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Fiérain, Jacques

Fiérain, Jacques

  • 16076
  • Fiérain
  • Jacques
  • le 03/05/1934 (BELGIQUE)
  • le 17/09/2008

Sa biographie

Jacques Fiérain est né à La Louvière le 3 mai 1934. Baigné, dès sa prime enfance, dans le monde de la bande dessinée grâce à son grand-père paternel qui lui offre quelques fascicules des «Pieds-Nickelés» de Louis Forton, puis un des premiers albums reliés au grand format de l’hebdomadaire «Spirou» (ce personnage créé, quand lui-même n’avait que quatre ans, par Robert Velter, dit Rob’Vel ), album dans lequel il découvre les premières séries mythiques nées aux États-Unis à la fin des années vingt et au début des années trente (Dick Tracy et Superman), ainsi que les premiers essais d’auteurs belges (Tif et Tondu de Fernand Dineur et Zizette de Davine, alias Blanche Dumoulin, l’épouse de Robert Velter). Durant l’occupation allemande et à la fin de la guerre, la bande dessinée a continué à vivre et Jacques Fiérain découvre l’Égypte ancienne à travers les aventures de Spirou et de Sosthène Silly, l’émule des seigneurs antiques, de Jacqui et Marcou au pays d’Akhénaton qui découvrent «Le secret du Mastaba» par Max Servais, de Khi-Osk et de ses «Cigares du pharaon», de l’Épervier bleu et du «Pharaon des cavernes», et enfin du «Mystère de la grande pyramide» avec Blake et Mortimer. La sarabande est ouverte et pour Jacques Fiérain, l’amour de la B.D. se poursuit avec le dur choix entre Spirou et Tintin, l’apparition d’Héroïc-Albums ou de Pif (en attendant Pilote, Métal Hurlant, Circus ou encore Vécu, durant toute son adolescence. Après une tentative universitaire qui se conclura par un diplôme d’agrégé de l’enseignement secondaire inférieur, il va boucler une première carrière de vingt ans comme professeur de français à l’Athénée Provincial de Morlanwelz (qui verra aussi passer des gens comme Baloo ou Wasterlain…). Le déclic de la bande dessinée continue à fonctionner, puisqu’il s’appuie pour certains de ses cours sur des albums comme «Le schtroumpfissime» de Peyo. En 1981, il décide de changer de métier et il s’oriente vers les bibliothèques publiques (au prix de trois nouvelles années d’études), où il va pouvoir assouvir sa passion en créant une importante «bédéthèque» dans sa commune de Morlanwelz. Mais l’enseignement ne le lâche pas aussi facilement : il assure les cours de littérature de jeunesse et de bande dessinée dans les formations provinciales hainuyères pour candidats bibliothécaires. En parallèle, il assure durant une dizaine d’années les formations «de recyclage»…en bande dessinée, au Centre de Lecture Publique du Ministère de la Communauté française. En 1999, autorisé «à faire valoir ses droits à la retraite» (expression, ô combien savoureuse !), il repart de plus belle dans sa «troisième carrière» : celle de bédéiste convaincu, avec des essais de scénarios et divers autres ouvrages, qui font de lui à l’heure actuelle, un assidu des festivals de bandes dessinées, où tous les auteurs l’accueillent «comme quelqu’un de la maison» ! En même temps, il consacre tout son temps libre à rédiger des recensions ou des articles de fond (sur la BD évidemment !) pour les revues «Lectures» (CLPCF) ou «Biblioscope» (Bibliothèque Centrale du Hainaut), sans parler des multiples sollicitations dont il l’est l’objet pour des aides aux étudiants, des animations dans les écoles ou bibliothèques en Belgique ou en France, ou pour des conférences diverses…

Jacques Fiérain est né à La Louvière le 3 mai 1934. Baigné, dès sa prime enfance, dans le monde de la bande dessinée grâce à son grand-père paternel qui lui offre quelques fascicules des «Pieds-Nickelés» de Louis Forton, puis un des premiers albums reliés au grand format de l’hebdomadaire «Spirou» (ce personnage créé, quand lui-même n’avait que quatre ans, par Robert Velter, dit Rob’Vel ), album dans lequel il découvre les premières séries mythiques nées aux États-Unis à la fin des années vingt et au début des années trente (Dick Tracy et Superman), ainsi que les premiers essais d’auteurs belges (Tif et Tondu de Fernand Dineur et Zizette de Davine, alias Blanche Dumoulin, l’épouse de Robert Velter). Durant l’occupation allemande et à la fin de la guerre, la bande dessinée a continué à vivre et Jacques Fiérain découvre l’Égypte ancienne à travers les aventures de Spirou et de Sosthène Silly, l’émule des seigneurs antiques, de Jacqui et Marcou au pays d’Akhénaton qui découvrent «Le secret du Mastaba» par Max Servais, de Khi-Osk et de ses «Cigares du pharaon», de l’Épervier bleu et du «Pharaon des cavernes», et enfin du «Mystère de la grande pyramide» avec Blake et Mortimer. La sarabande est ouverte et pour Jacques Fiérain, l’amour de la B.D. se poursuit avec le dur choix entre Spirou et Tintin, l’apparition d’Héroïc-Albums ou de Pif (en attendant Pilote, Métal Hurlant, Circus ou encore Vécu, durant toute son adolescence. Après une tentative universitaire qui se conclura par un diplôme d’agrégé de l’enseignement secondaire inférieur, il va boucler une première carrière de vingt ans comme professeur de français à l’Athénée Provincial de Morlanwelz (qui verra aussi passer des gens comme Baloo ou Wasterlain…). Le déclic de la bande dessinée continue à fonctionner, puisqu’il s’appuie pour certains de ses cours sur des albums comme «Le schtroumpfissime» de Peyo. En 1981, il décide de changer de métier et il s’oriente vers les bibliothèques publiques (au prix de trois nouvelles […]

Sa Bibliographie

Les tableaux synthéthiques ci-dessous peuvent être faussés par des éditions anniversaires (souvent post-mortem). Ils ne tiennent pas compte des autres pseudonymes sous lequel signe cet auteur.

Séries principales de à Rôle
Bd en Belgique (La) 2001 2004