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Après un premier aperçu dans le tome 29 de la saga Elfes, nous découvrons enfin le tant attendu premier album des Terres d’Ogon. J’avais énormément d’attentes avant d’ouvrir cette BD et je dois reconnaître que le résultat est parvenu à aller au-delà de mes espérances.
Quelle incroyable idée d’avoir créé cet univers de fantasy africaine. On ressent vraiment tout le travail qui a été fourni pour créer une ambiance envoûtante et dépaysante. À mon sens, Kyko Duarte délivre sa meilleure BD et atteint un niveau stupéfiant. Les couleurs finissent de me plonger dans les terres d’Ogon pour un parfait moment d’évasion.
Le scénario est plutôt simple, mais qui dit qu’il faut que ça soit compliqué pour avoir un bon résultat ? Ici, le rythme est parfaitement géré et le côté épique est bien présent notamment grâce à la noblesse des Zul-Kassaï. Les personnages sont suffisamment développés pour être attachants.
Cet album est la preuve qu’on peut partir avec de grosses attentes et revenir avec un véritable coup de cœur. Si la suite est sur les mêmes standards de qualité, on en redemande sans modération.
J’ai toujours une affection particulière pour les tomes dédiés aux elfes blancs, notamment grâce à leur profondeur d’écriture. Après le départ d’Alyana, Lyorshel (son grand-père) devient le nouveau personnage principal. Ce dernier souhaite créer une force armée en capacité de combattre les dangers extérieurs. Mais lorsque une reine mourante vient à leur rencontre pour les alerter des conflits à venir, ses derniers n’auront d’autres choix que la survie ou l’extinction.
J’ai passé un bon moment devant cet album qui amorce clairement le futur crossover des Guerres d’Arran. Les elfes blancs ne seront clairement pas épargnés par les événements à venir et j’ai hâte de voir de quelle manière ils s’allieront aux héros d’Arran. Vivement la suite !
Ce 18ème tome nous présente une compagnie d’orcs et de gobelins se faisant appeler « La Meute ». Cette dernière souhaite se créer un QG grâce à l’acquisition d’un château abandonné dans le Nodrënn. Malgré leurs efforts pour s’acclimater à cette nouvelle vie, un mystérieux mal ne semble pas vouloir d’eux sur ce territoire.
Ce tome alterne les moments d’humour et les moments d’émotion. Les « culs verts » ne sont pas uniquement des brutes, mais sont capables de travailler main dans la main avec des humains, et même de vivre en harmonie. J’ai vraiment aimé cette histoire avec des personnages attachants et biens développés.
Oliver Peru montre une nouvelle fois ses qualités de scénariste pour notre plus grand plaisir.
Après avoir découvert la série, il y a plus d’un an, je me suis enfin lancé dans la découverte des comics Invincible. J’ai naturellement commencé par cette intégrale qui retrace pas mal d’éléments que j’ai pu voir dans la série animée. Les retournements de situation chocs n’étaient donc pas une surprise pour moi, néanmoins, j’ai pris du plaisir à lire cette intégrale que j’ai finalement dévorée plutôt rapidement. Les personnages sont globalement intéressants et donnent envie de suivre les futurs numéros. Les dessins sont assez particuliers et ne plairont pas à tout le monde, même si le niveau augmente indéniablement avec l’arrivée de Ryan Ottley à partir du #8.
Le ton général plutôt mature et violent (malgré le fait qu’on suive un lycéen) est plaisant et fait la force du récit. J’ai déjà commencé la deuxième intégrale et j’espère ne pas m’arrêter là.
Ce 24ème album fait suite au tome 19 puisque nous retrouvons le même groupe de personnages. Comme le titre le laissait présager, le récit est davantage centré sur Akab. Son passé refait surface et amènera son équipe a se lancer dans une aventure de piraterie ainsi que dans une chasse au trésor. Un vent de fraîcheur se dégage de cet album avec un ton plus décalé et humoriste que d’habitude. Cette aventure de piraterie est agréable à suivre et donne la possibilité à Jean-Paul Bordier de réaliser de magnifiques dessins.
J’ai passé un bon moment de lecture devant ce numéro au ton qui dénote du reste de la saga, mais qui n’est, occasionnellement, pas déplaisant.
Dans ce 32ème tome, les enjeux décollent enfin pour nous plonger dans une histoire faisant avancer la continuité de ce vaste univers. Trois femmes elfes sont à l’honneur et auront un rôle majeur à jouer quant à l’avenir de leur race.
Le changement de dessinateur fait énormément de bien à cette série dédiée aux elfes sylvains. J’espère que ce passage de flambeau est définitif, car Diogo Saïto propose des dessins plus matures, plus fins et surtout plus en adéquation avec l’esprit et l’ambiance de cet univers.
Ce tome est une sorte d’introduction aux guerres d’Arran puisque plusieurs héros (vus dans les épisodes précédents) sont mis en avant dans leur lutte face à un ennemi commun.
J’ai beaucoup apprécié ce numéro qui coche toutes les cases pour être une réussite. Vivement la suite !
Ce 17ème tome nous présente Azh’rr , un gobelin courageux souhaitant aider son village à se défaire de l’emprise des orcs. Après le rejet de sa tribu, il fera accidentellement une rencontre surnaturelle qui changera son destin.
Le concept du nain coincé dans le corps d’un gobelin est absolument génial. Tout oppose ces deux peuples et pourtant, ils seront contraints de collaborer pour s’aider l’un et l’autre à atteindre leurs objectifs. L’histoire est agréable à suivre et j’aime l’humour ainsi que l’ambiance se dégageant du récit. Les dessins de Simone Buonfantino sont très réussis donc j’espère qu’il sera sollicité pour de futurs albums.
Peut-être que nous reverrons Azh’rr et Tuldum et dans le futur est ça sera avec un grand plaisir.
C’est avec plaisir que je me suis lancé dans cette lecture mettant en avant le duo de personnages Ararun et Antalya que nous avions découvert dans le tome 18. Une nouvelle enquête s’offre à eux lorsqu’ils découvrent une série de meurtres dans les rues de la belle cité d’Ysparh. Cet album recycle une formule qui avait bien fonctionné et c’est toujours aussi agréable à lire. J’aurais aimé que l’écriture des deux personnages principaux soit travaillée davantage afin de donner une réelle valeur ajoutée à leur retour.
La fin entraînera certainement une suite et j’espère qu’elle saura se montrer innovante et captivante.
Deuxième tome consacré à l’ordre du Malt. Nous retrouvons Gurdan et Borogam, 3 ans après la reprise de la distillerie familiale. Les habitants de leur petit village d’Obré vont être contraints de se réunir afin de trouver une somme d’argent conséquente leur permettant de résister à la menace du puissant ordre du Talion.
Malgré le titre de l’album, ce numéro est davantage centré sur Gurdan et sa réflexion sur la vie et la mort. Un tome très agréable à lire avec des personnages très attachants et merveilleusement dessinés par Giovanni Lorusso.
Un numéro réussi et particulièrement touchant qui réussira peut-être à vous décrocher une larme.
C’est quand j’ai vu ce tome 21 en librairie que je me suis motivé à reprendre mes lectures sur cette merveilleuse saga. J’avais tellement hâte de pouvoir me plonger dans les retrouvailles entre les enfants du célèbre Redwin de la Forge !
Dès les premières pages, cette réunion de personnages iconiques est très réjouissante. Il s’agit déjà du 5ème numéro centré sur l’ordre de la Forge et voir comment les personnages ont évolué confère un côté mythique à chaque interaction. Par ailleurs, le récit avance en prenant son temps et les moments d’émotion sont au rendez-vous.
La fin de ce 21ème album confirme que Nicolas Jarry a de grands projets pour cette famille et je me languis déjà de la lire.
Déjà 20 albums pour la saga Nains et celui-ci vient conclure avec brio cette 4ème saison. Nicolas Jarry écrit une très belle histoire avec la profondeur qu’on lui connaît dans le développement de ses personnages. L’histoire nous raconte comment une mère de l’ordre du bouclier va partir à la recherche du dernier fils qui lui reste. Ce dernier étant porté disparu au combat, elle va se constituer une petite équipe et suivre un périlleux périple vers l’est des terres enneigées.
J’ai dévoré ce tome qui s’appuie sur les bases qui ont fait le succès de cette saga. Le personnage de Svara est une réussite et retranscrit à la perfection la vie de souffrance qui attend toutes les mères de cet ordre dont la guerre est le quotidien.
Très beau moment de lecture !
Ce 19ème tome présente une bande de 5 errants mercenaires qui semble aller de mauvais coup en mauvais coup. Cet album ne conviendra certainement pas à tout le monde. On ne retrouve pas la maturité et la profondeur d’écriture à laquelle nous a habitué Nicolas Jarry. L’humour est omniprésent et le ton général est très enfantin. Les personnages ne pas désagréables, mais sont tous très caricaturaux. Malgré ces aspects, j’ai passé un bon moment de lecture et c’est un tome que je serai amené à relire quand j’aurai envie d’une « lecture détente » permettant de poser le cerveau.
Nicolas Jarry a testé quelque chose de nouveau (ce qui est tout à son honneur) néanmoins, j’espère retrouver le ton habituel dès le prochain numéro.
Ce tome 18 nous présente deux nouveaux personnages : le nain Ararun et l’elfe bleue Antalya. Ces derniers sont deux capitaines de la garde de la magnifique cité d’Ysparh. Cet album diffère de ses prédécesseurs de par son scénario qui s’inspire du style « Polar », ce qui donne un vrai vent de fraîcheur à la saga. Les dessins de Paolo Deplano sont très réussis. Il parvient à donner une âme et de l’immensité à cette magnifique cité.
Je me suis facilement laissé embarquer dans cette enquête et la lecture a été très agréable. Les deux protagonistes disposent tous les deux d’un développement intéressant qui ne demande qu’à être approfondi dans un futur numéro.
Alors que nous pensions retrouver l’ordre du Talion, il n’en est rien puisque ce numéro est consacré à Gurdan du Malt (personnage déjà apparu dans plusieurs numéros). Après avoir été contraint de quitter la célèbre légion de fer, Gurdan retourne sur sa Terre-Natale puis cherche à reprendre la distillerie familiale. L’écriture et le caractère de ce personnage contribuent à le rendre très attachant. Au premier abord, le synopsis n’est pas révolutionnaire et pourtant, j’ai été très vite plongé dans le récit que j’ai dévoré d’une traite.
Pierre-Denis Goux est exceptionnel au dessin. (Je me demande même si ce n’est pas son meilleur album.) La colorisation chaude est parfaite et donne vraiment une ambiance de campagne qui plonge inévitablement le lecteur dans l’histoire.
Ce tome 17 a été un véritable coup de cœur et je le relierai certainement avec énormément de plaisir.
Ce seizième tome introduit la loge de Vaha. Il s’agit d’un regroupement de sœurs ayant pour but de conserver et protéger d’anciens artefacts runiques jugés trop dangereux pour être laissés entre de mauvaises mains. Nous suivrons Tala, une jeune combattante de la loge qui a été envoyée à la recherche d’une cité perdue abritant une ancienne rune d’immortalité. Son chemin sera semé d’embûches et d’autres forces chercheront à lui barrer la route. Ce tome nous place au cœur d’intrigues et de complots politiques qui nous rappellent l’ordre du Talion.
L’intérêt que j’ai porté au scénario est monté en intensité au fur et à mesure du récit malgré ma difficulté à m’attacher au personnage de Tala. Quelques révélations sur la famille de Redwin sont distillées sur la fin du récit, de quoi éveiller mon intérêt pour la suite.
Le concept de départ est rafraîchissant avec ce nain qui semble revenir d’entre les morts. Un secret se cache derrière cette mystérieuse résurrection. Nicolas Jarry introduit les berserkers dans l’univers des terres d’Arran. Leurs origines restent floues, même à la fin de la lecture. J’imagine que ce concept sera réexploité dans le futur.
Oboron est un personnage moins attachant qu’à l’accoutumé. J’ai apprécié sa relation avec le Gobelin qui apporte un peu de beauté au milieu de toute cette brutalité. J’ai passé un agréable moment de lecture même si cet album ne fait pas partie de mes favoris.
Le seigneur Brum, célèbre fondateur de la légion de fer à enfin droit à son album dédié. J’avais hâte d’en savoir plus sur son histoire et sur son passé, c’est maintenant chose faite ! L’histoire nous plonge dans sa jeunesse, quand il n’était qu’un errant luttant contre la violence et la pauvreté, entouré de ses amis. Nous découvrons ce qui a fait de lui le « cognar » que nous connaissons ainsi que ce qui l’a poussé à créer la légion de fer.
J’ai adoré cet album qui se termine malheureusement trop vite. J’aimerais en découvrir davantage concernant la jeunesse de Brum, dans un futur numéro qui pourrait nous montrer la création de la légion.
La capitaine Fey de la légion de fer, que nous avions déjà aperçue dans les tome 6 et 11, devient le personnage principal de cet album. Un événement inattendu va la forcer à quitter la légion pour retourner sur les terres de son enfance. Face à la guerre qui fait rage dans le royaume de Léhon, Fey va se lancer dans un projet d’envergure qui fera honneur à ses origines tout en ayant l’immense objectif de sauver son peuple.
Le développement et l’évolution du personnage de Fey est encore une fois une grande réussite. J’ai aimé retrouver Torun (protagoniste du tome 11) qui a un rôle majeur dans ce récit. Cet album m’a énormément plus et fait honneur à cet ordre temple.
Troisième numéro concernant l’ordre du Talion. Nous laissons Ordo pour découvrir un nouveau personnage nommé Kardum. Nous découvrons comment ce dernier a réussi à créer son empire en partant du plus bas de l’échelle sociale.
Les numéros consacrés à cet ordre ont toujours une ambiance particulière qui me plaît énormément. Il y a moins d’action et de violence, mais davantage de complots politiques.
J’ai été plongé dans ma lecture du début à la fin et j’espère retrouver ce personnage dans le futur.
Ce nouveau tome nous plonge dans la jeunesse de Torun, le nouveau maître de forge de la légion de fer (que nous avions découvert dans le tome 6). Torun rêve d’apprendre l’art de la forge et va chercher à trouver un mentor qui lui permettra d’accomplir son rêve. Il fera de nombreuses rencontres qui changeront sa vie à tout jamais.
Le récit alterne les moments d’émotion et de violence et le duo Jarry - Goux retranscrit cela avec brio. Les dessins sont toujours aussi immersifs, et la qualité est au rendez-vous comme à chaque fois avec cette série Nains. J’ai encore passé un très bon moment de lecture.
Ce 10ème tome de la saga Nains vient conclure en beauté la seconde saison. Ce récit est centré sur deux personnages : Abokar, le seigneur de guerre de l’Ordre du bouclier (aperçu brièvement dans le 1er tome sur cette Ordre) et Dohan (frère de Tiss, personnage central de ce même précèdent tome).
Abokar est vieux et malade, il souhaite finir sa vie en combattant avec honneur et gloire. Mais ce qu’il pensait être son dernier combat ne fera que le mettre face à la réalité et à ce qui sera assurément sa plus grande bataille. J’ai aimé le fait que le récit établisse un parallèle entre Abokar et Dohan. Les deux protagonistes font face à un handicap majeur et l’écriture de Nicolas Jarry est profonde, ancrée dans la psychologie naine et particulièrement touchante.
J’ajoute que les dessins sont d’une grande qualité et totalement immersifs. J’ai beaucoup aimé cet album que je relirai avec un grand plaisir.
Deuxième tome centré sur l’ordre des errants. Nous retrouvons le fils d’Oösram, Dröh qui revient d’un long exil dans l’espoir d’achever l’œuvre de son père. Malgré ses certitudes, son retour ne va pas se passer comme il l’espérait. Ce récit traite principalement de la quête d’identité à travers ce personnage qui cherche à donner un sens à sa vie. Sa rencontre avec une prêtresse orc va aboutir à d’étonnantes révélations qui m’ont moyennement convaincu. La fin ouverte me laisse espérer que nous reverrons Dröh dans le futur. Peut-être que de futurs personnages croiseront son chemin.
J’ai passé un bon moment de lecture tout au long du récit malgré une issue qui m’a légèrement laissé sur ma faim.
Après un premier tome très réussi sur les mages nécromants, j’attendais ce numéro avec impatience. Nous faisons la connaissance de Belkiane, une mage au service du roi Hugart. Après une cuisante défaite face à son cousin, le roi et son armée sont contraints de fuir à travers les marais pour prendre possession d’une forteresse abandonnée. Un mystérieux mal semble avoir décimé les habitant de ces lieux et le roi compte bien tirer profit des dons de Belkiane pour se défaire de ses poursuivants.
L’ambiance du récit est très sombre et colle parfaitement à ce que j’attendais en ouvrant la BD. Les dessins sont très beaux et participent grandement à l’immersion du lecteur. Les retournements de situations sont présents et placent ce numéro dans le haut du panier.
La fin est un peu rapide pour que nous comprenions bien les motivations des personnages. Cela aurait peut-être mérité quelques pages de flash-back pour nous en apprendre plus sur le passé de Belkiane. J’espère que nous retrouverons ces personnages dans le futur.
Ce seizième tome d’Orcs & Gobelins nous propose un nouveau one-shot dans lequel nous faisons la connaissance de Morogg. Après avoir été capturé par des esclavagistes, ce dernier tentera de s’enfuir en traversant de dangereux marécages en compagnie d’autres prisonniers.
Le point gênant du récit c’est qu’il aurait pu être adapté sur des nains, des elfes et même des humains. Le fait que les personnages soient des orcs et trop anecdotique et on ne retrouve pas vraiment les traits de caractère qui leur sont propres et que nous aimons.
Les dessins de Créty n’ont jamais été mes préférés, mais c’est sans doute une question de goût personnel. La colorisation est très bonne et met bien en avant l’ambiance marécageuse.
Sans être mémorable, ce numéro n’est pas désagréable et le dénouement est plutôt réussi.
7ème tome pour la saga Mages qui présente Soliman, un jeune mage alchimiste dans la belle ville de Nazarem aux couleurs orientales.
Les dessins sont magnifiques, notamment les gros plans sur les villes à l’architecture tout droit sortie des Mille et Une Nuits. Le tandem entre Soliman et Iixos fonctionne plutôt bien. On reconnaît clairement la plume de Nicolas Jarry au scénario (relations entre les personnes, importance de la famille).
Soliman est un personnage intéressant et suffisamment attachant pour que cet album vous tienne en haleine. Bon et beau moment de lecture !
Après une longue absence, nous retrouvons Lanawyn dans ce numéro qui est déjà le 31ème de la saga Elfes. Le récit nous plonge au cœur d’une enquête visant à éclaircir une série de meurtres. Malgré la défiance des hommes à l’égard des elfes, les protagonistes devront s’associer pour résoudre ce mystère.
Cette histoire permet d’introduire le personnage d’Ylanoon (titre de la BD), pourtant nous n’en apprenons que très peu sur elle, son histoire et son caractère. Le récit la décrit comme étant ressemblante à Lanawyn dans sa jeunesse, mais finalement, on ne le constate jamais vraiment. Ce manque de caractérisation est assez rare pour être souligné et j’espère que les prochains numéros sauront y remédier.
Sans être désagréable, cet album ne restera pas parmi les indispensables de la saga. L’histoire de fond peine à réellement avancer et on attend dorénavant les guerres d’Arran avec impatience.
Ce 15ème tome d’Orcs & Gobelins nous présente Lardeur et sa bande de mercenaires. Après une rixe ayant mal tourné, le groupe prend la fuite dans un désert et sera recueilli par un mystérieux groupe d’ermites dans une ancienne cité naine. Ils sont accueillis comme des rois jusqu’à ce qu’ils se réveillent pris au piège dans un labyrinthe de la mort. Leurs espoirs de survie sont minces, mais ils ne reculeront devant rien pour retrouver leur liberté.
Ce numéro fut très plaisant à lire notamment grâce à des dessins et une colorisation de qualité. L’histoire est assez prenante et il est très difficile de faire une pause dans la lecture tant le suspense est présent. Les personnages sont bien écrits et suffisamment complémentaires pour les rendre attachants. Je recommande ce numéro qui me laissera un très bon souvenir et que je relirai certainement avec plaisir.
Ce 6ème tome nous présente Yoni, un jeune apprenti mage runiste passionné par la fabrication de Golem. Un drame fera basculer sa vie et l’amènera à se dépasser pour créer le Golem qui lui permettra d’accomplir sa vengeance.
Les dessins sont particulièrement soignés et offrent parfois des planches magnifiques. Le design des golems est très réussi. L’histoire sait se montrer touchante quand il le faut, notamment en ce qui concerne les relations entre les personnages.
La résolution de l’histoire est peut-être un peu trop rapide à mon goût même si j’ai passé un bon moment en lisant ce numéro.
Ce 14ème numéro nous présente une mercenaire du nom de Shaaka. Une bande d’orcs réputés invincibles en a après la vie du Margrave de l’île d’Enghien et après celle de sa fille. Shaaka devra protéger la jeune Lynewe et lui permettre de quitter l’île en un seul morceau. Elles seront traquées par les orcs qui n’auront de cesse de vouloir les tuer pour assouvir leur vengeance.
J’ai été convaincu par les dessins de Jean-Charles Poupard qui débute sur les terres d’Arran. Sa façon de dessiner les visages est absolument remarquable.
Le scénario rythmé m’a permis de dévorer les pages les unes après les autres. J’espère que nous reverrons Shaaka dans les futurs affrontements qui s’annoncent.
Ce numéro nous raconte l’histoire de Kor’nyr, un orc ayant pour but d’unifier les tribus de sa race sous une seule et même bannière. Tels les plus célèbres dictateurs, ce dernier a su rassembler son peuple avant de tomber dans des dérives totalitaires et dans le règne par la peur.
Un numéro souvent brutal, mais qui sait laisser la place à l’émotion quand il le faut.
Pierre Denis Goux est l’un des meilleurs dessinateurs de la saga et il le montre encore une fois. Seul petit bémol : le nombre de personnages peut parfois nous perdre tant ils se ressemblent sur le plan graphique.
Un très bon numéro d’Orcs & Gobelins que je ne peux que recommander.
Nous retrouvons Shannon, protagoniste du tome 1 quelques années après les événements de ce dernier. Cette dernière a pu parfaire son apprentissage de la magie et cela lui servira pour affronter l’entité maléfique attaquant sa cité. Tout n’est pas parfait dans le scénario ainsi que dans le rythme néanmoins, j’ai aimé découvrir chaque page de cette histoire qui s’inscrit dans la continuité du reste de la saga. Les dessins sont inégaux, mais font le job.
Seul bémol : je ne valide pas l’antagoniste « cosmique » de ce numéro. Je préférerais que la saga reste dans un style plus « Tolkienien ».
Shannon est un de mes personnages favoris parmi les terres d’Arran. J’aime son caractère espiègle et je la trouve attachante. J’ai hâte de la revoir à l’œuvre dans les futures guerres d’Arran.
Ce tome 12 nous présente un groupe de 5 mercenaires (4 gobelins et une semi-orc) se faisant passer pour une troupe de saltimbanques. Voyageant de villages en villages pour commettre leurs méfaits, ces derniers vont atterrir dans une ville dans laquelle rien ne passera comme prévu.
Personnellement, j’aime beaucoup les dessins de Bojan Vukic et particulièrement sur la série Orcs & Gobelins. Les visages des Gobelins sont toujours très convaincants.
Sans rien proposer d’innovant, ce numéro est rythmé et demeure très agréable à la lecture.
Nous retrouvons Gaw’yn dans sa quête de la dague de saphir, ce dernier est toujours accompagné des deux jeunes disciples de la citadelle de Slurce.
Des éléments intéressants sont abordés comme les elfes originels ainsi que ce qui a créé leur division. Néanmoins, je pense que des révélations aussi importantes devraient bénéficier d’un souffle plus épique dans l’écriture comme dans le dessin. Après 5 numéros dédiés à Gaw’yn, son développement et son évolution peinent à se montrer à la hauteur de mes espérances. J’espère que la suite saura me faire mentir.
Je suis de plus en plus mitigé concernant mes lectures sur l’elfe noir, il y parfois un côté enfantin qui me gêne concernant cette série que j’aurais souhaitée plus sombre et plus adulte.
Onzième tome pour la saga Orcs & Gobelins et nous faisons la connaissance de Kronan, le capitaine de la garde d’une souveraine au cœur de l’Empire Assanide. Un beau jour, cette dernière prend la décision de dissoudre son armée et de le faire exécuter. Étant persuadé que cette décision ne peut pas venir d’elle, ce dernier fera tout pour se venger et découvrir la vérité.
Les dessins à l’huile de Sébastien Grenier sont magnifiques et viennent sublimer l’ambiance du récit. Inspirée des aventures de Conan le barbare, cette histoire s’intègre sans problème dans l’univers des terres d’Arran.
Il s’agit d’un très bon numéro d’Orcs et Gobelins et j’ai passé un excellent moment de lecture.
Ce numéro marque un tournant majeur pour les terres d’Arran puisqu’elles font dorénavant partie d’un univers beaucoup plus vaste appelé le monde d’Aquilon. Cela permet d’agrandir la carte avec l’introduction des terres d’Ogon.
Nous retrouvons Léa’saa faisant équipe avec le semi-orc Turuk et une jeune cartographe dans le but de se rendre sur ces terres porteuses d’espoirs dans leur quête visant à faire renaître les elfes rouges.
J’ai tout de suite été conquis par les dessins et car cette ambiance de fantasy africaine. Ce groupe de personnages est très agréable à suivre et donne envie d’en voir davantage dans de futurs numéros.
Je regrette juste que cette BD se termine en nous coupant au milieu de l’action, car nous aurons la suite que dans le tome 34.
Ce 28ème tome de la saga Elfes marque la fin des aventures d’Alyana. Nous reprenons là où nous nous étions arrêtés dans le tome précédent. Difficile de parler du scénario sans spoiler donc je me contenterai de dire que je suis globalement satisfait.
Il était difficile de passer après un personnage aussi important que Fall, mais Alyana s’en est très bien sortie. Sans faire l’unanimité, ses trois tomes ont le mérite de tenter des choses tout en restant connectés au fil rouge de la saga.
Oliver Peru et Stéphane Bileau forment un magnifique duo et j’espère qu’ils parviendront à créer une suite restant sur les mêmes standards de qualité.
Le précédent tome centré sur les elfes sylvains m’ayant globalement déçu, j’espérais un rebond avant la lecture de ce 27ème numéro. Nous faisons la connaissance de Kaënn, un jeune elfe ayant été adopté par une tribu de sylvains après la mort de son père. Le scénario est simple mais efficace. Je suis entré très vite dans l’histoire tout en parvenant à m’attacher aux protagonistes. J’ai beaucoup aimé la profondeur d’écriture concernant Kaënn tout comme son évolution. Ce dernier est clairement inspiré des samouraïs tant dans son apparence que dans son code d’honneur.
Par ailleurs, j’ai apprécié le fait de voir un centaure parmi les personnages principaux. (Nous en avions déjà vu dans un tome sur les elfes blancs par le passé.)
J’ai passé un très bon moment de lecture devant ce numéro qui est un de mes préférés sur les elfes sylvains.
Ce 26ème tome d’Elfes est dédié au célèbre Athé’non, fils du roi Aamon et héros de la guerre des goules. Nous découvrons ce qu’il est advenu de lui après ces événements et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne reste pas grand-chose de l’elfe qu’il a été. Après une longue dépression l’ayant fait sombrer dans la drogue, il finit par se faire capturer et sera obligé de se livrer à des combats sans merci pour survivre. Athé’non devra trouver le chemin de la résurrection au sein même d’une arène aux allures de Colisée romain dans laquelle se déroule des jeux façon combats de gladiateurs.
Dans un style différent de Kyko Duarte, Giovanni livre une excellente prestation au dessin.
Ce titre annonce clairement la couleur quant aux conflits à venir entre les hommes et les anciennes races. J’ai passé un très bon moment de lecture devant ce numéro.
Ce quatrième tome nous présente la dernière caste de mages des terres d’Arran : à savoir les alchimistes. Nous faisons la connaissance d’Arundill, une jeune mage talentueuse au caractère bien trempé souhaitant se venger d’une organisation secrète. Elle compte bien parvenir à ses fins et n’hésitera pas à se mettre son ordre à dos pour y parvenir. Les alchimistes ont la capacité de créer des homoncules comme d’utiliser des potions ou des pierres leur permettant d’exploiter tout leur potentiel. Cela offre à Bojan Vukic l’opportunité de nous montrer son talent au dessin.
Le scénario manque peut-être un peu de profondeur et de rebondissement même si la lecture reste agréable. J’espère revoir certains personnages par la suite.
Ce troisième tome de Mage explore la Nécromancie. Nous découvrons Altherat, un personnage attachant qui est forcé d’être au service d’un roi qu’il n’apprécie guère. Le scénario nous fera voyager entre mystères, visions du passé et enquêtes, tout ce qu’il faut pour faire une bonne BD. Des rebondissements inattendus en fin de récit sont les bienvenus et font de cet épisode un des tous meilleurs de la saga Mages.
J’ajoute que les dessins de Laci sont absolument magnifiques et les couleurs sont en parfaite harmonie avec l’ambiance du récit.
On sent que ce numéro se rattache un fil conducteur de la saga et je n’ai aucun doute quant au fait que nous retrouvions certains personnages dans de futurs numéros.
Ce second tome de Mages nous plonge dans une atmosphère très différente du premier numéro. Cette fois, la magie des runes est à l’honneur à travers Eragan, un jeune apprenti en la matière. L’histoire va nous plonger dans une enquête au cœur d’un immense château aux allures de monastère.
Nicolas Jarry et Olivier Héban parviennent à créer une atmosphère convaincante et immersive. Les dessins ne sont pas mes préférés de la saga, mais font très bien l’affaire tout en étant suffisamment qualitatifs pour plonger le lecteur dans l’histoire.
Au final, j’ai passé un bon moment de lecture devant ce deuxième tome qui, sans être exceptionnel, est plutôt agréable grâce à un scénario prenant.
La 4ème série en Terres d’Arran s’ouvre avec le premier épisode de Mages. Deux personnages sont au cœur de cette histoire : Shannon, une jeune fille intrépide de la cité indépendante de Castlelek et Tyrom, un ermite amnésique reclus dans une cabane à l’écart de la cité. Quand un roi décide d’annexer cette dernière par la force, les protagonistes décident de résister. Le scénario est très prenant, les mystères introduits dès les premières pages tiennent le lecteur en haleine tout au long du récit. Les différentes castes de mages sont habillement introduites dans l’univers, ce qui nous promet encore de belles histoires pour l’avenir. Comme toujours, les dessins de Kyko Duarte sont magnifiques et font partie des plus beaux de la saga.
Ce premier tome fut prometteur et lance en beauté cette nouvelle collection avec des personnages que j’espère revoir.
Après les événements tragiques ayant marqué la fin du tome précédant sur le personnage de Gaw’yn, ce dernier compte bien exercer sa vengeance. Néanmoins, l’attaque de la citadelle semble un peu trop simple quand on sait qu’elle est censée être remplie des plus grands tueurs des Terres d’Arran.
Ce tome est agréable à lire sans être exceptionnel. Le scénario manque peut-être un peu de maturité à mon goût. Les enfants de Slurce accompagnant Gaw’yn y sont sûrement pour beaucoup. Le fait que cette série soit autant déconnectée des autres séries Elfes commence à me déranger. Où est Ilaw qui est censé avoir rejoint Slurce dans Elfes tome 17 ? Quid du rituel permettant de se libérer du mal des elfes noirs présenté dans Elfes le tome 21 ? Une nouvelle intrigue semble se mettre en place concernant le futur des aventures du célèbre elfe noir et j’ai hâte de la découvrir.
Je considère le tome 19 comme étant une introduction à ce 24ème numéro que je juge beaucoup plus réussi que les précédents. L’histoire reprend là où nous nous étions arrêtés. Tei-Nooh est parvenue à retrouver Haarn’al et poursuit sa quête visant à recréer une société semi-elfe forte et reconnue. Ce numéro est aussi l’occasion de nous plonger dans le passé de Tei-Nooh et de son frère, ce qui rend inévitablement ces personnages très attachants et beaucoup plus charismatiques. J’ajoute que les dessins de Bojan Vukic et le chara-design des personnages principaux sont très réussis.
Ce 5ème tome consacré aux semi-elfes est à mon sens le plus réussi. Nous avons enfin des personnages emblématiques pour cette caste et j’espère les revoir dans le futur.
Ce 23ème tome de la saga Elfes présente la suite des aventures d’Alyana. Une petite relecture du tome 18 s’imposait tant cet album avait été généreux en informations et en révélations. L’histoire reprend là où nous nous étions arrêtés. Alyana tente de retrouver les golems afin de les affronter avant qu’ils ne détruisent les terres d’Arran. Cette jeune elfe aux pouvoirs exceptionnels saura t’elle réussir sa quête malgré les nombreux obstacles qui lui barreront la route ? J’aime toujours autant cet arc scénaristique. Les personnages sont bien développés, tout comme leurs interactions qui fonctionnent particulièrement bien. Enfin, les événements ayant lieu dans ce tome auront inévitablement des répercussions sur l’avenir de la saga que j’ai déjà hâte de découvrir.
Déjà le 10ème tome de la saga Orcs & Gobelins ! Jean-Luc Istin nous présente Dunnrak, un orc singulier qui va faire la rencontre d’un bijou magique qui changera le court de sa vie. Son voyage sera ponctué de rencontres qui raviveront les connaisseurs de la saga des terres d’Arran. On sent clairement l’inspiration du Seigneur des Anneaux sur certains éléments de scénario ainsi que sur quelques dessins et ce n’est pas pour me déplaire. Il s’agit du premier tome dessiné par Alex Sierra et c’est une franche réussite. J’ai beaucoup aimé les retournements de situation propre à la fourberie des orcs et des gobelins.
Un excellent moment de lecture pour ma part avec des personnages que nous serons certainement amenés à retrouver dans le futur.
Ce neuvième tome nous présente Silence, un ancien grand guerrier orc en quête de son ultime combat. La force de ce récit réside dans les différents flash-back lorsque son ami Gobelin Freill raconte ses exploits passés à la troupe. Grâce à cela, le lecteur appréhende progressivement les motivations qui le poussent à achever sa bataille commencée il y a de nombreuses années. L’histoire est très bien écrite et les personnages sont tous très réussis ce qui propulse cette BD parmi les plus réussies de la saga.
En résume j’ai encore passé un très bon moment de lecture devant cette histoire que je vous recommande vivement si vous aimez cet univers.
Ce numéro est centré sur un Gobelin nommé Renifleur. Ce dernier a été témoin du massacre de sa famille lorsqu’il était enfant puis a été fait prisonnier. L’objectif étant de faire de lui un véritable chien de chasse grâce à des talents de pistage sans pareil. Les années vont passer et sa rage va parfois se transformer en affection pour ses ravisseurs qui deviendront, avec le temps sa seule famille. Le scénario est très bon, tout comme les dessins de Giovanni Lorusso qui collent parfaitement à l’ambiance du récit.
Je n’ai franchement pas vu venir le retournement final même si c’est vrai que je m’attendais clairement à ce qu’une vengeance intervienne à un moment ou à un autre. Nous sommes sur du Orcs & Gobelins après tout !
Ce 7ème tome met en avant un ancien guerrier orc à la retraite. Contrairement à beaucoup de ses semblables, Braagam n’a pas trouvé la mort sur le champ de bataille. Il vit désormais paisiblement dans sa tribut en attendant la fin, néanmoins, il lui reste une dernière promesse à honorer.
J’ai très rapidement adhéré au concept scénaristique. Le scénario est très plaisant et on ne devine pas facilement ce qu’il adviendra de chacun des personnages. Le récit sait se montrer profond et touchant tout en étant drôle grâce au phrasé employé par les orcs. Les dessins de qualité, surtout concernant les décors qui se démarquent avec des paysages absolument magnifiques et très immersifs.
J’ai passé un excellent moment de lecture devant cet album qui selon moi, fait partie des meilleurs de la série.
Ce sixième tome nous propose de suivre une équipe de mercenaires orcs de la compagnie du « Croc de fer ». Cette dernière va être engagée dans une « mission sauvetage » pour récupérer un otage Gobelin en plein territoire elfe. J’ai aimé le parallèle pouvant être dressé entre cette compagnie et la « Légion de fer » chez les Nains.
L’album est très agréable à suivre, avec un bon rythme et des personnages suffisamment développés pour être attachants. Le dénouement est fidèle à la psyché orc ce qui est très appréciable.
J’ai passé un très bon de moment de lecture devant ce tome 6 que je vous recommande.
Déjà le 5ème tome de la saga Orcs & Gobelins. Ce dernier nous présente La Poisse, un Orkelin maudit, se réveillant aux abords d’une cité dans laquelle des forces obscures semblent à l’œuvre.
La magie noire est au cœur du récit donc si vous êtes amateurs de fantômes et de monstres en tout genre, vous aimerez sans doute cet album. Pour ma part, je préfère les histoires moins fantasques avec des ambiances plus réalistes (comme sur le tome précédent par exemple).
Ce numéro n’est pas mon préféré de la saga, néanmoins, le personnage de La Poisse a beaucoup de potentiel et il fera son retour prochainement sur la série Elfes pour le plus grand plaisir des lecteurs.
Dans ce 4ème album, Nicolas Jarry nous présente Sa’ar, un gobelin à la destinée hors du commun. Parti du plus bas de l’échelle sociale, ce dernier bravera tous les obstacles lui barrant la route vers le pouvoir.
Tout au long du récit, nous sommes spectateurs de son ascension fulgurante vers le contrôle de la pègre de la citée des sang-mêlés. Malgré ses agissements, je me suis attaché à ce personnage.
Cet album est extrêmement agréable à suivre. Le scénario bien ficelé et les retournements de situation sont très bien amenés (je n’ai presque rien vu venir). Les dessins sont très fins et particulièrement détaillés.
Il s’agit sans nul doute de mon album préféré depuis le début de cette série Orcs & Gobelins.
Ce troisième album nous présente Gri’im, un orc étant parvenu à s’évader après des années de captivité et de torture. Ce dernier ne rêve que d’une chose, se venger de son ancien maître qui l’a trahi. Sa quête de vengeance mettra sur son chemin un groupe d’humain souhaitant tirer profit des vestiges de la guerre. Les dialogues et la relation entre l’orc et une jeune humaine du groupe sont particulièrement touchants. Le regard innocent de cette enfant, qui ne voit pas Gri’im comme un monstre, rend leurs interactions différentes et très agréables à suivre.
Par ailleurs, j’ai apprécié le parallèle avec les événements survenus dans la série Elfes. L’arc narratif autour de la guerre des goules a laissé des traces, notamment dans le Nord avec cette cité d’Aspen complètement ravagée.
Ce troisième tome m’a légèrement moins plus au niveau des dessins même si j’ai passé un bon moment de lecture grâce à un récit de qualité.
Le premier tome centré sur un semi-orc était très agréable à lire bien qu’il soit similaire aux autres albums des Terres d’Arran. J’attendais donc que l’écriture de ce nouveau personnage diffère de ce que nous pourrions avoir avec un elfe ou un nain. Nous découvrons les aventures de My’th, un voleur qui va se voir embarqué dans une mission à haut risque au cœur de la citadelle de Slurce.
J’ai beaucoup apprécié ce personnage qui nous en apprend davantage sur le caractère des Gobelins et sur leur manière de voir la vie. Ils sont fourbes et dénués de tout sens de la moralité. En résumé, faire confiance à un Gobelin équivaut à signer son arrêt de mort.
Ce titre a répondu à mes attentes. La qualité d’écriture habituelle est toujours là, tout en ajoutant un vent de fraîcheur grâce à ce nouveau peuple.
Après les sagas Elfes puis Nains, c’est au tour d’Orcs et Gobelins de voir le jour. Cette nouvelle série s’ouvre avec le personnage de Turuk. Le semi-orc se réveille amnésique au milieu d’une cité désertée. Comment est-il arrivé là ? Comment va-t-il pouvoir s’enfuir ? À qui va t’il pouvoir se fier ? Autant de questions qui annoncent un scénario rythmé et très agréable à suivre. Les dessins de Diogo Saito sont absolument magnifiques et j’espère le revoir sur de prochains numéros. Malgré une lecture très agréable, j’ai la sensation que cette histoire aurait pu être centrée sur un elfe ou un nain. J’attends des prochains numéros qu’ils se démarquent davantage avec une identité propre aux Orcs ou aux Gobelins.
En résumé, cet album s’inscrit dans la lignée des autres séries du même univers et j’ai hâte de voir ce que ses créateurs vont nous proposer d’innovant.
Horrifikland nous plonge dans un univers où Mickey, Donald et Dingo tiennent une agence de détective en mal de clients. Le jour où une vieille dame vient le solliciter pour retrouver son chat perdu dans un mystérieux parc abandonné, le trio se lance dans une enquête au cœur d’Horrifikland.
Sans être sensationnel, le scénario est agréable et permet de passer un bon moment de lecture. La plus grande force de cette BD réside dans sa partie graphique. Les dessins sont absolument magnifiques. Chaque page est truffée de détails et c’est un régal pour les yeux. L’ambiance du parc est parfaitement retranscrite et la richesse des décors est bluffante. Bravo à Alexis Nesme pour son travail, je suis ravi de savoir qu’il fera un prochain tome sur cette série.
Un album que j’adore relire pour Halloween et que je recommande vivement aux fans de Disney (adultes et enfants).
Nouveau tome pour les elfes sylvains avec une intrigue liée, une nouvelle fois, à Lah’saa. La guerre des goules étant terminée, la terre mère porte de séquelles du passage de ces dernières ainsi que de toute cette malfaisance. Une épidémie semble à l’œuvre dans un village de sylvains. Nous suivons donc Laëdyss, un jeune elfe qui cherchera à comprendre ces événements et s’associera avec Bëloenn, un gardien des racines au caractère singulier.
À titre personnel, j’ai toujours autant de mal avec les dessins de Maconi (typés manga), même si cela n’en fait pas un mauvais tome pour autant. J’ai eu davantage de mal avec des personnages trop caricaturaux et des interactions manquant de subtilité. Je ne suis pas parvenu à m’attacher à eux ni à être touché par ce qui leur arrive. Nicolas Jarry me semble bien plus à son aise sur les Nains.
Une des nouvelles intrigues introduites dans l’excellent tome 16 nous promettait une quête à venir concernant la résurrection du peuple des elfes rouges. Lanawyn tient donc à honorer sa promesse envers son ancienne ennemie Lah’saa consistant à aider Lea’yn et Feda’yn, deux elfes noirs de la citadelle de Slurce, à faire renaître ce peuple disparu depuis de nombreuses années. Une équipe très agréable se met en place où nous retrouvons Turuk, protagoniste du tome 1 d’Orcs & Gobelins ou Belthoran, le Mage du tome 16. J’ai beaucoup aimé les interactions entre les deux elfes noirs ainsi que l’évolution de leur relation.
Un nouveau complot politique se met en place et nous découvrons que de mystérieux individus sont à l’origine d’un ordre visant à exterminer certaines races des terres d’Arran. J’ai hâte de découvrir la suite de cette trame scénarisée par Jean-Luc Istin et sublimée par Kyko Duarte.
C’est déjà le quatrième tome centré sur les elfes noirs et nous suivons toujours Gaw’yn dans sa cavale avec sa bien-aimée Dyfeline. Comme dans les tomes précédents, ces personnages sont toujours en fuite et recherchés par les assassins de la citadelle de Slurce. L’originalité de ce numéro se trouve donc dans ses nouveaux décors qui nous font voyager dans les terres d’Arran. Nous découvrons donc la cité d’Akrähyng, une terre d’éleveurs de dragons qui offre la possibilité à Dana Dimat de produire de magnifiques dessins. J’ai rapidement été happé par l’histoire et, finalement, je me surprends à aimer retrouver Gaw’yn encore et encore. La fin du récit prend un tournant inattendu qui promet une suite des plus explosives.
Nouveau tome pour les semi-elfes qui met en avant de nouveaux personnages et une intrigue qui nous plonge aux origines de cette caste souvent méprisée.
Comme pour les autres tomes traitant des semi-elfes, ce numéro est totalement dispensable pour suivre la continuité de la saga. La lecture n’en fut néanmoins pas désagréable grâce à des personnages plutôt réussis et une intrigue qui sera sans doute approfondie dans une suite qui, je l’espère, devrait donner davantage d’épaisseur à cette caste des semi-elfes.
Pour résumé, je dirais que ce numéro ne se classe pas dans le haut du panier. J’espère que la suite saura donner du sens aux dernières pages de ce numéro, en l’état, me laisse un peu sur ma faim.
Ce 7ème album est le dernier avant l’event Devil’s Reign. On retrouve avec plaisir cette excellente série scénarisée par Chip Zdarsky. Elektra agit toujours sous l’identité de Daredevil et doit lutter contre son ennemi de toujours, le redoutable Bullseye. Pendant ce temps, Matt Murdock purge sa peine en prison tout en évitant les multiples tentatives de meurtre à son égard.
Quel dommage que l’excellent Marco Checchetto ne soit au dessin que sur un seul des six épisodes qui composent cet album, surtout que ses remplaçants produisent des dessins parfois grossiers et d’un niveau presque indigne de la série. Ce point constituera le plus gros point noir de ce run ou seul Fransesco Mobili a su être à la hauteur lorsqu’il était appelé en renfort sur les dessins.
Maintenant place à Devil’s Reign qui, je l’espère, sera se montrer à la hauteur de mes attentes.
Ce 6ème tome nous propose 2 épisodes tie-in du crossover King in Black. On continue de suivre la série Daredevil avec une Elektra qui prend la place de Daredevil pendant que ce dernier purge sa peine derrière les barreaux. Les dessins de Checchetto sont toujours aussi sublimes. Quel dommage que les autres dessinateurs de la série soient si loin de son style et de son niveau.
Le prochain album sera le dernier avant l’event Devil’s Reign.
La conclusion de l’intrigue centrée sur la guerre des goules avait distillé quelques pistes à exploiter pour la suite de la saga Elfes. La plus prometteuse était la mystérieuse grossesse de Tenashep : le fruit de son amour avec le célèbre Fall (alors possédé par la maléfique Lah’saa). On se doutait donc que cet enfant serait spécial, particulièrement puissant et que son avenir serait lié à celui des Terres d’Arran.
Cet album relate les premières années de la vie d’Alyana et nous montre déjà l’étendue de son immense pouvoir.
J’ai rapidement été plongé dans l’ambiance du récit grâce aux excellents dessins de Stéphane Bileau. Le scénario est de qualité, bien que parfois complexe, mais on sent une réelle volonté d’introduire une nouvelle intrigue qui sera certainement le fil conducteur de la série.
Le duo formé d’Alyana et de l’orkelin La Poisse fonctionne très bien et j’ai déjà hâte de les retrouver dans un futur numéro. Vivement la suite qui, j’espère, saura ravir les lecteurs.
Après l’excellent tome 16 venu conclure la guerre des goules, la saga se poursuit avec cet album consacré aux elfes sylvains. On y découvre Ilaw, un jeune elfe qui sera contraint de quitter sa Terre-Natale dès ses 8 ans pour d’obscures raisons. Sa quête de vérité sera jonchée de violence et le poids de la culpabilité le poussera à faire des choix décisifs pour son avenir.
Le scénario de Nicolas Jarry est de qualité malgré un sentiment de déjà vu. Les dessins de Maconi (dessinateur régulier sur les albums des elfes sylvains) ne sont vraiment pas à mon goût et me brident réellement dans mon appréciation de ce numéro.
J’ai apprécié le duo formé avec Sriza (personnage principal du tome 8 de la saga Nains), leurs interactions contribuent à donner de la profondeur au récit. J’ai passé un bon moment de lecture devant ce tome et j’espère retrouver ce nouveau personnage dans un futur numéro.
J’ai profité des vacances d’été pour lire cette belle intégrale de Locke & Key. Cette série, multi récompensée par la critique, me faisait de l’œil depuis quelques années. J’avais commencé à regarder la série sur Netflix sans accrocher plus que ça. Malgré cela, la belle réputation de cette œuvre parmi les lecteurs de comics a fini par me convaincre de me lancer.
Pour commencer, je dirai que la grande force cette œuvre est sa capacité à plonger le lecteur au cœur de l’histoire (et ce dès les premières pages). Je ne me suis pas ennuyé un seul instant au cours de ces 6 tomes. Le scénario est tellement bien pensé que l’intégrale se dévore à une vitesse folle. J’ai trouvé un ton mature dans l’écriture des personnages que j’avais rarement vu ailleurs.
Les dessins ne sont pas forcément mainstream, mais j’ai rapidement appris à les aimer. Aujourd’hui, je considère que ces derniers constituent une identité visuelle propre à Locke & Key.
Je ne peux que recommander cette œuvre aux lecteurs à la recherche d’un récit mature, sombre, sanglant, horrifique et touchant.
J’ai découvert ce merveilleux monde des Terres d’Arran pour la première fois grâce à la lecture de ce tome 1 : Redwin de la Forge. Depuis plusieurs années, je passais devant ces magnifiques couvertures lors de mes passages en librairie et j’ai fini par me laisser tenter. Je m’attendais à apprécier, mais je n’aurais pas imaginé trouver un récit aussi mature. Quel plaisir de lire une histoire avec une telle profondeur et un tel développement de personnage. Bravo à Nicolas Jarry et Pierre-Denis Goux qui livrent un travail exceptionnel.
Cette découverte a été la première d’une très longue série de bons moments de lecture devant les oeuvres de cette saga.
Les personnages légendaires des terres d’Arran se réunissent pour l’affrontement final qui marquera un véritable tournant dans la saga. Cet album vient merveilleusement conclure l’arc narratif de la guerre de goules et de Lah’saa. Le scénario m’a fait passer par toutes les émotions, avec des planches et des textes époustouflants. Le récit propose même quelques ouvertures qui seront surement exploitées à l’avenir.
Ce 16ème tome est clairement mon préféré. Les auteurs ont tout donné et le résultat a clairement dépassé mes espérances. Si vous décidez de vous lancer dans cette saga, je vous recommande vivement de poursuivre votre lecture au minimum jusqu’à ce tome 16 qui fait l’effet d’un véritable bouquet final.
Les choses se compliquent pour Gaw’yn. Alors qu’il est toujours recherché par les assassins de la citadelle de Slurce, il va être confronté aux conséquences de la guerre des goules. Parviendra-t-il à trouver comment sauver sa bien-aimée tout en protégeant également sa propre vie ?
Un nouveau dessinateur est à l’œuvre sur ce troisième tome consacré aux elfes noirs et le résultat est plutôt convainquant.
J’aurais aimé que l’arc narratif centré sur Gaw’yn soit concentré sur trois numéros. Il sera néanmoins présent sur le prochain épisode qui, je l’espère, lui consacrera une belle conclusion.
Les tomes consacrés aux semi-elfes semblent souvent en retrait par rapport au reste de la saga. Cette lecture est agréable mais laisse, encore une fois, l’impression d’être dispensable compte tenu de l’intrigue de la guerre des goules.
Il est intéressant de voir comment les semi-elfes fonctionnent depuis la création de leur citadelle. Les personnages sont plutôt intéressants même si certains personnages secondaires souffrent cruellement d’un manque de développement.
Ce tome ne fait pas parti du haut du panier, mais il n’est pas désagréable pour autant. J’espère que les auteurs parviendront à créer un personnage iconique pour ce peuple à l’image de Fall des elfes blancs ou Lanawyn des elfes bleus.
Après avoir retrouvé son peuple, Fall va s’impliquer dans la guerre provoquée par la maléfique elfe noir Lah’saa. Le récit nous permet d’en apprendre davantage sur les origines de cette dernière et connecte vraiment l’histoire de Fall aux autres numéros de la saga.
Les albums traitant des elfes blancs proposent des récits profonds et subtils qui aboutissent souvent sur un final tragique et poétique. Ce numéro ne déroge pas à la règle et le twist final annonce une suite palpitante.
Ce troisième tome consacré aux elfes sylvains est de loin celui que je trouve le plus réussi. Les deux premiers m’avaient semblé moins qualitatifs (au niveau des dessins comme des histoires). J’ai donc été agréablement surpris par le synopsis qui nous présente la vie d’une jeune elfe recueillie et élevée par un clan Orc. Ce tome vient même raccrocher le fil rouge qui était davantage développé dans les autres tomes de la saga Elfes.
Cet album a été un petit coup de cœur. Les Orcs s’avèrent à la fois drôles et touchants et je ne m’attendais pas à ce genre d’écriture pour un peuple que j’imaginais uniquement maléfique et malfaisant. Il m’a d’ailleurs donné envie de me lancer sur la saga Orcs & Gobelins.
Ce 11ème tome marque le début de la saison 3 de la saga Elfes. L’armée de goules de Lah’saa progresse vers le sud. Les elfes vont devoir créer des alliances pour résister à l’invasion depuis la forteresse de Kastennroc.
Un personnage mythique de la saga Nain va prendre part à ce conflit pour le plus grand plaisir des lecteurs. De nombreux rebondissements seront à l’œuvre pour un final mémorable qui annonce une suite passionnante.
Le conflit en cours se prolongera sur l’intégralité de la saison 3 pour prendre fin dans le tome 16. Pour ma part, je suis toujours aussi satisfait de mes lectures et l’envie de découvrir la suite est très forte.
Ce 10ème tome marque la fin de la « seconde saison » de la saga. On retrouve le personnage de Gaw’yn exactement où on l’avait laissé à la fin du premier volet. Après avoir quitté la cité de Slurce, il va devoir accomplir sa première mission d’infiltration/assassinat. Il fera des rencontres inattendues qui l’amèneront à faire des choix qui changeront son destin. J’ai passé un très bon moment de lecture devant ce tome qui prend parfois des virages inattendus. J’ai hâte de découvrir la suite des aventures de Gaw’yn dans le prochain tome dédié aux elfes noirs.
Second épisode centré sur le peuple des semi-elfe. Cette histoire nous présente l’histoire de Fah-Laën, un équarisseur à l’abattoir de la cité de Candala. Le récit est plutôt simpliste. On assiste à la chute de la ville suite à une invasion de goules. Les rebondissements sont peu nombreux, mais le rythme est très prenant et la BD se lie facilement. J’espère que les évènements auront des répercussions sur les tomes suivants, autrement, ce numéro risque d’être vite oublié.
J’ai passé un bon moment de lecture avec ce tome 9 que je juge plus sombre et sanglant que les autres.
J’avais apprécié le scénario du premier épisode nous faisons suivre les aventures du jeune elfe nommé Fall, parti à la recherche d’un dragon blanc. 100 ans se sont écoulés entre la fin du premier volet et cette suite (ce qui ne représente pas tant d’années que ça pour un elfe).
J’ai lu cette BD d’une traite tant le scénario est bien ficelé. La légende entourant Fall a pris de l’ampleur et groupe de mercenaire s’est mis en chasse pour avoir la peau du célèbre elfe et de son dragon.
On retrouve toujours ce ton mature que j’aime tant sur cette série. J’apprécie le fait que tous les personnages ne s’en sortent pas indemnes. Cela me permet de me sentir pleinement investi dans chaque lecture, de m’attacher aux personnes et de craindre qu’ils ne survivent pas.
Je vous recommande cette lecture et il me tarde déjà de découvrir la suite.
Ce septième tome nous replonge dans l’arc narratif autour des elfes sylvains. Nous sommes plongés dans le contexte géopolitique qui fait suite aux évènements du tome 2. Cette histoire est principalement centrée sur Eliseii, reine des elfes de la forêt et mère d’Yfass (protagoniste du tome 2).
La construction narrative est particulière puisqu’elle alterne le présent avec une quête annexe tout au long du récit. Le présent traite d’une bataille menée par l’alliance entre les hommes et les elfes sylvains pendant que l’autre ligne temporelle présente le périple mené par Eliseii ayant pour but de trouver comment aider les siens à survivre.
J’ai aimé ma lecture même si ce n’est pas le meilleur album de la série. Comme pour le premier numéro présentant les elfes sylvains, je trouve la qualité des dessins nettement inférieure aux autres albums de la série.
Ce second volet consacré aux elfes bleus nous propose de retrouver Lanawyn et Turin qui se voient investis d’une nouvelle mission. Cette dernière va se constituer une équipe composée de personnages particulièrement intéressants afin d’aller affronter les dangers liés à cette nouvelle enquête.
J’ai beaucoup aimé cet épisode. Les dessins sont toujours aussi beaux, le rythme est parfaitement géré et le scénario est haletant. Cette histoire semble être celle qui fait le plus avancer le fil rouge reliant l’intégralité des épisodes de la saga.
L’arc autour des elfes bleus est celui qui me plait le plus et j’ai extrêmement hâte de découvrir la suite.
Ce 5ème et dernier tome de la « saison 1 » de Elfes nous présente la communauté des Elfes Noirs. D’où viennent t-ils ? Comment sont-ils recrutés ? Quelles sont leurs particularités ? Ces questions trouvent leurs réponses à travers l’histoire de Gaw’yn, un jeune elfe bleu recruté alors qu’il n’était qu’un enfant. Ce premier épisode est clairement fait pour poser des bases solides autour du personnage. Contrairement aux numéros précédents, l’issue du récit amène clairement à une suite, ce qui m’a légèrement donné l’impression d’être stoppé au milieu de ma lecture. Je me demande encore quelle sera l’implication des elfes noirs dans les conflits qui se préparent sur les terres d’Arran.
Mon bilan après la lecture des 5 premiers numéros de la saga Elfes est très positif. J’ai hâte de découvrir la suite et de voir quels sont les personnages que l’on reverra.
Ce quatrième tome présente l’arc narratif autour des semi-elfes. Ces derniers sont souvent issus d’une union entre deux races différentes et sont, de ce fait, rejetés par la société. Ils vivent souvent dans la pauvreté, occupent un travail ingrat et sont sujets à des multiples agressions. En bref, il s’agit d’un peuple opprimé. Cette histoire nous montre comment une prophétie va les amener à se rassembler sous une même bannière.
L’histoire est plutôt sympathique et se lie facilement. Certains éléments (et personnages) ne bénéficient pas d’un développement extraordinaire mais l’ensemble reste plaisant.
Ce troisième tome introduit l’arc narratif autour des elfes blancs. Nous suivons les aventures de Fall, un jeune elfe parti en chasse d’un dragon avec son père adoptif. Ce dragon est l’un des derniers de son espèce donc ils vont chercher à la ramener sur leurs îles cachées afin de la protéger du monde extérieur. Ce scénario sera jonché de rebondissements, de rencontres et de révélations qui changeront la vie de Fall à tout jamais.
J’ai beaucoup aimé cette histoire. Quel bonheur de profiter d’un scénario aussi bien construit ! Les dessins sont agréables et m’ont plongé rapidement dans cet univers.
Je ne peux que vous recommander ce tome qui, selon moi, fait partie des meilleurs de la série.
Ce second tome présente pour la première fois la civilisation des elfes sylvains. On suit principalement deux personnages : Yfass, le fils de la reine des elfes sylvains et Llali, fille d’un roi des hommes. Les deux personnages vont se lier l’un à l’autre et tenter de réinstaurer d’anciennes alliances perdues. La magie, la guerre et les complots politiques sont également au cœur de l’histoire et le destin des deux protagonistes marquera les deux peuples à jamais.
Le point que j’ai le moins aimé concerne les dessins que je trouve très moyens, surtout après la lecture de l’excellent premier tome.
Je vous conseille cette lecture qui introduit des éléments importants pour le futur de la saga.
Cette saga me faisait de l’œil depuis de longues années. Premièrement parce que les couvertures sont d’une beauté saisissante, puis parce que je suis un fan du genre héroïc fantasy depuis ma plus tendre enfance (génération Seigneur des Anneaux de Peter Jackson). Je me suis d’abord lancé sur la saga Nains puis j’ai rapidement élargis mon spectre de lecture avec cette saga Elfes. Un fil rouge relie tous les tomes entre eux, néanmoins nous suivons 5 arcs narratifs simultanément (le tome 6 étant la suite du tome 1 ou le tome 7 étant la suite du tome 2 etc…).
Nous commençons l’aventure avec la découverte des elfes bleus. Nous suivons plusieurs personnages qui se rejoignent uniquement au bout du récit dans un final renversant.
J’ai clairement adoré ce premier numéro, autant le scénario que les dessins. J’ai hâte de découvrir les prochains numéros et espérant que les autres scénaristes et dessinateurs seront du même niveau.
Kevin Smith prend de vrais risques dans l’écriture du scénario et rempli parfaitement sa mission visant à relancer la série. La qualité du récit monte crescendo et les retournements de situation sont bien présents. De plus, certains évènements ont et auront des conséquences irréversibles sur la vie du héros.
Les dessins et l’ancrage sont vraiment typiques des années 2000. Ils sont similaires à ce qu’il se fait sur du Ultimate Spider-man par exemple. Les planches sont magnifiques mais trop colorées à mon goût pour du Daredevil. Je lui préfère des ambiances avec un ton plus sombre.
Je ne peux que recommander ce récit qui est incontournable, notamment si vous souhaitez connaitre les évènements les plus marquants sur la continuité Daredevil.
On retrouve l’excellent tandem Jeph Loeb / Tim Sale dans « Amère Victoire », suite directe de l’incontournable « Un long Halloween ». Batman et Jim Gordon font face à une nouvelle série de meurtres. Après « Holiday », le tueur est cette fois surnommé « le tueur au pendu » du fait de sous mode opératoire. L’histoire reprend là où nous nous étions arrêté, ce qui donne un vrai sentiment de continuité.
Si vous aviez aimé Un long Halloween », vous aimerez certainement cette suite. Sans rien révolutionner, le récit reste sur une formule qui avait déjà fonctionné et la magie opère une seconde fois.
Pour aller plus loin, je me laisserai certainement tenter par la lecture de « Catwoman à Rome » qui est une sorte de spin-off de ce récit.
Après l’excellente lecture que fut « Batman – Année Un », je me suis lancé dans la lecture de « Un long Halloween » qui peut être considéré comme étant sa suite directe. Ce comics a été écrit par Jeph Loeb, un excellent scénariste faisant du récit un véritable thriller et dessiné par Tim Sale, dans un style graphique singulier avec une utilisation des effets d’ombres particulièrement soignée. Son trait peut ne pas plaire à tout le monde, mais à quelques exceptions près, j’ai beaucoup aimé me plonger dans cet œuvre que je n’oublierai pas de ci-tôt.
Jeph Loeb met en avant le côté enquêteur de Batman au travers d’un thriller captivant. Les rebondissements sont nombreux et tiennent le lecteur en haleine du début à la fin. La résolution de l’intrigue me donne d’ailleurs envie d’en lire davantage, c’est pourquoi je compte bien me lancer dans la lecture de « Amère Victoire » rapidement.
J’ajoute que plusieurs éléments du comics auront inspiré les réalisateurs de films sur le chevalier noir. De la trilogie de Christopher Nolan au film de Matt Reeves, les clins d’œil à « Un long Halloween » seront nombreux, ce qui ne fait que renforcer son statut d’œuvre de référence.
Ce comics est connu comme étant un incontournable des aventures de Batman. Franck Miller au scénario et David Mazzucchelli au dessin nous présentent les premiers pas de Bruce Wayne en tant que Batman et ceux de Jim Gordon en tant que lieutenant de la police de Gotham. Ce comics est sorti pour la première fois en 1987 et a su rester une oeuvre intemporelle. L’histoire est particulièrement prenante, notamment grâce à des personnages bien écrits. J’ai beaucoup aimé le traitement du personnage de Gordon qui prend une part très importante dans le récit.
Je recommande vivement cette oeuvre aux lecteurs qui souhaitent découvrir les débuts du Batman et sa rencontre avec des personnages tels que Catwoman ou Carmine Falcone. Poux ceux qui l’ont déjà découvert, je vous recommande de poursuivre votre lecture avec « Un long Halloween » de Jeph Loeb et Tim Sale.
Franck Miller a laissé une marque indélébile sur le personnage de Daredevil avec un run de plusieurs années s’étant soldé avec l’arc incontournable « Born Again ». Après une pause de plusieurs années sur le personnage, il revient avec l’ambition de moderniser ses origines. Miller explore le personnage de Matt Murdock en nous plongeant dans son enfance, en passant par la découverte de ses capacités, son entrainement avec Stick, sa rencontre avec Foggy et Elektra et ses premiers pas en tant que justicier.
À titre personnel, il s’agit d’un véritable coup de cœur. Je me suis laissé happer par le récit à tel point que j’ai dévoré les chapitres en très peu de temps. Les dessins de John Romita Jr rythment parfaitement le récit et m’ont donné l’impression de regarder une série.
J’ajoute que ce comics a très bien vieilli et reste tout à fait abordable pour un néophyte. Que vous soyez fan du personnage ou simplement curieux de découvrir ses origines, lancez-vous et profitez de cette narration exceptionnelle, vous ne serez pas déçus.
L’arc narratif « Born Again » du run de Franck Miller est peut-être l’un des plus connus et des plus appréciés de la part des fans de Daredevil. J’avais donc hâte de découvrir cette histoire nous présentant la descente aux enfers du diable de Hell’s Kitchen puis son cheminement pour redevenir un super-héros.
Le récit est très bien construit, les personnages bénéficient tous d’un vrai développement. J’ai beaucoup aimé la manière dont est développée l’enquête menée par le reporter Ben Urich.
J’ai été un peu moins convaincu par la partie graphique et encore moins par la colorisation qui est clairement très datée. Certains diront que c’est ce qui fait le charme du comics, mais pour ma part j’ai souvent du mal avec l’encrage « d’époque ». L’antagoniste final est un peu grotesque et la résolution plutôt rapide mais l’essentiel n’est pas là. À l’époque, le traitement de la psychologie de Matt Murdock et la manière dont Miller a imaginé et écrit son retour d’entre les morts a été une révolution pour l’industrie du comics.
« Born Again » restera un arc incontournable explorant avec maturité la rivalité entre Daredevil et le Caïd. Je ne peux que vous le recommander.
Ce cinquième tome marque un nouveau départ dans les aventures de Lanfeust. Après son dernier affrontement contre Thanos, Lanfeust et sa bande sont de retour à Eckmül pour étudier les pouvoirs conférés par l’ivoire de l’épée du chevalier Or-Azur. La situation va rapidement dégénérer lorsque Thanos va revenir d’entre les morts avec des pouvoirs illimités. Pour l’arrêter, les personnages vont se lancer dans une nouvelle quête visant à trouver le Magoamoth, l’être originel de la magie. Tome très appréciable !
Ce quatrième tome vient clore un arc scénaristique important. Nous avons droit à un duel final particulièrement réussi. Cet épisode coche toutes las cases en parvenant à être à la fois drôle, épique, rythmé, tout en faisant réellement avancer l’histoire. J’ai hâte de voir quel sera le prochain objectif des personnages en espérant que l’auteur proposera de nouveaux enjeux.
Les personnes poursuivent leur quête pour retrouver l’épée attribuant tous les pouvoir à Lanfeust. Leur chemin sera ponctué de rencontres qui permettent d’ajouter de l’épaisseur au récit. C’est toujours un plaisir de suivre cette série.
Je suis toujours très heureux de voir sortir un nouveau numéro de l’excellente série Daredevil de Chip Zdarsky. Ce tome 5 débute après la bataille ayant fait rage au coeur de Hell’s Kitchen. Le dessinateur principal de la série, Marco Checchetto propose des planches qui sont à dévorer sans modération. Ce qui m’amène à parler du plus gros point noir de cette série à savoir les changements fréquents de dessinateur. Checchetto ne pouvant certainement pas suivre le rythme, certains numéros sont dessinés par d’autres artistes qui ne sont clairement pas au niveau de ce dernier. On alterne donc entre des numéros passables et d’autres qui sont de véritables chefs-d’oeuvre.
Mention spéciale pour le numéro 25 autour d’Elektra qui est une Masterclass absolue ! Un nouvel arc scénaristique semble débuter à partir de cet épisode. Vivement la suite !
Après 6 ans d’attente, le dernier tome de la série Batman Terre Un est enfin là. Le célèbre tandem Geoff Johns et Gary Franck nous livre encore un très bon récit magnifiquement illustré. Cette série est un magnifique coup de coeur depuis de nombreuses années, de part ça fraicheur et ses personnages revisités. Malgré tout, je dois reconnaitre que ce tome est peut-être légèrement inférieur aux deux premiers. Les retournements de situation sont toujours présents mais moins bien pensés. Certains personnages manquent un petit peu de profondeur et de développement. Cette série mériterait d’avoir des sorties plus régulières, ce qui lui permettrait d’avoir le temps d’approfondir les personnages et leurs relations.
Je recommande vivement l’ensemble de la saga Batman Terre Un à tous les lecteurs et j’espère qu’un quatrième tome arrivera un jour.
La saga gagne en consistance avec ce second tome. De réels enjeux commencent à se dessiner. Le grand méchant est introduit avec brio à travers des dessins et des dialogues particulièrement réussis.
Les personnes semblent peu à peu s’investir d’une quête qui donne inévitablement envie de lire la suite du récit.
J’espère que le tome 3 continuera sur cette lancée prometteuse.
Ce n’est qu’en 2022 que je découvre enfin cette saga. Je possède les BD depuis de nombreuses années mais je ne me souviens pas m’être réellement lancé un jour dans la lecture. Il s’agit d’une saga culte pour les lecteurs du genre fantasy. Cette œuvre a d’ailleurs très bien vieilli (1994).
J’ai découvert un univers ayant du potentiel avec des personnages intéressants (bien que caricaturaux). J’espère qu’ils bénéficieront tous d’un développement et d’une évolution au fur et à mesure des tomes.
Ce premier tome sert d’introduction à l’univers sans placer des réels enjeux pour le moment. Je suis curieux de lire la suite qui, je l’espère, saura me convaincre.
HOX - POX est souvent présenté comme étant un véritable renouveau pour les X-men après une longue période de errance scénaristique.
J'ai longtemps hésité avant de franchir le pas et de me lancer dans cette histoire et je suis aujourd'hui très heureux de l'avoir fait.
Si vous voulez lire un comics "détente" passez tout de suite votre chemin car ce dernier vous poussera à la réflexion et demande une réelle concentration. Je pense même que ce n'est qu'après plusieurs lectures qu'on peut percevoir toute la poésie et la profondeur de ce récit.
En résumé, je ne peux que vous poussez à vous lancer si vous avez envie de lire une histoire innovante et que vous disposez de quelques bases concernant l'univers des mutants.
En 2016, les lecteurs des récits Justice League ont pu voir Batman faire une étonnante découverte. Il n'y aurait pas un, mais bien trois Joker avec des identités différentes.
Il aura fallu attendre plusieurs années pour que Geoff Johns et Jason Fabok viennent à bout de ce projet ambitieux. Face à la pluie de critique qu'a rencontré ce récit, j'avais quelques réserves avant de débuter la lecture.
Finalement, les dessins toujours aussi parfaits m'ont plongé dans ce récit très rapidement. Le scénario est plutôt bien écrit avec un dénouement plutôt original qui a su me convaincre.
Je fais donc parti de ceux qui ont vraiment aimé cette histoire et je le place même dans les meilleurs que j'ai pu lire sur le Batman.
J'ai particulièrement aimé les nombreux clins d'oeil à l'oeuvre "Killing Joke" de Alan Moore que je vous recommande vivement de lire avant de vous lancer dans "Trois Joker"
"Killing Joke" est connu pour être un des récits majeurs explorant la relation Batman/Joker. Il est l'oeuvre du célèbre Alan Moore et du talentueux Brian Bolland.
Nous sommes rapidement plongé dans un récit haletant qui marquera la Bat-family à jamais. Le Joker fera preuve d'une rare violence, ce qui ne correspondra pas à tous les publics.
"Killing Joke" se lit très rapidement et offre une histoire inoubliable pour tous les fans du Chevrier noir.
Suite des aventures de la "Strange Academy" de Scottie Young dessinées par Umberto Ramos.
J'avais bien accroché au premier tome qui offrait de magnifiques planches avec une colorisation remarquable. Cette suite est dans la lignée du premier volet avec une alchimie entre les personnages qui fonctionne toujours aussi bien. Les relations sont davantage développées tout en restant dans un ton très "teenage".
Je vous conseille cette suite si vous aviez aimé le début, cela permet une petite pause rafraîchissante entre deux lectures à l'ambiance plus sombre ou mature.
Batman White Knight est oeuvre écrite et dessinée par Sean Murphy se déroulant sur une terre parallèle (récit hors continuité DC Comics).
Suite aux nombreuses critiques positives, j'avais hâte de débuter la lecture.
Dès les premières pages, j'ai été impressionné par la patte graphique de Sean Murphy.
Dans un second temps, j'ai été agréablement surpris par la qualité des dialogues notamment en ce qui concerne le développement des relations entre les protagonistes.
Tous les personnages sont particulièrement réussis et le scénario nous sort des sentiers battus si souvent exploités dans les comics Batman. Le concept de base est intéressant et attire immédiatement l'intérêt du lecteur.
Le seul petit bémol et ce qui me concerne c'est le côté un peu exagéré de certaines scènes qui m'ont parfois sorti du côté réaliste que j'affectionne tout particulièrement.
J'ai hâte de lire la suite dont j'ai également entendu le plus grand bien.
Je recommande ce récit à tout le monde et en particulier à ceux qui ne veulent pas se prendre la tête avec la continuité.