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Une découverte sublime, aussi bien au niveau des graphismes que de l'histoire. Je ne m'attendais pas à autant accrocher à l'intrigue, moi qui pensais ouvrir là un album jeunesse. Mickey a su grandir avec ses lecteurs, en voici la preuve !
Mais quel COUP DE COEUR ! Amateurs de bayou et de mystères, Holly Ann est fait pour vous.
Holly Ann nous entraîne au c?ur de la Louisiane, sur la piste d'un enfant disparu. Avec elle, on va parcourir la Nouvelle Orléans, des cimetières aux maisons closes. L'héroïne est aussi mystérieuse qu'attachante, je ne risque pas de l'oublier de si tôt ! Elle a du caractère et si son passé reste pour l'heure un mystère, elle a su gagner son indépendance et le respect des membres de sa ville, si bien qu'aujourd'hui elle côtoie aussi bien les prêtresses vaudou que les inspecteurs de la police locale.
Le trait de Servain est magnifique et le scénario de Kid Toussaint m'a laissé bouche bée. J'ai été baladée de la première à la dernière page, dans un univers qui m'a aussitôt fait voyager.
Les trois autres tomes vont très vite rejoindre ma bibliothèque !
Étrange roman graphique, Carmilla de Pascal Croci aux éditions Paquet.
L'histoire adaptée par Pascal Croci est un prétexte pour nous faire découvrir son univers, en tous cas c'est ce que j'ai pensé au bout de quelques pages.
Ses dessins, ses couleurs, c'est fin, délicat, et son trait est reconnaissable de loin. Mais dommage, l'histoire arrive en second plan et j'ai cru finir l'album en ne regardant plus que les images...
L'histoire est tellement bien rythmée que je ne me suis pas ennuyée une seconde et j'ai refermé mon comics sans avoir vu le temps passer.
Le personnage de Billy m'a plu, bien plus que je ne le pensais. Dès les premières pages, sa malice et son franc-parler m'ont donné envie de le suivre dans son quotidien. Pour moi cette histoire est autant celle de Shazam, le puissant sorcier, que celle de Billy, l'orphelin trimballé de foyers en foyers.
Le gros plus de cette lecture : c'est un one-shot (et c'est presque dommage parce que j'en aurais bien repris un tome ou deux) alors pour avoir un premier aperçu de l'univers avant la sortie du film, c'était juste parfait. Je me demandais avant ma lecture si j'allais voir le films au ciné, j'avoue : je n'étais franchement pas convaincue par l'histoire du gamin dans un corps d'adulte ; maintenant j'ai hâte !
Quelle jolie lecture ! J'étais un peu sceptique, je m'attendais à une bande dessinée très jeunesse pleine de "bons sentiments", alors que cette lecture est un vrai objet de réflexion.
On va suivre Lya dans son nouveau stage, quelques mois après un accident de voiture qui l'a laissé handicapée. J'ai trouvé le thème du handicap bien abordé, sans tomber dans le mélodrame, il est même parfois un peu trop absent.
Lya est un personnage sympathique, auquel on prend plaisir à s'attacher.
Je suis une grande fan des éditions Bamboo et de leur collection qui revisite avec humour le quotidien. Mais là... J'ai été déçue par ce "boss" que je n'ai pas trouvé drôle, alors qu'habituellement je suis plutôt bon public pour ce genre d'humour.
J'ai trouvé les graphismes plutôt inégaux, certaines planches sont très belles mais sur de plus petites cases, les traits des visages sont grossiers. Dommage.
Côte histoire... Je crois que j'en attendais trop de Bill Willingham parce qu'il m'a habitué à des crossovers bien plus complexes avec Fables. Là je n'ai pas trouvé que des personnages comme Vampirella, Red Sonja et Zoro fonctionnaient vraiment ensembles. Bon après c'est du steampunk assez light, l'univers aurait pu être davantage travaillé mais au moins on s'y fait vite, je ne m'y suis pas perdue. Ce qui m'embête c'est que j'ai passé un bon moment de lecture mais je n'ai pas ressenti d'émotions particulière et en écrivant cette petite chronique je me rends compte que je peine à trouver des points positifs.Red Sonja est un personnage qui m'a plu, le seul sur lequel on s'attarde vraiment. Elle est clairement l'élément central de cet univers... Qui est sensé mettre en avant l'équipe, non ?
Freaky Mouse, c'est la version trash et un peu (beaucoup) cruelle des dessins animés de notre enfance. Par l'auteur / illustrateur de Bloody Harry, qui me faisait déjà monstrueusement rire, j'ai pensé que je ne prenais pas beaucoup de risques en achetant Freaky Mouse.
Au final... j'avoue avoir été un peu déçue. Je pense que j'attendais trop de ce titre, tout simplement, et qu'il ne m'a pas permis de voyager dans les Disney autant que je l'espérais. Alors oui, les gags sont intelligents et finement observés, mettant souvent en lumière les incohérences de nos histoires préférées.
Mais je n'ai pas beaucoup ri pendant me lecture. Est-ce parce que je n'arrive pas à rire des héros qui ont bercé mon enfance (et certainement la votre aussi) ? Peut-être... je pense que oui. Comme je ne suis pas très attachée à l'univers de Harry Potter, les Bloody Harry, l'humour potache de la BD m'a fait rire. Pour Disney, c'est une autre histoire et je me suis souvent surprise à penser "mais c'est affreux, comment l'auteur a pu inventer un gag pareil ? c'est pas drôle" alors qu'avec du Harry... avec moi ça passe nickel.
Bref vous l'aurez compris, j'ai apprécié que l'auteur pointe du doigt certaines incohérences auxquelles je n'avais jamais pensées mais cela a, du même coup, enlevé un peu la magie Disney à laquelle je suis attachée.
C'est tellement rare de voir du one-shot dans le monde du comics, qu'il faut sauter dessus quand on en voit un ! Et celui-là m'a vraiment beaucoup plu, il est léger, touchant sans en avoir l'air, et bourré de bonnes références (à la série Buffy par exemple, pour n'en citer qu'une).
J'ai tout de suite bien accroché aux personnages, notamment au couple de protagonistes principaux, et le graphisme sans être révolutionnaire a plutôt bien accroché mon attention.
Si vous connaissez peu les concours culinaires mais que vous êtes fans des différentes émissions qui pullulent sur nos écrans depuis quelques années, cet album est fait pour vous !
J'ai regretté un scénario quasiment inexistant, mais beaucoup apprécié le dossier de fin d'album qui reprend des anecdotes et des photos de véritables concours. Les personnages sont fades, plutôt plats, l'histoire est évidente, mais on se laisse emporter dans l'ambiance des concours de pâtisserie. Dommage que le tout manque un peu de féérie et ne nous en mette pas plein les yeux.
L'histoire se passe en très grande partie dans la campagne victorienne, une campagne opaque, mystérieuse, étouffante. Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé l'ambiance de cet album, très bien rendue par une palette de couleurs un peu ternes, tirant sur le sépia.
Autre point positif, l'histoire est surprenante, le suspense distillé au fil des pages donne envie de découvrir la suite.
Mais, gros bémol selon moi, il n'y a aucun intérêt à intégrer Sherlock Holmes, Watson et Moriarty dans cette histoire. Ils n'ont strictement rien à faire là et n'apportent rien de spécifique au déroulé de l'intrigue. Je ne suis franchement pas fan de cette idée d'attirer le lecteur en lui promettant du Sherlock alors que le personnage ici n'a pas beaucoup de points communs avec le personnage de Conan Doyle.
Une plongée intéressante dans le quotidien des Borgia, cette famille italienne si célèbre pour sa soif du pouvoir, ses complots et ses trahisons.
Le trait de Manara, s'il n'est pas à mettre sous les yeux des plus jeunes lecteurs, semble retranscrire avec fidélité les vices et les excès de cette famille et de cette époque, faussement puritaine. Au fil des pages, je me suis un petit peu lassée des pauses trop aguicheuses de certains personnages féminin et j'ai regretté que l'illustrateur en face "un peu trop" par moments.
Cependant, j'ai pris plaisir à découvrir en bande-dessinée cette période de l'Histoire italienne et religieuse.
Quand une mystérieuse jeune femme se retrouve obligée de débarquer sur une planète peuplée de gens étranges... On obtient un croisement assez frustrant entre Alien et Star Wars. Oui, frustrant. Parce que l'idée de base est géniale mais il manque clairement des explications sur pas mal de choses et même si le travail d'imagination que cet album nous demande est intéressant, il laisse sur sa faim le lecteur. Pareil pour le graphisme, quelques planches nous font rêver le travail de l'illustrateur, mais frustre autant !
Une aventure à mi-chemin entre Nikita, Jason Bourne et Red Sparrow. Donc rien qui va révolutionner le genre mais une aventure malgré tout bourrée d'action et de rebondissements.
Amber est la meilleure, recrutée par les meilleurs. Pour finalement se rendre compte que ceux qui l'entourent ne sont pas forcément aussi transparents qu'elle le croit... Bref du mystère, de l'action et des recettes à base de course-poursuites, de technologies high-tech et d'exécutions qui fonctionnent très bien en bande-dessinée.
Ce petit album est une merveille ! Je n'étais pas fan du style graphique en le feuilletant au départ, mais on s'y habitue très vite. J'ai beaucoup aimé le personnage principal, auquel je me suis immédiatement attachée. Notre héroïne est pleine d'humour et ses petites galères improbables et surprenantes sont divertissantes.
Selon moi, il ne faut pas s'attendre à un traité féministe ou à une aventure extraordinaire quand on commence cette histoire, au risque d'être déçu. Si cette bande-dessinée était un film, ce serait une gentille petite comédie américaine à regarder entre copines, sans prise de tête.
Troisième enquête graphique pour Enola Holmes et j'ai énormément apprécier retrouver cette héroïne. Enola est vive et son esprit bouillonne d'inventivité, c'est un personnage que l'on suit sans ressentir le moindre ennui.
Je trouve de plus en plus tiré par les cheveux le "fil rouge" des aventures d'Enola autour du langage des fleurs, mais cela rend l'histoire plus originale. Enola se déguise encore à de nombreuses reprises dans ce tome, et ses transformations sont toujours très réussies ! L'histoire est intelligente, comme toujours, et ne prend pas son lectorat (jeunesse) pour des idiots.