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Envol : Bon épisode avec pas mal d'action et quelques révélations sur le passé du Vautour et des confrontations entre des personnages étant apparu dans la vie de Peter Parker à ses début également plaisantes à suivre.
Les blessures de la vie : Spiderman à moitier mort battu par le Rhino donne lieu à un retour en arrière dans le passé avec les souvenir de tante May à lépoque où Peter était un enfant et qu'elle jouait le rôle de mère surprotectrice.
Confession publique, Iktomi et Une précieuse amitié : Ce sont des épisodes bouche trou sympa certe mais vraiment pas indispensables. Dommage d'avoir remplacé amazing Spiderman pour ça dans ce numéro.
Très bon numéro et ce malgré le fait que les fameuses révélations sur Ion Man n'en soient pas vraiment. Cependant les facultés d'anticipations de Tony Stark sont mises en avant (d'ailleur avec de telles facultés il pourrait facilement gagner au loto toutes les semaines) et sont à priori à peu près égales à celle de Red Richard (même si pour ce dernier ça passe par des math).
On assiste à la naissance d'Omega Flight mais sans que ça ne laisse présager de la qualité futur de la série (en tout cas espérons que ce soit le même dessinateur qui soit au commandes).
6 personnes, un point commun. Tous des repris de justice, chacun dans leur domaine, "kidnappés" par une mystérieuse organisation, l'AKA, emmenée par 2 personnages non moins mystérieux. Ils vont devoir former une unité d'infiltration, mettre de côté leur ego, leur inimité pour s'en remettre aux autres...Mais sont ils vraiment en sûreté?
Akademy étonne. D'abord, à la première approche par son format mais surtout par la qualité de cette BD.
En effet, les dessins sont superbes, les couleurs sont harmonieuses et servent à merveille la création d'une atmosphère particulière. Les personnages sont rapidement différenciables, doté d'une personnalité bien définie. De l'Irlandais Ward, empêtré entre ses anciens compagnons d'armes et son nouvel "employeur" à Pyro et son frère, on en voit de toutes les couleurs dans un premier tome dynamique et qui permet de rentrer facilement dans l'histoire.
Bref, un très beau boulot fait par Anne Rouvin, Kepon et Thomas Blondel. On attend la suite et fin avec impatience
Le rêve est mort : Voilà un épisode qui ne laisse pas de marbre loin de là. Cet épisode est très fort et significatif avec une conclusion qui laisse le lecteur ébahit car on ne s'attendait vraiment pas à ça. Le meilleur épisode du magazine.
Révolution : Voilà un épisode pas mal même si je n'apprécie pas trop le dessin. On retrouve ici un personnage un peu laissé de côté jusqu'à maintenant : Ronin. On suis ce qu'il lui est arrivé pendant Civil war et à l'heure de la conclusion de la saga. C'est vraiment très bien traité e laisse entrevoir un avenir intéressant pour le personnage.
Partir ou rester ? Un épisode très calme des FF où au final on assiste à une rétrospective de l'équipe avec ce qu'elle représente pour les diverses personnes qui les connaissent. On aboutit au final à une nouvelle équipe à priori temporaire.
On retrouve Kibo 2 ans après le combat de son père contre Kiryu. Il combat maintenant dans des combats clandestins au profits des yakkusa afin de payer les frais d'hospitalisation de son père et de pratiquer le combat sans règle pour s'améliorer et pouvoir lui même affronter Kiryu. Début assez intéressant où l'on apprend quelques petites choses intéressantes mais les combats en eux même ne sont pas exceptionnels. Par contre la recontre contre un adversaire très fort s'annoncer et promet un tome deux bien meilleur.
Voilà une bonne série qui malgré quelques longueurs par moment, s'en sort plus qu'honnorablement avec un final émouvant à souhait. C'est un vrai plaisir de suivre l'apprentissage de Kibo futur héritier du nadashinkagé. Les scènes d'action sont très impressionantes et les combats forts intéressants. De plus on a pas affaire à une série où le héro gagne toujours tous ses combat devenant plus fort grace à la puissance de l'amitié et tout ça. Non Kibo est un personnage qui devient toujours plus fort car il déteste l'idée d'être faible et c'est sa propre vision qu'il a de lui même qui le pousse à se dépasser. Bref une bonne série à lire.
Je trouve que ce volume 4 est le meilleur de la série. Les dessins et les couleurs sont plus aboutis, les planches bien construites. Le scénario est plus lisible également et puis la rencontre entre Jasper et Nathan a enfin lieu sur Hope. Cette planète au nom si contradictoire car maudite pour l'homme qui y a été éradiqué. La poignée d'humains la fuyant à la fin du volume représente-t-elle un réel espoir pour Acriborea et l'humanité toute entière ? Bravo aux auteurs pour cet excellent épisode qui donne vraiment envie de lire la suite...
Ces trois volumes sont composés d'histoires bien sympathique où on retrouve la nostalgie du dessin animé. Globalement bien que cette petite série soit sympathique à lire je la conseille surtout à ceux qui avaient aimés le dessin animé et veulent retrouver cette ambiance. Pour les autres c'est largement dispensable.
Fin de l'enquête commencée par Goro pour trouver le saboteur de la station lunaire. Le déroulement de l'enquête et son aboutissement sont bien menés et la surprise de la fin est somme toute fort intéressante. Cette série nous mène de surprises en surprises. On ne sait jamais où l'on va vraiment mais chaque volume est passionant et nous étonne toujours davantage. Bien que le début de la série était pas terrible ça s'est tout de même très vite arrangé. Bon volume.
Encore un très bon volume certes essentiellement concentré sur les combats contre les montres de la tour des Châtiments. Ces combats vont avoir de grandes répercutions sur les personnages présents aux côtés de Guts à ce moment. Bref encore de grands moments en perspective.
Plus on avance dans l'intrigue avec son lot de révélation et plus on a de nouvelles zones d'ombres et de questions qui se posent. Ce volume n'échappe pas à la règle et on peut dire que niveau nouvelles questions et rebondissements halletants on est plus que servis. Le volume suivant se fait déjà attendre impatiemment.
Voilà un très bon album certes moins drôle que les précédent mais avec une intrigue des plus intéressantes à suivre et des évènements importants pour notre petite équipe. A noter aussi que le début de la finale est assez surprenant. Bref très bon album.
Fin d'un dyptique assez sympa mais loin d'être indispensable. En effet l'intrigue reste classique et sans surprise de bout en bout. Seul l'univers sympa et le dessin réussi sauvent la série. Bref rien de bien original ni d'extraordinaire.
Globalement il s'agit d'un album plutôt sympa avec des histoires courtes qui font voir Nävis sous un autre jour plutôt intéressant. De plus les styles de dessins sont plutôt intéressants et illustrent bien l'histoire développée.
Les vignettes de Rosinski sont magnifiques même si son style n'est toujours pas évident pour les visages. Mais ceux qui aiment la bd pour les dessins seront comblés. Au niveau scénario, le style Yves Sente change de celui de Van Hamme avec une narration plus littéraire, certains évènement étant racontés et non montrés, ce qui n'est pas très bd, mais si l'histoire n'est pas exceptionnelle (parcours initiatique avec épreuves et découverte de la nécessité de se serrer les coudes), des pistes sont lancés pour l'avenir sur la destinée de la lignée de Valnor qui pique la curiosité et font attendre la suite avec impatience.
Bref, on repique au truc !
Ce second volume est très réussi et nous entraîne de façon efficace dans la course poursuite engagée par le Professeur Mangiot et Myriam, la fille de son ami sur le sol américain pour échapper à des tueurs déterminés et brutaux. Ils sont protégés par ZED et épaulés par l'agent de la CIA Tina Smith. Le scénario mêle habilement passé et présent dans cette quête qui voit s'affronter des forces obscures. Le centre de cette intrigue semble être Andrés Balgani, entraperçu dans le premier volume où il sauve le jeune Victor père de Myriam. En effet, Andréa, contemporain et ami de Léonard de Vinci semble traverser les siècles sans vieillir. Les planches sont sont bien construites et confèrent une vraie crédibilité à l'histoire. Au risque de me répéter, vivement la suite !
On va se passer de commentaire sur cet album, encore un...
L'atmosphère n'est plus que l'ombre d'elle-même, même les scènes d'action ont un goût de réchauffé, alors que c'est pourtant le point fort de la série.
La tribu détentrice de la fameuse bactérie est bidon, et comme par hasard le Swip de l'époque passait par là, Zorro est arrivé, tralala tout va bien...
Alors que la fin retrouve un statut depuis longtemps perdu (environ cinq tomes). Action, suspense, une pointe d'humour, et une intensité impressionnante. Et coup de théatre suprême, ils arrivent en retard (pas vraiment étonnant...), et Lanfeust découvre son fils, qui, soit dit en passant, à son âge...
Voilà qui promet un tome 6 plus intéressant, avec des rapports...difficiles entre les personnages, et 16 ans de conséquences à découvrir.
Ok, on a bien plombé ce grand succès qu'est Lanfeust de Troy avec cette suite totalement inutile. L'idée en elle-même est pas mal, je le répète, et pourrait être même bien, si bien exploitée. Là, il fallait trouver un moyen pour faire aller nos héros sur la planète des gros méchants pas beaux. D'accord. Mais pas délirant please........ Une porte qui est là comme par hasard, le James Bond de la série qui arrive toujours à l'heure pour les aider, et même une pokéball pour la route... Du délire intégral. Au même titre que la gag nul sur "ta iti douche" qui dure, dure, avec une page entière consacrée à cette seule parodie ! Seul plus, on découvre l'origine du fameux Magohamoth du cycle de Troy. On aurait peut-être préféré ne pas la connaître et avoir ub autre album...
Je crois que là on touche le fond...
La série était pourtant pas trop mal partie... Un principe plus ou moins convenable, une histoire qui se tient. Mais là on dérive. Je dirai, plagiat de star wars. Le héros qui a le pouvoir de sauver la galaxie, le grand méchant qui commence à prendre le pouvoir absolu sous des dehors de bienfaiteur, la rébellion, l'assaut à la fin, et la destruction de la base rebelle... Comment? Star Wars IV?
Et puis quelle idée que celle du voyage dans le temps. Ca embrouille un scénario déjà chargé, entre les noms dot on n'a pas encore l'habitude, les gentils, les méchants, les méchants qui sont des gentils en vrai, mais qui en fait sont des méchants qui ont leur apparence et tout... Avec toujours les références plus ou moins évidentes à Star Wars, ici Moby Dick, et des jeux de mot vaseux...
Regain d'interêt. La trame de base apparaît au moins plus précise, mais l'humour n'est vraiment plus aussi subtil et bien dosé qu'avant; je dirai même franchement lourd, et de moins en moins discret. Les personnages principaux se détachent, le prince Delhuu, pas encore tout à fait démoniaque, Glace, bien qu'absente, dont on devine qu'elle va jouer un rôle, et toujours notre petite équipe, avec le Nicolède version Crustacé, en la personne de l'orgnobi Swip, l'érudit du groupe. A noter que certains que l'on pensait importants ne le sont pas vraiment, je parle évidemment de Blongo, qui disparaît avec un peu de légéreté à mon goût.
Bon, ça va encore; on comprend à peu près tout, et le niveau remonte un peu.
Hum, hum
Bon, on va rien dire de vraiment méchant, parce qu'on est civilisés, et que Lanfeust de Troy est vraiment sympa, mais pourquoi avoir continué la série?
Et comme ça en plus? Pas glop... Début poussif, avec un joli petit vaisseau qui débarque d'on ne sait où... Je sais qu'il ne peut pas y avoir d'action quand il faut présenter un tas de nouvelles données, mais on s'ennuie un peu. Beaucoup... Mais les décors, comme généralement dans l'univers de Tarquin, valent la peine de lire l'album. D'autant plus que l'espace offre de nouvelles possibilités, pas forcément bien exploitées par le scénario...
Enfin bon, ce tome de transition est très lent, et le scénario, bien que moins bon que ceux du cycle de Troy, ne laisse pas encore présager de la calamité des suivants. Autant ne pas commencer pour ne pas tomber de haut, très haut, ensuite.
Ellis et cassaday revisitent à leur façon et détournent (tout en s'arrangeant pour qu'on les reconnaisse) les pans de la culture populaire : les pulps des années 40 avec doc savage, fu manchu et le shadow, les monstres atomiques japonais à la godzilla et mothra, le polar de hong kong, les super-héros genre quatre fantastiques et consorts... et n'oublions pas que le héros elijah snow est un sosie de hugo pratt. La thématique omni-présente du multivers est une référence chère au romancier mickael moorcock, et l'ambiance assez surréaliste des récits (ainsi que le fait que les héros soient plus des observateurs que des acteurs) fait vraiment penser au style des aventures de jerry cornélius (un des quartiers londonien du tome 2 est appelé moorcock, c'en est presque un aveu, non ?) - Les deux auteurs sont arrivés à s'approprier toutes ces références et à créer un univers multi-référentiel très dense et absolument passionnant. A lire dans son ensemble, la série en étant à son 4ème tome publié en france...
Dottie croise la route de Snake Eyes, histoire d'amour ? Le passé la rattrape et elle est prise pour une autre...Le scénario est toujours servi par des planches très abouties. Dottie se sort encore des situations les plus tordues mais elle semble condamnée à rester seule. Les hommes qu'elle cotoie sont insaisissables... et pourtant quel caractère, qu'elle trempe et quelle silhouette ! Cet épisode nous plonge dans les années 70 où Joan Baez lors d'une interview et Jane Fonda lors "d'une wash protest" font la une des télés dans leur lutte contre la guerre au Vietnam. Rafraîchissant !
Ce troisième volume des aventures de notre tigresse blanche est toujours emprunt de malice et de second degré. Le petit clin d'oeil de la fiancée jalouse, Carole qui ressemble étrangement à la mère du gentleman anglais des deux premiers opus est savoureux. Bref se nouvel épisode se déguste de façon agréable mais il manque un peu du piment de Yann absent de cette réalisation.
Cette histoire est écrite et dessinée de façon originale et passionnante sur un sujet assez "rabaché", la guerre 14/18. Tout l'intérêt réside dans la découverte bien en amont de deux protagonistes de cette guerre lorsqu'ils sont enfants. A priori tous semble les séparer, l'un est blanc et vit en France et l'autre est noir et vit en Afrique près du Fleuve Sénégal. Pourtant ils se ressemblent un peu, ils sont tous les deux d'excellents chasseurs et ont des problèmes familiaux à régler. Je suis pressé de voir leur destin se croiser même dans le contexte abominable des tranchées... Cette BD est une oeuvre très personnelle et attachante...
L'histoire était bien partie, avec ce flic cherchant à découvrir ce village perdu et ses secrets.
Il rencontre des personnages loufoques, d'autres qui vont l'aider ou l'aimer, mais ce dernier tome fait un peu téléphoné et peu crédible ...
Les 2 premiers tomes étaient séduisants par le dessin, la mise en couleur, avec des flashbacks en noir et blanc et un dessin caricatural mais juste ce qu'il faut, ce 3ème tome est décevant, car il met un peut trop en avant la confusion de l'intrigue et la pauvreté de l'explication finale.
Cet album ne m'a pas fait rire comme les précédents : est-ce que la machine à gags se ralentit ?
rien à dire côté dessin, toujours très expressifs et faisant mouche, mais je suis resté sur ma faim côté gags
Après une période d'accalmie, mais du changement dans sa vie quand même, le tueur reprend du service ...
Ce nouveau tome est moins cynique que les précédents, et laisse transparaître plus d'humanité qu'auparavant chez le tueur, on attend maintenant d'en savoir un peu plus sur la boîte de Pandore qu'il a ouvert, et qui ne manquera pas de se refermer faisant du mal autour d'elle ...
Sente poursuit le scénario avec une bonne continuité.
On aurait pu croire que cela s'appelerait bientôt Jolan, mais sa famille n'est pas loin et sera peut-être amenée à intervenir par la suite ...
Longue vie à la famille Aegirson !
fantastique!!dés le départ l'histoire m'a passionné!!le dessin est vraiment bon...je conseille cet bd!!et j'ai plus que hate de connaitre la suite
bonne BD mais il manque quelque chose...du suspence peut être...de l'originalité...j'avais comme une impression de deja vu en la lisant.En tout cas quand arrive la fin on veut connaitre la suite c'est bon signe!!
exellente BD!!perso j'ai adoré, le dessin n'est pas "original" mais vraiment agréable, l'intrigue est au rendez vous en tout cas!!j'ai hate de voir la suite
Je n'avais jamais été intéressé par les vengeurs, les histoires étaient vraiment bateau et les dessins pas beaux (en tout cas les épisodes publiés en france dans les années 80, de quoi vous dégouter à jamais, ou presque). Ici, on parle des nouveaux vengeurs. Ah bon, des vengeurs nouvelle formule ? On remet tout à niveau, me suis-je interrogé ? Concernant l'histoire, on peut dire que le ménage a été fait : on tue un bon tiers de l'équipe, une autre partie décide de tout quitter et on garde juste le noyau dur de captain america et iron-man, en y rajoutant d'autres figures marvel (ahh, spider-woman !) - Un (petit) bémol, wolverine : j'ai encore l'impression de le voir partout celui-là ! Mais les histoires fonctionnent super bien, et ont un côté désabusé et réaliste qu'on ne trouvait à l'époque que chez les grands auteurs (miller, moore). Comme quoi, la barre est ici placée très haute. Une très belle renaissance.
C'est l'histoire d'un pauvre type solitaire vivant dans une banlieue sordide anglaise (pléonasme?) avec son chat adoré, sauf que ce type est un super agent de l'organisation secrête "la main" qui est chargée de nettoyer la merde du monde entier. Dit comme ça, l'histoire semble simple ; rajoutez donc un double du "héros" qui s'occupe (mal) de son chat pendant ses missions, un singe assassin du kgb fumeur de marijuana, un super héros de bd ayant franchi la barrière bi-dimensionelle de son monde pour venir littérallement "se fracasser" sur le notre (et encore, quand je dis notre monde, c'est juste pour avoir un point de référence), des spermatozoïdes tueurs géants, et j'en passe d'autres... En tout cas, c'est impossible à résumer (et parfois à comprendre) mais absolument irrévérencieux et jouissif à lire pour peu de bien vouloir se plonger dans ce délire de grant morrison superbement mis en image par chris weston et gary erskine (ces deux dessinateurs sont également responsables du sublime first family des quatre fantastiques).
A redécouvrir (l'album ayant presque trente ans, et les aventures relatées quarante), par un auteur des années soixantes indispensable mais assez peu publié en france : jim steranko, sorte de jack kirby sous acides, nous contant des aventures assez démentielles d'un nick fury sous influence de pop culture, récits d'espionnages décalés et semi-parodiques. Du tout bon pour amateur de comics estampilés 60's.
J'attendais un peu mieux, je crois. C'est sympa, ca se lit bien, le scénario est intéressant (Jason qui prépare son bateau pour aller chercher la toison d'or, Atalante veut etre du voyage, mais va devoir regler un probleme auparavant). Le dessin et les décors sont agréables. Un bon moment de BD au final.
Je viens d'acheter cet album, et je suis déçu du scénario. On a l'impression que les auteurs ont voulu terminé un 1er cycle en le bâclant . Le rythme haletant des deux premiers albums -que j'avais trouvé très bon- n'est plus présent; même le dessin est moins à la hauteur. Bref, je me suis ennuyé sur cette BD.
j'ai encore beaucoup aimé le dessin et j'ai trouvé le scénario très prenant jusqu'au bout. Bon, ok, on part un peu dans le fantastique mais ça reste malgré tout très réaliste dans l'irréel :-)
J'ai bien aime cette série, il faut dire que le sujet m'a plu d'emblée (cryptozoologie). Le scénario, qui se déroule au Congo dans les années 30, est bien mené, l'ambiance est bien rendue, les personnages (un primatologue, une étudiante en zoologie sur les traces de son père, et un paléontologue caractériel pas toujours honête) bien dépeints. Le bémol vient du dessin: manque de détails, de précisions dans les plans d'ensemble et les arrières-plans. J'avoue que cela m'a dérangé par moment.
Arrivé en Guyanne, Yann de Kermeur poursuit ses ennemis à travers un univers hostile en traversant forêt et mangrove. Il va tout faire afin de récupérer son navire et vaincre la machination du marquis de la Motte et de Hervé de Villenenuve.
Le dénouement final approche et cet album réussit à nous tenir en haleine du début à la fin. De la grande aventure !
Ma première approche n'était pas super, parce que je comprenais pas tout et
que je n'avais lu la série qu'une fois en cachette quand j'étais petit. Alors voila
pourquoi je disais ce que j'ai dit de cette série.
Mais après plusieurs lecture et relecture j'ai commencé à comprendre le
véritable sens et le chef d'oeuvres inestimés qui se cachait derrière la froideur
des deux premiers opus. Le traits de Bilal est, jusqu'à ce jour, le trait que j'aime
le plus, son dessin est un des plus maitrisé que j'ai vu. Son scénario prends
(plusieurs?) relecture avant d'être enfin saisi.
Alors voila ce que j'avais à dire de cette série qui se trouve à être un réel chef
d'oeuvre.
(Peut-être Bilal aurait-il dû continuer sa série sur la même longueur d'onde que
les deux premiers albums?)
Comme le disait le précédent avis, y'a une certaine ambiance...A part ça,
on capte assez vite l'intrigue et on s'emmerde quand même royalement pendant les 3/4 des 2 livres; à part quelques gentilles réflexions...
En plus (c'est pour l'ambiance, d'accord...), mais les couleurs (ou l'édition) y sont trop sombres : on y voit rien...(à New-York) et le dessin...pas si maîtrisé que ça, mais ça, ça me dérange moins.
L'histoire en elle-même aurait pu donner quelque chose, mais pour moi, la mayonnaise ne prend pas.
Si ce troisième volume de "Death Note" est principalement consacré aux combats mentaux délirants des deux génies que sont Light et de L., avec un premier véritable face à face - même symbolisé en un improbable match de tennis - qui étire jusqu'à l'extrême notre patience, et prend le risque d'épuiser la fascination de son sujet, le scénario effectue un spectaculaire redressement au 23è chapitre : brisant le principe qui tenait "Death Note" jusque là, en faisant disparaître Light de son rôle de personnage principal pour mieux nous faire vivre un nouvel évènement-clé (inexplicable sans la perspective offerte par Light, donc !), Tsugumi Ohba prouve son absolue virtuosité narrative, et relance notre intérêt pour une saga qui s'apparente bien aux meilleures séries TV US du moment : le coup de théâtre final redistribue les cartes, et donne une furieuse envie de passer immédiatement au tome 4.
Une bonne suite, à la hauteur du premier tome. Il faut parfois etre concentré pour bien se rendre compte de qui est qui, le dessin gagnerait a etre plus net, mais l'histoire est interessante et on suit les peregrinations d'Hisaya avec plaisir.
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Miss Endicott
T1 et 2
Signé Fourquemin, Derrien
Miss Endicott ( le titre!) narre les sacrifices des nuits d'une jeune gouvernante pour sauver les pauvres, ou à tout le moins, régler leurs soucis quotidiens. Un début prometteur qui peut tourner à la sainteté facile. On croise les doigts en espérant que ce ne soit pas le cas....
Un peu comme tous les héros et héroines qui font régner l'ordre et la justice en temps de paix, Prudence Endicott possède une double vie : gouvernante du jeune facétieux et trop curieux Kevin le jour, et conciliatrice comme le fut sa mère la nuit. L'amorce du titre, celle de Mrs Parks, est somme toute réussit. Le fait qu'il y ait comme un bruit de grattage allant de pair avec un préjugé met en place une relation de cause à effet jusqu'à l'apparition, et l'intervention du mari. Mais c'est là ou le titre est étrange parce que l'empathie ne vient pas de miss Endicott mais bien de Mrs Parks qui a remis en cause, une remodulation de, ce qu'elle pensait précédemment. Sauf que la mission accomplie de Miss Endicott se révèle, au final, peu méritante et très peu gratifiante. Sans aucun doute le développement le mieux réussit du titre. Ensuite.... ( vous y avez cru !!!)
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Je dois avouer que j’avais un apriori négatif sur cet album.
« Une opération marketing pour lancer Alice… » et bien oui, c’est une opération marketing comme on en redemande.
L’album est très beau, seul regret le DVD laisse un peu sur sa fin, j’aurais aimé y trouver une interview de Alice (celle-ci se trouvant dans les pages supplémentaires… 72 excusez du peu).
On ne sait pas trop où mène cette bd. Sûrement un exercice de style burlesque
où finalement, il n'y a rien à comprendre.
Si vous aimez le genre macabre et absurde, je ne saurais plus vous
recommander les CHRONIQUES ABSURDES qui ont la qualité d'être absolument
noires et presque malsaines, mais où on voit vraiment où l'auteur se dirige.
Je n'ai pas mal noté car dans le style, je n'ai jamais vu pareil imbroglio de
n'importe quoi!
Dans le talmud il y a une phrase qui dit: qui sauve une vie, sauve l'humanité.
Tout est donc résumé ici par cette phrase.
Une bd dure, qui effleure le monde dur des sans-abris qui choisissent de rester
dans la colère, l'aggressivité et la misère. La rencontre du noir et du blanc,
représenté par cette drôle de petite bonne femme qui a quitté son métier de
pharmacienne et erre où la mène les voix qu'elle entend.
Ces trois drôles d'oiseaux qui mènent des enquêtes aussi louches qu'eux n'ont
pas vraiment réussi à me faire embarquer complétement dans l'histoire. ce n'est
pas mauvais; mais on oublie aussi rapideemnt que c'est terminé. J'aimerais
cependant souligner le travail précis du crayon, le souligner car j'ai bien aimé la
différence avec les encres régulières et pré-programmées.
Les américains veulent absolument savoir pour qui travaille Lady S. et kidnappe son père pour le découvrir. Mais ils sont aussi mauvais que les faux époux Turenge et vont foirer lamentablement.
C'est pas forcément très crédible mais très agréable à lire, l'histoire est très bien menée et les dessins très accessibles. De la pure distraction de bonne qualité. Et cette idée de l'amicale des retraités espions est assez jubilatoire.
Les américains veulent absolument savoir pour qui travaille Lady S. et kidnappe son père pour le découvrir. Mais ils sont aussi mauvais que les faux époux Turenge et vont foirer lamentablement.
C'est pas forcément très crédible mais très agréable à lire, l'histoire est très bien menée et les dessins très accessibles. De la pure distraction de bonne qualité. Et cette idée de l'amicale des retraités espions est assez jubilatoire.
Lady S. se trouve encore malgré elle mêlé à une histoire de terrorisme et en plus elle tombe amoureuse du ''méchant''. Elle s'en tire encore grâce à la mystérieuse organisation qui l'emploie mais cette histoire ouvre des pistes pour le futur.
Agréable à lire et à regarder, on s'attache à notre héroïne et on a envie de savoir si elle va trouver des traces de sa famille dans les prochains épisodes.
Pas très crédible, cette histoire, mais Lady S. est bien charmante, alors on la suit.
Quelle histoire que celle de Shaniouchka ! Elle a bien du mérite à avoir survécu à toutes ces péripéties. Mais Van Hamme sait raconter des histoires et une fois qu'on est pris, on continue !
Ce n'est pas le meilleur Taniguchi, mais cette bd est très agréable à lire. On retruove rapidement l'atmosphère de Jiro Taniguchi. Une simplicité et une émotion qui nous replongent dans notre enfance. Un régal....
L'interview qui clos le volume nous permet d'appréhender un peu mieux l'auteur avec des questions relativement personnelles.
Voyage à Washington (2) * CW*: Suite du prologue à Civil War avec tony Stark et Spiderman au Sénat. Changement de dessinateur pour ce second volet qui est toujours aussi attrayant. On sent que les super-héros sont à l'aube d'un grand bouleversement. (3,5/5)
Danger (2): Les "hommes/animaux" sont de plus en plus en proie à des actes de colère , voire de rage... Pour le moment l'enquête n'avance pas énormément, mais est plaisante à suivre. (3,5/5)
Mascara contre Mascara (1): cela signifie "Masque contre masque". Spiderman a accepté d'affronter sur un ring un certain El Muerto. Le perdant devra enlever son masque. Dans l'ensemble un bon épisode.
La ligue des losers (4): Fin de l'arc. Nos joyeux "losers" se préparent à affronter Chronok pour sauver tous les héros Marvel. De l'humour et de l'action sont au sommaire de ce dernier chapitre. (3/5)
Un 10ème volet qui me laisse une impression mitigée. Peu d'action finalement et beaucoup de bonnes intentions voir d'autoflagellation. Nävis s'en veut, on le comprend, Heiliig s'en veut, on le conçoit, mais finalement les évènement s'embourbent un peu dans les bons sentiments. Un épisode de transition un peu statique en attendant le procès qui je l'espère, pour cette série sympa, va enfin déclencher le second souffle et éviter un retour de flamme de la part des lecteurs !
Alors que le premier tome (magnifique) transpire l'enfance, sa douceur, sa tendresse, sa naïveté. Alors qu'on se croirait presque au bord de la mer, l'ambiance et les senteurs étant presque palpables. Alors que le spiritisme n'est qu'en filigrane, on assiste dans la deuxième partie à un renversement radical. Exit l'ambiance, exit la douceur, exit donc cette douce alchimie pour se recentrer sur le filigrane devenu sujet quasi unique qui tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, un 5ème personnage quasi inutile, tout juste bon à clôturer une histoire si bien partie et qui finie dans le mur.
Le second volet de l'enquête d'Alexander Martin tient toutes ses promesses. L'intrigue est bien menée et les personnages très réussis (clins d'oeils fréquents à Tintin et aux colère du capitaine). On s'attache à Martin (dire Maartine...) son longfellow, oncle Henry et bien sûr l'ombrageuse Ayesha. Beaucoup d'action, de l'humour, un dénouement logique finalement avec la vengeance comme motivation. La fin laisse supposer que l'on reverra nos héros et c'est tant mieux !
Un premier tome vraiment prometteur, l'histoire et le destin croisés de deux enfants et de leur famille. Le dessin est superbe et les couleurs chaleureuses.
Ce premier tome d'introduction campe les personnages et l'histoire tout cela reste très dynamique on suit les 2 héros au fil des années alors que la premiere guerre mondiale approche.
Vivement la suite...
Une bonne adaptation BD de cette tragique histoire. Les dessins de Taniguchi sont toujours aussi merveilleux. C'est vrai régal
le scenario de cette bd n'espas terrible. Pour y trouver un intérêt, il faut connaitre Montbéliard et y découvrir un peu de son histoire en BD.
Grand amateur d'uchronie, je dois avouer m'être précipité sur ce premier album de cycle avec autant plus d'intérêt que la digression à partir de laquelle se fonde le récit (un III° Reich rapidement battu à l'Ouest par une alliance franco-britannique mais toujours en guerre contre l'URSS) n'avait, à ma connaissance, jamais été envisagée. Sa lecture m'a beaucoup déçu malheureusement. La faute n'en vient pas tant au dessin de Pilipovic qui illustre convenablement ces hypothétiques années 40 (quoique certaines vignettes donnent l'impression d'être franchement vides) ; mais plutôt du fait d'un scénario bâclé et affreusement fourre-tout. Bâclé dans le sens où le travail d'ambiance, d'approche, est réduit à sa plus simple expression. Le dirigeable "Charles de Gaulle" ayant disparu au dessus du Groenland, le journal France-Soir entend envoyer un reporter, Nestor Serge, enquêter alors qu'il se la coulait douce en vacances et hop c'est parti. A peine sort-il du bureau de la rédaction que ni une ni deux, tout et n'importe quoi lui tombe dessus. Soit, mais ce n'est pas sa gouaille à la Michel Audiard qui le rend plus sympathique... Et fourre-tout parce que si les ficèles de l'uchronie sont utilisées (Mitterrand au ministère de l'Armée, le colonel Rémy aux services spéciaux, etc.) ; il eût été plus intéressant d'en approfondir quelques unes pour mieux développer le monde et donner une cohérence (celle des auteurs) plutôt que de les aligner toutes. Pour un album intitulé "Ultima Thulé", le fatras s'annonçait lourd entre les véritables lycanthropes des commandos Werwölfes, la Waffen-SS tibétaine, les missions himalayennes des nazies à la recherche de le Terre-Creuse, etc. Enfin bon, peut-être qu'avec le tome deux???
J'adhere à l'avis précédent, cette b.d. se savoure bien. Mise en intrigue parfaite, huit clos en prison, et personnage principal attachant . J'aime bien aussi le dessin qui n'atteint pas la perfection et qui sonne artisanal...
Accompagner Dottie dans ses aventures est toujours une source de plaisir. Le scénario est comme il se doit en béton. Les personnages croqués de façon toujours aussi aboutie par BERTHET, se donnent la réplique à la manière YANN. Cette série loin de s'essouffler, semble renaître à chaque cycle. Ici le cadre de LAS VEGAS nous plonge dans un monde inattendu où nous croisons de drôles de coyottes !!!
Voyage à Washington (1) *CW*: C'est parti pour le prologue de CW. L'avenir proche de l'Univers va être très largement modifié, et c'est ici que ça commence. Bon tome d'introduction, Iron Man et son nouveau bras droit Spiderman s'apprêtent à partir au Sénat de Washington. (3,5/5)
Danger (1): Dans cet épisode de "The Sensational S-M", il semblerait qu'un étrange virus mettent à mal les êtres/animaux tels que SM, le Lézard... (3,5/5)
Le Blog: est un one-shot agréable à lire où SM harcèlerait une jeune fille. Notre ami S-M serait-il un pervers !!!??? Bien Sympathique. (3,5/5)
La ligue des Losers (3): N'ayant pas lu le début de l'aventure, il m'est difficile de donner un avis sur cette série. Il s'agit cependant d'une nouvelle aventure avec une machine à remonter le temps pour sauver cette fois-ci tous les supers-héros de l'univers Marvel? Pas une mince affaire pour des...losers... (2,5/5)
J'ai relu ce tome, que j'ai nettement mieux aimé à la seconde lecture. L'histoire est prenante, mais je déplore par moment le dessin, qui ne rend pas les détails dans les plans d'ensemble, et il faut parfois bien regarder la case pour bien saisir son contenu. Sinon, le scénario est bien construit.
Ce quatrième volet nous fait voyager de Brest à Cayenne. Durant cette traversée, qui n'est pas de tout repos, Yann de Kermeur fait tout afin de gagner du temps et rattraper le navire du marquis de la Motte et doit faire face à un mystérieux assassin.
Encore un album excellent. Une des toutes meilleures bd d'aventure !
Le deuxime volet des aventures de notre tigresse blanche tient toutes ses promesses. L'humour y est intact et les personnages hauts en couleur. Alix Yin Fu y est très efficace malgré sa tenue ultra légère et Francis FLAKE trop prisonnier de ses rapports avec une mère abusivement... abusive ! Les dessins et les dialogues servent parfaitement l'intrigue pour notre plus grand plaisir. Un plaisir subtil, comme un café ou plutôt un grand thé de chine.
La suite est bien meilleur que le tome précédent selon moi. C'est bien mené, les pèces du puzzle s'imbriquent bien, et surtout, les décors sont très beau (excellent dessin).
Un des meilleurs albums de la série, jusqu'à présent. J'ai bien aimé les décors (le Mont St Michel), l'histoire est intéressante sur un sujet qui tient bien la route. Le scénario traine un peu en longueur, critique que je fais pour la majorité des albumns de Lefranc. Un agréable moment de lecture.
Tres bon premier album!!! C'est frais drôle et distrayant, contrairement à beaucoup de titres sans saveurs qui sortent actuellement!!
Album à conseiller, Mrs Corboz tres sympa!!!
Comme le soulignait Christophe C, le premier album posait les bases de cette aventure médiévale féérique ! Mais alors dans le deuxième tome on est servi : le fantastique, le merveilleux, le mythologique nous transportent dans un monde de rêve qui pourrait être celui de notre enfance ! Paysages surprenants, créatures de l'Odyssée d'Ulysse, tout un petit monde s'agite autour de ce jeune héros qui cherche à retrouver son père ! Un album à conseiller à tous les grands enfants !
HA ! mon dieu que c'est beau ! Hé oui, Vehlman et Bonhomme forment un duo magistral ! La bête est bien plus qu'une histoire anodine sur le thème de la chasse, la bête c'est toute la représentation des croyances et des peurs des gens du XVIIIème siècle en Dauphiné et en Savoie ! Et puis le graphisme est superbe et très réaliste dans ses lignes montagneuses ! J'ai reconnu le lac d'Aiguebelette ! quelle sera la prochaine destination ? si vous avez un vieux manoir près de chez vous qui manque d'histoire, téléphonez aux auteurs !!
Une oeuvre magistrale dominée par une voix off qui nous donne des frissons de glace que la sensation intense de froid qui se dégage du dessin de Chabouté ne parvient certainement pas à apaiser. Comme quoi moi qui regrettais de laisser le clébard dehors quand il neige, je peux vous dire qu'à partir d'aujourd'hui ça va changer, le clebs DEHORS ! non mais !
excellent Bd , le dessin est magnifique , et l'histoire laisse présager quelque chose de bien.
Pas de surprise avec ce quatrième opus d'Hauteville-House qui clôt le cycle dans la droite ligne de son commencement. Le dessin est toujours aussi agréable servant bien ce monde au cadre et à l'ambiance Steampunk (hormis les scènes de batailles en vue panoramique qui ne sont pas du tout à mon goût) et l'intrigue de cette course-poursuite d'espions menée tambours battants mais somme toute très conventionnelle se dénoue de façon prévisible. C'est d'ailleurs le point faible de la série qui abuse un peu des poncifs du genre et ne s'attardent pas à mieux nuancer des personnages qui se partagent entre deux types d'archétypes, les gentils héros (qu'ils soient républicains français, rebelles mexicains ou unionistes américains) et les méchantes raclures (qu'elles servent Napoléon III, l'Empire mexicain ou la Confédération). Cela dit, le ton léger et le style efficace rendent la lecture de ce premier cycle (puisqu'à priori il semble évident qu'une suite lui sera donné) vraiment très plaisante.
Une oeuvre difficilement classable tant elle emprunte à différents genres : Road movies, thriller, polar, drame ...
Mais une chose est sure, on peut la classer dans les grandes BDs parues en 2007.
Merci KSTR.
Ça ne faiblit pas, sur la même lancé que le 1er tome, ce genre de BD , pour moi, ils peuvent en faire je suis preneur
bonne série , j'aime ce genre de dessins, les histoire sont sympas, mais il me manque un truc pour vraiment adoré
Une nouvelle fois , hormis le dessin pas assez régulier, une série pas assez connu mais une fois que l'on a goutté ......
tous aussi canon que le premier a ne pas loupé, indispensable
Alors la, personnellement j'ai adoré, cela nous rappelle les BD de notre jeunesse, gros papier, planches mats,beaucoup de lecture ( bonne odeur sur les albuns neufs ) ect.. les dessins sont pas trop terribles par moments, mais regarder biens, pas mal de personnages vous rappellerons des acteurs des années 60, ou d'autres personnalité, a vous de chercher, senorio tiens bien la route, bref album presque parfait ( dommage le dessins )
Très intéressant, la suite se tiens un peu de longueur qui fait nous impatienter pour la suite ( en espérant qu'il n'y aura pas 24 tomes )
autant le tome1 ne ma pas laissé indifférent autant celui ci ma tout simplement fait Ch... les dessin sont trés trés moyens , couleur bof, senar,pas mieux
Un agent de la CIA en France, c'est un genre difficile à avaler !
Depuis le fameux kidnapping de son père, on protège la mystérieuse S. contre tous les espions.
En tous cas, le dernier tome est bien facilement rythmé par Van Hamme, comme à son habitude, et toujours aussi impeccable qu'original en parlant des planches d'Aymond.
Ce troisième album est un chef d'oeuvre de la bd d'aventure ! Le scénario est parfait : on en apprend un peu plus sur les intentions du vrai meurtrier et en même temps le mystère s'épaissit autour d'un trésor qui serait enterré en Guyanne. Le dessin de Pellerin accompagne le tout de façon magistrale.
Yann de Kermeur est toujours en fuite après avoir été accusé d'un crime. Depuis son repère il essaye de se sortir des griffes du marquis de la Motte.
Un deuxième album qui tient toutes ses promesses. Les dessins et le scénario sont toujours aussi impécables.
GENIAL : Delitte dessine très bien, même si l’on confond parfois ses différents personnages ; et Convard a mitonné un scénario du diable : ce dernier intervient pour mettre en place les conditions de survenue de la première guerre mondiale pour s’enrichir ! Effrayant de crédibilité.
Au XVII e siècle, en Bretagne, le jeune Yann de Kermeur, marin réputé mais ancien galérien, est accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis.
Une mise-en-bouche très réussie pour cette série très prometteuse. Ce premier album alterne à merveille action et intrigue. Le scénario de Patrice Pellerin est très "carré" ainsi que ses dessins.
Un album sur l'enfance, ses souvenirs et son rôle sur la vie d'adulte. Une composition graphique atypique et protéiforme (photo, dessin, collage, touches de peinture) pouvant en rebuter plus d'un.
Toutefois, pour qui aime le sujet de l'enfance, cette oeuvre est à parcourir (voire plus).
"Le soleil naît derrière le Louvre" est certainement l'un des Nestor Burma les plus déçevants. Si notre détective national est toujours aussi attachant et aussi imparfait, le scénario reste un peu plat pour un Nestor Burma. Le dessin de Moynot n'est pas mauvais.
A la page 79 de l'album, l'éditeur, qui a le culot de le vendre 50 francs en 1982,
remercie diverses institutions de lui avoir permis de "reconstituer l'Oeuvre (avec une majuscule, s'il vous plait) grandiose (pourquoi pas, les superlatifs inappropriés ne coûtent rien) de Enki Bilal".
D'abord le livre est rempli de vide.
Ensuite, je ne trouve rien de bien à "l'Oeuvre" de cet auteur. Ni le dessin, ni le contenu des histoires, ni l'esprit qui les anime.
Grandiose, vous avez dit grandiose...
Le sombre héros "Long John Silver", vu dans l'"ile au trésor",repart avec un équipage en quête de la mythique cité de Guyanacapac. Peu en reviendront...
Ce premier tome est extremement prometteur, l'ambiance est oppressante et glock! J'attend la suite avec impatience...
En ouvrant la BD ma première réaction fut assez négative causé par le dessin, mais en creusant le scénart est costaud et on s'habitue rapidement au graphisme. En la refermant on a hate d'attaquer la seconde!
Cette série est irréprochable, le scénart est une tuerie. Quand on ouvre le tome 1 qu'on lit quelques pages, on sait déjà que c'est du bon. Quand on ouvre le tome 2 qu'on lit quelques pages, on s'apperçoit que c'est du trés bon...ainsi de suite jusqu'à la fin.
Magistral!!!
Cet album, qui est chronologiquement antérieur aux autres, reste un indispensable même si Yslaire n'est plus au dessin, son influence est toujours trés présente. L'atmosphére est pesante, appuyée par la noirceur du passé de la famille "Sambre"!
Encore une fois du trés lourd!!!
Très bon album !
Comme Van Hamme et Sente, Thorgal se repose et c'est Jolan qui se lance dans ses premières aventures avec ses trois nouveaux amis rencontrés, l'un après l'autre, dans un autre monde. Beaucoup de surprises y sont réservées.
Toujours appliqués de la peinture, les planches du grand Rosinski restent fidèles, accompagnées de bulles de la part d'Yves Sente qui s'en sort bien.
Pour ceux qui ne connaissait pas Yves Swolfs voilà une bonne entrée en matière, la série s'annonce prometteuse. Si vous avez apprécié, vous apprécierez aussi "Le prince de la nuit"
Un album supplémentaire n'aurait pas été de trop pour achever cette bonne série, la fin est un peu trop rapide à mon gout, ce qui entache quelque peu la qualité de l'ouvrage!!