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Des attouchements inadmissibles, des cadavres exsangues, des lieux abandonnés, un voyage assez bref dans les rues d’un ghetto new-yorkais, tels, parmi d’autres, les éléments du récit d’Alex Barbier : l’auteur qui aime à disparaître derrière l’anonymat de lettres inavouables, ici décadence du geste mallarméen, disparition élocutoire dans les bas-fonds de l’âme humaine.
Barbier a décidé de montrer la Bête plutôt que l’Ange, à la fin, et ce n’est pas ôter l’envie de lire le livre que de le dire, c’est le monstre qui gagne. La boucle est bouclée et qui croyait prendre est pris. Lecteurs de tous les pays unissez-vous et lisez, le soir, dans vos chaumières, les récits terrifiants d’un coloriste psychopathe.
Info édition : Mois de dépôt légal non précisé. Couverture avec rabats.