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Les derniers avis postés sur les albums de la série

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    Saigneurdeguerre Le 12/09/2020 à 11:13:28

    Libye. 1959.

    Glenn, ancien commandant d’un B-24 qui s’est crashé après une mission extrêmement périlleuse consistant à bombarder les champs de pétrole roumains de Ploesti, est poursuivi par son obsession : retrouver l’épave de son « Ali-La-Can », ainsi nommé d’après les noms des trois épouses, Alice, Lana, et Candy, épousées le même jour à Palerme par les trois amis membres de l’équipage du B-24, Fred, Glenn et Johnny.

    Mauvaise nouvelle : Glenn s’est écrasé avec son coucou.
    Bonne nouvelle : l’atterrissage brutal s’est produit juste à côté de l’épave du B-24 qu’il n’avait cesse de retrouver.

    La carcasse du « Ali-La-Can » ne contient aucun corps. Le mystère reste entier. Où sont passés les membres d’équipage ? A l’intérieur de l’appareil, Glenn reconnaît la patte de Fred qui, avant de se retrouver à l’armée, était dessinateur chez Disney. Fred y raconte leur histoire à eux trois et à leurs épouses respectives. Glenn croit délirer lorsqu’il voit la pin-up de son B-24 arborer un brassard nazi. Mais qu’est-ce qui a pris à Fred d’ajouter un emblème aussi déshonorant à leur si chère pin-up ?

    Glenn a eu le temps d’envoyer les coordonnées du crash avant de se planter. Pourquoi donc les jours passent-ils sans qu’aucun secours ne se présente ?

    Critique :

    Le premier tome sans le second, cela n’a aucun intérêt ! Les deux, ensemble, permettent de réaliser qu’il y a bel et bien un solide scénario avec une fin totalement inattendue. Jack Manini nous a bien promenés en bateau, et c’est une belle balade au son de la flack et des balles de mitrailleuses qui trouve son explication dans les sables du désert libyen grâce à un cahier laissé par Fred dans la carcasse du bombardier lourd, cahier visiblement destiné à Glenn.

    Je me suis habitué aux dessins de Michel Chevereau que j’apprécie de plus en plus. Comme quoi un premier regard ne suffit pas pour appréhender toute la beauté d’une œuvre.

    En lisant ces deux albums, qui mêlent fiction et Histoire, vous comprendrez pourquoi il était extrêmement difficile pour un membre d’équipage de bombardier lourd américain, et de B-24 en particulier, de rentrer sain et sauf aux USA…

    Saigneurdeguerre Le 11/09/2020 à 22:08:13

    Je suis Ali-La-Can, l’ange gardien de mon B-24. Mon équipage m’adore, le reste des autres aviateurs me crachent dessus. Ils ne supportent pas que mon B-24 soit toujours intact après tant de missions alors que les pertes parmi les équipages de bombardiers sont énormes.
    J’étais indestructible… Du moins, c’est ce que je croyais jusqu’à ce jour maudit du 5 mai 1944…

    Critique :

    D’abord, il faut que vous sachiez que si vous n’achetez que ce premier album, vous alles vous sentir frustrés, voire escroqués, car, quand vous arriverez à la fin, vous aurez l’impression de n’avoir rien compris à cette histoire et que les auteurs vous ont raconté n’importe quoi. Pour profiter pleinement du récit, il vous faut les DEUX tomes.

    Dans ce tome-ci, vous ferez la connaissance de Glen devenu pilote pour une compagnie pétrolière dans le désert de Libye. Ce n’est pas un hasard : c’est là que quinze ans plus tôt son B-24, Ali-La-Can, s’est crashé pour une raison mystérieuse. Qu’est devenu son équipage, jamais retrouvé. Comment lui s’est-il retrouvé à proximité de l’hôpital de Tobrouk, inconscient ? Tant qu’il ne mettra pas la main sur son bombardier, il ne pourra comprendre ce qui s’est passé.

    C’est aussi l’histoire de trois hommes devenus amis : Glen, le pilote, Fred Oglala, le copilote et Johnny Butcher, le bombardier. Ils vont rencontrer trois belles infirmières officiant sur le navire hôpital USS Louisiana. Trois mariages s’en suivront qui se tiendront le même jour, dans la même église. Ces trois couples s’aiment formidablement.

    Mais je ne suis pas là pour casser le suspens de cette histoire, c’est pourquoi, malgré les foules en délire qui réclament la suite du récit, je saurai (pour une fois) tenir ma langue.

    Que penser du scénario ? Beaucoup de mal si vous ne lisez que le premier tome. Vous vous poserez probablement la question : « Y avait-il un scénariste à bord ? » Je vous le répète, sans le second et dernier tome, cette histoire n’a ni queue ni tête. Si vous voulez comprendre quelque chose, lisez le 2e tome !

    Et les dessins de Michel Chevereau ? Ils ne plairont pas à tout le monde, mais je les trouve de très bonne facture.

    Je vais me répéter : je ne recommande cette lecture que si vous êtes disposés à lire aussi le 2e tome… en sachant qu’il y a une note de fantastique dans tout cela, mais que l’explication du crash du B-24 est plus technique que magique…

    Petites infos en vrac : le B-24 est l’avion militaire américain qui fut le plus produit, plus de 18500 exemplaires. Il était d’une conception plus moderne que le Boeing B-17 « Flying Fortress ». Il volait plus haut, plus vite et plus loin que ce dernier. Il emportait une plus grande charge de bombes. Pourtant, il était bien moins populaire puisque surnommé par ses équipages « cercueil volant ». Il était nettement moins protégé que le B-17, prenait facilement feu, perdait aisément ses ailles lorsqu’il était mitraillé « au bon endroit » et il n’avait qu’une seule sortie à l’arrière pour permettre à l’équipage de sauter.

    yannzeman Le 12/07/2020 à 10:12:58

    Je ne sais pas trop quoi penser de ce titre...

    D'un côté, c'est correctement dessiné, l'ambiance est là, c'est plutôt agréable à regarder (mais à ne pas comparer avec "angel wings", par exemple, qui est d'un tout autre niveau).

    Mais cette histoire nous sera racontée en 2 tous petits tomes, et à la fin du 1er, je trouve que les personnages manquent de personnalité. Je ne les distingue pas, hommes comme femmes, ils sont trop interchangeables (au niveau du caractère, et parfois aussi du dessin ce qui est embêtant).

    Le tome 1 nous laisse sur un suspens qui donne envie d'avoir l'explication, mais à moins d'une incroyable surprise, je doute que la révélation du tome 2 (que je n'ai pas encore lu) sauve l'ensemble.

    C'est un exemple malheureux de toutes ces BD actuelles qui sont aussi vite oubliées qu'elles sont lus. Dommage.