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Alors là, l'incompréhension me gagne.
J'ai acheté ce premier tome sur les conseils de "critiques" avisés...pour constater l'indigence de la construction dramatique de ce "Final Crisis" !
Grant Morrison souhaite-t-il que nous puissions suivre un minimum l'évolution des ces 7 soldats ? Cela va dans tous les sens, les dialogues n'ont ni queue ni tête et s'enchaînent sans que nous y comprenions quoi que ce soit.
Rhaaaaaaaa ! Insupportable et à fuir !
Très bonne série, surtout par son scénario, qui présente une autre version de l'histoire des USA (JFK, CIA, etc.).
Le fait de se passer dans les années 80 nous évite les portables, ordinateurs et autres technologies qui régentent aujourd'hui nos histoires contemporaines.
Une fin passionnante toujours aussi bien mise en valeur par la précision du dessin. Une relecture de l'ensemble s'impose.
A quand une adaptation sur le cable US ?
Une suite attendue et très réussie. L'intrigue va toujours à 100 à l'heure et le dessin, original en diable (très à propos pour Fantomas), apporte toujours autant de cohérence à l'ensemble.
Il est bien agréable de retrouver les héros de cette série même s'il est un peu difficile de se replonger dans l'intrigue. Il est préférable de relire les premiers albums pour apprécier ce prequel.
Un subtile adaptation d'un roman policier suédois.
L'intrigue est passionnante et le dessin subtile. Les couleurs transcrivent très bien l'ambiance. Un bon polar psychologique.
Un dessin alerte et une histoire qui met en avant des papys.
C'est rafraichissant et plein de vie et non dénué de tendresse.
Une série à suivre.
L'aventure stylistique se poursuit. C'est noir, sanglant et...drôle.
Un bon opus, même si un peu moins inspiré que les deux premiers volumes.
Un sommet. Comme les trois précédents albums.
Maintenant que la boucle est bouclée, il est temps de relire l'ensemble pour savourer la cohérence de cette oeuvre, à classer parmi les grands récits de la BD d'expression Française.
Une tranche de vie poétique et humaine.
Le dessin (très "Baru" parfois) et les illustrations rendent à merveille l'aventure familiale de ces deux frères.
L'émotion et le rire suintent à travers chaque page.
Un très bel album. Indispensable.
Toujours aussi décoiffant, le suite poursuit dans la "même veine" que le premier tome. Rafraichissant...
Le propos renouvelle le mythe des vampires. Il fallait y penser : suivre l'affrontement entre les vampires de l'ancien et du nouveau monde, le tout sur deux époques.
Le dessin est nerveux et permet des explosions sanguinolentes...
Un démarrage rapide sans temps mort qui introduit cette nouvelle série déjà destinée à être adaptée à la TV US.
Le dessin est diablement dynamique et les cadrages audacieux.
Quant aux clones, ils sont assez bien caractérisés pour nous permettre de ne pas les confondre. Un exploit vu leur nombre (bon courage pour l'adaptation audiovisuelle !).
Comic à découvrir avec cette nouvelle édition : les marcheurs sont effroyables comme il faut et l'aller/retour dans un monde parallèle des plus effrayant.
Le dessin est efficace même si un peu impersonnel.
Début en fanfare pour cette nouvelle série : fin du monde, 4 chevaliers de l'apocalypse, politique, conte, prophétie ...
Malgré un début rapide, on parvient à se laisser emporter.
La suite, vite...
Winshluss est indécrottable. Après Pinocchio, il s'attaque à la bible.
Même si le sujet n'est pas nouveau, les années 70 avec Gotlib, Reiser et les Monty Python sont déjà passés par là, on retrouve justement ce ton qui n'est plus si courant aujourd'hui.
Poilant !
Fin violente et intense, pour ce dernier album d'une série déjà culte.
Du grand art. A quand l'adaptation en série ?
Dernier opus et fin en pointillé, avec un personnage principal qui sera passé par différentes étapes, ni trop noir ni trop blanc. Humain, comme l'ensemble de la série. Ce qui fait encore davantage frémir devant tant de réalisme, que l'on espère non prophétique....
La fin approche et toujours l'utilisation de flash back, avec un des "héros" peu recommandable des états libres, le retour de Delgado et Zee.
Toujours aussi cohérent et passionnant.
Un must pour les (très) vieux lecteurs de Spirou, avec les fameux hauts de pages. On s'aperçoit qu'à l'époque on pouvait encore oser les blagues les plus scabreuses dans un journal pour les jeunes.
Il faut vraiment connaître le journal de l'époque pour les apprécier...
Pour les aficionados.
Une adaptation intéressante du célèbre roman de James Ellroy.
Matz est plutôt habile et parvient à restituer l'histoire qui tourne autour de personnages complexes aux multiples ramifications.
Si le dessin de Hyman convient bien à la voix off, son coté figé rend parfois l'ensemble "sans vie". Et il est parfois difficile de reconnaître les personnages d'une case à l'autre... Mais rien à voir avec le ratage de De Palma.
On continue à passer en revue l'histoire de certains second rôles rencontrés dans les albums précédents, pour enfin revenir à l'évolution (contestable?) de Matty. Sans concessions.
Scénario qui manque de clarté avec une utilisation des technologies par le héros un peu fumeuse, mais quelle mise en images…
Les cadrages et l'utilisation du format sont originaux.
Un petit gout d'Andreas au sein de la saga Batman.
La série prend un nouveau virage avec l'explosion nucléaire. Passé des instantanés sur quelques personnages, Matty Roth s'enfonce davantage pour mieux se relever… A suivre.
Publication en deux parties : l'histoire d'un homme qui voit sa vie bouleversée par la DMZ et la déchéance de Matty Roth, qui perd tout repère. Un bon cru.
L'histoire prend un nouveau tour, ce qui semblait bien installer ne pouvant pas durer. Le prochain épisode risque d'être mouvementé.
Un bon 3ème cycle.
Un nouveau cycle débute et notre tueur poursuit son métier sur de nouvelles bases. Le cynisme du héros s'est renforcé, ceci malgré une vie de famille tout à fait "normale". Et on sait bien que tout cela ne peut pas durer…
Matz sait mener son intrigue et Jacamon s'illustre parfaitement.
Album composé d'un épisode central où le héros quitte de plus en plus les habits de journaliste pour devenir un acteur à part entière du récit.
Les deux autres épisodes ne font pas beaucoup avancer l'intrigue.
Final sanglant, comme annoncé.
Que retenir de cette série aujourd'hui culte:
- les superbes dessins et cadrages de Risso.
- le script ambitieux et "définitif" de Azzarello ; la caractérisation fouillée des personnages, même si il faut avouer que l'on s'y perd parfois un peu… L'ensemble mériterait une relecture d'ensemble.
Alors, est-on étonné d'apprendre que les studios s'intéressent à son adaptation sous forme de série TV ?
A suivre...
Bon opus, avec le bref passage de Pip, personnage sacrifié au bout de deux épisodes magistraux. Nous découvrons également la "vie de famille" du père d'un Minutmen.
La fin s'annonce sanglante...
L'hécatombe se poursuit et les meurtres, théâtraux, s'enchainent.
S'il est parfois difficile de suivre les tenants et aboutissants de l'ensemble, les dessins comme la mise en scène restent superbes.
Ce comic apporte une autre vision de la tragédie de la guerre du Vietnam.
On retrouve la patte du père de Scalped (Jason Aaron) qui parvient à donner une vision réaliste, horrifique et psychédélique du conflit, au plus près des hommes, ceci des deux points de vu, Américain et Vietnamien.
Les dessins sont splendides dans leur capacité à nous immerger dans la tête des protagonistes.
Un choc.
Si il n'est pas si évident d'entrer dans la psychologie du personnage, le sujet est original et gagne, au fil des épisodes, l'intérêt.
Le mélange super-héro/politique/sujets personnels ou de société est courageux et, malgré les incessants allers et retours dans le temps, impose un type de protagoniste rarement vu.
Le dessin un peu trop lisse et parfois rigide (à base de photographie) n'est pas en reste.
Un bon chapitre qui rebondit avec la campagne d'un nouveau personnage (Parco Delgado) et qui laisse présager de futurs dérapages pour la communauté DMZ.
Original.
Redécouverte d'un classique qui vaut plus par ses qualités narratives que pour ses illustrations parfois illisibles et inégales.
Un roman illustré aux ramifications complexes envoutantes.
Superbe introduction d'une série qui devrait comporter 5 albums.
Les personnages sont bien typés et l'intensité monte q'un cran avec la découverte de ce qui effraie l'ensemble de cette collectivité.
Les illustrations sont superbes appuyées par des couleurs bien mises en valeur grâce notamment au format de l'album.
Très prometteur.
Classique, dans sa forme (très polars des années 30-40) et tordu par son fond. Dessin efficaces...mais que les textes peuvent être parfois illisibles !
Un test pour votre vue...
Avant dernier chapitre (album) et la tension est à son comble.
Chaque personnage connait son ambivalence envers chacun de ses congénères. Les dessins sont somptueux.
Vite la conclusion !
Critique des extrémistes (religieux, politiques) et de la société du grand spectacle à travers ses show décérébrés.
Un réussite, même si la fin semblait inévitable.
Les dessins sont puissants et nerveux.
A auteur qu'il faut suivre.
Epatant de fraicheur et sans une once de méchanceté.
Le dessin est efficace et les gags percutants.
Un peu de non-sens, cela fait du bien aux zygomatiques!
Même si Barral fait beaucoup d'efforts, Tardi manque cruellement à la série. Quant à l'histoire, elle se déroule poussivement, sans intérêt. particulier. Même le plaisir de retrouver le lieux où se déroule l'histoire (ici le 9ème arrondissement) s'est émoussé.
Décevant.
Un étonnant premier opus, aux ambiances toutes Scorcesiènes.
Le dessin est nerveux et les couleurs parfaitement en adéquation avec la représentation de l'époque. Le deuxième round est attendu !
La saga se poursuit et s'intensifie. Noir de noir.
Seul bémol: si les dessins de R-M Guéra ont gagné en lisibilité, l'épisode de Jason Latour est loin d'être du même niveau. Ce qui est bien dommage pour la cohérence de l'ensemble. Comme pour 100 Bullets, il aurait été préférable que l'ensemble des épisodes soient illustrés par le même dessinateur.
Même si les intentions ne sont toujours pas affirmées, les clans s'éclaircissent et les morts recommencent à s'accumuler.
Si l'épisode romain autour d'un tableau n'est pas très passionnant, le retour sur le passé de Shepherd est plutôt réussi.
Plus que 3 tomes et toujours autant de questions en attente...
Deux nouveaux personnages font leur entrée, Ronni et Remy.
L'intrigue se complexifie et on commence à s'y perdre. On ne sait toujours rien des intentions de l'agent Graves et du chef du trust, De Medici.
A suivre dans l'album n°12, sans doute...
Les ambiances sont toujours aussi bien rendues par E. Risso.
Même si le Tyler Cross en question reste une énigme à la fin de ce premier opus, les autres personnages, qui constituent l'essentiel du récit, sont solidement campés. Et Brüno réussit encore un sans faute.
A noter un second rôle tenu par un serpent. Réjouissant !
Un comics underground.
Si le script, très efficace, se rapproche d'une série de type "24 heures chronos", le traitement graphique de Huddleston est très original, s'adoptant aux lieux et aux personnages principaux. Bluffant.
Après Essex County, Jeff Lemire poursuit dans la veine des romans graphiques avec Jack Joseph.
Le dessin sait aller à l'essentiel et l'histoire de ce futur papa, qui n'a jamais réglé le drame qui a entaché les vingt dernières années de sa vie, nous laisse désarmée d'émotions. C'est profond (comme un soudeur sous-marinier peut l'être...) et beau. Essentiel.
Le volume 4 ouvre de nouvelles portes à cette aventure à clés.
Et l'inovation est toujours présente, notamment avec le premier chapitre parvenant à mixer horreur à la façon de Bill Watterson !
Roman tout de noirs vêtu. Zezelj est le pendant d'un Fred qui serait tombé dans une réalité sociale des plus cynique.
Sans mot, il parvient à faire passer à un souffle d'espoir. Superbe.
Un homme de religion face aux clowns. Comme toujours avec les scénarios de Brunschwig, une histoire originale et profonde.
Composés de nombreux flashbacks, les dessins de Hirn nous immergent dans cette cité des Hauts Vents où il ne fait pas bon sourire aux blagues des clowns. A lire absolument.
Iconoclaste et toujours aussi débridée, l'histoire prend le temps de nous narrer ce qui anime chacun des protagonistes (l'album est en fait un long flashback). D'une grande maitrise, le dessin est toujours d'une incroyable vitalité. Encourageons cette série !
Si le dessin de Walthery est toujours aussi dynamique et en mouvement, l'histoire n'est guère passionnante et se traine en longueur jusqu'à son dénouement.
Un "petit plaisir de jeunesse" ...(dans les années 70, les lecteurs de Spirou ne pouvait qu'être "émus" par la plastique de Natacha !)
Ce deuxième album permet à la série de réellement décoller.
Personnages, situations, décors, la mécanique connait son apothéose avec le chapitre 5 qui nous laisse en plein suspens, dans l'attente de la suite. Passionnant.
PS : j'aurai pu faire quelques reproches à la lisibilité du rendu des dessins de Ricci. Cela doit provenir de l'impression et du papier choisi qui affadissent les couleurs. Il suffit de comparer les crayonnés et les pages encrées du cahier graphique (et la page présentant l'intégrale en noir et blanc) pour s'en convaincre.
Indispensable, comme l'ensemble des albums de cette série originale, mais exclusivement pour le scénario de Luc Brunschwig qui se permet d'aller dans des directions rarement prises dans la BD d'expression Française.
Les personnages possèdent tous leur petite musique, l'ensemble peignant une histoire de famille comme rarement racontée.
Il est regrettable que ce scénariste n'ai pas trouvé son Sylvain Vallée, qui aurait su faire passer toutes les failles de ses personnages (de nombreux cadrages et personnages sont quand même difformes..).
Malheureusement, la série n'ayant pas trouvée son public, cet ultime album termine ici les introspections de Llyod Singer.
Makabi, vient nous en aide !
Un bijou d'album, de la première à la dernière page (idem pour l'édition particulièrement soignée).
Le propos et le découpage de l'histoire sont originales (la boucle est habilement bouclée à la fin). Ce qui n'aurait pu être qu'une histoire de science fiction de plus se révèle alors bien plus profonde que ce que le dessin, très "années 50" de Clerisse, pouvait laisser croire.
Une découverte indispensable.
Cet album répare une injustice : il termine l'histoire du "Canonnier de Votkagrad" commencée il y a 30 ans dans le journal de Spirou et arrêtée en pleine exécution par son rédacteur en chef de l'époque !
Si le dessin de Malo Louarn n'a pas beaucoup évolué depuis, comme il est agréable de retrouver cet auteur qui avait disparu dans le fin fond de sa Bretagne natale. Les personnages et les situations sont toujours aussi folles. Les dialogues n'hésitent pas à en rajouter. Toute l'absurdité des politiques et du monde du football y est parfaitement représentée.
L'ensemble à un goût de "Jean Yanne du début des années 70" (celui de "Tout le monde il est beau..." et "Moi y'en a vouloir des sous"...). C'est gouleyant comme un bon vin de terroir.
Un ton original dans notre BD bien conventionnelle.
Après un premier tome plutôt réussi, ce deuxième album permet de poursuivre l'exploration d'un univers original, peu représenté jusqu'à ce jour : les joueurs de jeux vidéos.
Le dessin, appuyé par des cadrages qui donnent la pleine mesure aux ambiances et à l'action, apporte également beaucoup à cette série.
A découvrir.
On aimerait l'aimer davantage cet album...
L'affaire financière autour du journal permet de coller à la triste actualité et de rendre le personnage plus contemporain. Hélas, l'histoire tourne court, surtout le final, qui est vite expédié.
Reste le dessin, plutôt plaisant, qui parvient a insuffler un peu de modernité à ce vieil habit de groom (qui peut encore se promener avec une tenue pareille ?). Difficile à faire passer.
Alors perdure "l'effet madeleine" que nous offre le personnage et son univers, que l'on aime tout de même retrouver dans une nouvelle aventure.
Une démarche originale dans la BD d'expression Française : on apprend enfin pourquoi les super-héros avaient depuis longtemps déserté l'Europe.
L'intégrale permet de mieux apprécier l'érudition des auteurs qui maitrisent tout un pan de la littérature d'aventure et de la science fiction du début du 20ème siècle. Jusqu'au final qui nous fait entrer de plein pied dans l'histoire avec un grand H. Terrifiant.
Ce retour à la terre est joyeux rafraichissant et surtout très drôle.
Le script parvient à tenir sur une demi page et le style minimaliste du dessin est expressif en diable. L'intégrale au format demi-planche est parfaitement adaptée au rythme de la série. En espérant que les autres tomes suivront...
Impressionnant d'invention et d'originalité. Les méchants et leurs horribles projets ne sont que des prétextes à nous faire (re)découvrir des personnages dont la psychologie évolue sans cesse. Le dessin retrouve toute la fantaisie des illustrations des Jules Verne de notre enfance. L'humour sarcastique et les détournements sont toujours présents et encore plus évidents dans les riches suppléments qu'offre cette intégrale. Un must to read!
Trois personnages originaux qui se jouent l'un de l'autre. Et il en va de même des second rôles. L'intrigue est prenante tout au long des trois tomes ici regroupés dans une intégrale qui offre en supplément des croquis de quelques planches. On comprend encore mieux l'apport du dessin. Une très belle réalisation.
3ème album de la série et quand même une déception après les deux premiers tomes où Parker se trouvait face à l'organisation.
Cela vient peut-etre du nombre important de truands nécessaire à la réalisation du multi-casse de l'intrigue. On y perd quelque peu notre héros.
Le graphisme est pourtant toujours en phase avec le ton iconoclaste de Stark/Westlake.
A noter la piètre qualité de la reliure. C'est le 3ème album où elle donne des signes de fatigue. Seulement après une lecture !
Troisième et dernier opus (?)
L'expression des pensées devient parfois abscons (notamment le texte de Lisa) mais la déchéance et le désarroi restent envoutant à nous mettre mal à l'aise, à l'image du dernier plan (case) où l'apaisement apparent ne devrait pas durer très longtemps... Un cauchemar déambulant où la vie est bien sombre. Une expérience.
Une série semi-realiste qui renoue avec l'iconoclasme et l'aventure débridée.
Les personnages n'ont pas encore tout révélé de leurs parcours et chacun se révèle bien différent de ce qu'il pouvait sembler au premier abord.
Le dessin est bluffant de maitrise : il s'agit d'un premier album !
Et les couleurs renforcent l'ensemble.
Une réussite.
Très belle conclusion pour ce diptyque rugueux et sans concessions.
Le minimalisme des dessins n'enlève rien à la profondeur de chacun des caractères. Bien au contraire, on est surpris que tant de simplicité dans le trait parvienne à nous emporter au coeur de l'ouest.
De la belle ouvrage.
L'histoire prend le temps d'installer les protagonistes qui se révèlent chacun au fil de l'album et le dessin minimaliste de Brüno fait encore des merveilles.
Implacable
Belle adaptation d'un roman de Jack London.
Des illustrations superbes renforcées par le monochrome de chacun des chapitres.
Dense
Plaisir gourmand de l'old school. Plus un album à regarder au coin du feu pour son classicisme et ses ambiances.
Pour le reste, l'histoire n'est pas transcendante et nos deux héros pas très perspicaces.
Question de fond : les auteurs sont-ils obligés de poursuivre une forme narrative qui a plus que vieillis, à la limite du hiéroglyphe, où le dessin est commenté et appuyé par un texte redondant ? Comme tout cela est fastidieux...
Avant toute chose un style et un sens des couleurs qui nous projettent dans un univers cohérent.
Après un prologue dramatique, le scénario est prenant et l'attente pour la suite bien installée.
Nous sommes bien loin des films de Hunebelle des années 60.
Questionnement : les citations des auteurs de la fin d'album sont-elles réelles ou inventées ?
Andreas est un styliste incomparable. Dessin, cadrage, encrage : ses pages se regardent et vous font perdre pied. On est totalement emporté dans un univers à part. Fascinant. L'histoire est plus difficile à appréhender. Il ne faut jamais lâcher prise. Un univers exigeant.
Comme toujours avec ce dessinateur, le minimalisme du trait de Brüno n'entache en rien la subtile "profondeur" du propos.
Une très belle intégrale.