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Les derniers avis postés sur les albums de la série

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    Marion N Le 01/10/2006 à 15:00:13

    Dans ce volume, on suit Tatsuaki à Shangaï où il se rend avec Honran, Shiiron et Yuan afin de retrouver le jeune adolescent qui pourrait être son grand-père. Là-bas il découvre comment le Chinpan contrôle la ville et les théâtres, et fait également la connaissance d'un grand acteur de Kyougeki, maître Gai Kyouten, ami de Mei Lanfang. Sa quête tourne court car son grand-père potentiel serait retourné au Japon. Il sy rend quelques mois plus tard avec Mei Lanfang et comprend finalement d'où vient le masque Nô donné par le Maître et qui l'avait transporté dans la Chine des années 20.
    Les dernières pages de ce dernier volume permettent de donner tout son sens à une scène du 1er tome dans laquelle on voit le grand-père juste après la disparition de Tatsuaki lorsqu'il pose le masque sur son visage. Une petite fille entre et annonce que le déjeuner est servi. Tout juste dite, la vérité est révélée et on regarde alors d'un oeil nouveau l'histoire complète et la quête de Tatsuaki.
    Evoquées rapidement dans le dernier tiers du tome, l'invasion de la Chine par le Japon, la guerre puis la révolution culturelle permettent de voir comment les artistes ont été traités durant ces périodes et rappellent des scènes du film de Chen Kaige, [i]Adieu ma concubine[/i].

    Marion N Le 09/07/2006 à 16:38:54

    On retrouve donc les coulisses de l'opéra de Pékin avec ses entraînements rudes, ses punitions sévères, ses représentations magnifiques, ses rivalités. Pour épicer le tout : la quête d'Azumi, à la recherche de son grand-père, qui aurait connu Mei Lanfang. Et, dans ce tome, l'auteur ajoute quelques mystères entourant Honran et, surtout, une affaire de pègre corsée d'un sombre contexte familial autour de Yuan Teyler (splendeur et décadence de richissimes occidentaux en Chine...).
    La lecture reste agréable et il n'y a pas de temps morts

    Marion N Le 09/07/2006 à 16:08:09

    C'est une véritable plongée dans les coulisses du célèbre opéra de Pékin et de la Chine des années 20 que propose Hiroshi Ueda à travers la description des entraînements (avec les vexations qui les accompagnent), des représentations de Kyougeki, des amitiés et rivalités entre jeunes apprentis, les petites touches rappelant le contexte historisque (haine des japonais, présence des Européens dans les concessions, etc). Tatsuaki, après un moment d'égarement bien compréhensible, découvre la réalité de l'art qui le passionne et pour rencontrer son grand-père jeune (quand Mei Lanfang lui avait offert le fameux masque) intègre l'équipe des apprentis.
    Les entraînements et les représentations ne sont pas sans rappeler ceux du films Adieu ma concubine.
    Le trait est clair, net, tout comme le découpage. Si les visages un rien trop rond aux grands yeux ont un côté très enfantin (mais ne s'agit-il pas avant tout d'enfants ?), on ressent tout le plaisir pris par le mangaka à dessiner les somptueux costumes et maquillages portés par les acteurs de Kyougeki ainsi que les danses, sauts et autres effectués sur scène.
    A noter qu'à chaque nouveau chapitre, l'auteur nous gratifie de la description ou de l'explication d'un mouvement particulier ou d'une scène du Kyougeki.