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Ce troisième tome se déroule après les événements du deuxième tome, mais se concentre davantage cette fois sur le personnage de Lanak. On aurait pu penser que Shiro Kuroi poursuivrait sur sa lancée du tome 2, mais il semble vouloir prendre le temps de proposer une aventure qui approfondirait son univers et ferait avancer d'autres personnages, en dehors de Nato seulement.
Dans ce tome, on y découvre de nouvelles mœurs des dragons qui font pleinement référence au comportement de certains humains. Ce tome critique avec subtilité nos propres dérives humaines. L’action de l’histoire tient cette fois sur un seul tome. Si l'histoire et ses rebondissements sont un peu plus convenus que dans les tomes précédents, ils se laissent lire avec plaisir.
Le dessin est toujours aussi bon et l’illustration de la jaquette (qui recouvre à chaque fois le recto, le verso et le rabat) reste un plaisir pour les yeux.
Est-ce que ce tome donne l’envie de poursuivre la lecture ? Absolument !
Dans ce second tome, on retrouve nos personnages où nous les avions laissés à la fin du tome précédent. Comme ce dernier, c’est une franche réussite.
Shiro Kuroi continue habilement son histoire centrée elle aussi principalement sur le personnage de Nato. Mais ses camarades sont loin d’être des faire-valoir et participent activement à l’avancement de l’histoire. Ici aussi, attention à ne pas trop s’attacher aux personnages, humains ou dragons, car nul n’est à l’abri. Les retournements de situation sont amenés avec subtilité. L’épilogue de ce tome s’avère inattendu. Cela clos en sorte ce que l’on pourrait considérer de premier cycle et ouvre la porte à d’autres aventures.
Graphiquement, on reste sur la même veine avec des dessins très réussis qui plongent le lecteur pleinement dans cet univers. L’illustration de la jaquette est encore plus réussie que celle du tome 1.
Avec ce second tome, Shiro Kuroi, confirme tout le bien que je pensais de sa série. La suite ne peut que se faire attendre.
Après la très réussie précédente courte série, Léviathan, Shiro Kuroi revient avec une série plus longue dans l’univers de la fantasy. Ce premier tome est une franche réussite.
Sur le plan narratif, Shiro crée un superbe univers peuplé de dragons et d’humains qui tentent tant bien que mal de cohabiter, mais sont plus souvent en proie à la survie. Les personnages sont très bien dépeints avec leurs doutes et leur part d’ombre. Personne, ni aucun dragon, n’est tout blanc ou tout noir. Tout est dans la subtilité des sentiments respectifs. Des personnages somme toute très attachants, mais qui peuvent parfois agacer, et qui sont tous à la merci des êtres ailés, et vice-versa. Cet album réserve également son lot de surprises et de rebondissements.
Le dessin est tout simplement superbe. L’univers est magnifiquement posé. L’atmosphère est tantôt pesante, tantôt plus lumineuse. Le découpage et les scènes d’action sont très bien menés. Mention à l’illustration de la jaquette qui est particulièrement réussie.
Un premier tome qui demande qu’à attendre avec impatience la suite.
Ce deuxième tome est assez décevant au vu de ce que le premier avait introduit. J'ai même hésité à lui donner une seule étoile, mais tout n'est pas à jeter.
La première déception vient du dessin. Le changement de dessinateur est flagrant et malheureusement pas pour le meilleur. Si l'on reste dans la cohérence graphique, que la mise en couleur aide bien, le dessin des personnages est nettement moins bon. L'expression faciale des personnages frôle parfois le défiguration. Les proportions par rapport à l'environnement ne sont pas cohérentes (ici, on a l'impression que les personnages montent des poney plutôt que des chevaux).
Par contre, les décors sont bons et les scènes assez bien découpées.
Les histoires parallèles poursuivent plus ou moins bien la lancée du premier tome. Mais pourquoi rajouter encore plus de personnages à une liste déjà longue depuis le tome 1 ? Ici, plus encore que dans l'album précédent, on se demande à quoi servent certains personnages. Même comme faire-valoir, ils n'apportent malheureusement rien ni à l'action en cours ni à l'avancement de l'histoire.
Dernier gros point noir, la multiplication des scènes explicites qui, elles non plus, ne représentent pas un quelconque intérêt pour la progression de l'histoire. C'était beaucoup mieux amené dans le tome précédent, plus subtil et parfaitement intégré à l'intrigue. Dans cet album, c'est le contraire. Cela tombe complètement à plat.
En résumé, ce deuxième tome plombe le début assez réussi de la série.
Un bon premier tome.
Le dessin et la mise en couleur sont de bonne qualité. Le découpage et le rythme sont bons également. Les scènes d'action sont bien représentées et les personnages graphiquement intéressants, avec un bon respect des proportions.
L'histoire fait un peu figure de déjà-vu, mais elle est très bien transposée dans une époque (à priori assez lointaine) et un lieu géographique mythique (l'Atlantide). Il y a plusieurs récits qui sont menés en parallèle, avec un lien parfois tenu avec l'intrigue principale mais on ne se perd pas et l'ensemble reste cohérent. Cela introduit plaisamment l'univers de la série.
Par contre, il y a, à mon goût, trop de personnages secondaires (y compris principaux), dont la présence, à ce stade de l'histoire, n'apporte rien.
À voir comment la série évolue, mais c'est un bon début.
La collection Signé, une belle couverture, un preview intéressant... les ingrédients semblaient réunis pour que cet album soit, si ce n'est une pépite, au moins de très bon niveau. La déception a donc été d'autant plus grande que j'avais fondé d'espoirs.
Au niveau du dessin et de la mise en couleur, je n'ai rien à reprocher. C'est agréable à regarder. L'ambiance du lieu et du temps est bien retranscrite.
En revanche, l'histoire est la grande déception. Si elle n'est pas mauvaise dans l'ensemble du tome, elle n'en est pas moins banale. Les nombreux rebondissements et retours en arrière sont même plutôt sympa. Mais il y a les détails qui fâchent.
Tout d'abord, le titre "L'or du spectre" et la preview nous vendent une histoire qui n'a finalement pas lieu. Cette histoire d'or est présentée comme un MacGuffin, mais n'en est finalement pas un.
D'autre part, l'album fait régulièrement référence à un procès de mafieux. Au départ, j'ai pris cela comme une simple mise en contexte sans influence réelle sur l'histoire, mais je me rends compte seulement à la fin qu'il y a un lien potentiel avec un dernier protagoniste. Mais c'est surtout la publicité pour leur précédent ouvrage, "Le serpent et le coyote", en fin d'album, qui m'a permis de faire le lien avec ce personnage. Ce lien est tellement mal amené dans l'histoire qu'il n'apporte rien à sa compréhension. C'est dommage.
Enfin, l'épilogue m'a grandement déçu. Le lien tenté avec leur autre album tombe comme un cheveu sur la soupe. Pour moi, un album Signé, c'est un one-off. Ici, on découvre finalement une connexion entre les deux ouvrages, mais sans qu'il y ait de logique avec l'histoire principale de cet album. Je me suis senti floué.
C'est un achat que je regrette au final.
Si j'aime les récits d'anticipation, je suis en revanche généralement moins friand des séries conceptuelles. Ce premier tome de la série Cyborgs m'a néanmoins enthousiasmé.
Si le récit comporte des aspects de déjà-vu, il est très bien mené. La thématique et le propos sont profonds, les personnages sont bien introduits, on a le temps de faire leur connaissance et on s'y attache. Le rythme est soutenu sans pour autant s'emballer. Les bases de la série sont bien posées. Seule la dernière partie du tome accélère un peu trop le rythme et aurait mérité quelques planches supplémentaires. Mais avec déjà 80 planches, les auteurs nous proposent une très bonne histoire. J'émettrais toutefois une petite réserve concernant le cahier graphique qui en dit, à mon avis, un peu trop (à la limite du spoiler) sur les autres personnages des futurs tomes.
Le dessin épouse parfaitement l'univers de la série. Il est cohérent, bien dessiné, et la mise en couleur transmet très bien l'atmosphère du récit. De manière générale, le dessin est très bon, le découpage efficace et fluide. Les scènes de combat et d'action sont réalistes. Quelques dessins sur deux pages subliment l'ensemble.
C'est une réussite et je me réjouis de découvrir le tome suivant.
Ce premier tome est pour moi une très belle découverte de l'univers graphique de Chang-Sheng, dont je ne connaissais que très peu le travail. Baby est l'une de ses premières séries dans laquelle tous les ingrédients d'une bonne histoire sont réunis. Suspense, personnages intéressants et attachants, rythme, action. Le tout est servi par un très bon dessin.
Un tome qui donne très envie de connaître la suite.
Ce premier tome m'a laissé un sentiment mitigé. Sur le papier, conclure la série Caroline Baldwin et lancer une suite avec Miss Tattoo est une bonne idée. Surtout que ce personnage de Miss Tattoo s'avérait très intéressant dans la série mère. C'est toutefois moins réussi ici.
Le dessin de Barletta est de bonne qualité. Elle a imposé son style tout en se fondant dans celui de l'univers de Taymans. La mise en couleur par Taymans lui-même facilite ce lien entre les deux séries. Les personnages sont particulièrement bien rendus. Sauf celui de Miss Tattoo. Contrairement à ce qu'on voyait dans la série Baldwin, Miss Tattoo peine à s'imposer graphiquement. Il est également drôle d'avoir changé son apparence de rousse à blonde. Ce changement n'est pas très cohérent, ni graphiquement ni scénaristiquement.
Le scénario, sans atteindre le niveau des meilleurs albums de Caroline, est plutôt plaisant et intéressant. Toutefois, le personnage de Miss Tattoo passe pour être secondaire. L'aventure est principalement rythmée par les choix des autres protagonistes, notamment Philipps. La présence de Miss Tattoo n'apporte que très peu à l'histoire. On pourrait presque la retirer de l'histoire et cela n'aurait que peu d'influence. C'est dommage. On passe d'un personnage des plus intéressants et mystérieux à un personnage quelconque, sans relief ni aura.
Bilan mitigé donc, même si l'envie de connaître la suite est là, ce qui fait de cet album un bon cru. Toutefois, je ne peux qu'encourager à donner plus de profondeur et d'intérêt au personnage principal qu'est Miss Tattoo.
La découverte d'Islander a d'abord été la couverture pour moi. Elle est magnifique et épurée. Elle attire immédiatement l'œil.
Ensuite, j'ai été séduit par la lecture du preview. On plonge immédiatement dans le vif du sujet. L'histoire est prenante, le dessin très réussi. On a envie de connaître la suite.
Et finalement, la lecture de l'album confirme les premières impressions. On se laisse happer par l'aventure des protagonistes. Une histoire qui résonne avec les changements qui semblent se profiler. La qualité du dessin est optimale sur l'ensemble du tome.
On note toutefois quelques facilités/raccourcis scénaristiques. Certains personnages se trouvent un peu facilement, mais cela n'enlève rien à l'envie de tourner chaque page et surtout de découvrir ce que les auteurs nous réservent pour la suite.
C'est très réussi !
Je pensais bien connaître l'histoire de Cléopâtre… ou du moins, je le croyais. Isabelle Dethan nous en apprend beaucoup sur la vie de la dernière reine d'Égypte sous un jour peu commun. Bien que l'on connaisse déjà la fin de l'histoire, Dethan parvient à insuffler un rythme qui rend le récit captivant. À chaque page et chapitre, on a envie de connaître la suite.
Du côté du dessin et des couleurs, Isabelle Dethan démontre une fois encore sa grande force pour recréer l'atmosphère de l'époque. Pour moi, personne n'a réussi à dessiner aussi bien l'Égypte ancienne (et moins ancienne ici)... Que dire de plus ?
Excellent!
Un premier tome très réussi!
J'adhère au choix graphique en noir & blanc avec la petite touche de couleur des costumes qui fait la différence. C'est très plaisant à regarder surtout que le dessinateur ne lésine pas sur les détails.
Le scénario m'a surpris en bien. Je m'attendais à un conflit héros/Kaijus comme on en connait déjà beaucoup mais l'histoire s'avère très originale avec des personnages attachants et surtout qui ont de la profondeur. Bravo!
Je me réjouis de décourir la suite.
Recommandée par ma libraire, la couverture et les dessins m'ont finalement convaincus de l'achat. Graphiquement c'est très beau bien que certains personnages n'étaient pas toujours bien reconnaissables.
Le scénario est correct mais prend beaucoup de temps pour mettre l'histoire en marche. Il faut arriver en fin d'album pour que cela commence à devenir un peu intéressant. Je regrette dès lors le choix éditorial de raconter cette histoire sur deux tomes à faible pagination plutôt qu'en un seul tome qui de mon avis aurait mieux mis en valeur le travail de l'auteur (sans présumé de ce que le tome 2 contiendra).
La lecture du 1er tome ne m'a malheureusement pas donné l'envie de lire la suite.
Une série que j'ai plaisir à lire depuis le début. Au fil des albums, on découvre ce monde d'Ekhö. Je trouve ce tome 6 assez moyen malheureusement. Le dessin est toujours pas mais du côté de l'histoire, on n'avance guère, surtout après les révélations du tome 5. On visite certes une nouvelle région et de nouveaux personnages mais l'histoire est banale. Une déception au vue du reste de la série.
Une BD muette sympathique destinée aux plus petits. Une jolie façon de leur faire découvrir la bande dessinée.