont une citation, d'autres non), on a l'impression que l'album a été bourré n'importe comment histoire de faire quelque chose pour les 25 ans.
Et c'est là que le bât blesse, c'est un album pour fêter les 25 ans de Soleil mais comme on ne voudrait pas payer les auteurs pour des illustrations, on combine ça avec les filles de soleil (où les auteurs ne sont pas rémunérés) mais on change toute la maquette et on rajoute un petit mot du nouveau propriétaire (avec un petit salut à l'ancien qui donne plus l'impression d'une pique que de réel hommage). Du coup, on sent l'album cheap qui n'a rien à voir avec les autres, où beaucoup d'auteurs ont fourni des illustrations qui trainaient parce qu'ils n'étaient pas plus motivés que ça (pas tous) et qui sent le sapin pour ce type d'album (l'année prochaine, y'en aura-t'il un autre? dans la même maquette? dans l'ancienne? Pour fêter les 26 ans?)
Sans parler de la censure qui a eu lieu dans cet album pour certains auteurs qui ont fait la renommée de Soleil mais dont l'illustration a été jugée immontrable pour cet album (alors qu'elle était tout à fait dans la lignée des albums précédents)
Cela n'empêche que certains auteurs ont joué le jeu et leurs illustrations auraient bien eu la place dans les filles de soleil "ancienne mouture" mais on leur a "volé" ces illustrations pour en faire "ça".
Je ne félicite pas la nouvelle équipe éditoriale qui a essayé d'effacer ce qui restait de l'esprit Soleil dans cet album, j'en viendrais presque à regretter de l'avoir récupéré (alors que cet album est gratuit!!!!)
Edit (en réponse à docteur fil): Dans ce cas, pourquoi ne pas avoir fait un album avec une nouvelle maquette pour fêter les 25 ans de soleil, qui refléterait le catalogue soleil et qui ne soit pas les filles de soleil (quitte à ne pas faire de filles de soleil du tout cette année) ? Parce que cela aurait obligé de payer les illustrations aux auteurs pour ça?
C'est comme remplacer le contenu du BDM par l'almanach Vermot cette année, il y a des amateurs des deux mais ça n'a rien à voir et il n'y a aucune raison de faire ça.
Bon, on ne peut pas dire que ça soit mauvais mais c’est pas non plus ce qui a de plus passionnant. Certaines situations m’ont parlé, elles sonnent avec une certaine vérité mais certaines sont aussi bien peu crédibles, exemple :
- Le coup de se faire passer pour un médecin au milieu de l’assemblée sans se faire repérer…bof, j’y crois pas une seconde.
- La rencontre avec la femme de l’écrivain par le plus pur des hasards…Bof aussi.
De plus, la transition des planches n’est pas toujours aisée, à cause notamment des flash-back parfois difficiles à différencier avec le présent (j’ai du retourner quelque fois en arrière pour mieux comprendre mais à force, c’est fatigant…)
Le dessin ne casse rien, pas très dynamique, avec peu d’expression concernant les personnages. Bref, je suis mitigé.
A lire pour se faire sa propre opinion mais c'est sans plus me concernant.
Un peu tiré par les cheveux, cette histoire !!!
Dernière de couverture, faute d’orthographe sur le premier mot du deuxième paragraphe; " Réntre " au lieu de " Rentré "
L'illustration de couverture est de David Dorman. La page de garde précise "d'après le concept original de H. R. Geiger". Cette édition reprend la mini série en 4 épisodes Aliens: Hive #3-4, Dark Horse Comics, 1993.
L'illustration de couverture est de David Dorman. La page de garde précise "d'après le concept original de H. R. Geiger". Cette édition reprend Aliens: Hive #1-2, Dark Horse Comics, 1993.
Je viens de lire ce premier tome et je dois dire que je n'ai pas aimé cette BD... Les dessins sont pas mal au départ mais j'ai moins apprécié vers la fin. Il est parfois difficile de bien comprendre le scénario et de suivre la transition des planches (j'ai du retourné en arriere plusieurs fois pour mieux capter). J'apprecie le theme futuristique mais je n'ai pas aimé le theme fantaisie (par example l'esprit d'un dragon qui communique avec un mysterieux personnage). On ne s'attache pas vraiment aux personnages, y compris l'heroine qui semble avoir mauvais charactere. Bref, c'est une décéption.
un scénario des plus classiques qui tient bien la route , un dessin absolument magnifique tout en noir et blanc avec un style qui nous fait penser au meilleur de Mr Baudoin
J'ai adoré
Dommage de ne pas indiquer à quelle numérotation US cette édition correspond :
le tome 1 regroupe Captain Marvel (vol. 4) #7-18 parus en 2003-2004;
le tome 2 regroupe Captain Marvel (vol. 4) #19-25 parus en 2004 et Drax the Destroyer #1-4 parus en 2005-2006.
Dommage de ne pas indiquer à quelle numérotation US cette édition correspond :
le tome 1 regroupe Captain Marvel (vol. 4) #7-18 parus en 2003-2004;
le tome 2 regroupe Captain Marvel (vol. 4) #19-25 parus en 2004 et Drax the Destroyer #1-4 parus en 2005-2006.
Winshluss est indécrottable. Après Pinocchio, il s'attaque à la bible.
Même si le sujet n'est pas nouveau, les années 70 avec Gotlib, Reiser et les Monty Python sont déjà passés par là, on retrouve justement ce ton qui n'est plus si courant aujourd'hui.
Poilant !
Fin violente et intense, pour ce dernier album d'une série déjà culte.
Du grand art. A quand l'adaptation en série ?
Dernier opus et fin en pointillé, avec un personnage principal qui sera passé par différentes étapes, ni trop noir ni trop blanc. Humain, comme l'ensemble de la série. Ce qui fait encore davantage frémir devant tant de réalisme, que l'on espère non prophétique....
La fin approche et toujours l'utilisation de flash back, avec un des "héros" peu recommandable des états libres, le retour de Delgado et Zee.
Toujours aussi cohérent et passionnant.
Honnêtement, j’ai eu beaucoup de mal avec cette BD. Je l’ai même relue plusieurs fois mais sans succès, je reste un peu déçu. Faut dire que je ne suis pas un grand fan des histoires de machinations, ça a tendance à partir dans tous les sens et ça m’ennuie plus qu’autre chose (pour rester poli) Il y a aussi peu d’action et de suspense...
Le scénario est tarabiscoté, il faut bien suivre et certaines séquences sont quand même tirée par les cheveux. De plus, je ne suis pas sûr d’avoir bien compris certaines scènes :
spoiler : Comment l’écrivain pouvait connaître aussi bien le passé d’Afia ?(voir la scène du roman à la page 33)
Bref, pas convaincu et trop bordélique.
Encore une fois c’est un avis personnel et il se peut que vous appréciiez cet ouvrage, donc lisez-le si vous en avez l’occase. Faites gaffe pour l’achat. 2/5
nettement en recul par rapport au tome précédent.
le scénario semble du réchauffé par rapport au 1ier opus.
les personnages diffèrent peu bref l'histoire ne s'est pas renouvelée.
Reste l'humour....
6/10.
Sublime.....
Des dialogues savoureux et une bonne dose d'auto-dérision.
Les 2-3 premières pages sont un pur chef d'oeuvre digne de Michel Audiard.
Merci aux auteurs.
10/10.
Personnellement je trouve les dessins plus mauvais que dans le précédent opus et pourtant le dessinateur est resté le même.
Coté scénario rien à redire même si on atteint pas les sommets du tome 11.
A lire sans modération.
7/10.
Le meilleur tome de la série.
la faute à un scénario sans faille et à des dessins impeccables.
J'adore la galerie de personnages accessoires tous plus noirs les uns que les autres.
Un vrai régal.
9/10.
Un ton au dessous des précédents.
En effet plus qu'une BD de science fiction on a plutôt droit à un conte de légendes corses.
Heureusement le scénario est récupéré par de très bonnes scènes d'action.
7/10.
Un vrai régal.
Du Georges Lautner en BD avec une énorme touche d'humour et d'autodérision.
A prendre au 2ème degré.
7/10.