Les avis de - jiefd64

Grosse déception que cet album. Certes la vie de Louis Renault était un sujet qui pouvait être passionnant. Mais son traitement en un nombre de pages insuffisant le rend indigeste avec des ellipses parfois malvenues. Par ailleurs, le dessin est très inégal à croire que certaines planches ne sont que le storyboard mis en couleur ou que l’auteur a reçu une aide (malvenue) pour tenir les délais. Comment un éditeur prestigieux a-t-il pu sortir un tel album sans en faire corriger toutes les faiblesses ou sans lui donner les moyens d’en faire une vraie référence ? Quel dommage !

Déception à la lecture de ce second tome qui ne ferme pas toutes les portes entrouvertes et finit en queue de poisson. Un diptyque qui n’en n’est pas un ? Contrairement à ce que je peux lire par ailleurs, si le dessin reste attirant, il m’a fallu relire certaines planches deux fois pour comprendre ce qui s’y passait. Un sentiment de confusion générale à la fin de cette lecture bien dommage car cette série avait fort bien démarré.

La scène d’introduction laissait espérer bien mieux que cette histoire dans laquelle on se perd et où la téléportation n’est qu’anecdotique. Une seconde grosse déception pour un titre Drakoo après Dragon & Poisons.

Si vous êtes un fan incontournable des Tuniques bleues version Lambil et Cauvin, vous ne pourrez que détester cet album.
Certes le dessin de Munuera tranche avec celui de Lambil et la mise en couleur n’a rien à voir avec celle des albums passés. C’est sans doute ce qui m’a le plus perturbé ainsi que l’encrage. Le scénario est plus centré sur le réalisme que sur l’humour qui repose davantage sur la reprise des codes connus hormis la trouvaille de Raoul et Willy façon 7e compagnie.
Il faut donc faire abstraction de tout ça (et c’est beaucoup) pour apprécier cette histoire qui reste bien imaginée et qui fait de cet album, un bon album. Mais est-ce un album des Tuniques bleues ? A chaque lecteur de trancher.
Pour les reprises il y a toujours 2 options : faire dans la continuité (Blake et Mortimer) où moderniser (Spirou). Pour ceux qui ont connu les versions initiales, la modernisation est un sacrilège. Qu’en est-il des plus jeunes ?
Finalement, l’optIon d’Hergé est sans doute la bonne. A chaque génération ses personnages.

Un seul commentaire suffira : à mourir de rire ! On en veut encore des épinards. Si, si,... moi j’adore ça.

Encore et toujours l’orichalque ! Raz-le-bol. La série ne pourrait-elle pas revenir à des bases historiques plus réalistes ?

Une série surfaite à mon sens. J’ai eu autant de mal à suivre le découpage que dans les tomes précédents. Et certains dialogues sont totalement abscons. Très déçu.

Je n’ai pas sauté de suite sur cet album à sa sortie de peur de me retrouver dans une série à ne plus finir, avec l’impressIon de relire sans cesse la même histoire. On verra si mes craintes étaient fondées à l’avenir.
Le scénario reste classique en puisant dans des thèmes déjà exploités dans le même registre (exode d’une Terre devenue inhabitable, confrontation à une civilisation alien, opposition du bien et du mal au sein d’une humanité à l’origine de tous les maux,...), classique.... mais parfaitement maîtrisé, avec une montée du suspense qui vous tient en haleine.
Le dessin est sur le même registre (reprise des classiques du genre : l’héroïne bombasse, les troupes militaires avec vaisseaux et tenues dans la grande tradition des Space opéras...)
Au final un exercice de style tout à fait réussi à la lecture prenante.
La barre est haute pour les 4 autres volumes annoncés.

Un récit passionnant qui donne envie d'en savoir plus, ce que le dossier en fin d'album permet d'initier. A ne pas manquer.

Oui, avec cette Bd, on ne va pas se prendre la tête. Mais c’est un bon moment de détente avec des clichés assumés et des passages qui vous feront sourire plutôt que rire, c’est vrai. Mais je n’ai pas boudé mon plaisir.

Même impression que yannzeman. Sauf que moi, je n’arrive pas à aller au-delà des premières pages... le dessin est trop « jeté » et la mise en couleurs sur des planches « lumineuses » ne passe pas avec ce style.

Un Crisse en grande forme pour cette nouvelle série. De l'action, de l'humour, du Space opéra, un rythme qui ne faiblit pas et plein de questions auxquelles il faudra répondre très vite. J'adore.

Sentiment de déception partagé avec les autres commentaires, essentiellement du fait du scénario. Les planches restent superbes même si le dessin de quelques visages présente ici ou là de petites faiblesses dans les perspectives.
Mais l'histoire vous perd rapidement. Après un démarrage poussif (quel intérêt de faire démarrer l'histoire sur les bords du Rhin pour nous conduire finalement en Ecosse où elle démarre vraiment ?), elle enchaîne les passages par des mondes/peuples différents, en reprenant les références d'albums plus ou moins récents (dont le vieux lecteur que je suis a oublié l'intrigue), avec une multitude de personnages anciens et nouveaux (on ne sait plus qui est qui) et un fil conducteur ténu qui ne présente que peu d'intérêt. Plus Yoko s'enfonce dans les entrailles de la Terre et plus le lecteur s'enfonce dans l'incompréhension. Une lecture au final pénible.
Alors il reste un goût de nostalgie pour une série qui vous a accompagné une grande partie de votre existence.

Une fin de cycle un peu molle. Tous les problèmes se résolvent en un coup de baguette magique. C'est l'occasion pour Léo de fournir quelques explications complémentaires sur la mantrisse qui finalement cassent un peu plus la magie.
Seul intérêt le cliffhanger final qui laisse présager de choses plus intéressantes à venir.

Une pure merveille de sensibilité. Il y avait bien longtemps que je n'avais pas lu un album qui m'avait autant touché.

Grosse déception que cet album foutraque. Un scénario qui enchaîne les scènes sans s'y attarder, qui termine une sorte de cycle pour en démarrer un autre en laissant au passage le personnage coeur de l'intrigue. Des personnages principaux dénués d'émotions avec lesquels on ne se sent pas en empathie tellement on s'attarde peu sur leur relation, des stéréotypes enfilés comme des perles, des ficelles grosses comme des stations spatiales. seuls le dessin et la mise en couleurs sauvent un peu l'ensemble.
Je ne recommande pas.

Première grosse déception que cet album dans la série. Le scénario est vide, sans intérêt avec en point d'orgue la mutilation de ce pauvre Kephren très penible et qui n'a aucun sens. Tout est convenu, attendu, sans surprise,...
Une série qui s'arrêtera probablement là pour moi.

Évidemment quand on est fan de la série Le Royaume, on attend avec une certaine impatience le résultat du Spirou de Feroumont en craignant d'être déçu. Eh bien... PAS DU TOUT !
C'est pour moi une totale réussite avec un scénario imaginatif qui confronte (enfin) notre Spirou à la gente féminine en abordant différents aspects des relations hommes/femmes et qui lui invente un passé permettant d'expliquer sa personnalité de boy-scout.
C'est rythmé, inattendu, avec une dose de fantastique, de parodique,... C'est du tout bon.
Niveau dessin, aucun doute, nous sommes bien dans le Spirou de... Benoît Feroumont et les amateurs ne seront pas dépaysés, avec une mention spéciale pour le personnage de Seccotine particulièrement réussi.
Alors certes, aujourd'hui chez moi, il pleut. Mais quel bel après-midi à lire sur mon canapé.
Merci à Benoît Feroumont et à Christelle Coopman pour ce moment précieux.
Tiens... Je vais me le relire.

Une claque dans la g.... signée Zidrou/Bleuchot. Un album à la fois magnifique et terrible. L'excision. Un des maux de notre humanité... parmi tant d'autres. On en a entendu parler mais cela reste tellement loin pour la plupart d'entre nous. Et puis, cela doit bien être en diminution avec la modernisation de nos sociétés. Eh bien non. Le sujet est aussi présent à nos portes. Les chiffres sont astronomiques, les pratiques barbares perdurent... par tradition.

La grande force de l'album est d'aborder le sujet finalement sous un angle doux et intimiste grâce à la relation amoureuse des deux personnages principaux. Et Zidrou, de conclure finalement sur une note d'espoir. Espoir non dans les systèmes mais dans les individus. Au moins certains.

Au-delà du sujet central, c'est également un regard sur notre Humanité, sur l'exploitation à outrance de la Terre et des Hommes, le racisme, le pouvoir,... Car ne nous y trompons pas, si la Chine est mise en avant dans ce contexte, c'est l'ensemble des nations "développées" qui doivent s'interroger.

Un album admirable, indispensable. Merci.

Un peu inquiet en démarrant ma lecture n'ayant lu que le premier cycle de Tramp.
Mais aucun souci. L'album peut se lire sans cette référence même si elle doit être un plus (je vais donc essayer de combler mes lacunes en la matière).
Une histoire classique et efficace sur un fond historique inconnu pour ma part et que je ne demande qu'à creuser.
Des planches superbes sur un grand format d'album, des couleurs chatoyantes. Vraiment un bon moment de lecture qui en appelle d'autres.

Un album de transition manifestement.
L'histoire semble partir dans tous les sens ; on ne fait qu'effleurer les scènes importantes (que s'est-il passé sur le village des pieuvres pour les prisonniers), on navigue à vue comme les héros et Léo nous refait le coup de la Mantrise en fin d'album. On s'y attendait un peu mais sous une forme différente. Ben non, c'est un copier/coller de la première série.
Qu'apporte l'idée des sauts temporels ? Pas grand chose au final.
Manon est la nouvelle Kim et les histoires de cœur qui s’entremêlent sont de retour bien qu'à peine effleurées.
Espérons que tout cela permettra de mieux rebondir sur le tome suivant et de faire le lien avec le reste de l'univers des mondes d'Aldebaran.
Un album très décevant. Lassitude ???

Très belle découverte que cet album. Le thème de la transformation homme/animal n'est pas neuf mais traité en général sous l'angle purement fantasy. Ici, nous avons une approche différente qui pose des questions sur le regard que porte l'homme sur l'animal et sur les traitements qu'il lui fait subir. Et si l'animal était bien un être doué de conscience ?
Malgré une couverture peu attractive et un dessin parfois imprécis, à l'encrage trop marqué à mon goût, la lecture reste très agréable, fluide et prenante.
J'attends donc la suite avec impatience.

Quand on vous dit que ce sont les "méchants" qui sont les plus intéressants à disséquer ! En creusant le passé de Choc, Stéphane Colman a trouvé la bonne approche pour "redonner vie" (même si le terme n'est pas forcément adapté - voir l'histoire) à ce personnage, une nouvelle intensité dramatique. Un scénario dense et riche, parfois trop, les allers-retours 1934-35 / 1955 + 1926, les différentes scènes d'action, la multitude des personnages nuisent à la fluidité de la lecture. J'ai fini par m'y perdre.
Dessin et mise en couleur sont bien mis en valeur par un grand format, ce qui laisse de belles cases aux décors le plus souvent travaillés (peu de fonds en aplat) ce que j'adore.
L'ensemble reste une belle réussite.

Une bonne tranche de rire à ne pas manquer.
Martin de Clerfaÿt nous propose de suivre les aventures des 2 pires astronautes que la NASA ait connus. Une succession de gags fondés sur le non-sens, ou la bêtise de l'un n'a d'égale que la mégalo de l'autre.
Attention à ne pas vous décrocher la mâchoire.

Une jolie découverte que cet album. Une belle histoire avec un scénario fluide bien maîtrisé. Un seul regret au niveau dessin, des personnages adultes trop proches des enfants, et l'utilisation des flous artificiels dont j'ai horreur. Mais ça reste secondaire tant l'histoire, sa morale et sa poésie (ce qui n'est pas évident vu le thème) sont réussies. À recommander pour tous les âges.

Une livre de contes version BD avec des planches magnifiques. Toutes les références du genre s'enchaînent dans des récits teintés d'humour, de tendresse ou de plus de gravité. Les débuts d'une magnifique dessinatrice.

Un scénario somme toute assez classique mais bien mis en exergue par de superbes planches. Pour avoir eu la chance de voir les originales, je trouve presque que l'album ne leur rend pas assez hommage. J'espère une suite prochaine dans la même veine.

Album de transition pour moi mais dont la lecture reste agréable. L'histoire est plus centrée sur Neiko et le cliffhanger final laisse présager d'un tome 5 passionnant. Le point fort de la série reste l'impression de reconstitution et l'élégance des planches au lavis.
Une très belle découverte pour moi.

Un excellent premier tome avec une histoire originale, des personnages bien travaillés et, pour moi, un excellent rythme de narration qui laisse le temps de rentrer dans l'histoire et d'essayer de débrouiller les fils de l'écheveau. Le dessin de Julien Maffre sert parfaitement le scénario de son frère Frédéric. Une vraie réussite. A ne pas manquer.

Première précision, je suis édinaute (financeur) de l'album.
Au final c'est une déception. Le scénario se tient mais puise à de nombreuses sources ce qui donne un sentiment de déjà vu. Les personnages secondaires ne sont pas assez fouillés pour que l'on ait le temps de s'y attacher. Il reste que l'on a malgré tout envie de connaître les réponses aux questions laissées en suspens à la fin de ce tome 1.
Le dessin me convient mais la mise en couleur est pour moi catastrophique sur certaines planches (planche 1 quasiment incompréhensible).
Comme dit par canarenchaine, on a un album daté (des années 80 ?). A ne pas comparer avec ce qui se fait actuellement en Héroïc Fantasy notamment chez Soleil. Saura-t-il séduire par ce côté "Vintage" ?

Lecteur lambda, n'ayant aucun lien avec l'auteur, l'éditeur ancien ou nouveau, je suis proche de partager la critique signée A. Perroud. Cette série me laisse sur ma "faim" tant son scénario paraît alambiqué. Le tome 3 viendra je l'espère à point nommé pour éclaircir un ensemble particulièrement décousu qui, au-delà des points d'interrogation qui pourraient légitimement être posés par l'intrigue, laisse surtout un sentiment de confusion et d'incohérence fort désagréable. Désolé.

Un album trop dense au niveau du scénario qui enchaîne les scènes à un rythme effréné sans prendre le temps de poser le cadre et la psychologie des personnages. L'histoire de vengeance reste attrayante mais par trop confuse et improbable. Le dessin donne le sentiment d'une réalisation à la va-vite, les formes et les visages restent incertains. Un diptyque flou au final. Déception.

Jolie découverte que cet album aux multiples références assumées, de Jules Verne (20.000 lieues sous les mers) à Blake et Mortimer (l'énigme de l'Atlantide) au style ligne claire revendiqué qui lui donne un côté rétro qui fait son charme. On regrettera parfois une certaine naïveté dans les ficelles du scénario. Les lecteurs de 2015 ne sont plus ceux des années 50.

Si Roger Leloup n'a rien perdu de son talent de dessinateur, le scénario de ce tome 27 nous apparaît malheureusement bien compliqué autour d'un fil conducteur plutôt clair au départ. La Terre est menacée et Yoko est priée de se rendre sur Mars pour la sauver. L'introduction d'un nouveau personnage (féminin of course) vient tout complexifier, personnage qu'une nouvelle fois Yoko est programmée pour sauver et qui va venir s'ajouter à un Panthéon déjà fourni. Tellement fourni, que les faire quasiment tous apparaître dans le même album en vient à perdre le lecteur imprudent qui n'aurait pas relu l'intégrale de l'œuvre de M. Leloup. Dommage. Ce qui n'empêche pas d'appeler de nos vœux une nouvelle production de cette série qui reste chère à notre cœur. Mais dans la simplicité SVP. Et sans nouveau personnage. Il y a de quoi faire avec tous ceux existants.

A force d'allers et retours entre les 2 périodes Delitte finit par nous perdre. Un processus narratif déjà utilisé sur d'autres séries avec le même effet désastreux.

Une histoire agréable sans plus avec une fin attendue. Une belle ambiance de Paris lors de l'expo universelle de 1889 au contraire des planches maritimes catastrophiques.

Edinaute de l'album, j'en ai suivi une partie de la réalisation. Dans ce cas le risque est toujours grand soit d'être déçu lors de la découverte de l'album complet soit d'être par trop dithyrambique si il est à la hauteur des espérances. Et il l'est. Donc autant le dire.
On y découvre les qualités graphiques d'un Emmanuel Murzeau qui sort des sentiers battus et nous donne des planches superbes à mon sens en particulier celles de la découverte d'Eva dans la "matrice". Au scénario Thilde Barboni pose les jalons de son histoire en s'appuyant sur des éléments scientifiques qui, loin de m'egarer, m'ont au contraire passionné, et renvoie vers la question fondamentale du sens de l'existence. Tout ça dans le cadre d'une bonne SF dont les personnages ne font que... prendre leur envol.

Je suis aussi des personnes qui ont participé au financement de cet album. Je ne rentrerai pas dans les polémiques inutiles mais donnerai simplement mon avis sur l'album. J'ai tout simplement adoré. Le scénario d'Erik Borg est parfait de maîtrise dans la montée des tensions avec une retournement final où l'horreur n'est pas celle que l'on pouvait imaginer au départ. Notre regard sur ces jeunes et le pays qui les accueille s'en trouve chamboulé. Les pages d'Alex, très lumineuses, renforcent le contraste entre l'imagerie des vacances idéales et la réalité de la situation du pays et nos jeunes vacanciers. La scène finale est à la fois dramatique et attendrissante, bien plus forte que ce qu'on aurait pu imaginer si Éric n'avait fait que creuser le sillon de l'horreur. Une vraie réussite à suivre, on l'espère dans le tome 2. J'en serai.

Très belle découverte que cet album qui mêle histoire d'amour, enquête policière et... leçon de vie. Car c'est dans la relation à l'autre que le bonheur est à construire... ou détruire.
Pour autant la fin interroge : facilité scenaristique ? En y réfléchissant bien, quelle autre issue aurait été adaptée à cette histoire et à son parfum ? Oui, c'est bien d'un conte dont il s'agit. Et on se prend aussi à rêver que nous ne tenons pas en main un simple one-shot. Mais quelle gageure pour imaginer une suite !

Tout simplement indispensable. Une histoire traitée avec justesse sans s'appesantir sur l'horreur des faits. A garder en mémoire.

Une excellente nouvelle série signée Nob. Comme toujours, elle conviendra au plus grand nombre, enfants, ados, adultes. Au-delà de l'humour, elle nous touche par la tendresse qu'elle dégage.

Scenario confus pour ce tome 2 avec une partie que j'ai dû relire à plusieurs reprises sans être certain d'avoir compris. J'ai dû mal à reconnaître certains personnages. Les flash back ne sont pas toujours clairs. Décevant.

Une fin de série très décevante. Sans queue ni tête. Sans véritable sens. 4 tomes pour ne rien raconter. Une histoire qui est partie dans tous les sens sans en creuser vraiment un seul. Le fil rouge constitué par la propre histoire d'Orwood n'a pas été suffisamment construit pour susciter de l'intérêt. Le personnage du juge Aaron qui aurait pu être charismatique est galvodé. Une grande déception vraiment.

Une découverte un peu par hasard au FIBD mais qui vaut le détour. Ça démarre comme un polar qui vire petit à petit vers le fantastique. Comment un type a-t-il pu recevoir un Land-Rover sur la tête sur une plage du Calvados qui fut le théâtre du débarquement allié le 6 juin 1944 ?
Un excellent premier tome qui mélange les genres avec bonheur.
On attend la suite avec impatience.

Lu également en avant-première, un tome 2 au niveau du tome 1 qui dénoue certains fils du canevas admirablement tissé par Erik Arnoux mais laisse encore bien des mystères à résoudre ou en devenir...
David Morancho confirme tout son talent de dessinateur et coloriste avec des planches vraiment superbes.

Certainement le meilleur album de la série jusqu'à présent. Le scénario permet de relier les pistes ouvertes lors des 2 précédents tomes qui ont servi plus de mise en place. Du coup, plus d'action, plus de suspens et la promesse d'un final à la hauteur de la légende des Golden Dogs. Espérons qu'elle soit tenue. Le dessin paraît plus abouti notamment s'agissant des décors. Le tout atteint donc le niveau auquel on aurait aimé que soit la série.

Grosse déception que ce nouvel album. Le scénario est insipide. Pourtant l'idée de la transgression de la volonté des Dieux en libérant le géant aurait permis d'ouvrir des portes intéressantes dans l'affrontement avec Hades. Mais à peine le géant libéré qu'on le renchaine. Et Pour ce qui est du courroux d'Hades on repassera. Cette série traine en longueur. C'est dommage.

Gros plaisir de lecture que de se laisser emporter dans l'univers de ce Poko avec une narration au rythme soutenu et aux personnages attachants. Une belle découverte, on en redemande. (Pour les impatients, allez faire un tour sur Sandawe.com)

Un excellent opus remarquable, une fois n'est pas coutume, par son scénario. Une histoire sur fond d'Histoire, ici celle de la révolution castriste. Un retour dans les années 50, que le personnage ne devrait jamais quitter. Le dessin est à la hauteur. Finalement un des tous meilleurs albums de la série.

Une très belle découverte. Une jolie fable écologique magnifiquement mise en images. On plonge dans cette forêt vierge amazonienne du futur, dernier refuge de la faune sauvage et on s'attache rapidement aux personnages. La fin reste ouverte pour une éventuelle suite mais... Pourrait-elle être aussi belle ?
A lire absolument.

Magnifique album que cette intégrale qui reprend les 5 tomes de la série jusqu'alors publiés. Pour le 6e, connectez-vous sur Sandawe.com pour participer au financement.

Je ne dois pas être un lecteur "un tant soit soit peu exigeant" puisque j'ai adoré ce premier opus qui justement prend le temps d'installer ses personnages et son histoire et sait ménager puis faire rebondir le suspens.
Espérons que le dénouement sera à la hauteur, le plus difficile reste à venir.

Un mélange des genres qui se cherche. D'un côté un scénario qui allie au fil conducteur du classique "La Belle et la Bête" d'autres références telle Peter Pan, le Taj Mahal... mais une construction en dents de scie, des raccourcis ou des ellipses malvenus, une révélation de l'intrigue pas assez distillée. De l'autre un dessin baroque très attirant au premier abord avec des planches magnifiques et des personnages... animés dans un style manga ! Au final une déception.

Un oneshot après un premier cycle en trois tomes. Le récit est moins élaboré et l'on comprend rapidement le nœud de l'intrigue. Point de rebondissement final qui remettrait en cause la construction des hypothèses tant des enquêteurs que du lecteur. L'ensemble reste toutefois très agréable, bien servi par un dessin et des couleurs à la hauteur.

Un tome 2 qui prolonge le charme du 1. Un univers onirique, des personnages improbables sortis d'une imagination débridée, un monde de rêve et de terreur avec en toile de fond la question du temps qui passe et de l'échéance finale qu'on aimerait bien repousser. Un univers entre Lewis Carroll et Tim Burton.
Au dessin Andreae nous en met plein la vue et magnifie le scénario brillant de Wilfrid Lupano. Une réussite totale. L'une des meilleures séries de ces dernières années.

6 albums en un... Car au-delà de la qualité intrinsèque de l'histoire et du dessin, c'est un pavé de 230 pages que vous tenez entre les mains. Mais pas le genre pensum qui vous sert de somnifère avant de vous endormir le soir. Non. De la bonne aventure, avec du rythme, des belles gueules et un contexte historique qui a déjà intrigué moult générations : le trésor des templiers. Une belle réussite. Vivement la suite.

Décevant. Un scénario sans intérêt. L'union de 4 personnages sensés marquer l'histoire des bas-fonds londoniens du XIXe siècle mais dont les projets manquent singulièrement d'envergure. Je ne peux m'empêcher de faire le parallèle, dans un autre genre, avec le film "insaisissable" au scénario bien plus spectaculaire. Au dessin Griffo nous a habitués à bien mieux (notamment Abymes). Finalement 4 albums en 1 an, est-ce vraiment une bonne idée ?

Une suite et une fin à la hauteur du premier tome qui permet de creuser un peu plus la personnalité de Jacques et renforcer la chute de l'histoire. Belle histoire, belle ambiance, un dessin noir et blanc pour magnifier le tout. Bref une réussite totale.

Excellent polar entre récit et BD tout en ambiance, le rythme posé laisse deviner comme un air de blues. A recommander absolument.

L'histoire creuse un peu plus le sillon de la face obscure de cet Allan Pinkerton, défendant une certaine justice mais aussi prêt à tout pour arriver à ses fins. C'est sans doute l'intérêt majeur de cet album dont l'intrigue se révèle au final ténue et laisse sur sa fin.

Globalement décevant. Du franco-belge sauce manga ou du manga sauce franco-belge. Au choix. Bien loin de Jules Verne hors le cadre général. Après une entame attirante, l'histoire passe dans un registre fantastique surprenant. Certaines cases sont totalement illisibles au premier regard et du coup l'histoire devient parfois difficile à suivre. Les personnages de ce Centre de la Terre sont difficiles à cerner. L'alternance entre les scènes avec les humains du dessus et celles avec les êtres du dessous vous perd tant le dessin manque de lisibilité. Dommage.

Imaginer une suite à la marque jaune, LE chef de Jacobs, il fallait oser !
Jean Dufaux l'a fait,... au risque de décevoir. Et c'est probablement le sentiment principal qui ressortira à la lecture de cet album. Pourtant la mise en route est excellente (qu'est devenu Guinea pig à sa sortie du laboratoire du Pr Septimus ? Qu’adviendrait-il si les recherches de Septimus sur l'onde Mega tombaient entre d'autres mains ?). Mais à mi-course, le scénario bifurque vers une autre voie sans avoir creusé son sillon. Certains apprécieront l'inventivité et les références. D'autres (et c'est mon cas) auront le sentiment d'un mélange des genres déroutant.
Côté dessin, la qualité est au rendez-vous. Le résultat est magnifique. Les couleurs, moins sombres que les albums de Jacobs, rendent le tout plus lisible.
Au total, un album qui laisse un sentiment mitigé.

Un peu dérouté au départ par le style semi-réaliste du dessin qui paraissait peu adapté au sujet, on se laisse finalement embarquer par les émotions suscitées par la vie dramatique de ce garçon.

Si on n'expose plus de nos jours les "phénomènes de foires", notre regard sur le handicap a-t-il suffisamment évolué ?

Une intrigue bien ficelée, quelques cases qui auraient mérité d'être un peu plus soignées mais qui ne nuisent pas à l'ensemble. On attend la suite avec impatience...

Attention, même si le thème central ne prête pas forcément à sourire, c'est bien d'humour dont il s'agit dans cet album... et c'est tout à fait réussi. Si « mourir nuit gravement à la santé », le lire contribue à la préserver. Vite, une suite… !

Si le trait de Yoann s'est quelque peu assagi depuis les « Géants pétrifiés », la filiation revendiquée avec Franquin est bien loin. On attendait mieux de Vehlmann au scénario (ruptures de rythme) et les délires de la jungle « champignacienne » ne passent pas. Bref, pour les amateurs de Franquin, passez votre chemin !...