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Du point de vue des graphismes et des couleurs, il n'y a pas grand chose à dire, c'est du très bon travail. L'ambiance très soignée apporte un plus à ce western saupoudré de mystique.
Par contre le scénario, un tantinet brinbalant, ne met pas du tout en valeur son héros principal s'exprimant que de manière laconique.
Il n'a pratiquement aucun charisme, se fait facilement capturer, et sans aide extérieure la série serait déjà terminée depuis deux tomes.
La conclusion relève un peu l'intérêt de la série, même si le récit principal n'est pas très emballant.
Un très beau travail sur les couleurs et les dessins. La qualité graphique de Swolfs n'est plus à prouver.
L'histoire, sans être bouleversante, reste agréable et cohérente. Au fur et à mesure que le jeu piste commence à prendre fin, l'intérêt s'estompe petit à petit. L'auteur a raté quelque-chose dans son intrigue ou dans sa construction.
Dommage.
Un album avec de belles qualités graphiques et un univers intéressant. Le mélange western et mystique fonctionne plutôt bien. Les scènes d'action sont plutôt réussi, comme les scènes de tension qui les précédent.
Par contre le fil narratif manque un peu de surprise et d'originalité. Même si la bd est plaisante à lire, elle n'est pas particulièrement emballante.
C'est une belle série qui se met en marche, soutenue par un univers incroyable riche et profond. Les auteurs ont tout le talents pour effleurer ce monde post-apocalyptique sans trop en divulguer. Ce qui laisse suffisamment de place au mystère et à l'envie d'en savoir plus.
La narration très efficace et la mise en images soigné et à l'esthétisme assuré rendent cette bande dessinée très emballante.
Ce début de série est des plus passionnant. Un univers post apocalyptique mais où l'apocalypse aurait eu lieu au moyen âge. Idée géniale !
Une mécanique de clans semi-nomades qui ont chacun leur mode de vie, de chasse et qui se partagent au fil des saisons, les places fortes. Ces places fortes, derniers refuges protégeant de la sauvagerie animale. Ces clans qui se tolèrent entre eux, tant qu'on respecte les règles immuables qui règlent la vie de ce qu'il reste de l'humanité.
Cet univers dense de Le gris débordant d'inventivité et de mystère est réellement captivant.
Au niveau graphique, on est pas en reste.
Le coup de crayon de Poli donne énormément de personnalité à ces personnages. Ses dessins sont très agréables et fluides pendant les scènes d'action.
Un vrai plaisir de lecture.
La nouvelle confrontation entre les deux frères ennemis se rapproche à grands pas. Les stigmates de la fin du cycles précédents (voir le livre V) se font toujours sentir et accentue l'hostilité entre nos deux héros.
Un récit qui suit son cours avec le même soucis de rythme, d'immersion et de justesse narrative.
Sans remettre en question le talent de l'auteur, je trouve que ce tome ne tient pas toutes ses promesses graphiques.
Si les gros plans et les plans classiques sont indéniablement très soignés, les plans larges et les grandes vignettes le sont beaucoup moins.
Dommage, cela enlève un "petit" peu du plaisir de lecture.
Un épisode qui commence comme un nouveau cycle.
Après le final tonitruant du tome précédent, les années ont passé et les survivants ont évolué de manière différente.
Marini prend le temps de mettre en place tous ses personnages, ainsi qu'une nouvelle intrigue sans désavouer les événements précédents. Et malgré cette fausse lenteur narrative, on se laisse malgré tout surprendre au cours de l'une ou l'autre situation.
Bref, encore un tome réussi qui relance parfaitement l'intérêt de la série.
Après la mise en place du tome précédent, la confrontation inéluctable est en marche. Toute la férocité des combats est sublimée par la talent de Marini. D'ailleurs il ne ménage pas ses personnages, c'est le moins que l'on puisse dire.
Quand l'Histoire se mêle au drame, cela donne un des tomes les plus intenses de la série.
Un Bessadi au meilleur de sa forme et de son art pour clôturer cette trilogie anthropomorphique. Certaines planches sont étourdissantes de réalisme et de finesse. La narration nerveuse ne nous laisse que très peu de repis. Même si le scénario n'est pas renversant, on se laisse surprendre par l'une ou l'autre situation.
Un très bon moment de bd avec une montée de qualité narrative et graphique au fil des épisodes.
La situation continue d'évoluer vers le chaos. La tension est à son comble. Les deux personnages principaux, les frères de sang sont plus que jamais opposés.
Une histoire implacable qui suit sont cours soutenue par des graphismes dont on ne doit plus faire l'éloge.
Le travail qualitatif pour coller un maximum à la réalité historique donne une aura intéressante à cette bd.
Une série remarquable.
Si on n'a pas vraiment de surprise dans cet épisode, l'histoire reste vraiment solide. Nos deux héros restent tourmentés par leurs démons. Marcus cours toujours après un amour impossible, tiraillé entre ses sentiments et sont devoir. Tandis que Arminius, lui fait face à un conflit de loyauté entre l'empire Romain qui lui a tout appris et son peuple d'origine pour lequel il est le sauveur providentiel.
Les graphismes de Marini sont, une fois de plus, impeccables. Son talent, toujours à la hauteur de sa réputation, renforce l'atmosphère entraînante de cette bd.
Un tome qui semble bel et bien clôturer notre incursion dans ce monde particulier d'Etheria.
Les graphismes auront été de très bonne facture sur l'ensemble des 4 tomes, aussi bien au niveau créatif, que de la finesse du trait, que de la mise en couleur.
Mais il y aura eu quelques déceptions malgré tout.
Dans ce quatrième tome, les scènes d'action sont beaucoup trop statiques.
Les transitions entre certaines scènes, ainsi que les bonds dans le temps sont pour le moins très abrupte.
Dans l'ensemble de la série, l'histoire aura été trop dense. Une histoire si riche aurait mérité d'être étalée sur le double de tomes, en laissant plus de place à la préparation de l'action. Avec une montée en puissance de la tension et des combats qui durent plusieurs pages.
Dans l'ensemble, Le scénario reste totalement crédible et le monde créé par Jeremy est tout à fait remarquable.
Une série qui mérite d'être lue.
Une histoire qui, après la mise en place percutante du premier tome, prend son envol de manière convainquante et accrocheuse.
Malgré la complexité, lié au nombre saisissant de personnages tantôt cités, tantôt illustrés, on prend beaucoup de plaisir à découvrir le destin des deux aiglons devenus aigles de Rome.
Un album très réussi aussi bien dans le graphisme que dans le narratif.
Une série qui promet d'être passionnante.
On peut véritablement parler de mise en place des personnages, car au niveau de l'intrigue ce n'est pas vraiment bouleversant. Malgré tout, on suit l'évolution des personnages avec beaucoup d'intérêt sans réellement savoir où cela nous emmène.
Néanmoins, Marini nous régale avec ces graphismes de haut vol.
Une introduction qui donne envie de se plonger rapidement dans l'album suivant.
Un scénario digne des Lucky luke de la première époque, avec quelques faiblesses mais aussi de très bonnes idées.
Aidé par de bons ressorts comiques l'histoire se lit facilement.
Les graphismes remplis de personnalité donnent un style intéressant à la bd.
Un bon moment bd, sans plus.
A mon sens, le "hors-série" le plus réussi des Légendes du monde de Troy.
Que ce soit le dessin, le scénario, ou les trouvailles humoristiques, nous sommes face à une œuvre bien maîtrisée et qui s'intègre parfaitement dans cet univers.
Les fans du monde de Troy y trouveront leur bonheur.
Une histoire originale bien implantée dans le monde de Troy. On peut y voir un début de féminisme dans la mise place de l'héroïne, Marikiri. La dualité entre Marikiri et l'apprenti Kyslapeth, garçon aussi beau que bête , fonctionne vraiment très bien tout au long de l'intrigue.
Une fois n'est pas coutume, Arleston (aidé par Melanÿn au scénario) arrive faire tenir une histoire sur un tome, sans avoir ce sentiment de fin bâclée.
Ma seule réticence se situe au niveau de dessin. Agréable et collant parfaitement à l'univers, ainsi qu'à l'ambiance du récit, certaines parties, certains détails, ne sont pas très clairs. Ce qui peut rendre la lecture inconfortable.
Mais dans l'ensemble, nous avons droit à un bon moment de lecture dans le monde de Troy.
Un nouvel hommage au personnage de Morris, illustré et scénarisé par un teuton.
La référence au Brokeback Mountain d'Ang Lee est plus qu'assumée, et Ralf König demande à Lucky Luke de donner son avis.
La mise en abîme de Lucky Luke héros de bd (avec des fans qui ressortent les vieux albums pour les dedicacer) dans cette histoire est bien trouvée. Les références aux premiers épisodes et aux censures de cette époque, témoignent d'une grande connaissance et d'un grand respect de l'œuvre originale.
Si le message est moderne et vraiment encré dans notre époque, les situations comiques sont plutôt rares ou pas assez présentes.
Le dessin a de belle qualité comique mais l'ensemble m'a beaucoup moins marqué que les exercices précédents.
Une clôture intéressante de ce diptyque.
Sans être étourdissante d'originalité, les auteurs sont arrivés à nous accrocher durant de tout le tome avec de bonnes trouvailles scénaristiques. Les quelques petites touches d'humour troll (ou de gros bill) bien senties collent parfaitement à cet univers qui a révolutionné le monde de l'heroic fantasy.
Un cycle parfaitement réussi dans les Légendes de monde de Troy, grâce au dessin si caractéristique d'Hérenguel et au talent des scénaristes (Melanÿn et Arleston).
A classer dans les meilleures histoires des "spin-off" de cet univers.
Une emballante découverte cette incursion d'Hérenguel dans le monde de Troy.
La trame de base manque un peu d'originalité mais l'évolution est assez prenante. Rajoutez les graphismes du "papa" de Krän est vous avez un ouvrage qui tient toutes ses promesses.
Les connaisseurs apprécieront les petits clins d'œil du dessinateur à ses autres séries (un garou discrètement caché, ...).
Reste à voir si la conclusion sera de même acabit.
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire à cause des graphismes. Mais je dois bien avouer qu'après quelques pages, je commençais déjà à sourire, puis à rire. On ne peut pas nier le talent comique de Mawil. Et avec le recul, les graphismes collent bien à l'ambiance générale de la bd.
C'est un bel hommage que ce "Lucky Luke se recycle".
Deuxième et dernier tome de l'incursion de Dany dans le monde de Troy.
On retrouve la touche d'humour dans la narration propre à l'univers d'Arleston avec le petit côté "coquine" de Dany.
La trame de fond est plutôt prenante mais les personnages manquent singulièrement de personnalité.
On exploite que trop peu les caractéristiques des personnages.
Par exemple, dans les premières pages du premier tome, on voit une des héroïnes être très douée avec l'arbalète, puis plus rien ... non finalement, elle se battra avec une épée. Les pouvoirs tellement caractéristiques du monde Troy sont utilisés de manière tellement anecdotique qu'il aurait très bien pu ne pas y en avoir.
D'ailleurs la plupart des personnages ne n'en utilisent jamais.
Et ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres du manque de cohérence dans ce récit.
C'est dommage parce qu'avec un peu plus travail de profondeur cela aurait pu être un très bon épisode des Légendes de Troy.
Une histoire intéressante, même si l'intrigue et les personnages mettent du temps à se mettre en place.
Les dessins de Dany sont tellement associés à ses "blagues coquines" qu'on a du mal à les transposer dans le monde de Troy (monde très peu exploité dans ce premier tome).Et on atteint le paroxysme de la caricature érotique dans la scène de torture dénudée. Scène qui nous met à notre insu dans une position désagréable de voyeur.
Je regrette toujours les dessins des deux premiers tomes, mais je dois avouer que les graphismes de Tirso sont plus agréables que ceux du dessinateur précédent.
Un tome très intéressant avec la poursuite de l'intrigue sur plusieurs fronts. La structure bien pensée du storyboard donnent un rythme entraînant à ce tome et à ce cycle.
Hé oui, alors qu'on annonce que la série est clôturée, la dernière page annonce : fin du cycle 1.
Étant donné que ce tome est sorti il y a presque 18 ans, les chances de voir une suite sont infimes.
La clôture reste totalement acceptable mais sans être pleinement satisfaisante. Même si les auteurs ne nous laissent pas, non plus, sur un Cliffhanger haut en frustration, c'est dommage que la série s'arrête ici.
Si au niveau du scénario et de l'action, on garde de la cohérence, du rythme et de l'intérêt; on regrettera le changement de dessinateur. Sans être mauvais, la différence de style enlève énormément d'âme à cette série.
Les nouveaux dessins manquent cruellement d'épaisseur et d'aspérité. Dommage pour la fin de la série.
Ce deuxième tome voit cette intrigue évoluer de manière très intéressante.
Le rythme entre les scènes d'action et la narration explicative est parfaitement maîtrisé.
J'apprécie également beaucoup les dessins qui apportent une vraie personnalité à cette série.
Une relecture que j'apprécie beaucoup.
Des graphismes originaux et agréables au service d'une histoire intéressante. Cet univers mêlant la culture japonaise des samouraïs et une ambiance rétro futuriste à sauce Steam punk est parfaitement réussi et cohérent.
Le début du scénario n'est pas d'une originalité folle mais l'univers imprègne tellement le récit qu'on lit cette bd sans déplaisir.
Conclusion d'une série sans prétention qui se déroule sur le monde de Troy.
Il y a de bonnes idées dans ce tome, comme par exemple toutes ces communautés "religieuses" aux idées aussi diverses que saugrenues.
La relation entre Tykko et Ayasha semble, elle, très artificielle et n'est pas très crédible.
Ces petits bémols n'empêchent pas cette série d'être une sympathique parenthèse dans le monde de Lanfeust.
Un humour proche de Fabcaro.
Toutes les planches ne font pas mouche, le dessin est très inégal mais les amateurs de ce type d'humour y prendront du plaisir. Avec de très bonne base, il reste une belle marge de progression à Alcide.
Aidé par les dessins agréables de Keramidas, Arleston nous offre une nouvelle légende exotique du monde de Troy, aux accents orientales.
Le scénario est à la hauteur de ce que ces auteurs font de mieux. La mise en place des différents personnages, même s'ils sont caricaturaux, est plutôt réussie.
Seul bémol, les scènes d'action. Elle sont vraiment brouillonnes et on ne comprend pas vraiment ce qu'il se passe. A mon sens le story bord doit être un peu plus travaillé.
S'il y a du mieux dans la ligne narrative et dans la consistance des personnages, cela reste très moyen dans l'ensemble.
Les héroïnes sont de nouveau dénudées pendant une grande partie de l'intrigue de manière totalement gratuite et sans que cela apporte quoi que ce soit à l'histoire.
Le scénario un peu mieux travaillé masque difficilement le manque de profondeur de l'ensemble de la bd.
Une série qui s'achève ici. On ne trouvera pas grand monde pour la regretter.
Des dessins sympas, une histoire en dent de scie et des personnages transparents.
Si j'ai souri quelques fois, certains gags s'inspirant et utilisant les codes des dessins animés mangas des années 90, j'ai trouvé que le scénario manque d'un fil conducteur. Somme toute, la narration se résume à 3 ou 4 petites histoires accolées les unes aux autres.
On ne peut s'empêcher de penser que cette bd est juste une excuse pour des ados ou des adulescents pour se rincer l'œil, la nudité féminine étant, la plus grande partie du temps, gratuite.
Cette aventure originale s'intègre parfaitement au monde de Troy. Même si les codes et les références ne sont pas ceux qu'on a l'habitude de côtoyer dans cet univers.
Ici, c'est la civilisation Darshan qui est mise à l'honneur, avec un usage complètement différent de la magie de Troy par rapport à Eckmül.
Arleston et Alwett nous offrent une histoire prenante portant un message féministe.
Petit bémol, la clôture. Elle n'est pas vraiment dans la continuité et dans l'esprit du reste du récit.
Cette histoire en un tome est plutôt sympathique. Arleston trouve une façon originale d'intégrer l'imaginaire des gargouilles dans le monde de Troy.
Le dessin avec un caractère bien affirmé, même s'il ne me plaît pas tant que ça, se marie très bien avec l'ambiance gothique du récit.
Une chouette découverte d'une des nombreuses Légendes de Troy.
Une aventure sympathique à l'humour caractéristique de l'univers de Lanfeust de Troy.
D'accord, il n'y pas grand chose d'epique et on est loin de l'épopée du premier (voir du deuxième) cycle. Mais il y a quelque chose de satisfaisant à revoir ces anciens héros remettre du cœur à l'ouvrage pour sauver le monde de Troy.
Par contre, je ne suis pas pour les histoires en un tome ( comme dans Ekhö ). Arleston a trop l'habitude, dans ces formats, à exploiter une bonne idée sans vraiment l'approfondir. Ce qui m'a régulièrement donné un sentiment de gâchis.
Un bel ouvrage baignant dans les seventies mais au scénario qui manque un peu d'originalité.
Le principe du truand repenti qu'on cherche à éliminer ce n'est pas vraiment innovant comme concept.
Mais à travers cette histoire, on vit le prémisses du programme de protection des témoins mis en place par le FBI.
Dans la mise en scène, le faux dialogue entre le coyote et le personnage principal est une très belle trouvaille. De manière générale, les dialogues ont cette saveur vintage digne de ce qui était produit à cette époque.
Les dessins, bien travaillés, donnent vie à des personnages charismatiques. Le découpage donne un aspect très cinématographique, ponctuer par des passages plutôt comiques aussi bien dans le dessin que dans les dialogues.
Un vrai plaisir de lecture.
Une conclusion plutôt réussie. Avec beaucoup de cohérence dans le propos. Rare sont les séries post-apocalyptiques où on donne des explications sur les causes de l'effondrement. Richard Marazano nous sert de manière très convainquante et crédible les raisons de ce chaos.
La fin, en mode feel good, est également réussie même si les auteurs en font un petit peu trop.
Je trouve que le personnage du robot, depuis le début de la série, n'est pas vraiment "habité". Peut-être est ce du a une faiblesse graphique, mais on a aucune compassion pour lui. Par conséquent, les hommages de la fin de cette série pour son rôle sonnent un peu exagéré.
Mais la plus grosse déception vient une nouvelle fois de la partie graphique. Si Shang Xiao nous a prouvé son talent dans les deux premiers tomes, les deux derniers sont vraiment interpellant. La qualité est vraiment en chute libre.
Était-il pressé de clôturer la série? Avait-il envie de changer de méthode, de technique?
Un troisième tome qui reste prenant malgré son manque de rythme.
La déception sera surtout au niveau graphique. La qualité du dessin est en dessous du niveau des premiers tomes
On a même l'impression que le dessinateur a changé de style ou de technique par moment.
Ce deuxième tome m'aura un peu plus emballé par son scénario. Un scénario plus inventif et qui laisse une part d'ombre dans la narration. De quoi s'interroger et imaginer une multitude de pistes possibles.
Le dessin avec une forte personnalité garde ses qualités. Les robots sont très bien croquer et les personnages sont très réussi. Seulement, les dessins ne sont pas constant qualitativement.
Pour conclure, un tome qui prolonge l'intérêt pour la série.
Un début d'histoire avec très peu de surprises, tellement la couverture est explicite.
Dans monde post apocalyptique, on suit une bande de jeunes qui tente de survivre dans une immense ville tout en étant la proie de robots destructeurs.
Rien de surprenant et rien de vraiment nouveau. Mais l'auteur parvient à nous donner envie d'en savoir plus. Et on se demande bien où tout ça va nous mener.
Graphiquement très proche du manga, le dessinateur arrive à donner de la personnalité à ses personnages malgré les petites imperfections de son dessin.
Un début intéressant qui mérite qu'on s'attarde sur cette série.
La fin du troisième cycle ou arc narratif de Lanfeust l'aventurier se termine de manière satisfaisante.
Le combat est à la hauteur de ce qui est attendu. On a droit à quelques trait d'humour troll sur la conclusion et la fin ouverte ravira les fans (dont je fais partie).
Les graphismes, les jeux de mots, les clins d'œil, le scénario, le retour des personnages de la première "saison", sont autant d'éléments qui font de cette saga un succès bien mérité.
J'ai souvent lu que les auteurs tiraient trop sur la corde et que l'esprit de Lanfeust de Troy n'était plus. Je trouve qu'il n'y a rien de plus faux. Je pense surtout que cette première série avait tellement marqué les esprits qu'il était impossible de retrouver cette émotion et cette fraîcheur innovante, même avec un produit de qualité équivalente.
Alors oui, il y aura eut des tomes plus intenses que d'autres, mais au bout du compte le plaisir de lecture est intact et le tout reste crédible.
Je termine cette bd avec un sentiment mitigé. Partagé entre le talent des auteurs et la semi déception d'une fin avec un sentiment de trop peu.
Avec des ellipses plutôt culottés mais compensées par des dialogues claires et efficaces, Izu arrive à donner du rythme à cette histoire très originale.
Ce récit m'aura tenu en haleine de bout en bout. Même si la fin est un peu trop soudaine à mon goût, l'intrigue reste totalement compréhensible grâce au savoir-faire des auteurs.
Une série qui cache bien son jeu.
Si le démarrage de cet album, soutenu par un très bon pitch devient très vite quelque chose de déjà lu, au moment où on s'y attend le moins l'histoire bascule dans quelque chose de totalement différent et rafraîchissant.
Une belle surprise pour le lecteur.
L'analogie avec nos problèmes actuels sur le réchauffement climatique est marquante. La dualité entre les échéances à court terme et la survie à long terme et la pensée individualiste en opposition à l'idée de la survie de l'espèce abordés par les auteurs, nous renvoie sans complaisance la dure réalité de la nature humaine, dans ce qu'elle a de moins noble.
Graphiquement, nous sommes face a un ouvrage agréable qui transmet une ambiance très réussie.
L'histoire suit son cours, alors que l'on pensait que l'affaire presque pliée au tome précédent.
Les auteurs ont trouvé une astuce pour prolonger l'aventure en utilisant des éléments scénaristiques des premièrs épisodes de Lanfeust odyssey.
Arleston réussi même le tour de force de réunir l'équipe emblématique de cet univers.
Malgré quelques facilités scénaristiques voire quelques invraisemblances, l'auteur réussi à recoller un maximum à ce qui a fait le succès de Lanfeust. Les clins d'œil graphiques, l'humour, l'aventure, le monde en danger, ... tous les ingrédients sont réunis pour donner aux fans une expérience Lanfeust de Troy bis.
Par certains aspects, on pourra reprocher un manque d'originalité. Probablement qu'Arleston garde ses meilleurs cartouches pour d'autres projets.
Les excellents dessins de Tarquin restent un plaisir pour les amateurs. L'évolution graphique (physique) de Lanfeust est remarquable.
Cela aurait pût être le tome conclusif de cette "saison", mais les auteurs ont décidé de prolonger le plaisir.
Un peu moins pétillant et moins surprenant que l'épisode précédent, cet album reste très agréable.
Les graphismes de Tarquin, toujours au niveau, avec son côté incisif, épique et comique ravira tous le fans de la première heure (dont je fais partie).
J'ai beaucoup apprécié ce tome. On termine cet épisode avec une tension qui est à son comble, le retour inattendu d'un personnage emblématique et un Cliffhanger des plus efficaces depuis de nombreux tomes.
Si on rajoute les petits jeux cachés, comme à la bonne époque de Lanfeust de Troy, cela donne un des albums les plus réussi de cet arc narratif.
Une histoire soutenue par une illustration efficace, tant dans le visuel des personnages que dans l'ambiance oppressante de la jungle vietnamienne. La structure de cette histoire se déroulant pendant la guerre du Vietnam est des plus intéressantes et le découpage de la narration donne à l'œuvre une personnalité changeante au fil des pages.
Un album très réussi, où on a l'impression d'être avec les personnages au milieu de cette végétation luxuriante et hostile.
Dans la droite lignée du tome précédent, les auteurs arrivent donner de la consistance à cette histoire. A la manière d'un jeu de rôle avec des quêtes principales et secondaires, l'intérêt de ce tome est présent du début à la fin.
Un tome intéressant, même si l'intrigue principale n'avance pas beaucoup.
Le scénario sans être ahurissant tient bien la route.. Arleston trouve un bel équilibre entre plusieurs trames de l'histoire de fond, les situations imprévues, l'humour et les différents personnages.
Les différentes trames de l'histoire de fond qui n'ont pas vraiment l'air d'être reliées entre elles, même si elles sont amenées d'une manière plutôt frontale restent à la fois mystérieuses et arbitraires. Espérons que les auteurs ont une (ou plusieurs) idée derrière la tête, et savent exactement où tout cela va nous mener.
Les situations imprévues à la sauce jeu de rôle, qui n'ont pas vraiment de liens avec l'histoire mais qui mettent nos héros dans des situations compliquées.
L'humour, lui est digne des premiers instants et n'est plus un prétexte pour dédier toute une planche pour un jeu mot moyen.
Les personnages qui arrivent à exister, à prendre une place importante dans la structure de cet nouvel arc narratif.
J'ai eu un peu peur au début avec l'arrivée de la nouvelle Cixi puis de sa disparition complète de l'histoire. Finalement ce n'est pas plus mal comme ça.
Au niveau graphique, le travail de Tarquin reste remarquable de tome en tome.
Arleston et Tarquin reviennent avec un opus renouant avec les bases de ce qui a fait le succès de Lanfeust de Troy.
Je trouve ce tome très réussi. Aussi bien l'humour, l'aventure que la narration et le scénario sont efficaces et de très bonne facture. Plus besoin de souligner la qualité graphique de Tarquin, qui nous fais voyager dans ce monde si riche de Troy.
Les fans prendront leurs pieds.
Dans un style sombre, tant sur le plan graphique, que sur le fond, on reconnaît le talent de Franquin.
Graphiquement, le travail sur le noir et blanc est remarquable, même si certains détails se perdent.
J'apprécie également la finesse de jeux de mots et autres calembours dans les titres des gags de la première partie.
Et que dire de l'humour? Le plus sombre que Franquin puisse exprimer dans sont travail (il y avait quelques indices dans le titre).
En étant plutôt drôle, Franquin nous dévoile ses pensées les plus intimes. La chasse, la guerre, l'écologie, la justice sociale, ... tous ces thèmes sont abordés sans concession par le père de Gaston Lagaffe.
Avec un scénario qui nous prend à plusieurs reprises au dépourvu, les auteurs n'ont pas eu peur de nous bousculer dans nos habitudes scénaristiques.
Et c'est plutôt réussi.
Les dessins de Tarquin sont toujours au niveau.
L'humour y est plutôt subtile (en comparaison de la fin de Lanfeust des étoiles) pour une histoire accrocheuse qui donne envie de connaître la suite.
Ce tome clôture sympathiquement ce diptyque. Certes, l'intrigue est plus légère que dans les cycles précédents, mais il y a quelque chose de rafraîchissant.
L'humour est revenu à ses fondamentaux et les dessins de Tarquin, si caractéristiques, sont toujours au niveau.
On prend un grand plaisir à retrouver Lanfeust, Hebus sur le plancher des pétaures de leur planète natale.
Dans l'édition que je possède, il y a un excellent petit appendice qui présente les enfants de C'ian qui ravira les amateurs du monde de Troy.
Retour de Lanfeust sur Troy et les auteurs reprennent le style Lanfeust de troy avec de l'humour un peu moins grossier que celui de Lanfeust des étoiles, et une intrigue plus terre à terre.
Le scénario part sur des bases intéressantes avec un peu moins d'enjeux, pour l'instant, que dans les deux cycles précédents et c'est plutôt rafraîchissant.
Niveau graphisme, c'est un niveau en-dessous de ce que Tarquin propose habituellement. Je trouve que ça manque un peu de texture. Et ça manque surtout de petit textes cachés comme ils avaient l'habitude d'en distiller dans le premier cycle. On a l'impression qu'il était pressé par le temps.
Une clôture classique de cette série qui se sera beaucoup inspirée du Seigneur des Anneaux. Peut être est-ce un hommage ?
Les graphismes, même si ce n'est pas vraiment ma tasse de thé, apportaient la plus grande valeur de cette bd. Le scénario étant un peu réchauffé même si par certains aspects il aura été inventif.
Un épisode plaisant avec du rythme et des rebondissements. Mais certaines parties de la narration semblent être ajoutées artificiellement, et au bout de la lecture on se demande si ce tome a vraiment de l'intérêt dans l'arc narratif général.
Reste la qualité graphique de Dim. D, qui ne déçoit pas depuis le premier tome.
Un scénario rafraîchissant issue d'un roman SF de la française Julia Verlanger écrit dans les années 70.
Les dessins très réussis de Jorge Miguel rendent le récit accrocheur.
La narration de Corbeyran laisse parfois des ellipses ou des enchaînements narratifs plutôt déstabilisants de par leurs vitesses et le sentiment qu'on passe vite à autre chose.
C'est tout à l'honneur des auteurs de vouloir contenir toute l'histoire en deux tomes, mais cela donne certaines séquences bâclées.
Un tome en plus aurait peut-être permis d'installer un peu mieux les personnages secondaires, qui ont à peine le temps d'exister.
Malgré ça, ne boudons pas notre plaisir, cela reste une œuvre qui a sa place dans la bibliothèque des amateurs de SF.
Ce deuxième épisode, dans cette série réalisée avec un soupçon de Tolkien, est accrocheur dans un style heroic fantasy des plus classique.
Les graphismes ont les mêmes qualités et les mêmes défauts que précédemment. Ils sont plutôt intéressants mais ne plairont probablement pas à tout le monde.
Les graphismes de Dim. D sont qualitatifs, il faut bien l'avouer, mais pas vraiment à mon gout.
Si les prémisses du scénario ont une pointe d'originalité, les grandes lignes sont du déjà vu. La référence à Tolkien est à peine masquée. Mais la mise en scène est plutôt réussi et on se prend à suivre avec intérêt ce vieux mage surpuissant qui doit détruire l'incarnation du Mal qui essaye de répandre les ténèbres sur la terre du milieu.
Oups, ce n'est pas la terre du milieu mais Dyfed.
Une approche et un point de vue de la piraterie assez innovant et rafraîchissant.
Le canevas de la narration est également assez original.
La première partie, qui met en place les différents personnages et qui explique leur mode de pensée, est passionnante de bout en bout.
Les dessins très réussi mettent parfaitement en valeur cette histoire.
La conclusion, un tantinet abrupte, n'est que le reflet de la vie d'aventure et de danger que celle de ces pirates que nous avons suivi pendant ces 224 pages captivantes.
Avec pas mal de rebondissements, dans ce tome clôturant ce deuxième cycle des aventures de Lanfeust, les auteurs nous offrent une cloture poignante et expéditive. Si certaines situations sont bien amenées de manière crédible et intelligente, d'autres sont un peu plus tirer par les cheveux, voire grossière.
Il y a un sentiment de précipitation dans les dernières pages qui donne l'impression un travail bâclé. Ce qui est bien dommage.
Ce cycle méritait une fin mieux travaillée , même si l'intrigue, de manière générale, tiens bien la route.
Du côté des graphismes, il n'y a rien à dire. Le coup de crayon de Tarquin reste fidèle à son style caractéristique, pour le plaisir des plus grands fans de la série.
Une intrigue qui, même si elle est bien construite, n'est pas vraiment originale.
Les auteurs nous dévoilent, ce qu'on avait lu entre les lignes des tomes précédents. Il n'y avait pas vraiment de surprise, mais plutôt une mise au point scénaristique.
Un tome qui, sans être mauvais, est plutôt redondant.
Un portrait saisissant.
Portrait d'une guerre civille qui se concluera en un massacre ethnique.
Portrait d'une famille perdue dans le chaos de ces affrontements. Affrontements raconté par un enfant.
Si ce roman graphique n'apporte que peu d'explication sur le conflit entre Hutu et Tutsi, la partie lié à l'enfance marquante de l'auteur est d'une grande intensité, d'un grande justesse et d'une grande sincérité.
Une œuvre mémorable, tout comme le roman dont il s'inspire.
Un tome intéressant à plus d'un titre.
On en apprend un peu plus sur les origines de la machination des pathacelces. Et cela donne un peu plus de consistance à toute cette histoire, qui dans les grandes lignes tient quand même très bien la route.
Sur la deuxième moitié cela s'accélère de manière inattendu pour terminer sur un solide cliffhanger.
Ce n'est pas le meilleur tome de la série dans son écriture mais il a le mérite d'être passionnant de bout en bout.
Si les dessins de Tarquin sont toujours aussi excellents, le scénario est clairement supérieur à tous ceux des tomes précédents. C'est rafraîchissant de variété avec des changements d'environnements et de protagonistes. Arleston nous offre des retournements de situations subtiles et inattendus, pour conclure par une vraie épreuve psychologique pour nos héros à la fin de ce tome.
Cela m'avait ému lors de la première lecture, il y a plus de vingt ans. Et cela m'a de nouveau bouleversé à cette lecture-ci. Un tome de très haute volée dans cet arc narratif.
Un quatrième tome plus accrocheur que les deux précédents, scénaristiquement.
L'humour y est un peu plus poussif et les blagues sont un peu moins efficaces.
Mais cela reste toujours un moment de lecture agréable.
Un tome au scénario plutôt classique. Comme le précédent, on a une impression de déjà vue. Par contre, le final, qui lui est tonitruant, relève l'intérêt pour cet épisode.
Graphiquement, Tarquin, fidèle à lui même, nous régale avec ses dessins truffés de références aux mondes de la BD.
On a de bonnes doses d'humour, dont le duo d'auteurs à le secret.
Bref, un bon Lanfeust qui ne se boude pas
Un deuxième épisode très agréable, mais un sentiment de déjà vu dans une partie du scénario. Cela m'avait moins marqué lors de la première lecture, mais la il faut bien avouer que le principe de la mise à l'épreuve pour "tester" le pouvoir, c'est du réchauffé.
Pour les lecteurs moins exigeants cela restera un moment de lecture plaisant dans tout ce que l'univers de Lanfeust propose de mieux.
Une histoire au préambule des plus intéressants aussi bien dans la forme que dans le fond.
On apprend en lisant les pages de garde que dans un futur proche suite à l'invention et l'usage d'une "super" vitamine dopante intellectuellement, une vague ou une épidémie de sommeil envahit le monde. La moyenne mondiale de sommeil atteint 20h par jour.
La suite du récit, inspiré par un roman de Yann Bécu, nous tient en haleine pendant les 112 pages.
Graphiquement, Trifogli tient bien la route et son coup de crayon met bien en valeur cette histoire palpitante. Plusieurs entités ont un objectif propre qui interfère avec les autres ce qui rend le récit imprévisible.
La fin laisse la place à une suite, même si elle n'est pas nécessaire.
Une belle œuvre, un bon moment de lecture.
Si certains des peuples ou animaux issus de l'imagination foisonnante d'Arleston peuvent susciter un solide intérêt, d'autres vous laisseront complètement indifférent.
Il faut lire ce genre de recueil en acceptant que le potentiel de ce qui y est présenté ne sera jamais utilisé et ça laisse un petit goût de gâchis.
Par contre cela peut être une belle source d'inspiration pour des maîtres de jeu de rôle dans un univers d'heroic fantasy.
Une approche classique d'un hors série comme Arleston a eu l'habitude de produire pour certaines de ses séries phares, notamment Lanfeust.
On y retrouve des cartes du monde, une explication sommaire des us et coutumes de la population par région, le tout parfaitement illustré par l'auteur du premier cycle : Philippe Pellet.
Malgré un travail d'écriture conséquent, il n'y a pas grand chose de passionnant dans l'ensemble, excepté les chapitres : "Démons et rites maléfiques" et "Contes et Légendes".
C'est deux chapitres donnent à l'ouvrage le mérite d'exister. Malgré leur brièveté, on perçoit le talent d'écriture d'Arleston. Ces petites histoires de quelques paragraphes seulement ont ce parfum d'aventure qui ont fait les plus grands succès de cet auteur généreux. Quelques lignes suffisent à nous passionner pour ces histoires qui probablement ne seront jamais développées davantage que dans ce recueil.
Quel talent !
Ma première lecture depuis l'époque où la bd était sortie, c'est à dire il y a plus de 20 ans.
On peut dire que l'ouvrage a bien vieilli.
On y retrouve tous les ingrédients qui ont construit le succès de Lanfeust de Troy. L'humour, l'aventure et un scénario inspiré, le tout illustré avec tout le talent que l'on connaît de Tarquin.
Un ouvrage de tout premier plan dans l'univers de Troy.
Un portrait du crépuscule d'une dictature africaine qui pourrait se dérouler dans n'importe quelle république autoritaire et dictatoriale, même s'il est évident qu'il s'agit du Congo.
Des dessins à première vue naïfs mais qui arrivent à véhiculer des émotions malgré leurs apparentes simplicités. On s'attache rapidement aux protagonistes qui existent dès le début de cette tragédie.
Niveau scénaristique, on est surpris à plusieurs reprises par les tournures très habilement amenées de cette histoire.
Tantôt symbolique, tantôt mystique, cet ouvrage se lit comme un thriller. Un thriller politique dans une ambiance révolutionnaire et anarchique comme l'Afrique subsaharienne en a le secret.
Une très belle réussite.
Un tome divisé en plusieurs histoires.
Plusieurs histoires par le même scénariste mais par des dessinateurs différents.
La première partie, consacrée à Gueule d'argile, est plutôt moyenne. Je n'ai pas accrocher au dessin et le scénario est intéressant en restant plutôt superficiel.
La deuxième partie en étant très originale est vraiment réussie. Avec des dessins soignés, les auteurs nous offrent une histoire touchante avec aucune ligne de dialogue.
La troisième partie, qui sera illustrée par deux dessinateurs différents, sera intéressante sur le fond mais inégal dans les graphismes ceux de Van sciver étant selon moi plus accrocheurs.
Dans ce tome, le chevalier noir est confronté à un vilain emblématique mais rarement mis en lumière : le chapelier fou.
On y découvre un peu plus sur son histoire. Si le tome précédent donnait une idée sur le cheminement pris par l'épouvantail pour développer son "super-pouvoir", on déplorera le manque d'explication sur la manière par laquelle le chapelier contrôle ses "marionnettes" .
Graphiquement, le changement de dessinateur au sein d'un même tome peut être problématique, car l'ambiance s'en trouve un peu altérée.
Un bon cru, malgré les ficelles qui se voient de-ci de-là. Après tout, on ne demande pas à ce style de bd de nous surprendre.
On reste dans la droite lignée de cette série qui aura durée , certes avec des auteurs différents, pas moins de 36 ans. Ce sera également la conclusion de cette série familiale.
Les amateurs ne pourront pas s'empêcher d'avoir le cœur gros en lisant le texte conclusif car se fut une belle aventure que ces 40 tomes de Sammy.
Malgré le problème récurrent des transitions entre les différentes scènes, et malgré le côté très classique de l'intrigue et de la psychologie de notre chevalier masqué, cela reste un tome agréable. Agréable par ses graphismes soignés, et aussi grâce à la mise en avant d'un vilain dont on ne parle pas si souvent que ça : l'Épouvantail.
J'ai apprécié.
Des graphismes assurés et efficaces pour une narration un peu décousue. Je ne sais pas si c'est un problème de traduction, ou s'il me manque des références mais certains dialogues sont incompréhensibles et ne collent pas avec l'intrigue.
Pour le reste, nous sommes face à un Batman classique, rongé par ses tourments et ses doutes. Un tome qui n'apporte pas grand chose à la batverse, si ce n'est le plaisir de voir le chevalier noir se dépasser, une fois de plus, et ce, face à une nouvelle ennemie bien mystérieuse.
Un tome en dessous de ce qui est proposé habituellement. Les dessins ont perdu de leurs textures, le scénario a quelques faiblesses et le tout est vraiment prévisible (plus que d'habitude). Reste quelques rares gags assez efficaces pour rehausser ce tome décevant.
Une clôture qui sans surprendre est bien amenée. On s'attache terriblement à tous ces personnages qu'on a appris à connaître durant ces trois tomes.
On aura eut une histoire agréable, bien raconté avec des dessins intéressants qui contribue grandement à cette ambiance préhistorique. Et en guise de conclusion, un beau message d'humanité.
Aidé par des dessins pétris de personnalité, cette histoire remplie de rebondissements tient en haleine son lecteur. Il n'y a rien de vraiment nouveau, mais l'auteur arrive à nous faire rentrer dans son récit et on en sort que lorsqu'on tourne la dernière page.
A la fin de ce tome, Roudier nous explique pourquoi ses personnages s'expriment dans un français plutôt moderne au lieu d'utiliser des borborygmes.
J'avoue qu'avant d'ouvrir le premier tome, j'avais vraiment peur de me trouver devant une BD où les dialogues seraient des onomatopées laissant le lecteur se raconter sa propre histoire.
Heureusement, il n'en rien. Je trouve même que l'auteur délivre des dialogues intéressants, acceptables et confortables pour le lecteur, même s'ils ne sont pas entièrement crédibles.
Une découverte agréable. Des thèmes connus mais intégrés dans un univers plutôt original.
L'auteur, Emmanuel Roudier, arrive à créer une atmosphère prenante en mêlant un dessin rustique (qui colle parfaitement à l'histoire et l'époque où elle se déroule) et une ambiance mystico-réaliste qui donne tout le sel de cette histoire.
Un épisode classique et rétro pour une série classique et rétro. Dans la lignée de la grande tradition de la bd franco-belge pour public familial, cet album utilise tous les ressorts scénaristiques connus. Le comique de répétition, la structure de la narration simple et accessible, des blagues bonnes enfants ... Rien de grandiose, mais cela reste plaisant pour les amateurs du genre.
Une conclusion inattendue, sans vraiment être originale. Le plaisir de suivre ces différents personnages nous aura mené jusqu'au bout de l'intrigue. Mais il reste un pointe de déception, un goût de trop peu dans le dénouement.
Des personnages originaux et d'autres plus complexes, une intrigue surprenante, ce troisième tome est très plaisant et nous réserve encore quelques belles surprises.
Plus besoin de dire que les dessins sont sublimes.
Ah si, je viens juste de le faire.
Du même niveau que le premier, ce deuxième tome nous offre une intrigue bien balancée et avec des dessins toujours autant soignés. Non avares en rebondissements, les autrices ont le talent d'ammener intelligeament les situations clés du récit.
Aussi bien du point de vue graphique que scénaristique, c'est un vrai plaisir de lecture.
Une belle découverte avec un gros coup de cœur pour les graphismes. Des dessins fins et raffinés au service d'un scénario aux bases classiques mais au chemin particulier. Je me réjouis de lire la suite.
Un scénario original pour cette série bien classique. Les gags sont sympathiques sans être transcendants. Une lecture pour un public bien particulier. Un public de petit et grands enfants nostalgiques.
Un épisode bien différent de ce qui nous a été proposé depuis le début de la série.
On a laissé de côté le style hybride SF / Heroic fantasy pour basculer dans du détective / action.
Il faut l'admettre que c'est plutôt réussi. L'intrigue tiens la route, les personnages restent fidèles à leurs personnalités et les dessins sont fluides et captivants.
Les auteurs laissent la place pour une suite sur le même modèle de scénario.
Pourquoi pas ?
Quelques gags intéressants et un scénario plaisant pour une bd "à l'ancienne" adressé à un public bien différent de celui d'aujourd'hui, si on exclu les nostalgiques !
Une fin de cycle, annoncée en conclusion, qui est plutôt emballante.
Malgrés quelques invraisemblances scénaristiques, quelques manques de fluidités et de liens entre les scènes d'actions (à mon sens un des plus grands défauts des graphismes de Ceyles dans cette série), on appréciera cette aventure plutôt originale et dynamique.
Je ne l'avais pas encore évoqué mais un autre défaut, toujours graphique (toutes mes excuses au dessinateur), est le manque de régularité du visuel des personnages. Les trois protagonistes du premier cycle ont changé plusieurs fois visuellement depuis que Ceyles en dessine les traits. Même si on les reconnaît facilement, cela reste assez dérangeant au fil des tomes.
Une suite qui tient ses promesses au niveau de l'intrigue. Les éléments s'emboîtent parfaitement et le fait que le groupe soit disloqué pendant la narration apporte un supplément de tension qui n'est pas pour me déplaire.
Au niveau graphique, ça souffle le chaud et le froid. Les personnages sont très réussis, mais il y a toujours se manque de fluidité dans l'action. On a l'impression qu'il y a une contrainte, une sorte d'économie dans le nombre de cases, qui rendent les scènes d'action au mieux peu ambitieuses, au pire incompréhensibles. Interpellant.
Ce tome qui donne moins la part belle à l'action, se concentre plus dans une nouvelle mise en place. Une mise en place nécessaire, suite à la conclusion de l'épisode précédent où les cartes ont été redistribuées de manière inattendue et intéressante.
Graphiquement, les dessins sont agréables et les quelques défauts des tomes précédents ont été gommer.
L'intrigue et l'intérêt de la série sont bien relancé.
Une tournure intéressante dans ce chapitre des aventures de Slhoka. On parcourt sans déplaisir ce tome au scénario cohérent avec, il fait bien l'avouer, un petit manque de constance.
Au dessin, on reprochera un manque de fluidité dans les scènes d'action avec des situations pas toujours très claires. Un storyboard mieux travaillé aurait pu gommer ces petits défauts.
L'ensemble reste de bonne facture.
Avec cette conclusion, le tome suivant s'annonce vraiment passionnant.
De nouveau, un album fleuve où les planches les plus sublimes les unes que les autres se succèdent.
Au fil des pages, Ledroit se rapproche de plus en plus de ce monde gothique qu'il connaît et affectionne. Si les graphismes sont irréprochables, les longues tirades qui semblent infinissables alourdissent le récit sans vraiment apporter de la profondeur.
Malgré tout, cela restera un tome de haute volée qui vaut la peine d'être lu.
Un travail peu avare en graphismes d'une qualité incontestable. Ledroit nous régale de ses dessins dont il a le secret. Dans un style qui ne lui ressemble pas trop (le monde contemporain dans un univers réaliste avec quelques touches de fantastiques), il arrive à délivrer des illustrations abasourdissantes.
Évidemment, ce ne serait pas du Ledroit s'il n'y avait pas toute une partie allégorique, adjointe à un texte et une description mystique. Les lecteurs les moins enthousiastes diront que c'est un peu (trop) long.
De mon point de vue, la qualité graphique compense à merveille ce petit défaut.
Une œuvre intense !
Le roman remarquable dont il s'inspire donne une base de travail prodigieuse que Larcenet sublime de son talent graphique. Les dessins sont à couper le souffle. Le travail sur les textures est d'une finesse vertigineuse au regard de la dureté de ce qu'il exprime et met en scène.
Ce récit prenant nous fais traverser une belle palette d'émotions avec très peu de dialogues, du grand Art.
Un récit agréable avec des enjeux intéressants et une évolution qui a le mérite d'être cohérente.
Le dessin a des qualités esthétiques intéressantes, mais manque beaucoup de fluidité dans les scènes d'action. Et certaines scènes sont ratées, par exemple quand l'auteur essaye de suggérer certaines choses par les ombres, ou qu'il place de toutes petites ellipses pendant l'action, ce qui la rend très difficilement lisibles.
Bref un ressenti mi figue mi raisin.
Dix ans après la clôture du premier cycle on retrouve nos héros qui l'ont mal digéré. Passant ainsi du statut de héros à antihéros. Si cela peut sembler intéressant au premier abord, certains personnages deviennent rapidement caricaturaux et excessivement irritants.
Au niveau du dessin et de la mise en scène, cela coince un peu aussi. Certaines scène ne sont pas claires, et certaines ellipses sont très confuses et confusantes.
Cela la dit l'esthétisme des Rhoukes est très réussi !
Au niveau du scénario, il y a quand même les prémices de quelques choses de passionnant. Reste à voir la suite.
Un cycle qui se cloture avec un nouveau dessinateur, et c'est très particulier.
Le scénario est plutôt solide, mais l'histoire a du mal à prendre de l'ampleur.
Ayant la version améliorée avec les planches de Floch en noire et blanc, j'ai pu me laisser aller au jeu des comparaisons.
Si le dessin de Floch est plus précis, plus travaillé, celui de Ceyles à des angles et une mise en place plus intéressants. Le mélange des deux visions aurait donné un résultat supérieur à la somme des deux parties.
Cela reste une bonne série, mais un cran en dessous des plus grands titres du genre.