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Je me suis régalée (c'est le cas de le dire) avec ce second tome de Petite Forêt. Structuré de la même façon que le précédent, on y découvre de nouvelles tranches de la vie de Ichiko à Komori et ses petits plats souvent bien alléchants. Au programme, cake de Noël bicolore, pâte de haricots rouges, tarte de radis (si, si !), angélique, tomates, colocasses etc. Le tout rythmé selon les saisons (et ici, on commence avec l'hiver). Si on n'en apprend pas beaucoup plus sur le départ de la mère d'Ichiko, bien que cette dernière en reçoive une lettre dans l'avant-dernier chapitre, cela n'est pas gênant, car le propos tourne autour du choix ou non de la jeune femme de s'installer définitivement à Komori.
Bref, un bon petit diptyque.
Dans la première moitié, on retrouve le groupe de Natsu, toujours échoué sur une île déserte et mystérieuse, mais qui rencontre un deuxième groupe de jeunes gens, eux aussi perdus. C’est l’occasion pour Botan, leur guide, de leur révéler pourquoi ils sont là. La deuxième partie est consacrée à un second groupe, celui du « printemps », qui introduit 7 nouveaux personnages menés par un guide qui n’inspire guère confiance. Eux aussi survivent tant bien que mal dans ce monde étrange et plein de dangers. La mésentente entre les membres et la désinvolture de certains n’arrangent rien. Autant qu’une survie, c’est une lutte d’influence qui a lieu.
Un deuxième tome à la hauteur du précédent et qui donne envie d’en savoir plus sur différents points (que sont ces déchets de carapaces éparpillés sur l’île du groupe « printemps » ? y a-t-il d’autres îles isolées et très éloignées de celles déjà rencontrées ? etc.), mais aussi de connaître les 2 autres groupes évoqués (« automne » et « hiver »).
Côté dessin, on retrouve le trait caractéristique (et un peu brouillon) de Yumi Tamura, ainsi que ses visages typiques, de même que les caractères des protagonistes, dont beaucoup font penser à ceux de Basara. Encore une grande fresque qui commence.
Le combat tant attendu entre Ajite et Mun-Su commence - je devrais dire, le combat entre leurs armées.
Très clairement, les forces et la force d'Ajite paraissent largement supérieur, mais ce serait compter sans les (bonnes) idées de Mun-Su et sa chance. Nous sommes donc servis de ce côté-là puisque la bataille couvre une partie du tome et qu'elle continuera dans le dernier volume.
Mais ce qui m'a surtout intéressée ce sont les "révélations" qui montrent que le scénario était bien construit depuis le début. Pas d'explication bizarre (ou alors je n'en ai pas noté) ni capillotractée ; en se remémorant bien chaque tome de la série ou en les relisant, on se rend compte que tout se tient et qu'il y avait pas mal de pistes et d'indices, en particulier concernant Sando (mais pas seulement). Un bon point, indéniablement, et s'il restait des doutes, sur l'utilité du flash-back, ils sont complètement levés également.
Vraiment un bon moment et beaucoup de plaisir à cette lecture.
La guerre a commencé et les Coréens du Japon se retrouvent très vite la cible de vexations puis d'une politique d'élimination. Dans ce tome, on suit d'une part l'évolution des opérations militaires, de l'autre ce qu'il advient de la famille de Hae-Sung. Port d'une marque distinctive, rassemblement des familles pour les interner dans des camps, une fois sur place séparation des hommes et des femmes etc. font directement référence aux camps de concentration et d'extermination nazis.
Encore une fois le sentiment anti-nippon de l'auteur est très palpable et on regrette un peu de ne pas savoir ce qu'il se passe dans le même temps en Corée envers les Japonais qui pourraient y être installés.
L'aventure commence très rapidement. Trop peut-être, diront certains. Pourtant tous les éléments qui vont servir l'intrigue s'imbriquent progressivement pour nous donner une bonne idée des enjeux. Enlèvement et terrorisme, monde secret et tabou, il y a de quoi faire et susciter l'intérêt. Certains aspects peuvent paraître un peu simples mais l'album est d'abord adressé à un public jeunesse et il me semble que le ton et la manière de présenter les choses correspondent assez bien.
Le surf sur les feuilles et le monde qui existe sous ce tapis mouvant est un plus agréable.
Côté dessin, on retrouve le trait fin d'Alice Picard toujours bien agréable et si on note quelques imperfections (à ce propos, Alice, sur quel format as-tu dessiné les planches ?), il faut bien dire que son travail sur ce tome 1 date d'avant le tome 6 de Weëna - depuis elle a progressé. Ce qui m'a le plus gênée, c'est le découpage qui correspond au format de la collection et qui laisse l'impression qu'il y a peu de dessin alors même que les cases sont remplies ; c'est un peu dommage.
Tout d'abord, les amours de Kiyoko se portent de mieux en mieux avec Sei, Sophia veillant à ce que le couple se rapproche toujours plus et passe à une nouvelle phase. Mais som omniprésence, un secret bien gardé et la trop grande préoccupation de Sei pour elle peut tout remettre en jeu...
Du côté de Sachiko, l'inévitable survient et elle termine à l'hôpital dans le coma en raison de son anorexie. Autour d'elle, personne ne sait que faire pour l'aider à s'en sortir ... ni ses grands-parents qui la veillent sans cesse, ni Keiji qui lui rend régulièrement visite. Et finalement la réponse vient de Tommy qui a beaucoup réfléchi et mûri en quelques temps. La solution pour lui est de donner à Sachiko ce qui lui a toujours manqué. De leur côté, Akemi et Yuki sont de plus en plus liés et une nouvelle romance apparaît.
La crise qui s'était installée a donc trouvé une issue attendue mais les solutions sont également à portée de main et la fin de l'album est positive, sauf en ce qui concerne le trio Sophia/Sei/Kiyoko. Un petit drame supplémentaire pour finir la série ? ou bien verra-t-on que Sei a raison quand il dit que Kiyoko a suffisamment mûri pour comprendre son choix ?
ENcore un bon tome.
Enfin le dernier tome !
La rupture du lien entre les 12 et Akito est enterninée, la malédiction levée.
L'auteure apporte confirmation de l'évolution plus ou moins importante de tous ses personnages. Les couples qui s'étaient dessinés et formés peu à peu prennent leur élan, le temps du drame est passé et leur quotidien ne sera bientôt fait que des mutliples petits heurs et malheurs habituels. Si ce dénouement est incontestablement positif, Takaya montre que les blessures ne se sont pas fermées comme par miracle et que ça prendra du temps pour chacun d'accepter la nouvelle situation et en particulier d'accepter Akito telle qu'elle est.
Joli flash-back sur le décès de Kyoko, la mère de Tohru, qui fait presque office de "cordon ombilical coupé".
Bref, une fin toute douce pour prendre congé de tout ce petit monde. Plutôt réussi !
Il se passe beaucoup de choses dans ce dernier tome qui donne la solution de l'énigme posée par tout ce qui tourne autour d'Adam. Dès que la vérité sur l'existence de celui-ci, tout se précipite et on suit avec autant d'appréhension qu'Hotaru, Tetsu, Sae et Masaki l'évolution des événements. Pour mieux comprendre ce qui s'est passé, les liens possibles entre Mizuki, Adam et Sayaka sont expliqués sous forme de déductions de Sae dans son carnet de bord. Le piment mis par l'intervention de personnages mystérieux sortis de nulle part joue complètement son rôle et même la fin laisse un petit goût d'étrange. Une histoire intéressante jusqu'au bout, bien servie par le dessin de Yazawa.
Un tome 3 aussi bon que les précédents. Cette fois-ci, entraîné par Ryoma Sakamoto, Jin Minakata découvre le quartier des plaisirs de Yoshiwara, en particulier en rencontrant la belle courtisane Nokazé, avant de soulever un pan moins reluisant. La vérole sévit en effet parmi les filles.
Cette maladie donne l'occasion d'ouvrir un nouveau dilemne pour Jin qui sait qu'à cette époque la penicilline n'a pas encore été découverte mais qui reste désireux d'aider ces jeunes femmes. Cas de conscience donc et risque pris face à l'avenir (et ses possibles modifications). Les nouveaux exploits du médecin amène également une confrontation avec les médecins du shogun qui s'inquiètent des origines et compétences de ce rival. Nul doute que leurs réactions vont avoir un impact important sur la suite de l'histoire.
Petit bémol : depuis le 1er volume, il n'est plus question de ce qui a entraîné Jin plus de 130 années en arrière. Ce mystère semble mis de côté pour le moment ; c'est un peu dommage, car l'accroche à ce propos était bonne.
L'anorexie de Sachiko est révélée à tous et frappe particulièrement un Tommy qui se pose de plus en plus de questions et se réfugie chez ses parents où il est amené à faire le point sur ce qui a conduit à une telle situation. Akémi sort lentement de sa déprime grâce à Yuki, tandis que Kiyoko et Sei se trouvent enfin grâce à l'intervention de Sophia. Mais les choses sont loin d'être terminées puisque Sachiko refuse de reconnaître son problème et rejette Kenji, tandis que Tommy comprend enfin les longues années de rancune de Kiyoko a son égard.
Voici un volume placé sous le signe de la vérité qui éclate (ou qui commence à éclater plutôt), à deux pas de la fin. Dans la lignée des albums précédents, l'intrigue continue de se développer et atteind le sommet de la crise inévitable. Reste à voir quelles solutions seront apportées par Jenny à l'histoire. L'anorexie de Sachiko fait entrer la série dans un registre plus sombre et mature, sans pour autant tomber dans l'excès ni la dramatisation à outrance.
Encore un bon moment de lecture.
On pourrait dire que ce tome est celui du dénouement car ce qui était amorcé dans les précédents aboutit, que ce soit dans la relation entre Kyo et Tohru (on se serait un peu passé des craintes de celle-ci d'être abandonnée par son chat préféré...), celle de Yuki et Machi, mais surtout ce que tout le monde attendait survient enfin, à savoir : la levée complète de la malédiction. Tout se dénoue et s'apaise donc. L'auteur nous offre à la fin une nouvelle version de l'histoire des 12 animaux, du chat et du dieu, qui va dans le sens de l'histoire bien evidemment.
Pas mal ; on attend maintenant le prochain et dernier volume pour clore enfin cette aventure.
Musique et amour ouvrent ce premier tome de [b][i]Last Quarter[/i][/b], mais rien dans le ton ni dans l'ambiance n'a à voir avec les autres séries de Ai Yazawa. L'atmosphère est plus mystérieuse, plus sérieuse, plus trouble, plus sombre. Et le changement est grandement appréciable. Car si la romance est bien présente, le côté un peu fantastique avec l'invisibilité et l'amnésie de Mizaki après son accident est une agréable nouveauté, même si ça n'est pas forcément innovant.
En tout cas, l'intrigue démarre bien et donne envie de connaître la suite. Côté dessin, on reconnaît immédiatement la patte de Yazawa, mais l'introduction de personnages qui sont en primaire (4 quand même) apporte une fraîcheur toute nouvelle et plaisante.
Une fois encore je me suis beaucoup amusée avec ce tome 5. Rencontre avec le (vrai-faux) robot Cartox (pauvre Miura !), coup de main chez les Ayase, rencontre avec Yanda (quel gamin !), découverte des constellations, jeux dans les flaques sous la pluie, petite virée à la mer avec jeux dans les vagues et quête de coquillages, Yotsuba a la pêche et c'est un un régal de suivre ses aventures et de se laisser porter par les situations comiques.
Un vrai moment de détente !
J'ai enfin eu l'occasion de lire les deux tomes parus de [i]Totendom[/i].
Autant le dessin m'a paru intéressant et propre à porter une grande épopée, autant l'histoire m'a ennuyée et j'ai trouvé qu'elle manquait cruellement du souffle épique et dramatique que j'attendais. Sans doute est-ce dû à l'impression lisse et plate laissée par les textes (certes parfois obscures mais compréhensibles) qui m'ont paru aussi lents à s'écouler que certains passages des [i]Perses[/i] d'Eschyle. Dommage car à cause de ça le graphisme puissant m'a paru dépouillé de la force tragique, de l'émotion que le trait contient pourtant.
Je suis déçue.
Pas plus de quelques pages pour cette mini-Bd et pourtant elles sont particulièrement bien menées et suprenantes. Le début donne l'impression d'un huis-clos assez étrange et la surprise finale ne rate pas son effet.
A lire !
De ce tome 4 de Death Note, je retiens particulièrement la rapidité d'action qui donne la (fausse) impression qu'un dénouement est proche. Je ne sais pas ce qu'il y a dans les tomes suivants, mais la capacité d'adaptation de Light est remarquable, ses plans ne cessent d'évoluer en fonction des situations et celui qu'on entrevoit à la fin du volume semble particulièrement tordu. On en apprendra sûrement encore long sur l'utilisation des death note ! Une ombre quand même, Light n'a rien de convaincant dans les dernières pages et comme 'L'/Ryusaki je reste sceptique sur son attitude ; c'est dommage, un tout petit quelque chose en plus aurait permis de laisser le lecteur être pris au piège, mais bon, comme on se doute qu'il y a quelque chose derrière tout ça, autant se focaliser sur ce que sera le résultat de cette mise en scène.
Le 2ème Kira est pour le moins ... spécial mais pas inintéressant. Un seul point m'a fait tiquer c'est la relation entre fille/action selon sentiments et garçon/action réfléchie, froide. Je préfère penser que c'est purement fortuit et qu'il était plus simple pour le scénariste d'introduire un 2e Kira fille qui serait admirative et amoureuse du 1er, plutôt qu'un 2ème Kira mâle (ça aurait pu être piquant aussi). Ceci dit, Misa réservera peut-être quelques surprises ; elle a déjà donné pas mal de fil à retordre à Light par son comportement a priori inconscient, mais qui sait elle pourrait étonner (je m'attends à tout), surtout avec Rem qui veille.
Enfin, certains propos et actions de Ryusaki donnent l'impression qu'il ne sait plus quoi penser et qu'il est en train de basculer. Pourtant, je me demande s'il n'y a pas également quelque chose derrière ça.
Contrairement à Zanzibar, la prolifération des longs dialogues ne me gêne aucunement, et ça me plaît de voir défiler les raisonnements de chacun, en particulier ceux de Light et 'L'. A côté d'eux, l'équipe d'enquête fait bien pâle figure et je m'interroge sur ce que sera leur action et leur utilité (autre que de jouer les faire-valoir) par la suite.
Le 3ème tome m'avait bluffée par la rencontre et la confrontation directe entre 'L' et Kira ; là, j'ai surtout été impressionée par la rapidité des évènements, la façon d'y réagir des uns et des autres.
A suivre, car ça promet d'être toujours aussi intéressant.
L'histoire est loin d'être mauvaise, même si je l'ai trouvée un peu trop classique. En particulier, j'ai apprécié la façon dont V. Pérez a intégré et utilisé les créatures peuplant les légendes celtico-bretonnes. Son approche de cet univers est plutôt intéressante. Quant au splendide dessin de T. Oger, il embellit vraiment l'histoire.
Un volume en demi-teinte et qui souffre de la narration traînant trop longueur de l'auteur.
Ceux qui trouvaient la 2ème partie du tome 5 "crade" et "gore" pourront en dire autant de la première moitié de celui-ci.
La scène entre Yukari et Nakoshi se poursuit avec force sang, coups et violence. Leur expérience commune semble pourtant libérer la jeune fille. Le reste du manga montre Nakoshi déterminé à affronter son passé et s'évère, de fait, plus intéressante (et moins destabilisante).
La photo prise par l'agence Search met en péril aussi bien Blast que Trapnest. Mais Takumi parvient à résoudre la question en donnant au magasine un autre sujet de commérage. L'affaire affecte tout le monde, à commencer par Nana et Reira.
On suit donc encore les amours des uns et des autres, comme dans les tomes précédents, mais l'explosion qui aurait pu avoir lieu ne vient pas. Il semble que Nana accorde toujours sa confiance à Ren. Par ailleurs, Yasu met enfin de la distance entre lui et sa chanteuse et s'intéresse plus que jamais à Myu.
Maï/Misato revoit le groupe dont elle est fan, mais cette fois-ci en tant que manager : les retrouvailles donnent lieu à une fête. On suit également un peu l'autre Misato (la collégienne) et ses pas dans le club des fans de Blast, mais ça reste en arrière-plan.
Il semblerait donc que dans ce volume on s'éloigne une nouvelle fois des raisons qui ont amené Nana à partir. Le ton nostalgique évoque toujours ce départ et l'attente de son retour, mais les pistes sont de nouveau brouillées et il est difficile de deviner ce qui s'est passé.
Les toutes dernières pages qui nous transportent dans le futur (ou en tout cas, au moment où le récit est fait) nous donnent encore un petit aperçu de la vie de Hachiko. Un bon volume encore mais décidément, il y a de quoi se demander de plus en plus où l'auteur compte nous mener.
Après leur tournée en province, les membres de Blast sont revenus à Tokyo tandis que ceux de Trapnest partent enregistrer en Angleterre. Toujours aussi à cran, Nana parvient difficilement à discuter avec Ren de l'avenir de leur relation. Elle prend cependant plaisir à la soirée donnée pour ses fans de la 1ère heure et y rencontre la petite Misato Uehara, sélectionnée par Shion et son équipe. Rencontre que l'autre "Misato", devenue sa manager, redoute et dont elle s'ouvre à Myu qui transmet à Yasu. Parallèlement, Hachiko reçoit la visite du photographe Kurata qui a continué d'enquêter pour l'hebdomadaire Search sur la mère de Nana et en a retrouvé la trace.
Comme pour les 2-3 derniers tomes, les premières pages du volume 16 s'ouvrent sur ce qui se passe après les évènements qui nous sont racontés. Et là, on peut dire que la surprise est de taille. Le passage est vite passé mais il met en appétit et la suite rassassie plutôt bien.
Les longueurs précédentes axées sur l'évolution des relations amoureuses des uns et des autres sont quelque peu mises de côté et l'histoire se concentre surtout sur l'enquête menée par Kurata à propos des origines de Nana, sur ce qui en ressort (et auquel on pouvait s'attendre étant donné que des pistes bien visibles étaient déjà posées). Hachiko revient dans l'histoire, ou plutôt dans ce qui pourrait avoir des conséquences sur l'avenir de Nana, alors que celle-ci se rend compte qu'elle ne sait rien de la vie que mène son amie. "Misato" prend également de l'importance par ce qu'elle sait et dissimule encore. Bref, ce côté-ci de l'intrigue se développe et prend de l'épaisseur et on peut s'attendre à quelques remous pour bientôt. Le volume se termine sur 52 pages de bonus sur Nobu.
Un meilleur volume que le précédent.
Lors de leur promenade en barque, Kiyoko s'est déclaré à Sei, mais celui-ci préfère attendre pour lui donner une réponse.La jeune fille est perturbée et pense qu'il ne l'aime pas. Parallèlement, Tommy apprend avec stupeur qu'Akémi a disparu ; il contacte donc Yuki pour qu'il l'aide à la chercher. Quand il l'a retrouvée, Yuki décide de dire la vérité sur lui à Akémi: à savoir qu'il n'est pas une fille comme elle le croit. Mais elle est terrorisée et s'enfuit cette fois auprès de Tommy auquel elle demande de bien vouloir lui faire l'amour. De son côté Keiji continue de prendre soin de Sachiko dont la maigreur le préoccupe.
Ce tome est sous le signe de la tempête. Aucun des personnages n'y échappe, pas même le plus insouciant, Tommy. L'histoire se déroule sur un rythme assez rapide dans cet épisode et on sent ainsi qu'on approche d'un tournant décisif. L'accent est mis sur le mal-être d'Akémi qui est largement dévoilé même si les causes en restent assez mal (ou pas assez profondément) définies. L'anorexie de Sachiko est un autre point important et on s'attend aussi de ce côté à un clash qui tarde un peu à venir ; peut-être que les événements des dernières pages le déclencheront.
Un bon tome.
C'est le retour de la prise de tête dans les amours d'Hatusmi et Ryoki, en particulier pour Hatsumi (mais s'et-elle arrêté un instant de cogiter sur des riens ?) mais également pour Ryoki, chacun prenant conscience de la profondeur de ses sentiments pour l'autre et arrivant enfin à les reconnaître. Tout le récit se déroule dans un flottement de sentiments et de décisions prises ou pas prises au bon moment (c'est plutôt ça). Shinogu, là dedans, s'en tire assez bien, à mon sens, puisque non content de se déclarer, il bénéficie finalement des paroles influentes des parents d'Hatsumi et de celles d'Asuza. Son image de garçon "droit et pur" me paraît légèrement ternie dans ce tome.
Un bon volume dans l'ensemble.
Ce tome explore encore un peu plus la psychologie de certains personnages (Akito, Kyo) et continue de verser dans le dramatique. Cependant les sentiments, rancoeurs, jalousies sont enfin exprimés (Yuki et Kyo règle leur différend ; Yuki et Machi se déclarent), et l'histoire semble vouloir prendre un chemin plus paisible, en tout cas différent de celui auquel on pouvait s'attendre. L'effet Tohru, sans doute.
Bon volume, mais sans plus pour moi.
L'idyllique voyage en Occident de Mun-Su, Kewil Hyang et Hemosu tourne à la tragédie, la jeune femme étant de plus en plus malade. Ayant appris la révolte de ses conseillers, Hemosu retourne au Jushin pour reprendre la situation en main et c'est Ajite qui vient à Londres pour s'occuper de guérir Kewil Hyang.
L'ensemble (ou presque) de ce volume poursuit l'exploration des souvenirs de Mun-Su avant la chute du Jushin (tout ça grâce aux effets de la mandarage ^^). Il donne également quelques éléments de réponses quant à la nature d'Ajite et à ses objectifs. On y apprend aussi comment Mun-Su s'est retrouvé avec la maladie de Kewil Hyang et on se rend compte que Hemosu a des projets bien déterminés mais qui restent encore flous.
Quelques pages montrent le présent : l'écuyer et Yonshil qui cherchent une plante pour guérir Mun-Su ; le vieillard, Su et Miss Fang qui se préparent à combattre Ajite et les siens.
Un bon volume qui donnent des pistes mais laisse sur sa faim. Apparemment Mun-Su va encore rêver un bon moment.
Hatsumi est enfin décidée à s'éloigner de Shinogu. Pourtant lorsqu'Azusa lui annonce que lui et Shinogu vont reprendre l'enquête pour connaître l'identité de l'amant de la mère d'Azusa, elle accepte de les aider. Mis au courant de cette possibilité et alertée par un commentaire de sa gouvernante Mariko, Ryôki découvre l’identité du mystérieux amant. Connaissant la vérité, il refuse de tout révéler à Hatsumi par peur de la perdre.
Des révélations donc dans ce volume et la confirmation de bien des soupçons, en particulier en ce qui concerne l'amant de la mère d'Azusa ; une énorme surprise en perspective pour les personnages quand tout sera dit au grand jour. Par ailleurs, certains se réjouiront peut-être de voir Shinogu exprimer enfin ses sentiments ; les ascenseurs en panne ont ceci de bien c'est qu'ils rapprochent et donnent des occasions :siffle: Reste à savoir quelle sera la réaction d'Hatsumi le premier étonnement passé. Enfin, comme les difficultés n'arrivent jamais seules, mme Tachibana s'en mêle et découvre que Shinogu n'est pas le vrai fils des Narita ; les raisons de son adoption restent encore inconnues... un autre secret ?
Si la situation n'a pas encore "explosé", les choses commencent à se dévoiler et à apparaître au grand jour.
A noter : la romance Subaru/Akane se précise et avance
Dans le vol. 16 de [i][b]Beck[/b][/i], on apprend Koyuki et Cie sont un peu échaudés et désespérés par l'échec relatif de leur 1er single. Cependant, bien que leur marché ne soit pas rempli en termes de ventes, leur producteur, Kawabuto, garde confiance dans leur potentiel et leur talent. C'est ainsi qu'il leur propose d'enregistrer un autre album, avec un nouvel ingénieur du son peu amène ("affinité de grains de beauté" inside), et de s'occuper cette fois-ci eux-mêmes de la promotion. Parallèlement, Koyuki connaît quelques tempêtes dans sa relation avec Maho, mais la réconciliation n'est jamais loin.
Un bon volume, dans la veine des précédents. On y retrouve les déboires et petits bonheurs amoureux de Koyuki, mais aussi les peines et travaux que nécessitent la vie et la promotion de Beck. Pas le temps de s'ennuyer avec ce shonen !
Découvrir les oeuvres des débuts de Benjamin est très intéressant et permet de constater son évolution quant au scénario et à la maîtrise du dessin et des couleurs. Rien que pour cela, "One Day" est un bon album, enrichit encore par les commentaires de son auteur et le art-book.
En revanche, je trouve que les 4 nouvelles de cet album pèchent par manque de substance, bien qu'on y décèle déjà les thèmes de prédilection de Benjamin. Graphiquement, j'y ai retrouvé la patte de l'artiste, avec les imperfections propres aux premiers travaux.
Chongrui Nie offre à nouveau une histoire tirée des contes traditionnels. On retrouve dans ce récit une partie du côté humouristique du "Fils du Marchand", en particulier dans la mise en scène et l'intervention des animaux parlants (le chat, le renard) mais c'est beaucoup plus atténué. En revanche, les dessins de la "Belle du temple hanté", tout en N&B, avec des effets de crayonnés, permettent de prendre pleinement la mesure du talent graphique de l'auteur. En comparaison les couleurs du "Fils du Marchand" conféraient un aspect presque trop lisse (bien qu'assez frais) à cet album. Ici c'est tout le contraire, les personnages et les décors prennent de l'épaisseur et de la substance grâce au trait. A lire !!
La confrontation entre Ed et van Hohenheim amène quelques pistes et révélations qui changent la vision d'Ed par rapport à la transmutation humaine et à ce qu'il avait tenté de faire pour ressusciter sa mère quelques années avant. Ca change également pas mal de chose concernant Al et le devenir de son corps. En même temps, Scar réapparaît, en tuant plusieurs alchimistes d'Etat. Lorsqu'il l'apprend à son retour à Central, Ed décide de le piéger et par là-même d'attirer les Homunculus ; pour se faire, il accepte l'aide de Lin, prince de Xing. C'est aussi l'occasion pour Roy Mustang, encore en convalescence, et son équipe de donner un coup de pouce.
Donc nous avons un petit lot de révélations dans ce volume, ainsi que les inévitables questionnements que cela entraîne pour les frères Elric (mais aussi pour leur maître Izumi). De nouvelles pistes sont ouvertes et le processus qui a pris son corps à Al et son bras et sa jambe à Ed commence à s'éclaircir. Si l'action est reléguée au second plan, elle emplit les pages du dernier quart du volume et annonce un prochain tome sans doute plein de combats et d'affrontements.
Un bon tome.
Ce 4ème volume conserve la fraîcheur et la drôlerie des précédents. Les facéties et les "bonnes" (?) idées (sans oublier les "bons mots" ) de la petite Yotsuba, les réactions de ceux qui l'entourent, ses "découvertes" ne manquent pas de faire rire. Entre une partie de pêche avec Jumbo, une séance de badmington entre le même et Koiwai, la découverte de ce qu'est réellement une lyriste, il y a de quoi s'amuser et passer un bon moment de détente.
L'auteur poursuit sur sa lancée et continue de raconter la relation très particulière entre Kuroe et Misaki, sur un rythme lent et doux. On suit donc les émois de Misaki tout en apprenant quelques bribes de renseigments, mais si peu qu'on finit par se demander où l'auteur veut nous emmener. En revanche, on en apprend plus le passé de Sainome suite au décès de son père.
Le mystère plane donc toujours, mais on se laisse bercer par la délicatese charmante de l'histoire.
On suit la nouvelle cyborg, Pétra, dans une nouvelle affaire liée au groupe Padania. Elle et Triela sont chargées, avec leurs fratelli respectifs, de la sécurité du nouveau procureur. L'histoire d'un de ces prédécesseurs, le procureur Croce, remonte à la surface et on apprend ainsi quelques petites choses sur les frères Croce, Jean et José. La mission et la procureur rappellent également à Hilscher un évènement passé et permet de mieux cerner la complexité de ses relations avec Triela.
Un bon tome qui révèle quelques éléments sur certains personnages et permettent de mieux les cerner. Le scénario est plutôt bien construit et on ne s'ennuie pas.
A suivre.
En cherchant des renseignements sur la mort de Hughes, Al, Mustang, Hawkeye et Havock doivent affronter Lust. L'échec de celle-ci ainsi que celui de Glutony et Envy contrarie fortement leur maître qui voulait que le Flame Alchemist soit éliminé. A Resembool, Ed, accompagné du commandant Armstrong, suit un vieillard du pays de Lin dans les ruines de la cité de Xerxès ; l'occasion pour lui d'en savoir plus sur Maria Ross, meurtrière supposée de Hughes, et pour rencontrer des Ishbals.
Un tome qui fait la part belle à l'action et au combat entre militaires et Homunculus. Quelques révélations intéressantes, de quoi faire durer le suspens.
J'attends la suite.
D'un tome à l'autre, le même constat revient : l'histoire reste assez embrouillée et cette impression de fouillis n'est pas aidée par les appartés "pipi-caca" d'Icolo et Yona qui n'apportent absolument rien et font à peine sourire. En revanche, il semble que les choses avancent un peu plus puisqu'on découvre quelques éléments nouveaux sur le père de l'héroïne et sur ceux qui manipulent le royaume dans l'ombre. L'apparition du personnage de Gyokyu, en fin de volume, laisse à penser qu'on en saura bientôt plus sur les sombres secrets du palais et du "monde d'en haut" ; c'est donc la promesse d'être enfin éclairés sur la situation et les forces en présence.
Ce 20ème tome fait un peu avancer les choses. D'une part, on en apprend plus long sur Akito, sa mère Ren et son père Akira qui était l'ancien chef de la famille Soma. Encore une fois, il s'agit d'une histoire sombre où amour et haine déchirent les êtres. On se rend compte qu'Akito a été conditionnée depuis sa plus tendre enfance à être choyée et entourée par les 12.
D'autre part, il semble que la malédiction continue de se lever peu à peu, puisqu'un autre des 12 en est libérer et, comme Kuréno, affirme vouloir se détacher d'Akito. Celle-ci en est particulièrement affectée et sombre peu à peu dans une folie qui l'amène à commettre l'irréparable. Enfin, il semble que Tohru se décide enfin à avouer ses sentiments à Kyô qui la prend de court et lui révèle quelque chose à propos de la mort de sa mère Kyoko.
En résumé, il s'agit cette fois encore d'unn tome sombre où le drame est très présent. Les personnages semblent ballotés par les évènements, par un passé difficile, par une infinité de liens et de culpabilité squi les retient et les déchire.
A suivre.
Alors que Raïmon est toujours aux mains de l'armée et du général Sanzu qui compte l'utiliser pour faire revenir l'une des ailes et obtenir ainsi ce qu'il souhaite, Kotobuki pénètre dans la base de l'armée, et, avec ses compagnons qui arrivent en renfort, parvient le pire. Mais Raïmon reste inconscient et elle décide de se rendre chez Sanzu, qui a quitté l'armée, pour sauver son bien-aimé. Une surprise l'attend : la découverte du secret du général et un combat avec l'aile qui reste.
Un dernier tome qui clôt l'histoire sur un happy end sympa qui évite de trop tomber dans la mièvrerie. Une surprise intéressante cachée chez Sanzu, toujours autant de péripéties. L'intrigue assez touffue et brouillonne du début a fini par trouver son rythme et s'éclaircir. Quant au dessin, s'il a un peu évolué entre le 1er et le 6è volume, il est encore assez chargé et très "shojo classique".
Bref, une petite série bien agréable.
Encore une fois je me suis bien divertie en lisant les aventures de la petite Yotsuba et en suivant ses découvertes.
Visite au zoo, séance de feux d'artifices, distribution de fleurs au coin d'une rue, jeux, il y a de quoi s'amuser.
On apprend aussi quelques petites choses sur Jumbo, comme son métier, et on découvre enfin le père des filles Ayase .
Un bon moment de lecture
Il semble qu'on entre dans une nouvelle phase.
César, qui n'est plus cardinal, noue des liens avec le roi de France Louis XII qui le nomme duc de Valentinois et l'admet dans son armée. Il épouse également la fille du roi de Navarre : un mariage tout politique qui lui permet d'être également relativement libre vis à vis de son père le pape Alexandre. L'union entre la Papauté et la France implique beaucoup de changements pour les principautés et villes italiennes (en particulier Milan). Alphonse le comprend tout de suite et, d'accord avec Lucrèce et Sanccia, quitte Rome pour Naples. L'alliance de ce royaume avec les Borgia est compromis. A Florence, on retouve Chiaro travaillant comme vigneron. Il est emmené à Forli dirigée par Catarina Sforza par Niccolo chargé de négocier le paiement des mercenaires de Catarina qui assurent la sécurité de Florence. C'est l'occasion d'avoir un aperçu rapide mais précis des théories célèbres de Machiavel sur la question du mercenariat.
Un tome donc où on retrouve l'action, la politique, les menées de César. La romance est moins présente (un peu pour Sanccia et Alphonse), je ne m'en plains pas (j'en avais marre des réactions d'oie blanche de Lucrèce). Peu de fantastique aussi (déjà dans le tome 9).
Sachant que cette série est adpatée d'un roman à l'eau de rose, je ne suis guère étonnée de son évolution ni des soubressauts de l'intrigue cousus de fil blanc. Nous en sommes au 3ème acte sur 5 d'un mélodrame, évidemment les choses notre pauvre héroïne entre dans une série de déboires, à commencer par la déclaration d'une maladie (on s'y attendait). Côté sentimental, sa volonté de ne faire de mal à personne et de se débrouiller seule aboutit au contraire ; que ce soit avec Dongcheng ou le blondinet, la jolie Xiaohui n'est pas douée...
Seul petit moment où l'intrigue avance (mais d'un minuscule petit pas) : l'affaire du papillon (celui qu'elle porte à la cheville et qui est brodé sur le mouchoir de Dongcheng). Mais on attend toujours la grande révélation à ce sujet.
Côté graphisme, les couleurs sont toujours très jolies. La petite baisse de qualité du dessin, soulignée pour le tome 2, est toujours là.
Le plan d'Akémi contre Sachiko fonctionne. Tommy est bouleversé lorsqu'il découvre sa petite amie tenue par Kenji. L'amitié entre ces eux-là est rompue par des apparences trompeuses. Les choses empirent lorsque Sachiko et Kenji sont renvoyés. Kiyoko décide alors de prendre les choses en main et d'ouvrir les yeux de Tommy.
Une évolution attendue de la relation entre Tommy, Sachiko et Kenji en raison des événements de la fin du vol. 2. L'affrontement entre Kiyoko et Akémi est intéressant, d'autant que Tommy qui ne cesse de regarder la permière, ne voit pas que la seconde essaie de le conquérir par tous les moyens.
L'histoire continue donc sur un bon rythme. Les premières appréhensions vis à vis de ce shojo à la française s'estompent.
Lorsque la Junte envoie un détachement pour écraser la Résistance, Icolo et Blanco sont pris dans la tourmente au moment où ils allaient combattre les enfants réfugiés du "monde d'en bas". Ne supportant pas ces tueries et cette violence, Icolo clame qu'elle est la princesse ; les militaires l'embarquent donc. Mais dans leur camp, l'heure est grave : l'expérience de la "baleine" a lieu et les scientifiques perdent le contrôle de l'objet qu'ils ont mis au point.
L'histoire bien que touffue et parfois difficile à suivre reste intéressante. On se rend compte que le monde dans lequel vivent Icolo et son peuple est au bord de la disparition. Par ailleurs, des failles apparaissent dans les relations entre le Palais et la Junte.
Au "Japon", Yamato révèle à Kotobuki et ses compagnons ce que sont réellement les ailes. A peine revenue de sa surprise, l'héroïne voit l'île envahie par les troupes du colonel Sanzu, tandis qu'à Niels, Raïmon est blessé et emmené par l'armée. Raïmon est en effet intimement lié aux ailes.
La révélation de l'origine et de la nature des ailes permet une approche plus fine et légèrement différente de l'histoire qui apparaît désormais encore plus comme une réflexion sur les utilisations de la science. Le plus intéressant dans ce volume est sans doute le chapitre consacré à Raïmon qui nous explique longuement d'où vient le héros, ce qu'il est, sa relation avec l'armée, avec Kotobuki et son lien avec les ailes Katô et Rikuro.
Un bon volume.
Dans ce volume, Diu Diu retrouve Pulsar, un artiste rockeur du monde des toons qui connaît un immense succès dans le nôtre avec son band. Poursuivi par le père de sa dulcinée qui l'empoisonne et le rend accro à la drogue, il n'a d'autre solution que d'aller se désintoxiquer chez les toons et emmène ses copains (et chérie) au passage.
Le petit renard miteux croise aussi le chemin de Risotto Fruit-de-mer, un autre toon, cuisinier celui-là ; cette aventure s'aggrémente d'un épique concours de chefs entre les différents membres de la "famille" Risotto. Heureusement que Diu Diu et Boute-en-train sont là pour arranger les choses.
Encore une bonne dose d'humour délirant dans ce dernier tome. Il n'est pas toujours aisé de suivre les fantaisies de l'auteur qui s'amuse énormément avec ses personnages. La fin est digne du reste de la série : drôle et farfelue. Au passage, Nie Jun passe un message intéressant sur le monde du show-bizz de la musique et de ses dérives, ici la drogue. Certes, c'est fait sur un ton plus qu'amusé et déjanté, mais l'idée est là.
6 nouvelles "aventures" de Yotsuba aussi fraîches et drôles que celles du tome 1.
Que ce soit lors d'une séance de dessin en plein air, devant un bon gâteau aux fraises, dans une tentative de vengeance à coups de pistolet à eau, à la piscine, ou avec un crapaud, les réactions de la petite Yotsuba ne manquent pas d'amuser et de distraire. Et les plus grands qui l'entourent - les voisines, son père ou Jumbo - ne sont pas en reste.
Quelques petits éléments donnés sur la famille Ayase dans la dernière histoire.
Toujours aussi agréable donc
Revoilà le facteur sur sa bicyclette parcourant la campagne coréenne. Cette fois-ci il est le témoin de 42 petites histoires autour de couples de vieux paysans et de leur relation avec leurs enfants ou petits-enfants, mais aussi de l'amour toujours vivace qui peut lier deux vieux époux.
Le ton reste juste, pertinent et empreint de sensiblité et de poésie, que ce soit lorsque le vieux père retrouve son fils qui essaie de faire croire qu'il est riche en louant une belle voiture, ou quand la grand-mère reçoit une lettre de sa petite-fille écrite en langage SMS, ou lorsque le vieux mari offre un bouquet fraîchement cueilli à sa femme en lui disant qu'il l'a voit encore comme une jolie fleur.
Un très bon tome.
C'est toujours aussi bon et plaisant.
Un petit plus pour l'histoire du début avec les tortues ninjas (humour au rendez-vous) et l'épisode de la jeunesse de notre lapin ronin préféré à la fin.
Ce 12ème volume est dans la lignée du précédent et poursuit le flashback. Cette fois-ci, il ne s'agit plus de combats mais bien de découvrir les personnages et leur passé commun. En particulier le triangle Mun-su, Kewil Hyang et Hemosu, ce fameux souverain du Jushin qu'on n'avait alors qu'entraperçu. On avance aussi du côté d'Ajite qui se dévoile très lentement. Ce tome montre aussi comment les anciens compagnons de Mun-su (comme Wonsul) évoluent petit à petit durant la période où leur chef est parti ; ce n'est pas encore complètement dit, mais on en trouve les germes.
Un tome vraiment bon.
Malgré ou à cause du départ de Riff qui s'est révélé être le pantin de son père Alexis, Cain est plus que jamais décidé à faire tomber l'organisation Delilah. Mais le jour du jeugement approche et le Master veut utiliser son fils pour arriver à ses fins. Il lui envoie donc Michaela pour qu'elle porte l'enfant de Cain.
Le dénouement approchant (dans le vol. 8 apparemment), les choses s'accélèrent. Les machinations d'Alexis Hargreaves sont mises à jour, au moins en partie et quelques révélations sont données sur la naissance de Cain (les raisons de sa conception incestueuse). On apprend également quelques petites choses sur Jézabel (son dégoût de vivre aux dépents d'autres êtres vivants) et sa haine envers Cain.
Un bon tome.
Dans “la forêt maudite” de Salin, Kotobuki rencontre des robots humanoïdes et découvre qu'ils sont les gardiens d'un trésor (un arbre) destiné à reboiser la Terre. Grâce à l'un d'eux, elle apprend qu'elle pourrait obtenir des informations sur les "ailes" dans une île légendaire, le Japon. Elle s'y rend avec ses compagnons mais sans Raïmon qui ne peut sortir des frontières du pays. Mais le général Sanzu la tient à l'oeil.
Un bon volume. Le "méchant" se révèle enfin ; on en parlait beaucoup et on fait finalement connaissance avec ce Sanzu qui a implanté une bombe dans la tête de Raïmon. Kotobuki devient femme et on peut voir à quel point sa relation avec Raïmon a évolué.
L'aperçu du "Japon" et les quelques éléments apportés sur les ailes attirent l'attention et amorcent des révélations à venir.
Dans ce volume, on suit Tatsuaki à Shangaï où il se rend avec Honran, Shiiron et Yuan afin de retrouver le jeune adolescent qui pourrait être son grand-père. Là-bas il découvre comment le Chinpan contrôle la ville et les théâtres, et fait également la connaissance d'un grand acteur de Kyougeki, maître Gai Kyouten, ami de Mei Lanfang. Sa quête tourne court car son grand-père potentiel serait retourné au Japon. Il sy rend quelques mois plus tard avec Mei Lanfang et comprend finalement d'où vient le masque Nô donné par le Maître et qui l'avait transporté dans la Chine des années 20.
Les dernières pages de ce dernier volume permettent de donner tout son sens à une scène du 1er tome dans laquelle on voit le grand-père juste après la disparition de Tatsuaki lorsqu'il pose le masque sur son visage. Une petite fille entre et annonce que le déjeuner est servi. Tout juste dite, la vérité est révélée et on regarde alors d'un oeil nouveau l'histoire complète et la quête de Tatsuaki.
Evoquées rapidement dans le dernier tiers du tome, l'invasion de la Chine par le Japon, la guerre puis la révolution culturelle permettent de voir comment les artistes ont été traités durant ces périodes et rappellent des scènes du film de Chen Kaige, [i]Adieu ma concubine[/i].
Ce tome 1 est amusant, péchu et ne manque pas d'intérêt. On y trouve de bonnes idées (ce "séjour" des suicidés par exemple) et, chez l'auteur, une vraie envie de partager son goût pour le heavy metal. Ca passe très bien et on se prend facilement au jeu.
Le dessin est à l'image du propos et mélange les sytles avec bonheur.
Un bon manhua, c'est sûr :ok:
Avant tout, ce tome 7 porte les germes de quelques révélations et changements, en particulier en ce qui concerne le père d'Azusa qui ne serait aps celui qu'on croyait mais un autre, le paternel d'Hatsumi n'ayant alors été qu'une couverture. Ryoki prend les choses en main dans sa relation avec Hatsumi et révèle à sa mère qu'il sort avec la jeune fille. Evidemment, toute la résidence est aussitôt au courant. Mais là où çà avance le plus, c'est en effet du côté d'Akané.
C'est toujours un bon shojo, plaisant à lire et avec une hsitoire bien rythmée dont retournements de situatiosn ne sont jamais exagérés.
Koyuki et les autres retrouvent Ryusuke ; le groupe est enfin au complet. Mais Kevin, le leader du groupe état-unien qui les a invité, ne veut plus que les jeunes Japonais participent à la tournée. Il accepte cependant qu'ils se produisent au Lizard House, une salle mythique, mais pose ses conditions. Si Beck, mené par Ryusuke, parvient à remplir la salle, le groupe continuera avec eux, sinon ce sera la fin du rêve américain et Kevin récupérera Lucille, la fameuse guitare.
Un volume dans la lignée des précédents. On ne s'ennuie pas et on retrouve avec plaisir le groupe dans son intégralité. Après avoir partagé avec Koyuki et compagnie les affres d'une tournée bien mal commencée, la venue de Ryusuke fait renaître l'espoir. L'humour est toujours très présent : cf la tête du héros quand il voit sa "biggest fan" américaine.
L'affrontement Sasuke/Naruto a commencé. L'auteur nous offre un flash-back sur l'enfance de Sasuke, son clan et ce qui s'est passé avec son frère Itachi : pourquoi celui-ci a massacré leurs parents et les autres membres du clan, pourquoi Sasuke veut à tout prix devenir plus fort et tuer son frère, et comment il compte utiliser Naruto pour modifier les pouvoirs de son oeil.
Un tome plutôt bon qui permet enfin de comprendre vraiment la relation Itachi/Sasuke.
Ceux qui se plaignaient du manque de mouvement et de la stagnation des derniers tomes n'auront pas trop à se plaindre.
Les 2 derniers volumes nous ont largement préparés à la séparation des routes de Nana et d'Hachi. Encore une fois, dans ce t. 14, elles ne se croisent pas.
Hachi a décidé de donner une chance à sa relation avec Takumi et on la voit donc vivre cette vie qu'elle a choisi : celle de la fiancée, presque de l'épouse, presque toujours seule, à attendre son mari, à accepter ses absences tout en se doutant que ce n'est pas toujours pour le boulot.
Parfaite dans son rôle, elle éprouve même un pincement au coeur quand Blast cartonne plus que Trapnest.
Du côté des membres de Blast, la tournée se poursuit. C'est l'occasion d'avoir un aperçu des fan et de la petite Misato Uehara dont on découvre bien vite qu'elle ne semble pas avoir de lien avec la Misato aux boucles blondes ^^ (pourtant il y a quelque chose de ce côté). On fait aussi connaissance avec une certaine Shion, fan de la première heure et très attirée par Yasu. Le même Yasu qui ne semble pas insensible au charme particulier de Myu, ce qui met Nana dans tout ses états. Quant à Nobu, il se rend compte qu'il ne peut pas toujours refuser les responsabilités quand il apprend que Yuri a voulu quitter son boulot (et là on découvre tout un système peu reluisant).
Côté Trapnest, Ren confesse à Reira qu'il désire Nana pour lui seul afin qu'elle ne regarde plus Yasu. D'autres révélations sont faites aussi sur l'époque où Yasu, Takumi, Reira et Ren commençait à chanter dans leur ville natale. Il y a aussi une scène montrant les problèmes de Ren avec la drogue (ça fait quelque chose quand même).
Misato boucles blondes refait son apparition mais ... autrement.
La fin semble enclencher la phase finale de la série, celle qui fera basculer le fragile équilibre.
Bref, un très bon volume
Encore quelques révélations et retour dans le passé.
Tohru reste déterminée à sauver Kyo et à lever la malédiction. Les paroles ambigues ne Shiguré ne sont pas pour la rassurer, pourtant il semble que les choses soient en marche. De son côté, en allant se recueillir sur la tombe de Kyoko, Kyo rencontre le grand-père de Tohru et apprend des choses sur celle qu'il aime.
Yuki apprend quelques secrets sur son frère Ayamé qui, sans étonner vraiment, nous montre que le serpent n'est pas si insensible que ça. Il fait également connaissance avec la petite amie de Kakéru, Natsuki unie à Tohru par un lien singulier.
Les secrets des personnages sont donc dévoilés petit à petit et on se prend à se dire que la malédiction finira bien par tomber toute seule (ou presque).
On retrouve également Kisa, Hiro et Momiji qui ont bien grandi. Il suffit de voir Momiji, il n'a plus rien, semble-t-il, du garçon turbulent qui courait dans tous les sens. Encore une fois, on se rend compte à quel point les perso ont évolué et mûri.
Côté relations amoureuses, tout le monde voit le lien entre Kyo et Tohru mais ceux-ci ne se décident pas. Quant à Yuki, on ne peut pas dire que se soit gagné avec Machi.
Encore un bon tome même si je regrette un peu l'absence de Hana et Uo.
Je l'ai trouvé tout aussi bon que les précédents et j'ai apprécié la façon dont il clôt la série en laissant une fin ouverte.
J'en retiendrai ceci : les personnages ont évolué, mûri. Malgré le résultat de la Coupe Hokuto, nul ne s'est laissé abattre. Le mot d'Akira "ici ce n'est pas la fin. Il n'y a pas de fin. Nous vivons pour faire le lien entre le passé et le futur. Moi, nous, eux" résume l'ensemble de l'oeuvre et l'évolution qui a eu lieu. On est loin de la passion exacerbée qui avait saisi Akira lorsqu'Hikaru l'avait battu en laissant joué Saï au début du manga. Le premier supplément ("Saï Fujiwara contre Akira Toya") m'apparaît alors comme un rappel de cet épisode et de ce qui a motivé Akira jusqu'ici.
Le second supplément (Shoji ! Oka!) donne un aperçu rapide de ce qui se passe après la Coupe Hokuto. On y voit le nouvel élan des jeunes inseï, leur passion, leur envie de jouer, de surpasser ou d'atteindre le niveau d'Akira et Hikaru. Le cycle continue. Les toutes dernières pages montrant Hikaru affrontant Akira dans le Tournoi des Jeunes Lions suggèrent que ces deux-là seront amenés à jouer bien des fois l'un contre l'autre, peu importe lequel gagnera.
Quant au coup divin, il reste mythique et ce n'est pas plus mal !
Alors que Blanco combat contre de mystérieux personnages masqués, lui et Icolo sont retouvés par la junte mais lui échappent de justesse. Recueillie par un groupe d'enfants résistants, Icolo se rend compte qu'eux aussi cherchent à réucpérer quelque chose : le "totem" qui ressemble à son "soleil". Ailleurs la junte met un plan à exécution.
L'aventure se poursuit donc sur fond de combat et de découvertes. Tout le monde semble chercher quelque chose, que ce soit le "soleil", le "presköm" ou le "totem". Icolo apprend aussi que la famille royale n'est pas si bien vue dans le "monde d'en bas". L'image qu'en ont les enfants qu'elle rencontre est en total décalage avec ce qu'elle a appris et croit faire pour son peuple.
L'histoire s'étoffe et reste assez touffue ; on ne cerne pas encore trop les objectifs de chaque groupe.
Plaisant à lire et amusant.
Centrale n'a pas le temps d'envoyer ses inspecteurs observer les hommes de l'est. Chacun d'eux reçoit l'ordre de faire un rapport d'inspection d'une personne désignée. Havoc doit donc observer les faits et gestes du colonel Mustang. Evidemment, c'est sensé être secret, mais les autres membres de la section sont sollicités par Havoc pour l'aider dans sa tâche. On suit donc quelques journées du Flame Alchemist avec les commentaires des membres de la section.
Le combat de l'armée contre Greed et les chimères se termine grâce aux interventions de King Bradley qui s'est révélé. Une réunion des homunculus fait apparaître un nouveau personnage : le "père" de ceux-ci. On quitte rapidement ce petit comité pour découvrir encore d'autres perso : en l'occurrence des individus venant de Xing, versés plus ou moins en elixirologie (alchimie) et recherchant la pierre philosophale. On retrouve également Barry le Boucher.
Si le début ce vol. est plutôt sérieux, la suite (avec Barry et les représentants de Xing) est plus comique. Ca donne l'impression d'une pause "amusement" avant le rendez-vous des protagnistes à Centrale.
Le combat contre les elfes est plutôt bien mené et bien trouvé.
Après l'éclipse mettant fin à l'Age d'Or, Guts n'est plus au sommet de sa gloire et de sa force. Il doit remonter chaque échelon un à un pour retrouver sa splendeur passée. Certes les elfes et les insectes ont l'air assez minables pris individuellement, mais leur force réside justement dans leur nombre et leur attaque commune.
Par ailleurs (sentimentalisme féminin peut-être ?) j'ai trouvé l'histoire de Rosine intéressante même si elle n'est pas forcément originale.
Impression mitigée voire très moyenne pour le scénario. On nous promène de droite à gauche, même les repères temporels laissent à désirer. Difficile de distinguer ce qui se passe dans la même journée de ce qui arrive quelques jours après... L'eau de rose coule à flots et submerge tout. L'héroïne qu'on avait connu assez percutante se laisse aller et dominer de bout en bout. On découvre quelque chose sur Xiaohui qui était couru d'avance étant donné la façon dont s'achevait le tome 1... A quand la grande révalation (qui me semble cousue de fil blanc) sur le lien entre le papillon du mouchoir de Dongcheng et celui de la cheville de sa dulcinée ?
Côté sentiment, ça n'avance pas. "Je t'aime, moi non plus" ça finit par lasser.
Pour le graphisme le dessin semble irrégulier : on retrouve certains plans et dessins bien réussis comme dans le tome 1, d'autres sont bien plus approximatifs. C'est dommage. En revanche, les couleurs restent réussies.
A nouveau 4 histoires où pulullent tanuki, yôma, shikigami et autres yokai.
D'abord celle d'un lac et d'un esprit furieux, puis celui d'une divinité protectrice qui finit par faire plus de mal que de bien à la famille à laquelle elle est lié (et qui reprend la légende du serpent blanc), ensuite le récit de la malédiction lancée par une vieille prêtresse, enfin l'histoire d'une prêtresse et de ses prophéties qui l'ont conduite à devenir meutrière.
Comme dans les 2 volumes précédents, nous retrouvons Ritsu, Tsukasa, Oarashi, Ojiro et Ogura, mais également le jardinier-pierre du tome 2 (le jardin miniature). Par ailleurs, les pouvoirs spirites de Tsukasa grandissent de plus en plus et on se doute qu'elle finira bien par comprendre que ce qu'elle voit ne sont pas des visions.
Encore un bon moment
Les amours de Yukio et Maho se précisent. Au même moment, les membres de Beck reçoivent une proposition alléchante grâce à leur prestation au Greatful Sound : une tournée de concerts aux Etats-Unis avec un groupe en vogue. Le succès sera-til au rendez-vous même sans Ryûsuke ?
Le Greatful Sound a vraiment fait bouger les choses. Beck a l'occasion de faire apprécier sa musique aux Etats-Unis, devant un public plus exigeant qu'au Japon. L'expérience montre l'étendue de la difficulté pour les membres qui ne sont pas sûrs d'eux, ne connaissent rien au milieu dans lequel ils débarquent, et qui semblent perdus sans Ryûsuke.
Encore un très bon volume. Vivement la suite !
Le subterfuge du remplacement de personne et du travestissement est un classique de la littérature et on le retrouve régulièrement dans la BD asiatique. On ne s'étonne donc pas du sujet ni d ela façon dont il est traité. La nuance vient du caractère du prince Nikol qui doit se déguiser en princesse et qui a toujours vécu accroché aux hauts-de-chausses de ses frères. Il a souvent des réactions de filles, ce qui n'est pas sans faire rire. Il semble même qu'il ne soit pas insensible au charme ombrageux du prince Jed, à moins qu'il ne soit particulièrement impressionnable. Le dessin est plutôt moyen, voire brouillon.
Rien de bien fantastique en somme.
J'ai beaucoup aimé ce manga.
La première histoire est poignante, empreinte de tristesse. On sent la vie s'en aller peu à peu.
Les deux autres histoires sont touchantes également. On voit combien la bombe atomique est restée ancrée dans les esprits, combien ses conséquences ont miné la vie de la population. Que ce soient 10 ans ou plus après, la bombe a marqué dans la chair et dans les consciences.
L'auteure développe son thème avec une sensibilité rare, attachée aux gestes quotidien. Il n'y a pas de scènes de destruction totale, soudaine, terrifiante, mais le parcours d'un lent poison qui grignote les vies de l'intérieur.
Une oeuvre très sensible qui touche profondément.
On retrouve donc les coulisses de l'opéra de Pékin avec ses entraînements rudes, ses punitions sévères, ses représentations magnifiques, ses rivalités. Pour épicer le tout : la quête d'Azumi, à la recherche de son grand-père, qui aurait connu Mei Lanfang. Et, dans ce tome, l'auteur ajoute quelques mystères entourant Honran et, surtout, une affaire de pègre corsée d'un sombre contexte familial autour de Yuan Teyler (splendeur et décadence de richissimes occidentaux en Chine...).
La lecture reste agréable et il n'y a pas de temps morts
C'est une véritable plongée dans les coulisses du célèbre opéra de Pékin et de la Chine des années 20 que propose Hiroshi Ueda à travers la description des entraînements (avec les vexations qui les accompagnent), des représentations de Kyougeki, des amitiés et rivalités entre jeunes apprentis, les petites touches rappelant le contexte historisque (haine des japonais, présence des Européens dans les concessions, etc). Tatsuaki, après un moment d'égarement bien compréhensible, découvre la réalité de l'art qui le passionne et pour rencontrer son grand-père jeune (quand Mei Lanfang lui avait offert le fameux masque) intègre l'équipe des apprentis.
Les entraînements et les représentations ne sont pas sans rappeler ceux du films Adieu ma concubine.
Le trait est clair, net, tout comme le découpage. Si les visages un rien trop rond aux grands yeux ont un côté très enfantin (mais ne s'agit-il pas avant tout d'enfants ?), on ressent tout le plaisir pris par le mangaka à dessiner les somptueux costumes et maquillages portés par les acteurs de Kyougeki ainsi que les danses, sauts et autres effectués sur scène.
A noter qu'à chaque nouveau chapitre, l'auteur nous gratifie de la description ou de l'explication d'un mouvement particulier ou d'une scène du Kyougeki.
L'impression laissée par le t. 1 est confirmée.
Quatre nouveaux chapitres pour quatre histoires où humains et yokai cohabitent encore une fois. D'abord le récit d'une mystérieuse femme fantôme en kimono, puis celle d'une danse autour du pilier sacré protecteur d'une famille, ensuite celui d'un jardin miniature où vit l'âme jamais rassasiée d'un cannibale, enfin une étrange histoire derrière un paravent avec jeux et paris.
Nous retrouvons des personnages du premier volume, en particulier la cousine de Ritsu, Tsukasa qui a un rôle non négligeable dans les 2 premiers récits, mais aussi les moineaux Ojiro et Oguro, sans compter l'ami Aoarashi.
La qualité demeure présente tant au niveau de la narration que du dessin.
Vraiment un bon manga
Pour sauver l'orphelinat menacé de destruction par Ross, le père de Raïmon, Kotobuki s'introduit dans sa résidence. Elle découvre un stock d'armes à feu et comprend alors que Ross vend ce matériel au pays voisin qui est en pleine guerre civile. Elle tombe de haut quand la belle Fia, l'adjointe de Ross, lui dévoile que l'armée est au courant de tout ce trafic et qu'on a greffé une bombe dans le crâne de Raïmon pour le dissuader de s'approcher des frontières et de trahir sa patrie.
On en apprend donc plus sur le passé de Raïmon et ses rapports avec l'armée. On découvre que c'est un garçon très doué. Une petite soirée chez un bellâtre permet à Kotobuki de s'interroger sur sa féminité et sur la grande patience que Raïmon a avec elle.
Le dernier chapitre annonce des évènements intéressants dans cette forêt étrange que les héros doivent traverser.
Enfin, il est toujours question des ailes bien sûr mais aussi de ce garçon qui apparaît sans cesse à Kotobuki et que Raïmon semble connaître lui aussi.
Un tome agréable à lire
Ce 1er tome est une bonne surprise.
La trame est très intéressante et j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre les données politico-stratégiques mises en place.
Le graphisme est très beau et d'une grande qualité mais ce sont surtout les couleurs qui m'ont conquise et époustouflée. Du bel ouvrage :ok:
Un premier tome très prometteur donc et qui donne énormément envie de connaître la suite.
Merci aux auteurs.
L'histoire est un rien confuse quelquefois (on ne sait plus parfois si c'est l'imagination de Boris qui travaille ou pas), mais, sans être exceptionnelle, l'intrigue est assez bonne et le côté comédie très présent. L'humour est très présent, en particulier lorsqu'intervient le père de Yuri. Au-delà du comique, on trouve aussi la mise en scène (ou la descritpion) des sentiments de solitude, d'isolement, de froideur.
Ce n'est pas un manwha transcendant, mais c'est divertissant voire amusant.
Dans le vol. 2, Auna et Jenin se rendent chez le magicien "des glaces", Nao, afin de lever la malédictin de Jenin. Au milieu des neiges éternelles où il vit, Nao demande aux deux jeunes gens de lui rapporter le printemps...
Dans le vol. 3, Nao habite désormais avec Auna et Jenin ; il s'intéresse particulièrement aux manigances de la princesse Vellotte et au rôle qu'y joue Auna. Par une nuit d'orage, un agent de la princesse débarque chez Auna ; il convainc l'héroïne de l'aider et les voici tous en chemin pour le royaume voisin.
Deux tomes assez moyens. Il n'est pas facile de suivre les aventures d'Auna et Jenin et le 3ème volume a un air de "déjà-vu" (il rappelle fortement un épisode du t. 1 pour les scènes dans la prison). Du côté de la malédiction de Jenin, rien n'avance, après "l'échec" final vu dan le t. 2. Les situations sont moins amusantes qu'au début. Dommage.
Les 2 volumes déjà parus sont emplis d'humour et de bonne humeur. Difficile de ne pas s'esclaffer quand on suit les aventures/mésaventures de Rangbi constament préoccupée par l'argent, les envolées lyriques de Won Dan, appuyées par force petits cupidons et gros "bom bom" (le coeur qui bat la chamade quand sa belle apparaît, même crottée jusqu'au cou), les mensonges de You-Ka, fille la plus populaire du lycée qui joue les princesses pour cacher que ses parents sont poissonniers, et les manipulations de Jimmy pour faire tomber les femmes dans ses filets et obtenir ainsi ce qu'il veut (très amusant en particulier la scène de charme face à la vieille directrice).
On ne s'ennuie pas et on s'évade simplement grâce au propos léger. C'est excellent pour se changer les idées bien que l'intrigue soit farfelue.
Yi Nan est résolu à faire de Eun-Yo une star et plus précisément son partenaire de scène.
Il l'oblige à tout quitter (famille, amis, petit copain) pour suivre un entraînement difficile et une métamorphose telle que la jeune fille est méconnaissable. Même sa voix a changé...
2 tomes dans lesquels on suit la transformation de Eun-Yo. Les amours sont laissées de côté mais ça ne manque pas beaucoup. Les entraînements de la jeune fille sont parsemé de moments humouristiques, ce qui fait qu'on lit sans vraiment prendre tout cela au sérieux. Pas vraiment de quoi s'enthousiasmer pour la série.
Deux belles histoires qui mettent en avant l'enfant dans un environnement qui ne lui correspond pas. La première nouvelle a un goût mélancolique et est empreinte de poésie. La seconde ne peut laisser insensible ; le contraste entre le garçonnet surgi de la Préhistoire et le moderne monde futuriste dans lequel il débarque (et qui le soumet à des expériences qui font frémir) émeur, touche, révolte. C'est finalement l'amour maternel de la jeune femme s'occupant de cet enfant qui réconcilie avec l'humain.
Très beau
Un bon volume. On y voit un peu plus la situation du pays, les tensions et les discriminations. Les éléments d'information parsemés sur Raïmon épaississent le mystère autour de lui. Qui est-il ? qui était-il ? qu'a-t-il fait pour être dégradé ? etc
On se rend également compte que tout ce qui arrive au couple Kotobuki/Raïmon est surveillé, voire initié, par l'armée et/ou le père de Raïmon.
On est content que Kotobuki prenne conscience de ses sentiments pour le beau capitaine.
L'histoire est bien agréable, pleine de fraîcheur et d'humour. On retrouve cette façon qu'a l'auteur de doser avec justesse moments sombres et scènes amusantes.
Un récit aigre-doux empreint de mélancolie et d'une justesse parfois douloureuse. La quête d'amour et de sens de l'héroïne renvoie la lectrice à des situations connues (qu'elle les ait elle-même vécues ou rencontrées chez des amies). En même temps, il est pourtant difficile de ne pas penser : "mais pourquoi se laisse-t-elle faire ?". Quelque part, la narration et la mise en scène de l'histoire de cette jeune femme consentant à un amour sans retour est à double tranchant : on la comprend et on aimerait la secouer comme un prunier‎.
La résignation de Yûko renforce certaines tendances intimes tout en semblant exagérée, déplacée, agaçante même. Quelque chose dans la solitude de l'héroïne est dérangeant (cf. ce qu'elle dit dans la planche de la Bel).
Le coup de crayon, clair, ne s'embarrasse guère de fioritures. Il peint les personnages dans leur quotidien et laisse sentir le décalage qui sembe exister entre le tumulte de la vie et l'existence de Yûko (pourtant chargée mais si désespérement vide).
Un volume doux-amer pour clore cette histoire si particulière et si puissante.
La vie de Chizuna s'étiole, s'échappe. Cette fatalité imprègne l'ensemble de ce t. 7. Elle s'accompagne du retour soudain des souvenirs de la jeune fille concernant la mort de sa mère. La résignation de Kazuna est aussi empreinte d'une tristesse touchante, déchirante. Tout comme celle de Yaegashi.
Vraiment magnifique et émouvant.
Très intéressante interveiw de Kei Toume à la fin du tome.
J'ai apprécié le tome 11 du Nouvel Angyo Onshi.
Passé le premier moment de déroute, la plongée dans le passé s'avère finalement intéressante. On y appréhende mieux le personnage du général Mun-Su (différent ou pas du Mun-Su que nous connaissons déjà ?), on découvre le Jushin, on voit Ajite plus ou moins à l'oeuvre sans le cerner plus qu'auparavant. Une autre partie du volume remet en scène notre Sando vue par Mun-Su.
Plutôt un bon volume mais en espérant que le flashback ne dure pas trop.
D'abord, j'ai trouvé un peu dommage que le titre de la 166é partie qui commence ce vol. 21 nous donne la réponse du match Hikaru/Yashiro. Mais bon, c'est pas grave car nous avons droit à un joli retournement de situation. La fougue de la jeunesse et son désir criant de vérité !
Nous obtenons donc pour le tournoi un trio prometteur, talentueux.
Via la section édition, nous faisons un peu connaissance avec les équipes coréennes et chinoises. L'interview de Yeog-ha Ko par Kosemura, c'est quelque chose ! Il donne des frissons ce joueur... donc il me plaît ^^ Mais comme Hikaru, çà me reste en travers de la gorge qu'il considère Shusau Honïnbo comme dépassé .
En dehors du groupe de jeunes qui participent à la coupe Hokuto, nous voyons évoluer Koyo Toya, retraité du monde pro, qui se lance comme amateurs dans un tournoi coréen. Quel réalisme, quelle volonté, chez cet homme, qui avoue de but en blanc à son collègue chinois qu'il cherche un coup absolu.
Encore un bon volume !
Face au "Serial Gourmet" (quelque peu pathétique), Bontenmaru révèle la bête féroce qui sommeillait en lui : Haira. Parallèlement, Yukimura affronte son ancien ami, Shindara. Enfin, mystérieux personnage aux yeux rouges convainc un Shinrei agonisant.
Ce 26ème tome ne manque pas de révélations et j'y ai retrouvé un certain intérêt. Ce qu'on apprend sur l'ex Roi rouge est intéressant. On finit par mettre de côté les logns combats qui constituent l'essentiel du volume pour se centrer justement sur les éléments qui nous y sont dévoilés. Espérons que la suite ne s'enlisera pas et qu'il s'agit là de l'amorce de la dernière ligne droite. Ce serait dommage que le petit plus de ce tome-si soit noyé par un retour à l'endormissement dans des combats sans fin.
Le tournoi des employés de Pantasia continue et on découvre un nouveau personnage essentiel qui s'avère être une véritable peste.
L'humour est toujours aussi présent. On ne s'ennuie pas un instant entre Azuma dont la naïveté est hilarante, Kawachi déterminé à dépasser son ami (et rival), et les autres rivaux du tournoi.
Pour l'instant, la fraîcheur et l'amusement ne se démentent pas.
J'ai lu et relu plusieurs fois ce tome 7.
Chaque lecture m'a procuré un grand paisir visuel et intellectuel. Le verbe est goûteux et le dessin exquis et fourmillant de détails comme toujours. La "rixme" entre messire Armand et Adynaton d'Hyperbolie est succulente. Les échanges verbaux durant le combat ("mon moignon je suis crocheté" etc) sur le navire du capitaine Boone rappellent ceux du combat entre les spadassins d'Andreo et nos braves sous le balcon de Séléné dans le tome 1.
Le cycle lunaire me plaît beaucoup. Contairement à ce que d'aucuns prétendent, il y a bien un scénario. La quête du trésor s'est achevée dans le îles Tangerines. L'envol vers la Lune ouvre une nouvelle quête : apprendre les origines de Séléné, empêcher le prince Jean de prendre le pouvoir, retrouver le maître d'armes, lui aussi Terrien. Le Roi de la Lune a pourvu nos gentilshommes et le Raïs Kader d'or et de pierreries, rien ne s'opposait donc à leur retour sur Terre si ce ne sont les manigances du prince Jean et de Mendoza (sans oublier la fine mouche qu'est Mademoiselle) et le goût d'Armand et don Lope pour l'aventure.
Certes, il ne se passe pas grand chose dans le tome 7, mais on prend plaisir au voyage des compères vers la Face Cachée de la Lune et les Monts d'Oxymore. C'est l'occasion également de mettre Eusèbe en avant. Encore une fois, le lapin blanc est sur le point de nous raconter comment il s'est retrouvé aux galères, mais une nuée empêche d'en savoir plus. Mystificateur ou sincère ? à voir.
Bref, je n'ai pas dédaigné mon plaisir et je remercie les auteurs pour cet excellent moment.
Au Greatful Sound, les concerts ont lieu sous la pluie battante. Beck, mené par Koyuki, joue malgré l'absence de 2 de ses membres. Les garçons sont bien décidés à aller jusqu'au bout du pari imposé par Leon Sykes et à tenter de faire aussi bien que leurs rivaux de Belle Ame.
Un très bon volume qui tient le lecteur suspendu au décompte des personnes assistant au concert de Beck. On ressent la pression de Koyuki et de ses copains, et on attend avec impatience que Chiba et Ryusuke reviennent pour jour sur scène. La pluie est un facteur essentiel ; si ses conséquences paraissent un rien exagérées, çà montre quand même combien certains chanteurs ou groupes peuvent être capricieux dès qu'ils sont un peu connus. Finalement, on voit bien que Beck doit son succès à sa volonté de se donner à fond.
Bref, on ne s'ennuie pas et le concert devient de plus en plus échevelé. La fin ménagée est cependant un rien attendue et laisse un petit pincement au coeur.
Vivement la suite !
J'ai apprécié ce recueil dans l'ensemble. Certaines des histoires m'ont particulièrement plues (la première entre autre) par leur traitement graphique et/ou scénaristique. Quelques unes n'ont pas trouvé le chemin de mon coeur.
Belle découverte
Kazuma et son ami Kawachi travaillent pour une succursale de Pantasia. Leur chef, Ken Matsuhiro, les met au défi de créer une baguette "equus-cellente". Les deux garçons s'affairent donc pour produire ce pain atypique. Sorti victorieux de cette épreuve, Kazuma doit nsuire affronter le boulanger de la firme Saint-Pierre, grand rival et ennemi juré de Pantasia.
Notre petit gars poursuit son parcours, toujours aussi sûr de lui, de son génie et de ses pains.
On s'amuse à le regarer faire et on ressent un petit pincement au coeur pour le pauvre Kawachi qui trime comme un malade pour un résultat "seulement" bon. Un bon moment de lecture et de détente.
j'ai beaucoup ri de la démesure des réactions, de l'enthousiasme de notre jeune héros fabricant de "Ja-Pan", des situations comiques. C'est très divertissant et amusant. Il fallait rendre l'art de la boulange intéressant, voire passionnant (parce que pétrir de la pâte, çà n'est pas ce qu'il y a de plus exaltant quand même). Le traitement est classique (concurrence, quête, idéal, amitiés en devenir, etc), mais l'humour et la démesure sont là pour ajouter un petit plus, sans quoi la pâte ne monterait pas .
Reste à savoir si la suite sera tout aussi amusante.
Dans ce 20è tome, on assiste d'abord à 2 matchs importants du tournoi Honinbo : Hikaru contre son maître Morishita et Akira contre Ogata, élève de son père et détenteur du titre Judân. C'est très intéressant de voir les réactions des 2 garçons face ces hommes qu'ils connaissent très bien dans leur clubs respectifs mais qu'ils n'ont jamais affronter en partie officielle.
Parallèlement, ont leiu les éliminatoires pour choisir les représentants du Japon dans la coupe Hokuto (Japon/Corée/Chine). L'équipe du Kansaï recèle elle aussi un jeune joueur exceptionnel, Yashiro. Son duel avec Hikaru dans le dernier 1/4 du volume est passionnant. Son issue est laissée en suspent et notre coeur bat autant que celui d'Akira qui n'a pas pu assister à la partie. Qui a gagné ? On a hâte de tenir le t. 21 pour l'apprendre !
A noter : au centre du volume, une vingtaine de pages sur papier glacé, la majorité en couleurs. Une idée plutôt bonne bien qu'il m'ait été un peu difficile de passer si soudainement du N&B à la couleur.
Bref, encore un très bon tome !
En quittant le bain, Makie passe par une allée bordée de cerisiers et est horrifiée par une présence mystérieuse. Elle est retrouvée inconsciente le lendemain. Les filles soupçonnent "le vampire de l'allée des cerisiers" d'être le coupable. Negi découvre peu après que ce vampire n'est autre qu'Evangéline, une ancienne grande magicienne qui avait combattu le grand Thousand et est condamnée à suivre les cours. La vampire présente sa partenaire qui n'est autre que Chachamaru, la fille-robot de la classe.
Les combats entre Negi et Evangeline se succèdent tout au long du volume et donnent l'occasion au petit magicien de découvrir enfin sa propre partenaire qui n'est autre que .... Asuna.
Un bon tome qui nous permet de découvrir quelques nouveaux éléments sur Negi et son ascendance (d'après Evangéline)
Sing "Yesterday" for me que j'ai découvert il y a quelques mois est devenu l'un de mes mangas préférés. J'en apprécie autant l'histoire (ce "pentagone amoureux" où chacun court après l'autre) et le dessin "crayonné" si particulier, incisif et vif.
J'étais restée sur ma faim en terminant le tome 3 qui avait un goût d'inachevé. Je rejoins Croaa sur son avis quant à la relance de la série avec ce tome 4 (et ceux qui suivront). Certes, le 4ème volume n'est pas palpitant et l'intrigue avance peu, cependant certains ont fait des choix (Minato) et peuvent aller de l'avant.
Vivement la suite
J'ai lu cet "Homme de la toundra" et j'ai encore été emportée par la narration et le dessin merveilleux de Taniguchi.
Chacune des 6 nouvelles m'a touchée. J'ai énormément apprécié le bel hommage à Jack London ainsi que l'histoire de l'homme qui part sur la piste de l'ours colossal qui a tué son fils. "Retour à la mer" est magnifique aussi son accompanement d'une vieille baleine qui retourne vers le nord pour mourir. "Kaïkose-Jima, l'île où accostent les coquillages" et "Les appartements Shôkarô" ont un goût étrange, nostalgique et quelque peu onirique.
Encore un petit bijou de maître Taniguchi !
Ce 25ème volume termine en 100 pages l'histoire de Basara.
Yumi Tamura avait laissé ses personnages principaux en plein combat dans le palais en flamme et prêt à s'éfrronder. Le château écroulé, les combats terminés, un ultime affrontement a lieu. Le dernier, celui celui où Tatara doit choisir définitivement qui il est : Tatara le meneur de la révolte qui doit venger le village de Byakko ou Srasa la jeune fille qui aspire à la paix. Choix crucial de vie ou de mort. Les dernières pages s'arrêtent sur le récit de cette fin racontée par Nagui, récit empreint de nostalgie mais également d'espoir et de la joie de la paix retrouvée dans le pays.
Suivent deux histoires parallèles, "Madara ; histoire du blanc : la figue" et "Hazama : histoire du bleu :la nèfle du Japon" qui racontent respectivement l'histoire de Ginko la reine Blanche et celle de Papillon de Nuit le fils du vent. Elles dévoilent de nombreux éléments supposés ou inconnus sur ces deux personnages et permet de mieux saisir leur psycologie (en particulier celle de la Reine Blanche).
La fin de Basara est à la hauteur de la série : épique (quelque peu shakespearienne), romantique, emplie d'une douce tristesse purement mélancolique. Certaines disparitions touchent énormément, d'autres donnent l'espoir d'une renaissance (difficile de ne pas spoiler).
C'est aussi la 1ère fois que l'on rencontre la mère de Shuri (et de la Reine blanche). Elle n'apparaît que de façon fugace mais on devine tout ce que Shuri éprouve pour elle, ainsi que tout ce qu'est cette femme : une souveraine digne qui va jusqu'au bout de sa fonction. Elle apparaît plus longuement dans l'histoire parallèle "Madara".
C'est avec un petit pincement au coeur qu'on referme le volume et qu'on se dit : "c'est terminé".
Les 2 volumes suivants seront composés de diverses histoires supplémentaires. Je souhaite qu'elles soient tout autant intéressantes que celles du vol. 25.
Un tome 10 qui conclut avec tout le romantisme voulu cette belle fresque.
L'amour triomphe évidemment mais le spectre de la mort est passé par là.
Dommage que la fin soit arrivé si vite !
Oiselle sans cervelle, Violette fait son show qui n’a pour résultat qu’un haussement de sourcil sceptique. Image d’une jeune femme contemporaine superficielle autant que volage certes, et après ? S’agit-il d’une aimable saillie emplie de dérision (voire d’autodérision), d’une lecture à faire au premier degré ou d’une blague entre copines ?
Le duo féminin des scénaristes ne convainc pas. L’histoire se veut comédie, mais celle-ci est bien fade et n’a pas plus de substance que l’héroïne. Pourtant il y a matière à une histoire pleine de gentille gouaillerie ou d’une farce façon commedia dell’arte. Seule petit moment piquant : les pages doubles d’interaction entre Sarabelle et son héroïne rappelant les pages bonus et autres encarts des shôjô mangas.
Le dessin d’Amandine rappelle beaucoup celui de certains mangas. Mais son trait manque de finesse et les planches paraissent bien vides. Quant à Violette, depuis son visage fardé figé dans l’étonnement béat jusqu'à sa mini-jupe et à son petit top au décolleté ultra profond, elle est l’icône de la lolita sans saveur ni profondeur ou d’une de ces cagoles à la superficialité exaspérante. Cependant quelques midinettes pourraient se retrouver dans ce personnage et on ne peut exclure la possibilité que cet album plaise à des adolescentes de 12 ou 14 ans.
D'emblée on remarque le le trait a beaucoup évolué entre "Ceux qui ont des ailes" et "Fruits Basket" (de la même auteure). Le découpage est plus important et plus denses, les trames sont plus souvent utilisées dans "Ceux qui ont des ailes". Mais on retrouve déjà les caractéristiques des visages aux mentons et aux nez très pointus ainsi que le look de certains personnages (Dumas par exemple rappelle Ayame Soma de "Fruits Basket").
L'intrigue est posée dans ce premier volume. Kotobuki parcourt le pays pour trouver un travail, accompagnée de Raïmon. Tous deux font de nombreuses rencontres qui les amènent sur les traces de ces fameuses ailes exauçant tous les voeux. Chaque chapitre donne lieu à une nouvelle mini-aventure et l'avancée dans la recherche des ailes.
Le ton est plaisant, parfois badin, et on ne s'ennuie guère entre les questions amoureuses et les explosions ou autres acrobaties aériennes.
Epoustouflant ! J'ai lu les 5 tomes en 1 semaine. Je ne pouvais plus m'arrêter, j'avais besoin d'aller au bout, j'étais prise dans la fièvre qui animé Fukamachi et le sombre Habu.
Jamais je n'aurais pensé qu'un manga parlant de la montagne puisse tenir autant en haleine, éveiller autant de sensations et soit aussi intéressant et inoubliable. Comme les personnages, le lecteur se retrouve aggripé à la roche battue par les vents glaciaux. Fukamachi et Habu m'ont remué les entrailles. Si le premier est plus accessible dans ses sentiments, ses désirs, mon coeur est étreint par la force de caractère et la force plysique, crue, sans concession, du Loup Solitaire, Habu Joji. Il m'émerveille et me rappelle ces coeurs purs décrits pas Jospeh Kessel. Coeurs purs justement inaccessibles tout comme Habu dont la passion dévorante paraît incompréhensible.
Ce récit de dépassement de soi, de volonté, de lutte contre la nature hostile et pourtant familière m'a émue aux larmes. Par ailleurs, le dessin de Taniguchi sublime l'histoire, donne vie à la montagne, transporte. Inoubliable !!
Le scénario emprunte aux contes traditionnels japonais et chinois. Celui qui en a lu ne sera donc guère étonné par le récit, son développement et son épilogue. L'intérêt réside donc essentiellement dans l'histoire de l'okiya et le mystère de son origine dévoilé à la fin de l'album. Comme dans les contes auxquels la BD s'apparente, la vérité a évidemment un goût doux-amer.
En cherchant à percer le mystère de l'okiya et de ses splendides occupantes, Yasunari remonte le temps à travers les récits des hommes qu'il rencontre et qui ont vécu une expérience semblable à la sienne.
Les conflits intérieurs découlant des questions d'honneur sont montrés mais finalement relégués en arrière-plan. Les autres sentiments : honte, jalousie, colère, vengeance etc sont traités de la même façon.
Le dessin de Jung est beau, maîtrisé. Les scènes érotiques sont montrées crûment (étiquette "pour public averti" sur mon album) mais l'émotion ne passe pas ou trop peu, sauf peut-être pour la dernière scène de ce genre (planches 59-60). En effet, ces scènes manquent de cette sensualité pourtant présente dans [i]Kwaidan[/i] ou [i]La jeune fille et le vent[/i]. C'est vraiment dommange surtout si on se dit que les belles occupantes de l'okiya sont après tout des fleurs habiles dans ses jeux.
8 volumes et toujours pas vraiment d'évolution dans l'histoire. C'est bien joli ce voyage dans l'espace mais l'intrigue est bien faible, Tetsuro ne change pas malgré tous les signes lui montrant qu'avoir un crops robotisé n'est pas la panacée. Finalement le personnage le plus intéressant est Maetel et les différentes réflexions humanistes permettent d'avaler la pilule.
Rien de bien nouveau dans ce titre et une histoire brodée autour d'un fantasme : la poupée d'amour. Sans être désagréable ni mauvais, ce shojo dégouline de mièvrerie et l'auteure réutilise les mêmes styréotypes et ingrédients que d'habitude. Heureusement que l'humour est là pour agrémenter un peu le tout.