Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
Copyright © 1998-2024 Home Solutions
• CGU Site
• CGU Logiciel
• CGV
• Cookies
• Design by Home Solutions
Page générée le 17/04/2024 à 23:55:26 en 0.0288 sec
Le graphisme de Dany ne colle pas vraiment à l'ambiance du récit. Mais la mise en abîme (le personnage principal est un dessinateur qui s'appelle Dan) est plutôt intéressante. On finit par se prendre au jeu au fil de l'intrigue.
L'histoire rejoint sur certains points ce qui a été raconté dans les tomes précédents. On y retrouve des éléments du Dracula de Bram Stoker, et certaines références historiques sur Vlad l'empaleur.
Pour conclure, ce tryptique est très hétérogène aussi bien dans le fond que la forme.
Je ne suis pas convaincu que les fans du monde des vampires y trouvent leurs comptes.
Ce deuxième tome bien différent du premier, nous présente la biographie de Bram Stoker, le créateur du Dracula (le classique de la littérature) ainsi que de l'imagerie derrière ce vampire aussi raffiné que dangereux.
A l'aide de ses graphismes singuliers, Séra nous illustre la vie ainsi que la création de l'œuvre principale d'un auteur au parcours assez inattendu. A la lumière de ce récit, le processus de création est particulièrement intéressant et on se rend compte qu'à peu de chose près, toute la mythologie des vampires aurait pu ne jamais exister.
Malgré tout cela reste une lecture exigeante, qui ne plaira pas à tout un chacun.
Nous sommes face à un récit historique, racontant les origines de Dracula (le chevalier du dragon), et de ses vicissitudes des luttes pour le trône de Valachie.
Enfin, le mot récit est un peu flatteur. Les scènes se succèdent dans un soucis de vérité historique mais avec très peu d'âme et l'intérêt diminue au fil des pages.
Même si en clôture de la bd, Yves Huppen nous explique qu'il a pris quelques libertés historiques pour fluidifier le récit, il faut avouer que ce n'est pas suffisant.
Peut-être que la volonté de narrer toute la vie de Vlad l'empaleur sur un tome était un peu trop ambitieux. Il aurait peut-être fallu se focaliser sur une partie (la plus sanglante, pour rester dans le thème) du récit, et romancer un peu plus l'histoire pour avoir une œuvre plus palpitante.
Graphiquement, j'ai du mal à accrocher au dessin d'Hermann Huppen. S'il y a un travail intéressant sur la partie architecturale, les personnages sont assez inégaux.
L'ensemble donne une œuvre plutôt décevante. Dommage, car le sujet était prometteur.
Une deuxième partie dans la parfaite lignée de la première. Le dessin de Perger colle parfaitement à l'ambiance de ce polar gothique et le jeu des couleurs est remarquable. Scénaristiquement également on est dans le même type de récit. Seulement, les deux épisodes n'ont que très peu de liens entre eux, hormis l'équipe d'enquêteurs.
Un diptyque à l'ambiance réussie qui vaut la peine d'être lu.
Les auteurs nous plongent dans ce Londres du début de XIX ème siècle, où un enquêteur de Scotland Yard mis sur une voie de garage se voit obliger de faire équipe avec des personnages singuliers pour capturer deux fous dangereux.
Le scénario est assez rapide et directe mais très prenant.
Les magnifiques dessins teintés de finesse donnent une ambiance très réussi.
La mise en page est parfois hasardeuse et on doit relire, un ou deux fois, pour bien comprendre les intentions des auteurs.
De manière générale la première partie se ce diptyque est très intéressante.
Si le tome précédent était intense, celui ci ne l'est pas moins. A l'heure où la pugnacité du "petit juge de Melun" commence à porter ses fruits, on ne peut pas s'empêcher d'avoir de la compassion pour sa cible. Mi-héros mi-monstre, l'acharnement qu'on lui porte peut paraître disproportionné dans le temps.
Comme depuis le début de la série, les dessins et la mise en page sont très soignés. Le scénario est très bien servi par cette histoire pationnante et exceptionnelle.
La combinaison de tout ça donne une fin et une série très réussie.
Ce tome fait la jonction entre la narration chronologique des tomes 2,3 et 4 et une partie du tome 1. On comprend mieux l'intrigue divisée sur trois lignes du temps de ce dernier. L'imbrication entre deux parties du tome 1 et la suite du tome 4 est réalisée avec maestria. On sent bien le travail derrière ce patchwork.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est un tome assez intense. Les choix du personnage principal le rattrapent de manière dramatique. Il est connu que le crime ne paie pas, et quand on met le doigt dans l'engrenage du crime organisé il n'y a plus de retour possible.
Le dessin est toujours au niveau et l'histoire est pationnante.
Il y a quelques planches qui sortent du lot, à l'instar du thème de la couverture de la série !
Dans ce 4ème tome, le personnage continue son double jeu, sans aucune ambiguïté pour le lecteur. C'est plutôt redondant par rapport au tome précédent, même si cette fois-ci, c'est face aux resistants qu'il doit se défendre.
Un tome tout à fait dispensable par rapport à ce qui a été produit jusqu'ici.
La recette n'a pas vraiment changé depuis le début, mais le résultat est toujours aussi savoureux.
Un humour tranchant avec des vus d'esprit qui à certains moments frôlent le génie.
Le seul reproche qu'on pourrait avoir, c'est la vitesse à la quelle on finit la bd. C'est frustrant au possible. A contrario, je ne suis pas sûr qu'en doublant la quantité on ne fasse pas une indigestion.
Pour les amateurs d'humour absurde et anti-politiquement correct.
Alors que vent semble tourner et que l'occupation allemande d'une partie de la France commence à s'effriter, Joseph Joanovici joue au funambule en travaillant sur les deux tableaux.
D'un côté en collaborant avec l'occupant pour pouvoir continuer à faire de l'argent, ou tout simplement éviter que ses origines juives ne soient un problème.
De l'autre en soutenant la résistance et le FFI, essayant de se racheter toutes ces années où il a fait fortune en aidant et en volant les nazis.
Sur base d'un scénario solide, les auteurs nous partagent la complexité de ce personnage charismatique, et la complexité de sa situation dans un environnement aussi hostile que peut-être l'occupation nazie.
Au niveau graphique, si le dessin est de bonne facture, on pourra toute fois reprocher que certains personnages se ressemblent et d'autres ne sont pas rapidement reconnaissables (et il faut repartir plusieurs pages en arrière pour être sûre de qui il s'agit).
Mais dans l'ensemble cela reste terriblement passionnant.
Deuxième tome racontant de manière romancée l'histoire de se personnage si singulier. On abandonne la structure du tome précédent sur plusieurs lignes du temps, pour passer à une succession de scènes courtes qui débutent à l'invasion de la France par l'Allemagne.
On y retrouve, une nouvelle fois, toute la complexité de notre "anti" héros. Tantôt flirtant avec la collaboration, tantôt sabotant la fourniture de métaux, ce diable d'opportuniste de Joanovici, retors à plus d'un titre, est passionnant.
Une histoire pationnante pour un personnage qui l'est tout autant.
Le schéma narratif, avec trois (ou quatre) ligne du temps, est parfaitement maîtrisé. Cela donne beaucoup de profondeur et de complexité à ce Mr Jospeh.
Le dessin est bon sans être époustouflant, mais avec assez de personnalité pour que la série ait une identité propre.
Ce début de série est plutôt prometteur, même si on a l'impression de déjà voir le chemin que vont emprunter les auteurs.
Si la structure narrative n'est plus vraiment surprenante, il reste malgré tout des grandes qualités graphiques et des scènes d'actions très bien travaillées.
Niveau scénaristique, cela fait longtemps qu'on a plus des arcs narratifs construits sur plusieurs diptyques, ce qui donne une histoire qui ne nous surprend plus vraiment.
Évidemment, le côté chevalier blanc de l'aventurier milliardaire peut paraître un peu niais mais cela reste cohérent avec l'image qu'il véhicule depuis le début de la BD.
Pour conclure, un tome qui ne dénote pas, avec les qualités mais aussi les défauts qui ont fait la réputation de la série. La surprise en moins.
Une fin bien construite, même si les plus critiques diront que les auteurs trempent au final dans la mièvrerie qu'ils se sont plus à moquer durant toute la série. Une fin qui était prévue, depuis le premier tome de ce second cycle, si on en croit tous les "fusils de Tchekhov" qui ont été dispersés le long de tous ces tomes.
Une fois de plus, on prend beaucoup de plaisir en lisant la caricature de ce monde chevaleresque.
Graphiquement je tenais à souligner le travaille remarquable de Maïorana sur la page d'introduction. Mis en page qu'il applique depuis le premier tome.
Une série, qui sans se prendre au sérieux, joue des clichés de contes pour enfants pour nous servir une vision satirique de l'humanité et de ses grandes contradictions.
On s'amuse des situations grotesques que cette naïve grenouille incarnée dans le corps un prince charmant déclenche à tour de bras. Secondé par un prince pas si charmant que ça, lui incarné dans le corps d'une grenouille, Garulfo sème la zizanie dans ce royaume qui semblait si ennuyant avant sa venue.
On peut y voir une satire de tous les récits de chevalier.
Les graphismes servent parfaitement la partie comique de la série.
C'est un régal.
Ce deuxième épisode du deuxième cycle est vraiment intéressant. Mêlant humour et références aux contes pour enfants, il arrive avec beaucoup d'intelligence à nous faire vivre les mésaventures de cette naïve grenouille obligée d'évoluer au sein de cette société humaine décrite avec la plume des plus sarcastiques d'Ayroles.
Le talent graphique de Maïorana, très efficace, rend l'aventure plus drôle et plus profonde à la fois.
Une histoire sympathique, quelques références sur le monde de l'heroic fantasy (Tolkien, His dark material, ...), deux, trois clins d'œil sur le monde des festivals, deux, trois cases érotiques soft (dont Barbucci a le secret) et on a résumé ce tome.
Pour ma part, je trouve que cette série manque cruellement de fil conducteur et de profondeur. Il n'y pas de trame de fond, qui relie tous les épisodes entre eux. Par conséquent, ce sont des histoires, moins intenses, moins immersives, et qui au final s'oublient presque aussi vite qu'on les a lues.
Disons que ce sont des albums sympathiques à picorer de temps à autre, mais ce n'est clairement pas une série qui marquera. Ce qui est bien dommage, par ce que ce monde sorti de l'imagination remarquable d'Arleston méritait tellement mieux.
On se demandait bien comment Ayrolles allait réussir à faire revenir sa grenouille Garulfo, alors que la conclusion du tome précédent semblait bien définitive.
Hé bien , c'est par pirouette bien pensée que ce tour de force a eu lieu. Même si on sent que ce n'était pas le plan initial de l'auteur.
Le trait de plus en plus sûr de Maiorana met magnifiquement en scène ce troisième tome. La serie n'a rien perdu de son humour, et l'histoire tient bien la route.
Les auteurs mettent en place les nouveaux personnages, sans abandonner les précédents. Les plus avertis verront quelques ficelles scénaristiques dépassées.
Mais ne boudons pas notre plaisir, cela reste un moment de lecture agréable !
Un deuxième tome qui semble fort conclusif.
Cette satire social aux accents burlesques est une nouvelle fois très juste. L'humour présent du début à la fin, donne toute sa personnalité à l'œuvre.
On pourra reprocher, le côté "tout est bien qui finit bien" en fin de tome, qui rend le propos un peu plus convenu.
Il y aura bien 4 tomes supplémentaires, reste à voir ce que les auteurs peuvent encore nous raconter et qu'elles excuses ils trouveront pour relancer la série.
Malgré son côté antipathique, probablement dû à son côté hautain et sûr de lui, son côté naïf et premier degré fait qu'on s'attache à ce personnage : Garulfo.
L'écriture très raffiné de Ayrolles fait mouche dès le début de ce récit. On prend un plaisir de lecture propre à cet auteur dans ces situations grotesques et d'humour jubilatoire.
Le dessin de Maïorana n'est pas en reste. Le style singulier et un peu daté (sortie du premier volume en 1995 ), renforce le côté drôle des situations.
Une fois qu'on rentre dans ce compte de "la princesse et la grenouille" revisité à la sauce satirique, on en sort plus.
Sur le fond, c'est un ouvrage très intéressant. Pour les incultes (dont je fais partie) de ce domaine c'est particulièrement instructif.
Dans la forme cela coince un peu plus. Le dessin n'apporte pas grand chose, si ce n'est une mise en situation à travers les âges. Les petites remarques sur le ton humoristiques ne fonctionnent pas du tout.
La où le fabuleux "Le monde sans fin" (sur un autre sujet, mais que je conseille ardemment) arrivait avec un point de vue et une analyse pointue et perspicace, cet ouvrage-ci donne surtout l'impression d'une succession de faits historiques sans analyse en profondeur, alors que le sujet est particulièrement passionnant.
Les auteurs abordent suffisamment le sujet pour nous intéresser mais pas suffisamment que pour nous donner les clés pour comprendre en profondeur le système financier.
Pour conclure, on est plus devant une chronologie qu'une analyse du monde financier, ce qui est bien dommage.
Cet album ne se lit pas, il se devore.
Les dessins sont impeccables, le scénario et le sequencage digne des meilleurs thriller sont très accrocheurs.
On est tellement pris dans l'intrigue, que les dernières pages se lisent avec une vitesse crescendo tellement la tension monte et tant on attend la conclusion. Conclusion qui, évidemment, nous laisse en pleine frustration et nous donne envie d'une seule chose : avoir accès à la suite le plus vite possible !
Bref, on ne lâche pas la bd avant la dernière page.
Encore une réussite totale.
Un livre remarquable tant par ses graphismes que par sa narration.
Graphiquement le jeu des textures et des couleurs est tout simplement étourdissant. Le dessin qu'on qualifiera d'original et à forte personnalité se marie parfaitement au propos de l'histoire.
Quant à l'histoire, si elle semble assez banale au début, elle arrive à nous surprendre par les nombreux intervenants qui ont chacun un but, un combat à mener. Combats qui ne sont pas forcément compatibles les uns avec les autres.
Sans compter les quelques rebondissements bien sentis.
Une très belle œuvre !
Graphiquement toujours excellent, ce tome me laisse un peu pantois.
Dès le début, on évacue une partie de l'intrigue qui était le Cliffhanger de l'épisode précédent pour le remplacer en trois cases (et c'est à peine caricatural) par une nouvelle menace.
Deuxièmement, dans le dernier tiers de l'ouvrage, il y a des ellipses qui rendent la narration très difficile à suivre et qui donnent une accélération un peu folle à l'histoire.
Troisièmement, l'évolution psychologique du personnage principal, que l'ont suit depuis 11 tomes maintenant, est totalement chaotique. On sait bien qu'il a l'âme solitaire. Mais sur un tome, il change d'avis comme on change d'armure ou de destrier.
La grande scène de combat final est très mal storybordée, on ne comprend que très mal ce qu'il se passe.
Ajoutons à cela, la conclusion expéditive de tous ces personnages pour lesquels il a fallu plusieurs tomes pour en dessiner les contours, et vous obtenez un tome raté, en dessous de tous ce qui a été proposé jusqu'ici.
Tout ça me donne le sentiment d'un travail bâclé. Comme si l'intrigue était prévue en plusieurs tomes, et qu'il a fallu (pour d'obscures raisons) raccourcir au maximum.
Un tome qui pourrait fâcher certains fans de la série.
On peut parler ici, d'un début de troisième cycle. On retrouve Tristan de Halsbourg, avec son fils spirituel Abel , embarqué dans une bien sordide histoire. A l'autre bout du vieux continent, on découvre la vie du frère Aeldred et ses états d'âmes vis à vis de l'Eglise et du manque de justice sociale.
Après les deux cycles précédents aux enjeux conséquents, ce nouvel épisode a du mal à démarrer. Si la narration est bien ficelé, l'histoire prend difficilement de la hauteur probablement du à la lente mise en place des nouveaux personnages.
Malgré le dessin très réussi, un album peu emballant mais qui pose les bases d'un cycle avec du potentiel.
Un nouveau tome sans baisse de régime ni dans le dessin, ni dans l'évolution du récit.
Cela reste un histoire plaisante qui a le mérite d'être cohérent et bien rythmée même si les thèmes ne sont pas étourdissant d'originalité.
Un très bel opus qui porte bien son nom, De mains de femmes.
Il porte bien son nom parce qu'il met en avant trois femmes aux profils différents, mais qui vont être décisives dans cette histoire qui se déroule en trois lieux différents.
C'est trois femmes laissant aux hommes la place de faire valoir durant toute la narration.
Le dessin est toujours aussi beau même si dans certaines scènes cela manque un peu de dynamisme, spécialement les scènes de combats.
L'écriture rythmée et accrocheuse ne nous lâche pas jusqu'à la fin du récit.
Belle confirmation pour la nouvelle paire (ou trio) d'auteurs.
Yves Swolfs passe la main aussi bien pour le dessin que pour le scénario.
Le dessin sera repris par un très talentueux Stéphane Collignon. Si le style change, la finesse du trait de Collignon est remarquable et à l'esthétisme assuré.
Du côté du scénario on retrouve Ange, le duo qui a déjà pas mal de bouteille et qui ne déçoit pas dans ce premier opus post-Swolfs. La mise en route n'est pas trop mal et l'évolution de la narration est assez prenante. On laisse de côté la partie mystique pour se concentrer sur une narration plus politique.
Une bonne entrée en matière pour cette nouvelle équipe !
Il y a pas à dire, Diaz Canales et Guarnido savent faire du polar.
Un polar qui, dans cette deuxième partie, garde une forme très classique. Avec cette voix off qui commente philosophiquement les événements, on retrouve les bases du polar américain et donne un côté très cinématographique.
Emmené par plusieurs mises en scène magistrales, des cases aux dessins chaleureusement élégants, les auteurs nous réservent quelques belles surprises.
Un tome qui conclue intelligemment ce diptyque.
Un tome de transition où on explore la partie mystique de cette série.
On se plaît à suivre cette histoire remplie de référence aux contes et enrobée symbolisme.
Ce tome n'a pas d'autre prétention que d'approfondir la personnalité de Tristan et d'en apprendre un peu plus sur sa jeunesse.
Certains passages sont plutôt choquant, mais l'ensemble est assez plaisant.
Je trouve Tristan (et l'auteur) assez sévère avec son père adoptif au moment de la conclusion de ce récit.
Fin du premier cycles qui a mis du temps à se mettre en place mais qui, sur la fin, a su être accrocheur.
Si dans ce dernier tome les dessins sont bien travaillés, cela manque cruellement de chorégraphies et de mouvements, spécialement dans les combats.
On ne sera pas du tout surpris par une fin très classique pour une histoire qui l'est tout au tant.
Un tome un peu plus nerveux et rythmé, de part sa construction et par notre intérêt, qui a mis quelques épisodes à se mettre en place, pour les protagonistes . Yves Swolfs nous réserve quelques belles surprises dans cet épisode, d'un point de vue scénaristique essentiellement. Ainsi que quelques non-surprises, ces révélations mal amenés qu'on avait deviné depuis le tout début de l'histoire.
Graphiquement, on est devant un travail sérieux et de bonne facture.
Pour la première fois depuis le début de cette histoire, on a envie d'avoir la suite.
Voici l'ultime volet du deuxième cycle de ce madmax à la sauce anthropomorphe.
On sentait la tension à son paroxysme à la fin du tome précédent, et cela promettait une suite explosive. Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'auteur reste cohérent.
Soutenu par un talent graphique spectaculaire, et par des cases affolantes par ses détails, cet épisode se veut philosophiques. Une fois la partie violente, riche en membres sectionnés et en hémoglobines déversées, achevée l'auteur nous commente l'importance de la mémoire et des écris pour sauvez l'Humanité ou pour du moins la reconstruire.
Une œuvre qui mérite pour plus d'une raison que l'on s'y attarde.
Un tome un peu plus nerveux avec une intrigue un peu plus prenante. Malgré une invraisemblance scénaristique assez grossière, on a un peu de mieux dans ce récit retraçant l'histoire de Tristan de Halsbourg, le chevalier errant.
On reste sur la lancée du tome précédent. Pas grand chose d'original ou d'excitant à part le dessin de Swolfs qui donnent toute la personnalité de la bd.
Une mise en place plutôt classique pour une histoire qui semble l'être tout autant. On sent que l'auteur prend son temps pour mettre en place son histoire.
Les graphismes plutôt intéressant rajoutent de l'intérêt à cette œuvre.
J'ai pris le temps de relire les trois premiers tomes pour être sûr de bien me remettre les enjeux de cette série en tête. Et je dois bien avouer, que le scénario général est remarquablement écrit et armé d'une cohérence qui force le respect.
Avec le recul, je trouve aussi que les graphismes ne sont pas si qualitativement réguliers, mais ça ne gâche rien à la serie.
Parlons un peu de ce tome ultime de cette série qui mérite sa place dans toutes bédéthèques qui se respectent.
S'il reste encore quelques zones d'ombres sur ce monde post-apocalyptique au début de cet épisode, les auteurs nous réservent quelques revirement de situations et une fin qui est somme toute très satisfaisante.
On regrettera de devoir abandonner ce monde passionnant qui avait encore tellement à nous raconter sur la nature humaine.
Deuxième tome un peu plus resserré dans l'intrigue, mais tellement pationnant. Captivé par de belles trouvailles pour rythmer les flash-back de ces personnages si charismatiques, on prend beaucoup de plaisir à parcourir ce thriller Aztèque.
L'auteur nous tiens en haleine tout le long de ces 108 pages, et on est bien embêter de devoir arrêter jusqu'au tome suivant.
Il n'y a rien à rajouter, c'est un travail remarquable !
La civilisation Aztèques est une civilisation plutôt peu abordée par le monde de la bd, au point d'avoir un manque de repères suffisant pour rendre cette histoire rafraîchissante. Il y a également le talent d'Hub et des ses collaborateurs pour nous embarquer dans ce thriller se déroulant dans la période précolombienne.
Ce premier tome prolifique, nous delivre une histoire pationnante tant par son scénario que par ses personnages.
Graphiquement, on est pas en reste. L'auteur de Okko nous régale de ses dessins si bien travaillé. Autant les décors que les personnages aux personnalités fortes sont une totale réussite !
Une belle critique du milieu hollywoodien par le point de vue de gueule d'argile. Même si le destin des jeunes artistes en quête de célébrité arrivant à L.A est quelque-chose de plutôt connu, les auteurs nous donnent un point de vue intéressant et teinté de la névrose du vilain de l'histoire.
Aussi bien graphiquement que scénaristiquement, un tout bon tome de cette série à one shot.
Cette nouvelle approche originale du monde en plein effondrement zombiesque, nous emmène au Japon. On a petit aperçu de Tokyo qui subit les assauts des zombies, pour arriver dans l'autre archétype du Japon : le village perdu dans la montagne.
Si le personnage principal, nous rappelle le précèdant dans sa détermination et son intelligence au dessus de la norme, sa destinée et bien supérieure. Entre ses mains, il n'a pas la vie d'un petit groupe de survivants, mais bien celui de l'Humanité. Rien que ça.
Notre personnage au déficit d'empathie et au complexe de supériorité, trouvera-t-il la solution pour sauver l'Humanité. Ou bien, en laissant de côté la morale et la déontologie n'est-il pas occupé à lui asséner le coup de grâce.
Un scénario "aux petits oignons" de Peru accompagné d'un dessin bien rythmé de Bervas qui en font un véritable page-turner.
Ce nouvel épisode de cette série à one-shot se déroule dans une autre capitale européenne. Alors que le précédent débutait à Paris, celui-ci se déroulera à Stockholm. La mise en abime du début de l'histoire est plutôt cocasse.
Olivier Peru nous gratifie de scènes au découpage efficace et arrive à nous accrocher à ce récit au scénario original.
Les personnages passionnants dessinés avec beaucoup de talents par Arnaud Boudoiron , nous font découvrir sous un nouvel angle l'effondrement de l'humanité envahi par les Zombies.
Un très bon album.
La conclusion d'un conte japonais, dont on ne maîtrise pas totalement les codes. On sent indéniablement les inspirations japonaises, et la mise en scène à un parfum de cinéma asiatique. Le tout est rapidement expédié de façon à laisser les personnages dans une posture idéalisée, sans leur laisser gagner de la profondeur.
Ce récit sans être mauvais ne m'aura pas vraiment marqué.
Aidé d'un dessin avec beaucoup de personnalité, ce tome s'intéresse au point de vue de l'Elysée. On y retrouve Hollande occupé à gérer cette crise inédite. Le scénario prendra très vite des chemins de traverse.
La suite, sans être d'une originalité ébouriffante reste néanmoins intéressante et a le mérite de montrer un point de vue européen sur cette pandémie fictionnelle.
Une lecture agréable, si on aime le genre.
Une prise en charge efficace de ce vilain emblématique aux accents écologiques. Autant graphiquement que scénaristiquement c'est du solide. Et on prend beaucoup de plaisir à regarder le chevalier noir combattre son "beau père".
Une belle réussite.
La mise en scène intéressante et originale permet d'approfondir notre connaissance du héros masculin et de celle qui devrait être le héros féminin.
Graphiquement cela reste un peu trop lisse à mon goût.
Le recit commence enfin à prendre de la vitesse et à attraper le rythme qu'on attend dans ce type de récit. On garde le sentiment que cette histoire aurait pu tenir en un tome.
Les qualités que l'auteur a su développer dans le premier tome sont toujours présents dans le deuxième. Les vignettes qui telles des photos immortalisent une époque, une ambiance sont d'une beauté saisissante.
On appréciera le petit clin d'œil aux fans qui remarqueront le lien avec les autres séries. D'ailleurs plusieurs liens font le pont en entre ses trois séries du New-york d'entre deux guerres.
Quelle plaisir de retrouver la pate de Mickael, qui n'est jamais aussi bon que quand il nous décrit un de ses sujets favoris ( y en a-t-il d'autre?), le New-York du début du siècle passé.
Le talent pour dépeindre en quelques vignettes, l'ambiance et l'esprit d'une époque est tout simplement remarquable. Les graphismes sont magnifiques et on s'immerge rapidement dans ce quartier noir du New-york en pleine grande dépression.
Par contre au niveau du scénario et de l'histoire, on patine un peu. Le récit n'avance pas très vite et les protagonistes tournent un peu rond au lieu d'agir.
On jugera définitivement sur les 2 tomes, mais l'enthousiasme bien présent dans les deux séries précédentes n'est pas (encore ?) au rendez-vous.
Teintée d'un humour très moderne tirant régulièrement sur le manga, les auteurs revisitent la légende d'Arthur. Ou plutôt l'après Arthur.
Ce conte féministe, par moment dur, nous raconte une histoire intéressante à l'humour efficace.
Si le dessin donne l'impression de s'adresser à un publique jeune, le contenu mérite qu'on accompagne la lecture, et je le déconseillerais à des enfants de moins de 12 ans.
Nous continuons à suivre les personnages principaux du premier tome, et on se laisse guider de situation en situation sans vraiment lâcher l'intrigue. On y verra quelques influences du style du film "tigre et dragon" dans le côté aérien de l'action.
L'histoire est sympathique, sans plus.
Les graphismes sont pas mal, sans plus.
Graphiquement, je n'ai pas été charmé.
Mais la mise en place de cet album a ce parfum d'exotisme et énigmatique qui vous pousse à continuer à lire. Ensuite, les enchaînements bien rythmé vous mèneront jusqu'au bout de ce premier tome de bonne facture.
Un tome très intéressant, à confirmer !
Des dessins saisissants service d'un univers incroyable. Ce troisième tome est réellement intrigant tellement l'auteur nous balade d'une situation à l'autre.
Si le scénario est bien ficelé, on aura quand même la frustration de ne maîtriser aucun code de ce monde si particulier.
Magnifique !
Même si certaines révélations sont prévisibles, la narration reste très efficaces et arrivent à nous faire passer par une belle palette d'émotions plus intenses les une que les autres.
Emotions soutenues par un dessin magnifique aux couleurs pastelles rajoutant un supplément d'âme et d'émotion.
Assurément, une des œuvres les plus solides de Mickael .
Une conclusion quelque peu convenue, pour un récit assez classique.
Si les graphismes restent solides, le scénario nous surprend trop rarement.
On est malgré tout devant un album réussi, mais avec un petit goût de trop peu scénaristiquement.
Un scénario à rebondissements, qui tient la route dans ce western plutôt classique. Le passé de Jonas le rattrape une fois de plus, mais cette fois-ci c'est une autre partie de sa vie qui est impliquée. Ses principes, c'est tout ce qu'il lui reste et même ça il est sur le point de le perdre. Un bon tome qui graphiquement est toujours à la hauteur de nos attentes.
L'ambiance tendu de ce western est à la hauteur de la profondeur de ses personnages. Si les "héros" sont charismatiques que dire du méchant. Les auteurs arrivent à créer le malaise autour de ce médecin au double visage. Le machiavélisme déroutant de ce personnage est une réelle réussite, rendant cette histoire très originale.
Au niveau des graphismes, c'est toujours de très bonne facture, sans baisse de régime.
On ne pouvait pas y couper, il devait y avoir une parenthèse sur la mauvaise journée de la "vilaine" la plus sensuelle du batvers.
Les graphismes, si on ne prête pas trop attention aux couleurs, sont assez plaisants et dynamiques.
Le scénario est intéressant malgré un format qui ne permet pas de creuser plus les situations et les personnages. Au final, il n'y pas non plus de la nouvelle matière pour étoffer le lore de la féline cambrioleuse.
C'est une demi déception.
On reprend nos personnages, presque là où on les avait laissé. La gloire et la fortune ne leur sourient toujours pas, mais est ce vraiment ce qu'ils recherchent ?
Au moment où la chance semble enfin leurs sourire, le passé Jonas les rattrape et les voilà lancés dans une sorte de chasse à l'homme.
On se plaît à découvrir des bribes du passé de ce croque-mort haut en couleurs et les auteurs parviennent à mettre de l'intensité avec des éléments de scénario qui dans d'autres bandes dessinées ne seraient que des détails sans importance.
Graphiquement toujours aussi efficace et le pouvoir de suggestion atteint à certains moments la perfection.
Un excellent tome.
Un deuxième tome qui clôture l'intrigue du premier qui nous avait laissé en plein Cliffhanger.
Si les bases du scénario étaient originales et intéressantes, le final l'est nettement moins. Ça n'enlève rien au mérite des auteurs qui ont su conserver le suspens et des surprises tout au long de ce "diptyque".
Les dessins séduisants et les personnages charismatiques nous offrent une série avec énormément de potentiel
Une lecture agréable que ce western original. Ce n'est pas courant d'avoir comme personnage principal un croque-mort.
Les dessins au style caractéristique donnent une ambiance digne des meilleurs westerns spaghettis, en mettant en scène un scénario des plus intéressants.
C'est une agréable découverte, en espérant que la série tienne toute ses promesses.
Du Fabcaro comme on l'aime, décalé, absurde, critique et incisif.
Peut être, un peu trop court. Car quand c'est bon, il y en a jamais assez.
Après plusieurs tomes gargantuesques, on pourrait être surpris par le petit format de ce tome conclusif.
Il n'y a pas grand chose à rajouter par rapport aux épisodes précédents, les qualités et les défauts sont identiques depuis le début de l'aventure.
Du côté positif : une approche accessible au niveau familiale, qui explique de manière simple et concrète la souffrance et les difficultés des civils sous l'occupation allemande.
De l'humour, par pincées, aussi bien visuel que situationnel.
Du côté négatif : un personnage principal candide et naïf frisant la caricature.
On appréciera le fait que rien ne sera laissé en suspens et que tout les dossiers sont clôturer à la fin de ce tome.
Cela restera un moment de lecture agréable et didactique.
L'auteur nous gratifie d'un ouvrage pléthorique (plus d'une centaine de pages).
L'humour se fait plus rare dans le paysage narratif de ce tome, mais la naïveté de Spirou est toujours intacte. Ce qui paraît étonnant quand on voit tout ce que ce pauvre bougre doit subir depuis le début de la guerre.
J'imagine que cette naïveté va de pair avec la bienveillance et la gentillesse de notre jeune héros.
Cela reste agréable à lire, mais cela s'adresse définitivement à un jeune public
Un opus qui se démarque nettement des tomes précédents. On a baissé légèrement le curseur du côté bourrin et on a poussé un peu plus haut celui de la psychologie glauque. Et ça fonctionne.
On appréciera les graphismes soignés de ce "one shot" aux bases scénaristiques originales, en regard de ces prédécesseurs.
Le début du récit est très réussi et la mise en scène est remarquable.
On retrouve un Bane en fin de course et rangé de la vie de malfrat.
La psychologie complexe lié à l'enfance particulière de ce vilain trace la trame de ce récit. Son combat contre ses démons et ses poisons sont passionnants.
On ne parle pas beaucoup de Batman et c'est normal, ce n'est pas lui de le centre de l'histoire.
On appréciera des graphismes entrainants pour un traitement intéressant d'un des personnages les plus emblématiques de l'univers Batman.
Si Mr Freeze est un personnage atypique de l'univers de Batman et sa psychologie particulière et originale, les auteurs ont du mal à donner du relief dans cette "mauvaise journée". Quelques touches d'humour sont présentes ce qui est plutôt inhabituel pour les aventures du chevalier noir .
Sans être mauvais, l'histoire a du mal à prendre de l'ampleur et se termine sans trop de vagues.
Au niveau du dessin, un travail sérieux qui donne une certaine personnalité à ce tome plutôt moyen.
C'est au tour du pingouin d'être épinglé dans cette série.
Les graphismes sont de bonnes factures et l'histoire a le mérite de montrer la vie pas si simple des vilains.
Un scénario assez rectiligne où on découvre un petit plus Cobbelpot, la façon dont il s'est construit et la façon dont il se reconstruit.
Un tome réussi.
Nouveau chapitre de cette série "concept" où on illustre une journée pivot de l'existence des vilains emblématiques de l'univers de Batman.
J'ai trouvé ce tome beaucoup moins convainquant que le précédent. Autant au niveau graphique qu'au niveau de la narration le travail reste anecdotique et quelconque.
Je n'ai pas retrouvé le plaisir du premier tome.
Comme chaque épisode est traité par des auteurs différents, espérons que les suivants ne manqueront pas d'inspiration.
Un one shot qui se concentre E. Nigma.
Les auteurs nous dévoilent une partie de l'histoire du Sphinx avant qu'il ne bascule dans sa folie mortifére.
Les graphismes sont élégants et convainquants et le scénario est plutôt intéressant.
On pourra néanmoins reprocher une fin suggérée qui laisse place à beaucoup d'interprétation. Et si la situation semblait inextricable, notre sombre héros règle tout en quelques cases.
Malgré tout ça, le plaisir de lecture est bien présent.
A l'aide d'un scénario plus cohérent, les aventures de Spirou pendant la 2ème guerre mondiale se poursuivent. La candeur de notre personnage principal est en parfaite opposition à l'ignominie qui l'entoure. L'auteur arrive à retranscrire des faits historiques, à les mettre en situation et à les dénoncer de manière accessible aux plus jeunes.
Le côté un peu trop naïf des situations pourrait néanmoins déplaire aux lecteurs plus aguerris.
On retrouve quelques doses d'humour bien senties où le talent graphique de l'auteur ne vous épargnera pas quelques rires francs.
Comme le premier tome, une histoire familiale qui le mérite de mettre à la portée de tous les épreuves difficiles vécues par une partie de la population bruxelloise, pendant l'occupation allemande.
N'étant pas un connaisseur des aventures de Spirou, il est difficile d'avoir une idée sur la place de cet épisode dans l'ensemble de la série.
On retrouve Spirou et Fantasio à la veille de l'envahissement de la Belgique par l'Allemagne nazie.
Teintée de naïveté cette œuvre se veut didactique sur les conditions de vie des belges, et plus particulièrement des bruxellois, lors du début de la deuxième guerre mondiale.
Rempli de bienveillance, notre jeune Spirou essaye tant bien que mal de venir en aide à toute personne dans le besoin croisant son chemin, tout en évitant les menaces qui se posent sur son parcours.
A l'aide un humour accessible et inoffensif, Émile Bravo, arrive à nous poser les problèmes concrets de la vie de cette époque là.
Je peux reprocher au scénario d'être plutôt décousu, un peu à la manière des bd d'après guerre (tiens, tiens). Le fil conducteur étant surtout l'entrée en guerre de l'Allemagne et non les (més)aventures du groom le plus célèbre de la planète.
Graphiquement, et au niveau mise en page, on retrouve du Hergé, auquel on ne manque pas de rendre hommage au détour de l'une ou l'autre case.
L'ensemble est très fréquentable, mais je pourrais facilement comprendre que cela plaise pas à tout le monde.
Si le thème de la série est intéressant et le format original, il faut bien constater que le principe commence à s'essouffler.
Pour ce 10ème one shot, un scénario presque original, avec une "nouvelle" faction humaine ayant du quitter la Terre pour survivre et trouver une planète habitable.
Les français et les britanniques ont trouvé un moyen de s'entendre pour aller s'installer sur Sylaris. Alors qu'ils viennent en paix avec une puissance supérieure à la race dominante de la planète, ils semblent plutôt mal accueilli.
Au niveau graphique, c'est beaucoup moins intéressant. Si les dessins répondent au standard de la série, les couleurs masquent difficilement l'effet numérique et certain personnages sont tellement lisses graphiquement que ça en devient dérangeant.
S'ils devaient sortir un nouveau cycle de 5 tomes, je ne me précipiterai pas dessus.
Un tome conclusif d'une belle saga. Si la fin semble prevue depuis le début, elle n'est certainement pas des plus previsible. On peut avoir un petit goût doux-amer sur le sort des personnages, que nous avons adoré suivre durant ces six tomes.
Cet épisode ultime est réussi, et termine proprement cette série passionnante.
Le recit pationnant de nos frères conteurs et de leurs acolytes vikings se poursuit dans le palais de glace de Hel. L'humour se fait plus discret et l'aventure prend tout l'espace. A l'heure de tout les dangers, il leur faudra toute l'aide possible pour s'en sortir face à ce Dieu qui décide du sort des vikings qui ont quitté leur monde.
Un suspense bien construit porté par un dessin inspiré.
La pate de HUB est indéniable depuis le début de cette épopée. On a le sentiment que tout a été écrit et pensé depuis le tome un, pour arriver (au prochain tome) à une fin parfaitement réfléchie.
La mythologie nordique est visitée avec beaucoup de finesse et un grand sens de l'aventure. Les différents auteurs nous montrent tout leurs talents dans ce 4ème opus qui, une fois de plus, vaut le détour.
Le nouvel épisode de cette longue série est une surprise agréable. En directe suite avec les événements qui ont eu lieu au tome précédent (que j'ai du reparcourir rapidement pour tout bien comprendre), l'intrigue prend une tournure intéressante.
Reste plus qu'à espérer que l'histoire suive cette amorce au potentiel captivant. J'y voit même une seconde vie à la série.
Si la fin de l'album semble un peu précipité (comme pratiquement à chaque épisode), l'ensemble est des plus convainquant.
Buchet, seul aux commandes pour ce tome, arrive à donner du rythme et à faire évoluer trois récits en parallèle de manière maîtrisée et efficace.
Graphiquement, on est en terrain connu, la qualité est au rendez-vous. Du même tonneau que le reste de la série, sans plus ni moins.
Pas de baisse de régime dans ce 3ème opus de cet heroic fantasy à la sauce nordique. Les personnages sont toujours aussi savoureux et leurs aventures épiques sont toujours aussi surprenantes.
Le plaisir de lecture est intacte depuis le début de la série. Le coup de crayon de Michalak colle bien à l'univers et rajoute une couche d'humour bien sentie.
On prend du plaisir à voir évoluer ces personnages haut en couleurs. Les auteurs arrivent à faire exister tout le monde dans cette œuvre originale au scénario bien ficelé.
Pour ma part, une très belle découverte.
Une très belle entrée en matière. Un scénario original mêlant humour et aventure avec un côté très rafraîchissant.
On s'attache rapidement à tous les personnages de récit nerveux. Récit qui donne le sentiment de progresser rapidement tout en installant parfaitement ses personnages.
Des dessins toute en sensibilité malgré le côté irrégulier de l'exercice. Une histoire accès sur les émotions des tranches de vie de Tristam, rescapée de guerre, meurtrie physiquement et psychologiquement.
Si on s'attache gentiment au personnage, la narration est un peu courte. On a le sentiment qu'il y avait plus à raconter.
A force d'être principalement accès sur l'emotion et l'auto psychanalyse, on doit beaucoup lire entre les lignes et ça alourdi la force dramatique de l'ouvrage. Etre plus explicite sur les détails de l'histoire de Tristam, aurait probablement renforcer l'intensité de ce récit.
Une fin de cycle à la hauteur des espérances véhiculées depuis le début de la série.
Les auteurs nous ont, une fois de plus, sortie leurs plus beaux atouts, les idées les plus remarquable et arrivent de nouveau à nous surprendre.
La clôture, faisant écho au tout début de la série, est tout simplement géniale. Et le terme est faible.
Je ne m'attarderai pas sur le côté graphique, il n'y a strictement rien à rajouter tant le travail est d'une régularité confondante de maîtrise et de talent.
Un tome moins spectaculaire, moins démonstratif mais diablement efficace. La tension monte de page en page et on sent au fil des pages que tout peu basculer à tout moment et dans n'importe quelle direction.
Chapeau pour certaines mise en page étourdissante où plusieurs destins se mêlent.
Graphiquement parfait, les auteurs préparent une fin de cycle qui promet d'être plus qu'intéressante.
Un tome un peu en dessous des précédents.
Certainement pas au niveau graphique, une fois de plus Lereculey nous montre la large palette de ses talents.
Pas non plus au niveau de la qualité de l'intrigue qui est dans la droite ligne de ce qui nous est proposé depuis le début de cette série entraînante.
Mais où est donc cette baisse de qualité?
Je dirai dans l'intensité. Les premiers tomes nous avaient tellement habitué à des renversements spectaculaires et étourdissants que ce tome, en comparaison aux premiers, nous laisse un goût de trop peu.
Si le dessin particulier (et souvent inégal) donne beaucoup de texture et de profondeur au personnage. L'histoire (ou plutôt le récit, car il n'y a pas vraiment d'histoire) est très hermétique. On comprend que le personnage vit un mal-être, mais nous sommes livré à ses émotions avec des bribes d'informations qui font qu'on ne s'attache pas vraiment à lui.
Est une histoire personnelle de l'autrice ? Est ce une fiction mal raconté ?
Cette psychanalyse m'a laissé au bord du chemin. Je n'ai pas été embarqué par ce projet, qui méritait un ligne de conduite un peu plus conventionnelle.
Depuis le temps qu'on nous en parle, on va enfin voir à quoi ressemble les enfers du monde d'opale et leurs onze cercles.
Les auteurs lève le coin du voile, mais la fantaisie n'est pas vraiment au rendez-vous, et la cohérence scénaristique non plus.
Au niveau graphique, l'ouvrage reste honorable mais Pellet nous avait habitué à un travail plus précis et soigné.
Cela reste un tome qui se laisse lire mais qui ne restera dans la mémoire des fans que pour quelques situations humoristiques.
Un épisode mener de main de maître, autant au niveau graphique qu'au niveau scénaristique.
C'est du grand art.
Graphiquement, la finesse des traits et la qualité des émotions me laisse pantois.
Le découpage, bien senti, de certaines scènes rajoute du rythme à une intrigue écrite avec minutie et précision.
Cette série n'en est qu'à ses balbutiements, mais on peut déjà affirmer que le potentiel scénaristique est époustouflant.
Espérons que les auteurs tiennent le rythme de leurs ambitions.
Entre manipulations, coups fourrés, coups du sort et les ficelles politiques les auteurs nous illustrent l'éventail de tous les arcanes des politiques de succession au trône. Les rebondissements et zones d'ombres sont mis en place avec brio.
Graphiquement c'est de très haute volé, on adhère immédiatement.
Mélange Subtil entre Balcksad et Game of thrones. L'auteur met en place une saga qui pourrait bien nous tenir en haleine pendant de très nombreux tomes !
On met un certain temps à comprendre où les auteurs veulent nous emmener.
Dans ce huis-clos chahuté par les intempéries et le grand froid du nord, le rythme est assez particulier. Nous sommes plongé dans un détective qui ne dis pas son nom. On se doute qu'il y a un mystère à résoudre, mais les éléments sont présentés de manière à ne pas nous laisser beaucoup d'indices. La déduction n'étant pas notre portée, on se contente de suivre l'histoire.
Du point de vu graphique, c'est assez original et colle bien à l'époque du récit. Sans être époustouflant, le dessin est plutôt agréable.
Au niveau du scénario, le huis-clos fonctionne bien, mais cela manque de quelques personnages qui rendraient le récit plus intrigant. N'ayant pas lu le roman dont est tiré cette BD, j'ai du mal à me faire une idée de la cohérence et de la qualité de cette œuvre. Disons que c'est intéressant sans être révolutionnaire.
L'ultime chapitre de ce comics porte très bien son nom : épilogue.
La fin ayant eu lieu au tome précédent, on est plutôt devant une conclusion. Une conclusion concise qui nous permet de dire au revoir à tous les personnages qui auront survécu jusqu'au à la fin de l'ére des marcheurs.
Et on voit deja les nouvelles générations qui commencent à oublier les épreuves qu'ont traversé leurs Pères afin de leur construire un avenir en sécurité.
On termine proprement cette fabuleuse saga, qui aura marqué de manière irréversible la bd, ainsi que le cinéma de genre.
L'avant dernier tome de cette gargantuesque série fait naître dans sa dernière partie toute une série d'émotions. Des émotions prises entre tristesse et mélancolie. Et la mise en page, très cinématographique, y participe énormément.
Le reste de l'album, très correcte, voit Rick Grimes une nouvelle fois dans une position de leader malgré lui, qui tente de rendre à la "communauté" une humanité née des épreuves qu'ils ont traversés, ou tous les humains sont égaux . La même humanité qu'il a su développer à Alexandria ou à la Coline.
On arrive vraiment au bout du voyage comme le suggère le titre. Un voyage difficile et brutal. Un voyage qui a vu de nombreux personnages disparaître le long du chemin.
Un voyage qui n'aura laisser personne indifférent. Un voyage qui valait le coup d'être effectué.
Merci Messieurs pour ces 32 tomes qui nous ont emmené à travers de la violence de vivre de l'Humanité.
La suite est dans la même veine que le premier tome. Moins d'invraisenblences mais un scénario qui donne le sentiment d'être bâclé.
Le format en deux tomes ne convient clairement pas à ce que les auteurs voulaient mettre dans leur histoire.
Et que dire des 5 dernières pages qui au mieux sont complètement inutiles.
Si le dessin est très réussi, l'histoire aurait pu être (beaucoup) plus intéressante si on avait pris plus de temps pour installer les personnages.
Les agréables dessins nerveux et musclés cachent mal les invraissanblances et les incohérences du scénario.
Si on passe un moment pas trop désagréable, on a du mal à s'attacher aux personnages. Sans parler de la simplicité du scénario. Jusqu'ici, on pourrait comparer cette bande dessinée à un bon film d'action, sans prise de tête. Peut-être le tome suivant me donnera-t-il tort ?
On aborde un virage un peu plus sombre que d'ordinaire et on découvre une partie importante de l'histoire inconnue de Cohar et des derniers Titans.
Certaines parties sentent un peu le réchauffé.
Entre autre, on a droit à la énième libération de nos héros prisonniers par l'appel de Ghor en touchant le bracelet de Cohar alors que le geôlier tenait le bracelet à proximité de Drako.
On est également en dessous du niveau habituel du graphisme d'un Pellet inspiré. Le dessin est assez inégal sur la longueur.
Malgré ces quelques bémols, l'aventure nous tient en haleine et on est impatient de connaître la suite.
La série prend une nouvelle tournure depuis le tome précédent. Si la situation est plus confortable par rapport aux situations précédentes, le défi de reconstruire une société plus juste, plus humaine est plus que jamais au centre de l'intrigue.
Le fait que le danger soit plus insidieu, et moins frontal que dans les confrontations précédentes rend le récit moins intense que par le passé. Les auteurs nous réservent malgré tout quelques passages brutaux et inattendus qui donneront pas mal de relief à ce tome.
La critique de notre société à travers cette communauté à la violence (pas toujours) passive est bien vue, même si quelque part on enfonce des portes ouvertes.
Une analyse avec une approche plus politique sur le monde d'après. Les auteurs opposent une forme fantasmé du communisme (un comble pour des auteurs americains et britanniques) et une forme de méritocratie basé sur la place qu'on avait dans le monde d'avant.
Après tout ce qu'on a vécu depuis le début de "la fin du monde", il y a une forme d'assoupissement qui commence à s'installer. Malgré les personnages de Princesse et le fils de la Gouverneuse pour amener un peu de relief et d'aspérité, la tension ne monte pas vraiment et on ne s'inquiète pas tant que ça pour nos héros.
Le danger, semble-t-il, n'est plus du niveau de la barbarie et de la cruauté des ennemis qu'ils ont rencontré dans le passé.
Si le dernier chapitre de ce tome est très réussi et riche en émotions, une grande partie de ce récit est plutôt fade. Une seule groupe est intéressant à suivre, les autres ne font rien avancer du tout, certains tournent vraiment en rond.
Mais la plus grosse déception vient du dossier en suspens depuis deux tomes qui est réglé en cinq pages. Les auteurs avaient un bon sujet, un bon groupe de "méchants" et ils l'ont clôturer d'une manière expéditive, voire bâclée.
Xarchias se rapproche de son but aider par le sombre Kamphre d'Yrkhone. On va assister à toute l'ignominie de la magie noire
Les trahisons s'enchaînant dans tous les camps vont donner une nouvelle direction à l'aventure.
Entre émerveillement et dégoût la palette des émotions véhiculées par le magnifique dessin de Pellet est sans limite.
La qualité des gags est légèrement améliorée par rapport aux précédents épisodes. Je me suis surpris à rire plusieurs fois. Ce qui n'arrivait plus vraiment.
Un bel hommage, à la fin du livre, avec la "grammaire" du Petit Spirou à Tome qui n'est plus de ce monde.
Les communautés sont confrontées à deux problèmes majeurs.
Le premier, non des moindres, une horde d'une taille inédite est lancée par les Chuchoteurs sur les remparts d'Alexandria.
Le deuxième, la désertion des Sauveurs. Des déserteurs qui ont même prévu de prendre le contrôle d'Alexandria quand la gigantesque vague de mort-vivant aura terminé son ouvrage.
Alexandria pourra compter sur les rescapés de la Coline, pour les aider à survivre à ces nouvelles épreuves.
Dans ce tome, le rythme est assez inégal. La partie action est assez classique sans déclencher de véritable passion ou anxiété. Serait-ce la lassitude qui s'installe après une série qui arrive à son 28ème épisode? Ou les auteurs auraient ils épuisé la force dramatique leur sujet?
Du point de vue psychologie des personnages, par contre, les auteurs ont encore des choses à raconter. Certains personnages continuent à se dévoiler de manière intéressante sans pour autant être dans la redondance.