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Bonne surprise que ce Juge Bao. Petit format, petit prix mais très bonne histoire et dessins très réussis.
L'histoire est bien menée, pas de temps mort et on attend avec impatience les autres aventures du juge et de son équipe.
Le seul reproche ou plutôt la seule difficulté dans la lecture est de bien reconnaître les différents personnages....
Chamza se retrouve à l'hôpital où elle est retenue prisonnière et où on lui a greffé des caméras dans les yeux qui permettent aux services secrets américains de suivre ses faits et gestes pour remonter jusqu'à l'émir des lumières.
L'intrigue se complique de plus en plus mais on reste accroché au destin de nos héroïnes qui sont plongés dans la lutte entre terroriste, d'autant qu'on ne sait pas qui sont les bons et les méchants.
Les dessins sont froids et glaçant à l'image de ce récit qui reste palpitant même s'il faut quelquefois un peu d'effort pour comprendre ce qui se passe, surtout à la fin.
A lire et à suivre.
Dessin toujours impeccable de la part de Bengal : trait épuré et rendu parfait du mouvement, couleurs subtiles et ambiance dont je ne me lasse pas. Au niveau du scénario, j'ai préféré la seconde partie de l'album, qui apporte son lot de révélations et de retournements de situations, à une première partie qui fonctionne en déroulé, d'une manière plaisante mais un peu répétitive. Le cliffhanger final rend en tout cas impatient de découvrir le dénouement de la série, qui restera quoi qu'il advienne une série de qualité au ton très original. A découvrir si ce n'est déjà fait.
Lecture agréable en ce qui me concerne. Dessin sans surprise mais parfaitement maîtrisé de Berthet, qui mêle habilement le côté rétro d'un Pin-up avec le côté futuriste d'un Yoni. Scénario hyper-huilé de Duval, rien à redire, en attendant que les personnages gagnent un peu en épaisseur.
Un T2 dans la lignée du premier. Dessin réaliste très correct et histoire fort bien tournée. L'impression tout de même que les auteurs ont dû forcer pour tout faire tenir en un album, même avec une pagination plus importante que pour le premier tome, et que certains raccourcis sont empruntés. Pour le reste, on retrouve le cocktail action-technologie des débuts, toujours aussi efficace, avec un brin d'humour et des personnages intéressants. Bref, une fin un peu précipitée mais une série qui tient ses promesses après une longue attente depuis le T1..
Il est indéniable que ce second volume de la saga "Il Était Une Fois en France" est moins impressionnant que le premier, Nury et Vallée abandonnant la narration sophistiquée en flash backs qui faisait quand même une partie de l'attrait de celui-ci, pour se concentrer sur le récit beaucoup plus classique de la période la plus noire de notre Histoire, celle de l'Occupation et de la collaboration. Et il faut bien avouer que le scénario de Nury, que l'on sent a priori bien arrimé à un travail de recherche sérieux, ne ménage guère notre sensibilité et nos (possibles dernières) illusions : on est ici dans le royaume du Mal à l'état pur, et ·Le Vol Noir des Corbeaux" nous propose une mémorable galerie de personnages ignobles, qui, quelque part dédouanent au final Joanovici du jeu aussi dangereux que répugnant auquel il se livre (s'enrichir tout en survivant à l'Holocauste qui se met en branle). Il y a indiscutablement un risque - assumé par les auteurs - quand on travaille autant dans l'ambigüité de personnages auxquels, forcément, le lecteur s'attache, et ce flux permanent de paradoxes (Joanovici, autant sauveur que détrousseur de juifs, aussi mauvais père de famille qu'amant fidèle, plus profiteur que collaborateur ?) fait largement l'intérêt de ce livre. On ajoutera enfin que le dessin de Vallée a pris de l'assurance depuis le premier tome, même si on reste quand même dans une illustration traditionnelle du récit, un tantinet studieuse.
Voici un livre, largement célébré par la presse et dans les festivals, qui m'a laissé songeur. Pas dubitatif, non… songeur ! Alors, chef d'œuvre au quatrième degré, ou simple blague potache un peu en roue libre ? Pas facile de trancher, car si l'on comprend bien la mécanique originale, maligne, mise en branle par Joe Daly, s'inspirant finement des règles assez crétines (il faut bien le dire) des jeux vidéo, on peine un peu à savoir où il veut nous emmener. Vers une critique décalée du comportement des ados, n'utilisant leurs talents que pour se livrer à des jeux décérébrés et des commentaires méchants ? Ce ne serait alors pas grand-chose : ni original, ni vraiment drôle, ce genre de pamphlet tomberait bien à plat. Entraîner au contraire ses lecteurs dans un monde aussi inquiétant que fascinant, à la manière des grands artistes américains du moment (on pense à Charles Burns, évidemment..) ? Pour cela, "Dungeon Quest" manque encore un peu de consistance comme de profondeur. Tomber franchement dans le délire décalé genre Pierre La Police ? On n'y est pas encore, même si on frôle ce genre "d'extrêmes" par instants ("Et pourquoi la bite de Lash se met en tire-bouchon dans son calbut ?" : voilà une question qui mérite d'être posée, non ?). Pour le moment, Joe Daly reste un peu flottant entre tous ces "scénarios". Il va falloir poursuivre le jeu de rôle avec lui pour avoir des réponses… Ou pas.
Autant le reconnaître tout de suite, même s'il s'inspire clairement de la démarche de Marjane Satrapi, "Marzi" n'est pas "Persepolis" : plus que l'exotisme (la Pologne de Walesza est quand même moins "fascinante" que la révolution iranienne, c'est un peu injuste, mais c'est ainsi), c'est le souffle poétique inégalable de Satrapi qui fait ici défaut. On comprends que Savoia et Sowa s'attachent à mélanger le quotidien somme toute ordinaire d'une petite fille - si semblable à celui de n'importe quelle autre dans le monde : ses jeux, ses rêves, ses désirs, ses rapports avec ses parents - avec la "grande histoire" (Tchernobyl, les privations inhérentes au système communiste, la peur qui régit la société) -, afin de créer en nous l'empathie nécessaire à accompagner Marzi dans son ouverture d'enfant au monde. Pourtant, quelque chose dans l'équilibre entre les deux ne fonctionne pas tout-à-fait, et une certaine banalité dilue l'effet émotionnel - de la tendresse et de l'émotion, c'est bien, mais ça reste un peu court - de ce premier tome, pas aidé par un dessin efficace mais relativement passe-partout. On attend mieux de la suite, qui raconte l'affrontement de 1989.
Après le très documenté et prodigieux c'était la guerre des tranchées, Tardi en remet une couche et va encore plus loin : chaque dessin, chaque commentaire est un pamphlet contre l'absurdité guerrière ! On est plongé au coeur de l'horreur dans toute la splendeur de la connerie humaine ! à faire étudier à tous les lycéens ou même collégiens pour ne pas oublier... et ne jamais recommencer...
Encore un formidable hommage aux pulp's des années 50 , avec , comme souvent chez Moore, des références à l'industrie du comics books .
Et bien plus ...beaucoup plus ....(la preuve dans mes liens)
Pour répondre à Tyc et sa "pauvre" ligne en guise d'avis , voici :
http://forum.superpouvoir.com/showthread.php?t=13988&highlight=Tom+Strong
http://forum.superpouvoir.com/showthread.php?t=13998&highlight=Tom+Strong
http://forum.superpouvoir.com/showthread.php?t=13999&highlight=Tom+Strong
Et oui , faut faire marcher son cerveau avec Moore , pas évident pour tout le monde apparemment....
une histoire super ..... un seul problème .... quand on a lu le tome 1 et si le 2 n'est pas à portée : il faut rouver un magasin pour l'acheter ... un dessin top qui cadre merveilleusement avec l'histoire !!! .....
Rubine continue son bout de chemin et c'est tant mieux !
Suite et fin du dyptique entamé avec le tome 11 avec de nombreuses surprises à la fin.
Rubine reste un personnage attachant, autant sexy qu'avec un caractère bien trempé (comme l'acier de son inséparable pistolet). Des thrillers comme cela, personnellement j'en redemande ! :)
Relire ce 1er album reste un véritable plaisir. Et, même si la lecture se fait plus critique au fil des années, la magie demeure intacte.
Ribera et Godard nous ont ainsi livré, avec un bonheur parfois inégal, plus de 30 albums à la créativité (toujours) débridée et aux scénarii parfois (délicieusement) transgressifs.
Et s’il existait vraiment un monde au-delà des rêves ?
excellente mise en bouche que ce premier tome !!!! pour une fois que l'histoire m'interesse . j'aime aussi beaucoup ces nouvelles mises en pages moins strictes qu'à l'habitude .... attemtion ce pendant , on s'y perd parfois : dommage !
Que c'est bô. Que c'est bien fait.
Mes yeux sont en admiration devant les dessins des "modèles". La taille de l'ouvrage permet d'avoir des dessins format A4, donc ça explose aux yeux. Le rendu est parfait et l'effet métallique du livre est une réussite. J'y croyait absolument pas... mais ça marche.
Un faible pour Adèle et Dita... et le magnifique Gee Bee.
Superbe ouvrage.
Seizième opus des aventures de Largo Winch, « La Voie et la Vertu » clôt le diptyque initié avec le précédent épisode.
Lors du tome 15, nous avions laissé notre héros milliardaire dans une situation fort délicate au fond d'une geôle tibétaine. Homme de parole, Largo s'est mis en frais pour honorer une dette contractée auprès d'une triade lors des aventures relatées dans « La Forteresse de Makiling » et « L'Heure du Tigre ».
Au niveau du scénario, Jean Van Hamme nous livre un schéma classique à base de complots et autres faux semblants qui réserve malgré tout son lot de rebondissements. Néanmoins, le scénariste s'est tout de même laissé aller à quelques grosses ficelles qui ont le mérite de mettre les protagonistes dans des situations palpitantes, mais peuvent faire douter de la vraisemblance du récit. Du coup, l'intrigue que j'avais trouvée très intéressante lors du précédent tome se dénoue de façon précipitée.
Le dessin de Philippe FRANCQ reste l'un des atouts majeurs de cette série. Le trait est toujours aussi bon avec des cases très détaillées qui donneraient envie de découvrir la ville de Hong Kong. Un sans faute.
En conclusion, « La Voie et la Vertu » constitue un bon divertissement qui permet de passer un agréable, mais rapide, moment de lecture.
Avec le Dossier Léda, Agnès et Jean-Claude Bartoll invitent le lecteur à suivre les aventures de « L'Agence », une organisation engagée contre le trafic d'œuvres d'art. Le postulat de base est plutôt original car ce thème n'avait pour le moment guère été abordé.
Ainsi, nous suivons l'évolution d'une équipe énigmatique composée de quatre agents, style "Mission Impossible", dont les moyens semblent presque illimités (matériels high-tech, jet privé et QG à l'avenant). Au fil de leurs pérégrinations, les protagonistes nous emmènent dans diverses villes du monde telles Paris, Londres, Venise ou Hong-Kong afin de mieux nous faire sentir le coté international des malversations. Les scénaristes nous livrent un récit captivant agrémenté de rappels historiques qui renforcent la cohérence de l’enquête.
Après « Mortelle Riviera », Jean-Claude Bartoll fait de nouveau appel à Thomas Legrain pour signer les dessins de sa nouvelle série. Pour l'une de ses premières réalisations, ce jeune auteur s'en tire plutôt pas mal avec un trait classique et réaliste. Les planches sont bien découpées et la mise en couleur assez réussie. Les décors et autres sites d'action sont bien rendus et favorisent l'entrée du lecteur dans l'histoire. Le seul petit reproche portera sur l'expressivité des personnages qui pourra être améliorée par Thomas Legrain au fur et à mesure de ses prochaines productions.
Au final, une première aventure divertissante bouclée en un seul tome.
Cette série en général (pas seulement cet album) est un chef-d'oeuvre.
Pierre Dupuis a un talent incroyable pour mélanger les anecdotes et l'histoire.
Attention, les rééditions (et particulièrement celles dont le titre n'est pas exactement le même que l'original, possèdent des contenant parfois forts différents de l'original).
Il faut donc avoir les 2 séries, EO et Ré, pour avoir le tout.
Fin du tryptique en apothéose.
Scénario toujours bien léché et dessins de bonne qualité font la richesse de cette BD. Le coté bizarre et polar noir en plus.
A découvrir pour tout amateur d'étrange.
7/10.
Ce deuxième tome est plus confus dans son scénario, on a du mal à comprendre les relations entre les personnages et ou l'auteur veut nous emmener.
Reste la qualité des dessins et le petit plus qui nous scotche à cette série.
6/10.
j'ai beaucoup aimé ce premier tome.
Le scénario est impeccable et on prend plaisir à suivre l'intrigue.
Les dessins sont de bonne qualité.
Bref l'ensemble est bien réalisé et on attend impatiamment la suite.
8/10.
Excellent ! Cela fait plaisir de voir des fumetti publiés.
Dampyr est d'une excellente qualité et renoue le genre des vampires avec des subtilités que tous les "spécialistes" en gousse d'ail et pieux sauront apprécier.
Ce premier tome fixe les bases de la série, même si de nombreuses surprises sont à venir dans les prochains tomes.
Bref, un tome rafraîchissant et loin d'être coagulant ! :)
Ouvrage très pauvre
Monde pas super original : le ghetto, légèrement futuriste mais sans réels ajouts par rapport à notre monde contemporain.
Le graphisme est bon, même si je le trouve un peu froid (c'est juste mon opinion)
Beaucoup de baston, assez mal mises en scène.
Les ennemis du héros sont des champions de free fight, mais se battent avec des armes à feu...On voit que l'auteur surf sur la mouvance boxe thai, free fight, ju-jitsu brésilien actuelle, mais sans en tirer profit pour son récit.
Le héros se transforme en grosse bète quand on l'énerve, l'auteur ne dévoile jamais la cause de ces transformations...
L'intrigue tient en deux lignes : un dealer tue ses ennemis et progresse dans le milieu, sans jamais se remettre en cause alors que ses pouvoirs lui en donnent les moyens.
Donc bd pauvre, monde sans âme, scénario très pauvre
Très bel album, comme le reste de la série, cependant, queelqu'un pourrait-il me dire si est normal qu'une page sur deux Celine Mongeaix s'appelle Cécile, comme page 11 et page 45 ?
Y aurait-il un détail que j'ai manqué, ou une subtilité restée incomprise ?!
En effet, ce troisième tome nous mène au coeur d'Antarès. La petite équipe de Kim tente de rejoindre à leurs risques et périls le camp de base (où je rappelle séjourne une bande de fous fanatiques, rien n'est simple !). A leurs risques et périls, parce qu'il n'est pas aisé de se promener sur une planète inconnue et légèrement farouche !! Rassurrez-vous, Leo n'est pas en panne d'imagination lorsqu'il s'agit d'étoffer le bestiaire, le contraire aurait d'ailleurs été étonnant !!
Côté scénario, Leo parsème le récit de mystère et de points d'interrogation. Mystère quant à la nature d'une partie de la jungle et points d'interrogation quant aux comportements de certains persos.
A propos du mystère principal de la planète (à savoir, la disparition subite de mammifères) Leo lève un coin du voile et semble nous promettre une suite assez intense !!
J'ai cependant une réserve. Certains dialogues (les sentimentaux) ne sont pas très spontanés et gênent la lecture (je trouve).
Après leur accident, le retour de Kim et de son groupe n'est pas de tout repos à travers cette nature qui se révèle très hostile. Et les rapports humains ne sont pas simples non plus.
Même si l'histoire n'avance pas beaucoup puisqu'on est toujours dans le voyage, Léo sait distiller des péripéties et nous faire découvrir de nouvelles faunes qui nous captivent. Et les dessins très réalistes les servent bien, même si les personnages ne sont pas toujours très réussis.
Au total cette série reste très agréable à lire et ne nous lasse pas encore même si c'est toujours un peu la même chose.
A suivre donc.
Pour les grands fans de Tardi, il revisite un polar noir de Manchette et quelle réussite !!!!
Je ne vais rien dire sur l'histoire car il faut découvrir par soi-même cette oeuvre géniale sur "Georges GERFAUT qui roule à 145 km/h sur le périphérique, à trois heures un quart du matin après cinq verres de bourbon FOUR ROSES...."
Ce polar est excellent sur le plan de l'histoire. Burma prend une sacré cuite comme à son habitude et élucide une affaire sordide.
Par contre, graphiquement Tardi a mieux fait sur d'autres tomes de Burma.
A conseiller aux inconditionnels du Privé.
Nestor Burma est dans le 17éme arrondissement mais par contre ce n'est pas Tardi au dessin mais Moynot et cela se ressent. Cette histoire est en couleur et on regrette le temps des Burma en N&B. L'intrigue est bonne mais ce n'est pas le meilleur Burma.
Pour les inconditionnels du détective. Pour les autres, il faut en lire d'autres avant...
Toujours la même famille, toujours les mêmes délires mais ce tome est plus réussi que le précédent surtout avec toutes les petites histoires sur le Pére Noël où comment faire durer le mystère pour la petite soeur de Pico.
Et comme le dit Pico : "Oui, je suis affreux et pourtant je recevrais des cadeaux. C'est la magie de Noël !"
Et on retrouve toute la famille de Pico Bogue ainsi que les ingrédients sarcastiques qui ont fait le succés du tome 1.
Ce tome est un peu moins réussi que le premier, certainement dû à un effet de surprise moins pronocé.
Et comme le dit Pico : 'Malgré tout, je garde un air indéfinissable'
Le voyage se termine pour He Pao qui chemine désormais vers l’Europe.
Graphiquement, le recours à l’aquarelle fait tout le charme et l’attrait de cet album. Et même si la physionomie des personnages est parfois changeante, l’album est superbe : à noter la présence récurrente des dessins pleine page qui sont toujours aussi réussis.
Un regret cependant, le scénario, volontairement centré sur 4 des escales mythiques de la Route de la Soie, aurait pu donné lieu à autant d’albums…
Tout récit a cependant une fin, celui de He Pao doit-il finalement se terminer dans une Europe dont elle ignore tout ?
Comme le premier tome, tout est excellent (surtout la course poursuite entre allemands et les GI's). Rien à redire, à part peut être la fin un peu trop 'Happy End'.
Une seule chose à retenir :'On finira tous par mourir. Simple question de temps...'
Cette histoire est excellente. Les dessins sont dans la lignée d'un Gibrat.
On découvre le destin de ses hommes enrôlés du côté allemand sans le vouloir, des américains perdus en plein coeur d'un village français et des résistants français prêts à tout pour retourver une France libre.
Le fait d'avoir en deux tomes bouclée cette histoire est une réussite. Je conseille vivement ce livre à tous les amateurs du genre.
Au Moyen Orient, un autre type de kamikazes, des femmes fanatiques prêtes à tout pour faire passer leur message. Entre enquête policière et conflit international, un policier remonte une filière où ce qu'il découvrira n'en sera que plus dur à supporter....
Très bon premier tome, avec une intrigue qui se met en place. A suivre...
Encore une réussite et même mieux que les précédents. Les personnages secondaires commencent à prendre de l'importance et plusieurs histoires se développent.
La scéne du train est excellent digne de Mission Impossible. A suivre et très vite...
Cette suite est du même niveau que le tome un. Toujours bien rythmée, on découre le monde du sous-sol, mélangé de fées, gobelins, trolls et autre banshee. Nigel commence à assumer son nouveau rôle et il est toujours contraint à éviter les ennemis en chapeau melon (digne de John Steed). Le dessin est toujours aussi réussi et coloré.
L'histoire démarre à plein régime. Un peu comme dans Matrix, Nigel est l'élu mais il devra déjouer de nombreux pièges avant de comprendre ce qui lui arrive. Trés bonne série, à la frontière entre les comics et l'héroïc fantasy. A suivre...
L'histoire démarre à plein régime. Un peu comme dans Matrix, Nigel est l'élu mais il devra déjouer de nombreux pièges avant de comprendre ce qui lui arrive. Trés bonne série, à la frontière entre les comics et l'héroïc fantasy. A suivre...
Cette histoire retrace un épisode de la vie de Taras Boulba partant à la guerre avec ses deux fils aux caractéres bien différents. La suite est toute traçée entre le fils aînée,futur guerrier et chef, et le second, amoureux de la fiancée impossible et peu enclin à guerroyer.
Hormis les planches sur les pensées parralléles du pére et des deux frères bien réussies par l'auteur, cette oeuvre n'est pas très attractive certainement dû à des dessins manquant d'originalité et un scénario peu fouillé.
Moi , j'adore ces petites histoires fantastiques qui sont sublimes .Les dessins des "monstres " , des loups et autres lutins sont plus que reussis et que dire de ces petits contes geniaux d'idees qui se lisent avec delectation.
Cette histoire dans la France profonde des paysans avec ses croyances , ses mysteres est prenante .Le dessin avec des decors sublimes de campagne , des gros plans saisissants nous interesse à suivre ce jeune garcon .
J'ai été étonné de cette intrigante enquète.
Le fait de voir Richard, le père de Ric, en plus jeune en 1938, dans une enquète qui reprend 35 ans plus tard.
J'ai vraiment passé un agréable moment à lire cette enquète dans le passé.
Mathilde a 25 ans, caissière dans un super marché après une licence de lettres, se pose des questions sur sa relation avec son ami d'enfance en rêvant toujours d'être écrivaine.
On prend de l'intérêt à l'histoire de Mathilde qui raconte ses questions et ses espoirs. Le dessin style manga est frais mais pas très réaliste, on ne sait par exemple pas voir quel âge ont les gens.
A suivre pour voir si ça reste digne d'intérêt, le rebondissement de la fin étant un peu trop téléphoné pour être crédible.
Une entrée en matière peu satisfaisante pour ma part. Le début de ce scénario est du "déjà vu et revu": un hacker qui se faufile dans un jeu virtuel (Back World) et qui veut découvrir la vérité d'un complot qui tourne donc autour de ce jeu.
Cela n'a rien de nouveau et d'original. Ce début d'histoire est donc sans surprise avec des scènes qui s'enchainent trop facilement. De plus, ce premier tome se lit trop rapidement.
Mais parait-il que la suite s'annonce plus captivante et interessante, donc ne s'arrêtons pas à ce premier volet introductif.
A suivre...
5/10
Hatshepsout princesse d'Egypte est une bande-dessinée vraiment originale. En effet, en plus d'être un manga français vraiment crédible (le dessin de Cédric Tchao est très maîtrisé), Hatshepsout princesse d'Egypte évoque une période assez rare dans les mangas : l'Egypte antique. L'histoire est très intéressante et un petit dossier en fin de volume nous permet d'en savoir plus sur Hatshepsout et sur les coutumes égyptiennes.
Un mélange d'histoire, hastings et sa fameuse bataille, une période de l'incessante bataille avec nos voisins anglois, avec un fil rouge qui est un mystérieux parchemin pouvant mettre à mal la chrétienté (oui oui je sais une fois de plus), et vous obtenez grace au talent de Fabrice David et aux somptueux dessins de Jaime Calderon un très intéressant premier tome. A voir ce que cela donnera sur les 4 tomes de la série. En tout cas, on attend impatiemment le tome 2. A noter un dessin de couverture absolument génial. On ne s'en lasse pas.
Cet album est un roadmovie à l'américaine façon série Z. Avec un humour décalé et un graphisme noir et blanc très stylé. On découvre les personnages, tous plus cinglés les uns que les autres, par fiches signalétiques, dans un scénario qui s'annonce vraiment plein de rebondissement loufoques. Pour résumer, une bd très particulière, on adore ou on déteste.Vivement le tome 2.
Une histoire attachante, alliant tendresse et humour. Julien a une part de nous en lui, le rêve. Il ose, il voyage, il lutte, il rencontre des gens passionnants et des femmes surprenantes. Son odyssée, véritable parcours initiatique, fera du jeune homme naïf du début un homme aguerri. Les planches superbement construites, dessinent des décors somptueux véritable écrin pour les personnages où les étapes de Julien nous entraînent de l'Afrique à l'Amérique et de Guernesey au Mexique. En découvrant et en acceptant enfin l'amour, notre héros se découvrira lui-même. Cette œuvre très attachante et pleine d'émotion, est à lire et à relire.
merci Mr Veyron, cette auto fiction, vrai mise en abime et vrai fausse suite est une vrai réusite!!! des dialogues percutant et des situations qui m'ont fait bien rire. ( ce qui n'arrive pas si souvant que cela).
Grand livre, une vrai révélation.
la seconde série d'El nino apparaît encore meilleure que la première.
Scénario fouillé et très attractif , imaginaire mais se basant sur des faits réels.
Dessins d'un pureté impeccable.
Du grand 9ème art.
10/10.
La première chose qui m'a frappé en lisant Arawn, c'est la tournure de la narration.
Je n'ai pas aimé la manière dont le récit est conté. J'ai trouvé les mots peu profonds et pas percutants, des phrases courtes peu précises et mal appropriées à ce monde Heroic-Fantasy. Disons que l'aspect des phrases reste trop simplet à mon goût...
Dans cet univers Heroic-Fantasy, on doit se laisser absorber par la poésie des phrases. Donc j'ai trouvé la narration très pauvre, ainsi que les dialogues.
Cela a vraiment gâché le reste, car les dessins sont impeccables, les couleurs meirveilleuses et l'histoire est envoûtante et possède de l'interêt. Dommage, peut être je me suis trop focalisé dessus ???
A voir la suite, si l'histoire continue sa route, dans le bon sens...
6/10
Le scénario est de qualité se basant sur les heures sombres de l'Amérique et du KKK.
Néanmoins le point faible de cette série semble consister en ses dessins, trop baclés par moments.
Série à surveiller.
7/10.
Le dessin est sympa et les ambiances bien rendues, mais le scénario est franchement faible, le mystère vite élucidé et la fin téléphonée. Il n'y a que la vie privée des trois policiers qui pourrait nous intéresser, mais les indices laissés pour nous intriguer ne sont pas exploités et nous renvoie à une éventuelle suite qui à l'heure où j'écris n'a pas l'air de devoir voir le jour.
Dommage car il y avait la base d'une bonne série noire à condition de muscler dialogues et intrigues.
Fin de l'aventure de Martha Washington dans une amérique apocalyptique.
Une BD qui gagne à être découverte, dommage qu'elle soit si difficile à trouver sur les différents sites de ventes par correspondance.
Vivement une suite???????
8/10.
Decidemment je ne ma lasse pas de cette histoire d'Amérique futuriste.
BD à découvrir pour la qualité de son histoire et la justesse de ses dessins.
A lire aussi au deuxième degré.... un vrai bonheur....
8/10.
Le meilleur des 4 tomes que compte cette série.
Franck Miller justifie pleinement sa qualité d'artiste de valeur au vue du scénario proposé. Dessins réussis.
On en redemande encore 2 tomes.....................
9/10.
Une vision futuriste et bien triste de notre futur présentée içi par F Miller.
Un scénario juste, quelques trouvailles et des dessins de qualité font de cette oeuvre une BD originale à feuilleter.
On attend la suite aves impatience.
8/10.
Un dessin d'une grande spontanéité, très vivant.
Des cases magnifiques, l'univers est riche, baroque, extravagant.
Une narration maîtrisée pour une histoire aussi barrée.
Les références sont nombreuses, chacun y trouvera les siennes, lynch, Existenz, Kafka...
Et encore une fois une très belle réussite de Monsieur Micol.
Remarquable série ou certes j'aurais pu mettre une note moins haute, car dire d'une oeuvre que c'est un chef d'oeuvre est subjectif. Ceci dit, tout comme murena m'a fait aimer l'histoire de la rome antique, ici aussi j'aime lire la guerre de cent ans comme cela. Mon avis va donc à la totalité des 3 premiers tomes (et ce sera certainement le cas pour le prochain tome). Les auteurs, scénaristes et dessinateurs sont en osmose complète, entre eux, et chose encore plus appréciable, avec l'histoire. Et pourtant, dieu sait si l'histoire m'a barbé pendant ma jeunesse. Ca se lit comme un roman haletant, les dessins sont magnifiques, et les scénaristes ont trouvé la formule magique pour que l'Histoire avec un grand H soit passionnante à lire, à dévorer que dis-je. C'est juste ce qu'il faut au niveau explicatif sans paraitre envahissant. Bref, une énorme réussite.
On peut dire, sans beaucoup se tromper, qu'Howard Flynn et l'ancetre de Bruce J Hawker.
Dans cet album, a réserver surtout pour les amateurs de Vance, car les scénarios son sans grand intéret, on retiendras l'évolutions de son style sur 5 ou 6 histoires.
Les 2 histoires principal coresponde a son style du bébut des années 60.
Une autre histoire, peut etre comparer au style de Vance sur Bob Morane dans "La ville de nulle part" (1973).
Et une autre petite histoire au style des "Sept croix de plomb".
Une particulariter récide aussi dans l'histoire "La griffe du tigre", la meilleur de cet album, en effet, car dans les années 90, il y en a eu un "remake" sur la série Bruce J Hawker avec 2 albums "Les bourreaux de la nuit" et sa suite.
Les similitudes sont nombreuse: les bas fond de Londres, des enlévements, un groupe qui porte des masques, un officier de marine ....
Pour l'histoire original elle est scénariser par Duval et le "remake" par Duchateau.
Plutôt déçu par ce second opus.
L'ambiance si particulière du 1ier tome semble avoir en partie disparue. Le scénario s'essouffle et l'histoire se finit trop vite.
Reste la galerie de personnages et les somptueux dessins.
Le tome 3 peut attendre.
6/10.
Ni mieux ni pire que les autres tomes.
Cette série est marquée par la constance dans les scénarios et les dessins.
On regrettera le manque d'originalité et la petite touche de je ne sais quoi qui fait les excellentes série.
Un classique.
7/10.
Nouvel épisode de notre aventurier milliardaire.
Scénario ultraconventionnel pour la série mais l'histoire reste agréable puisque menée tambour battant. On se laisse porter sans problème par les dessins de bonne facture.
Bonne BD sans surprise.
7/10.
100 Bullets est mon premier comics, et j'avoue que j'ai été absorbé par ce scénario bien ficellé.
Après un conseil de mon libraire, je peux dire que c'est une très bonne entrée en matière.
Effectivement, l'histoire se montre très attrayante et intriguante.
Mais qui est cet homme en costard et lunettes de soleil, portant une malette, qui peut t'offrir une vengeance sanglante et impunie ?
Ce premier tome commence donc avec deux histoires bien distinctes, pour finir sur une autre interogation...
Cette BD fait donc partie des BD où à la fin tu es d'une impatience grandissante pour entamer la suite !!
Bon d'accord, les dessins ne sont pas à mon goût (mais pas du tout en fait), mais cela ne gâche pas mon envie de poursuivre l'aventure de ce "polar / thriller" de grande envergure.
8/10
Contrairement a la majoriter des avis, déja poster, sur cette série, je ne partage pas leurs l'entousiasme.
Il est vrai que le dessin est trés agréable ( j'ai d'ailleur continuer les autres série du dessinateur ) et les couleurs sont judicieusement choisi, j'aime bien cette idée de "fils rouge" de la couleur jaune utiliser dans la majoriter des cases.
Mais pour le scénario j'ai l'impression d'un manque, et le tome trois romp trop avec les 2 premiers tome.
Au final, est-ce un polar, une histoire de moeurs, un drame... je ne sais pas!
Cela ce lis vite et il est difficile d'avoir de la sympathie pour les personnages hormis celui de l'indien.
Comparez a des BD de maintenant ces histoire de Marc Dacier doivent paraitre trés démoder.
Mais il n'en reste pas moins que Charlier a fais de trés bon scénarios en particulier sur les derniers albums de la série.
Cette histoire traite de l'esclavage, chose assez peu utiliser en t'en que scénario, hormis Tintin, Barbe Rouge, Les Passagers du Vent...
Et curieusement, peut etre courageusement, Charlier cite des noms de vrai pays africain!
Le dessin, c'est du Paape des années 60, la aussi, il doit paraitre trés rétro face au dessin d'aujourd'hui.
Mais moi j'apprécie bien son trait.
Par contre c'est vrai que les dessins de couverture auraient largement pu etre mieux!
Agréable, original, beaux dessins, avec un p'tit fond réaliste, cette BD a du caractère et peut promettre d'être une valeur sûre...à voir si le tome 2 suit et tient bien la route.
Les personnages sont assez touchants, avec une histoire qui peut paraître banale à première vue, mais qui reste tout de même très accrocheuse.
J'ai vraiment aimé ce premier volet, et assez impatient de lire la suite.
8/10
Les auteurs forment un tandem efficace et talentueux et Bouncer est loin d'être un pauvre manchot ! La série se termine donc comme elle s'est déroulée, violemment et également avec une vraie tendresse pour certains personnages. Les planches sont construites comme autant de plans cinématographiques où les scènes s'enchainent sans répit. Les dessins et les couleurs participent à la magie. Et si l'amour y perd ses illusions, il entrouvre une petite porte asiatique qui laisse entrevoir des lendemains qui chantent... Enfin c'est déjà peut-être l'amorce d'une autre histoire, du moins, je l'espère !
Fait partie dess bd que je conseille ou offfre c est une bd indispensable des la premiere page a la derniere un enorme plaisir visuel dans les dessins une histoire qui tient la route attention artiste a suivre !!!!!!!
C'est album n'est pas vraiment une enquéte, mais plutot une course poursuite contre Ric Hochet.
Se que j'ai le plus apprécié, se sont les moments jusqu'ou Ric est amnésique et ne se plus qui il est.
La suite n'est plas très exeptionnel, exepté la course poursuite.
Les rapaces sont des surhommes qui vivent au milieu des autres mais un couple frère et sœur a entrepris de les éliminer. L'inspectrice Léonor mène m'enquête.
Héroïnes hyper sexy, dessins de Marini, histoire de bien menée avec rebondissements, au total on passe un bon moment de lecture.
Corto en Afrique orientale pendant la première guerre mondiale se laisse porter par les évènements en s'alliant avec les gens du pays qui l'entrainent dans des aventures périeuses. Tout le charme de l'errance et le désert en toile de fond.
Impossible de noter Hugo Pratt qui est devenu un mythe à l'égal de son héros et il faut absolument avoir lu certaines de ses œuvres pour comprendre l'engouement dont il est l'objet. Même si je ne suis pas fan de son dessin si particulier, même si le côté surréaliste de ses histoires me gêne un peu, lire les histoires de Corto Maltese c'est être envouté par le parfum de l'aventure et c'est gouter au non sens de la vie mais qui permet de faire des rencontres insolites si on accepte de ne pas juger les autres. Vivre l'Aventure avec un grand A sans quitter son fauteuil sur les pas de Rimbaud et de Henry de Monfreid.
Tout à fait d'accord avec 1Tox. L'histoire de Yiu est l'une des meilleures saga de la BD actuelle.
Pour reprendre l'expression de pierre999 j'ai également été "scotché" par l'univers riche, brutal et sans espoir de Yiu.
Mais contrairement à lui, ce fut pour moi dès le premier album
Bien que je ne sois pas fan des BD trash et violentes, loin de là, j'ai tout de suite été fasciné et attiré par cette oeuvre dont la violence et la fureur sont à mon avis sans égales dans l'univers de la BD. Paradoxalement son déchainement fatal finit par estomper la mort pour mettre en lumière la vie. Vraiment remarquable.
Ma note concerne l'ensemble de l'oeuvre, premières missons inclues.
Tres surprenant , des la couverture "pour adulte " puis avec la page d'introduction on rentre dans une BD "differente " mais tres accrocheuse . L'histoire , le dessin sont prenants ( attention au language il est brut mais tres present ) et on suit les 5 heros dans ce monde futuriste avec delice , quand meme assez speciale .
Se second tome est tout aussi réussi que le premier, car d'une part, c'est une suite, et aussi car le suspence grandi plus sur se fameux "all watcher".
A chaque début des deux début d'albums on semble perdu, mais on s'y retrouve vite.
Le changement de dessinateur ne géne pas du tout.
Avis valable pour les 4 premiers.
Voilà une série déconcertante à plus d'un titre. Je connaissais Malo Louarn pour avoir lu autrefois son génial "Candidat" paru en auto-édition et après être publié dans les pages de Spirou. Pour résumer l'artiste qu'il est en deux mots, on peut dire qu'il est un des héritiers de Franquin, au moins pour ce qui est du graphisme. Pour ce qui est de composer une histoire, là, il n'a besoin de personne comme mentor et surtout pas de Franquin, qui à mon avis est très mauvais pour sortir une idée, mais c'est mon avis, je ne voudrais pas me mettre à dos tous les fans de Franquin, et il y en a !!! Louarn a de ce côté suffisamment de personnalité pour composer son propre univers et développer son humour assez particulier.
Par contre, et c'est là qu'il rejoint Franquin, sa série de Rona est plutôt ambigüe comme pouvait l'être les "Idées noires". S'adresse-t-elle à des enfants comme le suggère le dessin? S'adresse-t-elle à des adultes, comme le suggère les nombreuses (trop?) allusions érotiques concernant la très pulpeuse Ninnoc?
Je n'arrive pas à le déterminer, et sans doute Malo Louarn ne le sait pas plus...
La trame des récits et le peu de crédibilité des évènements suffisent à contenter un jeune public mais pas des adultes. Au contraire, toute la partie liée au charme de Ninnoc et les différentes réflexions psychologiques relationnelles qui émaillent ces récits s'adressent davantage à un public adulte voire ado.
Alors ? Un subtil mélange pour satisfaire tout le monde? Sans doute. En tout cas , je ne m'en plains pas!
J'aime beaucoup le concept de CD/ Bd. Le groupe a pris le parti de nous faire voyager en musique et en image avec cet excellent dessinateurs que j'ai découvert au passage. Je pense que toute personne se posant des questions légitimes sur le passage à la vie d'adulte, trouvera des éléments de réponse dans cette BD.
A découvrir absoulment...!!!
Cet album que j'ai découvert durant le festival de la BD d'Angoulême est vraiment très bon et d'une grande qualité. En plus il comprend le nouveau CD du groupe de chanson rock Coup d'Marron. Le titre Dawson qui a été mis en histoire dans cette BD est vraiment super et il nous permet de rentrer à fond dans l'histoire. On n'arrive pas à décrocher avant la fin. Chapeau à la petite association qui a monté ce projet original !
J'ai choisi de critique Rorschachcar pour moi c'est le super anti-héros par excellence: signe de fabrique de la série ou l'on humanise à outrance ceux qui nous gardent, et dans le cas de Rorschach on peut y voir une critique des méthodes inquisitoires des grandes nations d'outre atalantique. La violence est-elle le prix de notre liberté?
Mais qui nous garde de nos gardiens: belle métaphore portée tout au long des six albums par un scénario étourdissant mélangeant passé, présent et fiction avec une virtuosité hors norme.
Le découpage est classique, mais à plus y regarder de prés, plus réfléchi que cela ne le laisse croire.
La fin n'est pas exceptionelle et demeure pour moi le seul bémol de cette série annoncée par tous comme culte: je ne suis pas tout à fait d'accord, mais si elle n'avait pas eu ce qualificatif je ne l'aurais jamais achetée et cela aurait été fort dommage...
Je ne suis pas fan de la collection Soleil, mais j'avoue que mon libraire m'a bien conseillé: la plus grosse claque au niveau dessin depuis ma découverte d'Andréas...
Je les regarde et regarde sans m'en lasser (j'écris regarde car le scénario ne m'a pas emballé même si cela est prometteur (le 2nd album se lirait avant le premier?)).
Des dessins merveilleux, l'image du mur de la forteresse me fait rêver et l'on voit poindre tout ce que le dessinateur a pu ingurgiter comme heroic fantaisy dans sa jeunesse.
A exposer dans sa bibliothèque, et vu la quantité de travil nécessaire, il va falloir attendre longtemps avant le suivant...
Je n'ais qu'un regret concernant cette série: ne pas l'avoir découverte plus tot.
C'est superbe !
Les dessins sont sublime, aussi bien les décors que les personnages.
Les expréssions des visages des propagonistes sont remarquable.
Qu'en au scénario cela évoque un peu les romans feuilletons a suivre du début du 20°siécle. Quelques grosse ficelles (le masque postiche...), mais cela s'acorde trés bien.
Dommage que cette série se soit arréter.
Mais remercions les auteurs d'avoir eu la consciences proffessionnel de terminer le troisiéme album en cloturant l'histoire.
Il reste bien quelques mystére ( l'or...), mais le dernier album datant de 1991... ,il n'y a plus d'éspoir de continuation. Dommage.
Incontestablement, pour l'histoire, le meilleurs albums de la série.
Le dépot légal date de 88, mais il me semble que cette histoire a été prépublier dans "Tintin" un ou deux ans avant.
Ce qui veux dire que ce sujet de transformation/modification du mais, et de multinationnale "rapace", remonte a plus de 25 ans!
Quelle incroyable vision d'avant garde pour l'époque!
Le dessin est bon et plaisant.
De plus les liens ( ils sont en couple ) qui unisse les deux héros son encore rarement employer dans les BD d'aujourd'hui.
A lire.
Une enquéte légérement plus interessante que la précédente, car la fin est assez classique mais on ne s'y attend pas forcement.
Cela dit, certaines enquétes sont bien plus palpitantes.
Le prochain parait mieux.
Que dire de plus que la note que j'ai donne .J'ai lu plusieurs histoires ( 1, 3, 14 , 15 etc ) et toutes sont sublimes .Le dessin , les personnages , l'humour , l'histoire chaque fois differente et prenante , cette serie est vraiment indispensable .Vive HERMANN
Je trouve ce premier album plutot réussi.
Niveau dessin je connaissais déjà dans l'agence, qui m'avais donc plus.
Pour l'histoire je trouve que cela change de voir que les meurtres organisés pour raisons d'états ne se font pas qu'en Amérique, de là à dire que c'est exagéré, je ne sais pas du tout, tout est possible dans se bas monde.
On est forcément impressionné par le tour de force à la fois rhétorique et formaliste que constitue ce "Dieu en personne", car il pose des questions autrement plus vitales - à mon avis - que celle de l'existence de Dieu, donnée ici comme un fait, sans qu'il ne soit pour autant lié à une quelconque "croyance" : par exemple, celle de sa représentation dans l'art (un piège ici élégamment évité, au sein d'un livre souvent magnifique dans son travail graphique, chaque page respectant un code austère tout en le faisant exploser par de belles idées toujours renouvelées), ou celle de sa place dans une société qui est visiblement passé à "autre chose" (le marketing, les media, le commerce, la starification de l'anonymat, etc. etc.). Lire ces 120 pages foisonnantes de phrases définitives empruntées à des philosophes (Voltaire, Pascal, Sartre) ou autres penseurs (Einstein, Jung, etc.) et constamment surprenantes, est incontestablement une jolie stimulation intellectuelle, et l'on n'est pas déçu par la conclusion, habile, mais assez dans l'air du temps, de par son habileté à laisser différentes interprétations possibles tout en désacralisant définitivement le récit qui a précédé. Pourtant, force est d'admettre que si ce livre n'atteint pas complètement sa cible, c'est qu'il parle définitivement et de manière quasi obsessionnelle à notre cerveau, sans guère exciter notre cœur. Nombreux seront les lecteurs qui risquent donc de le trouver tout simplement ennuyeux !
Me voilà remi sur les traces des enquètes de Ric Hochet et du comissaire Bourdon.
Hormis un dépaysement, je n'est pas était trop entousiasmé par cette histoire de faux loup garou.
Se li tout simplement pour passer le temps.
Ce tome de Kookaburra Universe est pour moi le moins bon de la série. Le dessin est correct, mais j'ai trouvé la couverture meilleure que le contenu de l'album. Pas de reproche particulier à formuler, si ce n'est que j'aurais aimé voir Alliel se démarquer plus du style typiquement Soleil. En gros, ça manque un peu d'originalité, mais ça n'empêche pas de se plonger dans la lecture. Je serai même attentif aux prochaines parutions de ce dessinateur que je ne connaissais pas pour voir son évolution.
Par contre, je n'ai pas trouvé grand-chose à sauver dans le scénario. Comme souvent chez Mitric, les quelques bonnes idées sont gâchées par une maladresse évidente dans la façon de raconter l'histoire : retournements et révélations mal amenés, personnages sans aucune consistance, dialogues sans caractère, romance sans intérêt... Je dois dire que l'ennui s'est très vite installé et que je suis allé au bout de l'album dans l'espoir d'un final surprenant, qui ferait un pied de nez aux clichés accumulés au cours du récit... mais il n'est pas venu. Peut-être suis-je tout simplement réfractaire à la façon qu'a Mitric de raconter ses histoires, mais celle-ci, comme toutes celles que j'ai lues avant, n'a pas trouvé grâce à mes yeux.
C'est quand même le troisième tome d'affilée qui ne me convainc pas plus que ça, alors que la série, à partir du T2, m'avait réservé de bonnes surprises. J'espère que le prochain (sur un scénario de Louis, si je ne m'abuse) redressera la barre.
Final somptueux quoiqu'un peu trop rapide.
Toujours autant d'action dans cette série qui restera comme l'une des toutes meilleures.
Les dessins restent excellents.
Vivement le deuxième cycle.
9/10.
En lisant cette BD on reste scotché de bout en bout tellement le scénario est prenant. De rebondissement en rebondissement on en apprend plus sur le passé du héros.
L'avenir est bien décrit dans cette série et personnages et situation sont tot fait crédible. Un théme essentiel de la Science Fiction est içi abordé à savoir le clonage humain.
On s'approche de la fin du cycle.
8/10.
En lisant cette BD on reste scotché de bout en bout tellement le scénario est prenant. De rebondissement en rebondissement on en apprend plus sur le passé du héros.
L'avenir est bien décrit dans cette série et personnages et situation sont tot fait crédible. Un théme essentiel de la Science Fiction sont içi abordé à savoir le clonage humain.
On s'approche de la fin du cycle.
8/10.
Quatrième tome de transition, peu de nouvelles révélations mais un scénario toujours aussi dynamique et vivant.
On voit arriver la fin d'un cycle mais les nombreuses questions non résolues laisse présager avec bonheur d'une poursuite de la série après la fin du cycle.
Dessins toujours impeccables.
8/10.
je suis assez d'accord en général avec les avis de speedy qui sont "éclairants" et "très critiques" sur le contenu des albums de Strange, tant au niveau du scénario que du dessin, (il dessine et "scénarise" certainement lui-même) même s'il donne rarement sont avis sur les "couvertures";
cependant, je ne partage pas complétement ses avis sur la série des "éternels" de feu Jack Kirby; il est vrai que certainnes cases ou apparaît Ikaris le montre "inexpressif" et que le début de la série "blablatte", mais tout cela est "sous-tendu" par le "bestiaire" et "l'imaginaire" de la culture américaine dont une de ses composante est "lovecraftienne" et la série s'en "ressent", notamment à travers les déviants et leurs mutations en reptiles dinosauriens par Circé, et du fait de leurs simples apparitions
les éternels donnaient une "plus value" à Strange, avec une "imagerie du fond des âges cthulhuniens", opposée à la spiritualité d'une intervention divine sur la création de l'homme et des éternels;
dommage (mais heureusement, peut-être) que la censure de l'époque se soit "arrêtée" sur la forme, certes violente, des combats et de la mise en scène, des dessins et couleurs "criardes", (les protagonistes semblent carrément s'éjecter des "cases étroites" pour vous "sauter à la figure"), au mépris du contenu "fantastique/épouvante" dérivé du créateur de "l'appel de cthulhu", qui n'est certainement pas à réserver à un jeune public
à la place de cette "grande" série, nous retrouvons un épisode suppléméntaire de spiderman en guise de "remplissage" du volume du mensuel et n'apportant qu'une "redites" par rapport à l'épisode déjà en place
oui Ikaris est inexpressif dans certaines cases, oui les 2ème ou 3ème épisodes "blablatte" mais l'ensemble est "hautement fantastique" et la série des "éternels" est un "chef-d'ouevre" d'inspiration spirituelle et "lovecraftienne"
les Dieux sont d'impressionantes entités "robotisés", mais par là même "discutables" sur leurs origines "divines", car les robots sont généralement crées par l'homme;
c'est ce paradoxe qui leurs confères une "aura" si particulière!
non John Romita n'est pas le meilleur dessinateur de spiderman, car il n'apporte pas la dimension occulte et ésotérique de Steve Ditko à la série
cher speedy
feu Jack Kirby ne "confusione" pas le scénario des éternels mais confère une interprétation personnelle à l'origine humaine puisque celle-ci ainsi que l'origine des éternels et des déviants sont issues d'une intervention de "Dieux-robots" sur un primate pour leurs donner vie;
tous trois partagent donc une "essence" de quadrupède, "diluée" dans leurs différences morphologiques et aspirations post-simiesque;
les déviants désirent la guerre et la destruction par rapport aux pacifiques et "éclairés" éternels, "attaquent" les Dieux et sont "noyés" par le "déluge", après une offensive de ceux-ci digne de la bombe A; nous sommes toujours dans l'interprétation personnelle de jack Kirby part rapport à l'intervention monothéiste de Dieux dans la bible et la différence de la faune "lovecraftienne" et "héllenistique" des éternels
Un héros digne de Largo Winch mais avec en plus un scénario en béton; chaque tome fournit son lot de révélations.
La psychologie des paesonnages évolue à chaque épisode.
Suspens et action sont au rendez-vous.
Le tout servi par des dessins de gande qualité.
Un régal.
9/10.
oui Ikaris est inexpressif dans certaines cases et les 2èmes et 3èmes épisodes "blablattes" mais la série est "hautement fantastique", d'inspiration spirituelle et "lovecraftienne"
les Dieux sont d'impressionantes entités "robotisés", "discutables" quant à leur origines divines, les robots étants généralement crées par les hommes;
c'est ce paradoxe qui leurs confères cette "aura" si particulière
non John Romita n'est pas le meilleur dessinateur de spiderman car il ne "conserve" pas la dimension occulte et ésotérique de Steve Ditko!
Deuxième opus de cette série menée tambour battant.
Action, suspens et coup de théatre se suivent à un rythme d'enfer et une fois la dernière page arrivée on attend la suite impatiamment voire fébrilement.
Dessins impeccables.
Du très bon.
9/10.
Relecture d'un grand classique de la BD.
Tout est parfait dans cet ouvrage, le scénario est sans faille / il nous fait visiter une île flottante de milliadaires, nous fait découvrir des favelas modernes ou vivent les pilleurs d'épaves, il introduit les personnages principaux.
Mais l'histoire n'oublie pas les trahisons et les luttes de pouvoir....
Le dessin est excellent.
Une des meilleures séries de ces 15 dernières années.
10/10.