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super !!! magique !!! A classer dans le TOP 10 des BD de la bibliothèque.
Quand on commence on ne peut plus le lâcher et on arrive à la fin en se disant : déjà.
Bravo !!!
Superbe histoire simple et tellement vraie, des personnages très attachant, et un dessin qui sied parfaitement à l'histoire à l'ambiance.
Bof bof !
J'aime bien Olivier BOISCOMMUN mais là son dessin ne sauve pas
un scénario très indigent.
Je me suis parfaitement ennuyé du début à la fin.
Le second et dernier tome de cette série est dans la même veine que le premier et se laisse agréablement lire sans temps mort.
Mais il semble dommage que la fin soit précipitée sans réelle tension alors qu'on aurait encore pu jubiler un peu plus de la spychologie des personnages.
La fin de l'histoire est un peu confuse, seulement quelques explications sur un trafique en trame de fond et certaines scènes de meutres inexpliquées.
dommage !!!
un scénario qui tient en haleine le lecteur avec une ambiance qui monte crescendo, des rebondissements, des personnages attachants ou révulsant avec leur part d'ombre et de médiocrité.
le mal règne en maître et chacun essaie de tirer profit de la situation pour obtenir plus de pouvoir, plus d'argent, au détriement de ceux qui ont encore la naiveté d'avoir une âme. Mais pour chacun la situation peut se retourner et les seigneurs d'hier qui étaient intouchables ne sont déjà plus ceux de demain car ils ne sont déjà plus maitre de leur propre destin, mais de celui de...
Le mystère demeure et on ne sait pas qui tire vraiement les ficelles, qui détient le pouvoir.
Dénouement au quatrième tome...
C'est tellement simple de gagner
une guerre civile... 2 ou trois individus, quelques états d'âme, un petit discours hop et voilà...étonnant.
Avec de" belles et grandes" théories philosophiques... : "et ce qui hier encore paraissait devoir dominer pour toujours est rappelé à la réalité de son éxistence dialectique"....pas assez intelligent pour comprendre...
C'est tellement simple de gagner
Une guerre civile... 2 ou trois individus, quelques états d'âme, un petit discours hop et voilà...étonnant.
Avec de" belles et grandes" théories philosophiques..."et ce qui hier encore paraissait devoir dominer pour toujours est rappelé à la réalité de son éxistence dialectique"....pas assez intelligent pour comprendre...
Dans le tome 1 dès les premières planches, la vulgarité est présente dans chaque phrase...Un personnage suffisant, une histoire très superficielle qui veut nous faire avaler des poncifs avec des grands airs de pseudo géopolitique.
Des dessins que je n'arrive toujours pas à accepter avec des détourages de personnages inadmissibles. La prochaine fois j'achète un roman photo...
c'est creux, d'une grande banalité sans intérêt , un protagoniste qui se pose des questions sans que l'on sache vraiment l'origine de son mal être, l'objectif de sa quête et les raisons de sa décision finale.
L'histoire va très vite
Parfois on saute d'une scène, d'une situation à une autre sans explications et je me suis demandé si je n'avais pas sauté des pages.
72 planches pour rien lu en 20 minutes à peine.
Seul le dessin permet d'éviter le "à fuir."
Je n'ai rien compris....Personnages peu attachants, intrigue absente, pseudo philosophie ras la moquette.
je regrette mon achat
J'avais déjà apprécié le premier tome de cette série avec un univers particulièrement original.
Malgré quelques imperfections au niveau du dessin (dans certaines vignettes il manque de précision), quelques retournements sentimentaux un peu trop prompts, et un manque d'explications sur certaines situations (par exemple Mariem à la fin) qui auraient pu apporter un peu plus d'émotions, le tout est particulièrement bon.
Il reste en suspend les réponses aux questions que l'on se pose (la mémoire des porcelaines, le capitaine... dont on trouvera des informations intéressantes en lisant le carnet de croquis).
Je suis étonné que cette série soit passée presque inaperçue. Pourquoi ?
Se laisse lire en espérant une suite car on a à peine le temps de découvrir les personnages que c'est déjà fini (pour la collection long courrier c'est un peut court, certains albums allaient au-delà des 100 planches).
La première partie (bel univers) introduisait bien une seconde partie dont le dénouement quelque peu et un peu trop surprenant et rapide avec des lacunes (le discours des dieux) gâche l'ensemble.
S'il ne s'agit que d'un one shot, on reste sur sa faim de cette fin éclair. Peut-être une suite pour apprécier d'avantage les principaux protagonistes, mais déjà hélas l'essentiel est mis en place qui enlève tout suspens sur les relations des protagonistes et qui faisait aussi l'intérêt de cet album.
Intrigue nulle; scénario convenu vu et revu qui laisse en suspend toutes les questions qu'on pourrait se poser, conclusion nulle, bref sans intérêt.
Seul le dessin nous plonge bien dans l'ambiance du milieu hostile.
Des termes employés comme "flics" (tome1 page 23) sont anachroniques et étonnant de la part de scénariste tel que Desberg
Premier tome correct sans plus, deuxième tome confus.
On se demande si l'intérêt commercial ne prime pas lorsqu'une série démarre en ouvrant beaucoup de portes (pas très novatrices, déjà vues et revues) sans les refermer au terme de l'histoire. On a l'impression d'une fin précipitée...
D'après mon libraire le 1er tome était presque passé inaperçu alors qu'il aurait pu être l'introduction à une série plus prometteuse. Même si le premier tome n'avait pas que des qualités j'avais envie de savoir la suite...et cela c'est le plus important.
Avec un deuxième tome où on trouve des dialogues sans profondeur comme des personnages très superficiels qui apparaissent et disparaissent sans explications,
avec la volonté de tuer la série dans l'œuf on obtient une série sans intérêt.
Entre les séries à rallonge et celles qu'on arrête prématurément , il y a des fois où on a cette désagréable impression que le lecteur n'est qu'une vache à lait.
En général je suis assez méfiant des effets d'annonce médiatiques et de la notoriété encensée de certains auteurs.
J'avais donc quelques à priori et je n'ai pas été immédiatement attiré par le graphisme qui est remarquable.
Je n'ai pas lâché la BD d'un bout à l'autre : effectivement Zorglubu à raison ce n'est pas une bd de divertissement, mais quelle atmosphère, quel univers dans lesquels nous plonge Manu Larcenet !!!
C'est une BD qui laisse des traces, qu'on oubliera pas. Elle mérite d'être lu et relu.
"les mots me viennent comme la limaille à l'aimant, je ne peux les retenir, ni les organiser"
Je suis en général assez bon public en matière d'anticipation mais là je trouve que le scénario est peu crédible : une catastrophe planétaire en passe d'être résolue par quatre ou cinq protagonistes...avec une étonnante facilité.
Tout est cousu de fil blanc.
Un premier tome assez classique mais excellent avec une bonne intrigue de départ et un deuxième encore meilleur. Une réussite.
Et on crie au génie ? Il faut me dire où il est....surtout qu'au second tome on n' a pas encore beaucoup évolué.
Deux tomes déjà pour installer l'histoire avec une bande d'adolescents plus préoccupés par ce qui se passe en dessous de la ceinture que par leur survie au mépris des règles qu'ils ne pensent qu'à transgresser dans un monde dont on ne sait rien....et qui passe en second plan.
RIEN de bien nouveau si ce n'est ce que l'on vit tous les jours.
Enfin cette bande d'écervelée est encore bien lotie dans son camps de vacances et je pense qu'on est à mille lieues des gamins qui vivent dans un blockhaus en Ukraine et qui n'ont qu'un stylo et une feuille de papier pour s'occuper toute la journée...
Soyons sérieux...quel est le message dans cette BD ?
Le troisième album sera peut-être décisif si on change de registre après deux tomes où il ne se passe pas grand chose.
On n'a pas le droit de raconter la fin mais on peut dire qu'on est déçu...
L'ambiance est particulièrement bien retransmise même si parfois j'ai eu un peu de mal à suivre les protagonistes.
Les personnages sont aussi froids que les cadavres qui jonchent les pages de cet album.
Tout au long de l'album et encore plus à la fin, je n'ai pas réussit à m'attacher au personnage principal et finalement son sort ne m'a pas ému. En résumé je me suis dit tout ça pour ça....
Il y a deux histoires en parallèle mais aucune ne prime sur l'autre d'où l'impression d'une linéarité comme un encéphalogramme plat..
Cela reste néanmoins pour l'ambiance un bon album.
On retrouve un peu de Bernard WERBER (le papillon des étoiles) pour la première partie, un peu de d'avatar (pour la partie colonisation et exploitation d'une ressource rare)...
Mais tout va trop vite dans cet album. Philippe OGAKI n'a pas pris le temps d'installer plus profondément la psychologie et les motivations de ses personnages, de mettre en place avec plus de machiavélisme les complots (on a cette impression qu'ils surgissent subitement) qui entraînent les désastreuses conséquences, d'où il en ressort une impression de simplisme.
Et l'apogée c'est la rencontre avec les autochtones.
J'ai cette impression qu'il y a dans un seul tome au moins 5.
Néanmoins j'avais hâte de terminer la lecture pour connaître la fin et j'attends le suite avec impatience.
j'ai été agréablement surpris à la lecture de ce tome. L'histoire est bien rythmée, les personnages intéressants , cachant chacun leur part de mystère...à la fin de l'album, et c'est ce qui compte, on a envie de savoir la suite...donc 1er album réussi..
Mouais...on en fait une telle publicité que je suis un peu déçu, intrigue assez moyenne, personnages très conventionnels...ce n'est pas le genre d'album qu'on ne lâche plus quand on l'a commencé...on le lit quoi, on ne dévore pas.
voir la suite....
Même si l'histoire n'est pas la plus originale qui soit (très inspirée de Danse avec les Loups) et tout en restant objectif étant un fan de Tiburce Oger, Buffalo Runner est un excellent album qu'on lit d'une traite et qu'on regrette que ce soit déjà terminé....et c'est à ce moment là qu'on apprécie ENCORE PLUS l'ensemble des 78 pages...