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Le moins bon de la série pour moi. L'histoire est moins drôle que celle des autres albums, avec un scénario assez plat. Et surtout, le dessin grossier de Casanave entâche pas mal le plaisir de lecture. Une vraie déception.
Après avoir sensiblement touché ses lecteurs avec la parution récente du troisième tome du Combat ordinaire, voilà que Manu Larcenet met à la disposition du public le troisième opus de sa collection d'aventures rocambolesques, dans lequel on retrouve de nouveau un personnage historique ayant été sorti de son cadre normal et à qui sont prêtés des réflexions typiquement larcenesques.
Pour l'occasion, c'est Attila le Hun qui se retrouve sous les feux du projecteur, et dans une histoire très différente de celle présentée en 1954, dans le film portant le même nom réalisé par Pietro Francisci! En effet, les hordes de barbares commandées par Attila le sanguinaire à son apogée ne s'apprêtent pas à marcher sur Rome et faire face aux redoutables troupes romaines de l'empereur Valentiniano, mais simplement à attaquer quelques paysans paisibles de la Beauce! Avec pour coéquipier Daniel Casanave, qui se distance de son style de dessin personnel afin de donner un rendu ressemblant aux travaux l'auteur, Manu Larcenet livre une histoire qui, contrairement aux épisodes précédents traitant respectivement de Freud et de Van Gogh, tombe malheureusement à plat vers le dernier tiers de l'album, pour terminer sur ce qui semblerait être un manque total d'inspiration. Quelle tristesse! Alors que les premières pages offraient quelques moments humoristiques bien agréables, les textes songés se font de plus en plus rares, et la fin laisse chez le lecteur un incontournable sentiment de déception.
En bref, ceci est un album bien moyen de Manu Larcenet dans lequel on trouve quelques moments drôles, ainsi que certaines bonnes idées, mais dont l'ensemble n'arrive pas à satisfaire pleinement.
Le moins bon de la série pour moi. L'histoire est moins drôle que celle des autres albums, avec un scénario assez plat. Et surtout, le dessin grossier de Casanave entâche pas mal le plaisir de lecture. Une vraie déception.
Après avoir sensiblement touché ses lecteurs avec la parution récente du troisième tome du Combat ordinaire, voilà que Manu Larcenet met à la disposition du public le troisième opus de sa collection d'aventures rocambolesques, dans lequel on retrouve de nouveau un personnage historique ayant été sorti de son cadre normal et à qui sont prêtés des réflexions typiquement larcenesques.
Pour l'occasion, c'est Attila le Hun qui se retrouve sous les feux du projecteur, et dans une histoire très différente de celle présentée en 1954, dans le film portant le même nom réalisé par Pietro Francisci! En effet, les hordes de barbares commandées par Attila le sanguinaire à son apogée ne s'apprêtent pas à marcher sur Rome et faire face aux redoutables troupes romaines de l'empereur Valentiniano, mais simplement à attaquer quelques paysans paisibles de la Beauce! Avec pour coéquipier Daniel Casanave, qui se distance de son style de dessin personnel afin de donner un rendu ressemblant aux travaux l'auteur, Manu Larcenet livre une histoire qui, contrairement aux épisodes précédents traitant respectivement de Freud et de Van Gogh, tombe malheureusement à plat vers le dernier tiers de l'album, pour terminer sur ce qui semblerait être un manque total d'inspiration. Quelle tristesse! Alors que les premières pages offraient quelques moments humoristiques bien agréables, les textes songés se font de plus en plus rares, et la fin laisse chez le lecteur un incontournable sentiment de déception.
En bref, ceci est un album bien moyen de Manu Larcenet dans lequel on trouve quelques moments drôles, ainsi que certaines bonnes idées, mais dont l'ensemble n'arrive pas à satisfaire pleinement.