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Cette BD se caractérise par quatres pages au début parlant de quelques objets cultes des samourais. La mise en page est classique, le dessins et les couleurs aussi. L'histoire, elle, l'est moins. Nous sommes dans le monde du Samourai et l'un d'eux est quelque peu surprenant par sa mentalité. Une histoire sympa.
Une mise en page classique mais un dessin prenant. Des couleurs et un trait réalistes, agréables, qui tracent bien l'ambiance d'une sinistre taule. Une histoire aussi dure et pénible qu'elle est poignante et sensible.
Le trait est précis, la mise en page est classique, les couleurs réalistes. C'est surtout le scénario qui est intéressant. Des cadavres, une boucherie, de jolies femmes et, au milieu de tout cela, un journaliste enquêteur de sa propre histoire...
"Torturé", c'est la terme qui me vient à l'esprit. Une mise en page cassante, dense, disymétrique met mal à l'aise. Deux couleurs prédominent, le rouge sang et vert terreur, le trait est précis. Ambiance cauchemardesque, des membres arrachés, du sang à toutes les pages, des catacombes, de l'irréel. A ne pas lire le soir...
Des couleurs très fraiches pour cette BD ou le jaune-orange ce dispute avec le bleue-vert. Un découpage des planches assez classique, un trait net et épuré. Jusque là tout va bien. Viens ensuite le scénario ou là...je ne comprends rien! Ca commence par "Parce qu'il faut un début à ce qui n'a pas de commencement" et ça se termine par "Beaucoup plus tard on dira que le feu préside à un rite de passage mais de quoi à quoi?... Car il n'y a, il n'y a jamais eu et il n'y aura jamais...QUE". Sur le qatrième plat est écrit: "Là ou je suis vous ne pouvez venir, et là ou je vais, vous me chercherez sans me trouver"...
Ca donne le ton de la BD.