Les avis de la bedetheque

Encore plus nul que le premier opus.
Le peu de suspens qui restait est expédié en quelques pages. Coté scénario c'est le grand désert!!!!!!
La course a finalement peu d'intéret, toujours aucun détail futuriste.
L'histoire d'A:xis est tout aussi plate avec une fin si inexistante.
Bd à déconseiller d'urgence.
1/10.

Cette BD m'a laissé sur ma fin.
Coté scénario il n'y a rien ou presque en dehors d'une course futuriste. On pouvait prétendre avoir des engins volants au XXVIème siècle. Il n'est fait allusion à aucun détail technofuturiste.
Les dessins sont bons quoiqu'ultra conventionnel.
Espérons que le tome 2 remonte le niveau. J'ai un petit doute.
5/10.

Deuxième épisode un ton au dessous du premier opus.
La force de cette série consiste non en ses graphiques qu'en son scénario.
Il faut pardonner les dessins et aimer les histoire noires à souhaits.
A découvrir pour se faire sa propre idée.
6/10.

Super manga !! Les dessins sont très beaux , très fins. Le scenario intéressant. La psychologie des personnages est bien amenée. A chaque fin de tome on veut connaitre la suite.
Visitez le site fr Professeur Eiji :

http://professeureiji.jimdo.com/

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Super manga !! Les dessins sont très beaux , très fins. Le scénario prenant. Les sujets abordés sont matures. La psychologie des personnages est bien amenée et interessante à suivre...
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J'ai découvert Mezzo et Pirus grace au géniallisime "Le roi des mouches", que je recommande vivement, et je dois admettre que ces gars là ont vraiment du talent.

Les dessins de Mezzo colllent à merveille à cette ambiance sordide et glauque, décrivant à merveille une certaine réalité américaine, celle du texas.

Des mafieux, de la consanguinité, de la poudre et du sable, sans forcément révolutionner le genre les deux auteurs délivre une oeuvre brutale, sans concessions, au scénario habile. Un suspens qui vous tient en haleine jusqu'à une fin qui, certes prévisible, n'en est pas moins très appropriée.

Pour les amoureux du polar, et les autres, par deux des auteurs les plus talentueux de leur génération.

Dés le premier tome, cette série s'annonce comme de grande qualité. Une histoire de pirates comme on les aime.
Un très bon scénario avec pleins de personnages différents qui pimentent cette histoire et des dessins de bonne qualité (à regretter seulement une petite baisse de qualité sur les dessins dans le 3éme tome).
On attend vivement la suite...

Je vais faire très court: à part le dessin de Dany qui continuent à mettre les formes des femmes en valeurs, je trouve l'histoire de ce 1er opus un peu limite...
Manque d'imagination? Je ne sais pas. On verra bien avec le 2ème tome avant de jeter cette série aux oubliettes.

Je ne connaissais pas Arno pour le dessin mais cette histoire juste apres la guerre est plus qu'interessante , le scenario est prenant , mais malheureusement je n'adhere pas mais alors pas du tout au dessin : le trop grand symplisme , le manque de couleurs sur certaines pages il manque quelques choses , dommage ,

Le scenario de cette BD n’est pas exceptionnel mais distrayant. Je pense qu’il faut aimer l’action pour apprécier cette série. Cela se passe dans un vaisseau spatial où une partie des personnes sont endormis artificiellement, malheureusement il va y avoir un accident et là les somnolents ne vont pas se réveiller dans leur état normal. Des mitraillettes, des flingues, des tronçonneuses. Un gros défouloir pour les amateurs du genre.

Bon, jusqu'aux deux premiers, je trouvais que l'histoire tenait pas trop mal debout.
Le style "julesvernesque" étant plutôt de mise pour une histoire comme celle-là, avec un fond historique assez crédible si on n'y regarde pas de trop près, voilà une série qui promettait pas mal...
Mais voici qu'avec ce troisième opus, tout le travail précédent est flanqué par terre en moins de deux !!
Alors comme ça l'arme secrète des Aztèques que leur avait transmis auparavant les Mayas, c'est leur dieu en chair et en os Quetzacoatl lui-même et ses émanations ectoplasmiques !!! Ben voyons ! Pourquoi pas...
Et pour continuer dans le grand n'importe-quoi sensationnel, voilà qu'apparait des profondeurs de la mer, je vous le donne en mille, un plésiosaure, et oui...
Tout ça pour prouver au crédule Georges que les monstres existent bel et bien!
C'est vraiment dommage d'en passer par des stupidités pareilles, car l'intrigue d'espionnage autour de la Guerre de Sécession se suffisait largement à elle-même sans avoir à rajouter des inepties au goût de navet...

Une suite un peu décousue d'aventures futuristes plus ou moins réusies.
Des dessins de qualité inégale.
Un scénario réduit au minimum sans suspens ou des personnages qui progressent.
Bref une réelle déception.
5/10.

Les couleurs nous mettent tout de suite dans l'ambiance... Une Ambiance Bretonne, bien sûr... De la chaleur, du soleil, mais aussi bien évidemment, de la pluie. Le dessin est magnifique, original même, et les personnages principaux ont tous des "gueules" auxquelles ont s'attache rapidement.
Le démarrage de l'histoire reste un peu long, et on attend avec impatience que l'intrigue se mette en place. Mais c'est aussi le prétexte à de superbes planches, où l'on se laisse emporter dans cette atmosphère champêtre, bucolique, maritime, en un mot, Bretonne. Où l'on comprend et où l'on s'attache à ce héros, tranquille, cool, qui n'est pas préparé à vivre des aventures risquées. Pourtant son air malicieux et son cœur encore jeune (n'est-il pas amoureux de Soizig ???) vont le pousser à résoudre un mystère peu banal au pris de quelques dangers.
Vraiment un premier album réussi...

Du grand n'importe quoi.
je ne peux pas vous parler du scénario parceque je n'y ai rien compris. Et pourtant le tome 1 était déjà déroutant.
Les dessins sont passables.
Mais il n'y a pas d'histoire, de trame ou de suspens.
A jeter très vite aux oubliettes pour pouvoir passer à autre chose.
0/10.

2025, la 1ère guerre nucléaire privée éclate. 2032, la 1ère connexion homme-machine est expérimentée…
Ce deuxième album s’inscrit dans la continuité du premier avec un graphisme toujours aussi attractif et un scénario efficace, équilibré, sachant ménager le suspens.
A suivre...

Tome 4 : rebondissements, surprises, nouveaux personnages… Urasawa déploie ses habituels mécanismes narratifs, complexifiant à loisir son intrigue, reprenant fidèlement certains personnages-clé de la saga "Astro-Boy" (le professeur Ochanomizu, le professeur Tenma), tout en développant les axes nouveaux - plus "politique fiction", autour d'une sorte de conflit Irakien qui verrait le Saddam Hussein local fomenter sa vengeance posthume -, axes qu'il a visiblement imaginés pour installer "le Robot le Plus Fort du Monde" dans une réalité plus proche de la nôtre que le monde "utopique" de Tezuka. Si l'on ressent cependant une légère déception dans ce tome 4, c'est de par l'absence de ces moments véritablement magiques d'émotion qui distinguent les mangas d'Urasawa de ceux de ces concurrents, comme si le travail conceptuel à effectuer pour s'approprier sans la déflorer l'oeuvre de Tezuka le forçait à une sorte d'auto-censure. On peut donc craindre que, au final, "Pluto" ne soit pas au niveau de "Monster", ni bien sûr de "20th Century Boys"...

Tout simplement excellent.
Les tribulations de ces dinosaures sont à prendre au deuxième degré mais c'est tellement jouissif.
Certes passé un certain âge c'est pas hilarant mais la parodie fonctionne et on se surprends à sourire et parfois à rire de ces bonnes blagues.
A conseiller pour retrouver la pêche après une dure journée.
8/10.

L’album est sympa, exotique comme le précédent. La mission de Wayne est de délivrer un otage en Afrique. La série est plutôt chouette, elle me fait penser à ces séries TV des années 80 comme Magnum par exemple, pour les flash back de la guerre du Viet Nam (tome4) et la moustache de magnum bien sûr ; ou l’agence tous risques pour les missions de la dernière chance. Je conseille pour ceux qui aiment l’action. Par contre je ne conseille pas les volumes 7 et 8 où je trouve le scénario un peu trop gros à mon goût (des anciens nazis qui ont pour ambition de ressusciter Adolf Hitler).

On touche le fond avec ce troisième opus.
L'histoire n'a pas avancé d'un pouce et s'englue dans la narration.
De plus on attendra une suite qui heureusement ne viendra pas.
Une série à oublier bien vite.
3/10.

Le second tome vient confirmer l'impression général du premier. On a droit à une série trop statique, le suspens ne prends pas.
Les personnages ont du mal à nous interresser.
Bref on reste en panne même si au final les dessins restent agréables.
C'est du plaggia de Largo Lynch dans le monde du diamant.
Passable.
5/10

Difficile de juger le premier tome de cette série.
Nous affrontons ici le monde des diamantaires.
L'histoire est longue à démarrer et trop bourré de flash-back.
L'action semble absente tellement la présentation des personnages et du décor occupe de la place.
A suivre avant de noter.

Le meilleur album de Spirou depuis longtemps !
Une tonne de références à l'univers Spirou de Franquin, d'autres BD (Astérix, Quick et Flupke, Jo Zette et Jocko, Tintin, Blake et Mortimer...) ainsi que le cinéma (La traversée de Paris....).
Cet album ainsi que le précédent forment un diptyque lançant les aventures d'un sacré tandem (sans oublier Spip...); et ce qu'on peut dire c'est que ça démarre sur les chapeaux de roues !!!

Cette Bd de science fiction se laisse lire sans plus , le scenario avec la lutte de deux mondes parallelles n'est pâs nouvelle mais interessante , le dessin et la mise en page sont prenantes mais malgre tout on atteint pas des sommets , à lire mais loin d'etre un chef d'oeuvre , surtout que l'on attend une suite qui n'exciste pas , dommage ;

L'histoire n'est pas terminée mais quelle oeuvre! Quels dessins! On se croirait aux beaux-arts. Tout est mis en branle dans les deux premiers tomes pour susciter une réelle dépendance à la série. J'ose espérer que la suite ne décevra pas. Sinon, il restera toujours le merveilleux art de Puerta qui avec ses milliers de détails qui demeure l'un des plus beau que j'ai vu de toute ma carrière de bédéiste.

*À remarquer le docteur en deuxiéme tome qui se présente sous les traits d'Edward Norton. Quelqu'un avait remarqué?*

C'est vrai qu'il est gentil , plein de bonnes intentions ce hero mais le cool au Tibet me ramene des annees en arriere ou les babas " petard " aux levres voulaient refaire le monde , cela me parait kitsch et depasse et le dessin parait triste , bancal meme les rhodondendrons paraissent " moches " pour des belles fleurs , vraiment moyen ;

Comment dire , je ne suis pas fan du tout , les dessins ressemblent à du mangas ( on aime le genre ou on aime pas moi j'aime vraiment pas ) et le scenario est vieux comme Herode , bref pas de quoi s'eclater .A reserver peut etre à un public plus jeune que moi ;

Je trouve cette série de science-fiction très intéressante (les trois volumes). Elle me fait penser aux films Aliens ou à l'odyssée de l'espace avec une ambiance très oppressante. Personnellement, je trouve que l'on a un peu de mal a identifier les personnages au début du premier volume mais par la suite ça s'arrange. Par contre je n'ai pas trop compris le rapport entre l'histoire et les films illustrés dans la BD. Sinon j'aime bien ce scénario qui est original et le dessin qui est bien approprié.

Voici probablement l'album de Jidéhem le plus réussi et le plus abouti. La qualité de son dessin, digne de Franquin avec lequel il a dessinné les premiers GASTON et plussieurs Spirou et Fantasio, est superbement mise en valeur et en plus scénarisé par un excellent VICQ. A ne pasq râter!

Voici un album qui permettra aux plus jeunes comme aux plus grand de s'évader et de se rappeler leurs vacances à la campagne entouré de champs.
Délicieusement printanier. Du très bon Jidéhem certainement d'aussi belle facture que les BD de Gaston qu'il a dessinnées avec Franquin.

Voici une série que je viens de relire et qui a gardai une fraicheur extraordinaire malgré ma cinquantaine. La qualité du dessin de Jidéhem qui rappelons le à dessiner les 8 premiers Gaston avec Franquin ainsi que plusieurs Spirou et Fantasio fait partie de cette école Dupuis des années 50 et 60 qui nous a fait découvrir de très grands dessinateurs. A relire sans modération aucune.

...Tout est dit!
J'ai adoré!
Le dessin de Brüno, le scenar, les couleurs, l'ambiance, les personnages;
Tout!
Seul regret: je viens de terminer la lecture du deuxième album.
A découvrir sans tarder si ce n'est déjà fait!

Un des meilleurs de la série.

On y retrouve Harry qui enquête sur un des grands mystères ésotériques: le mystère entourant Rennes-le-Château était-il vraiment surnaturel ou n'était-ce qu'une poudre aux yeux destinée à tromper tous et chacun?

On y passe un très bon moment, on y apprend ce qu'il en retourne avec ce mystère. Un peu plus, on se croirait en plein Dan Brown, histoire parallèle dans le même genre du Da Vinci Code. Avec toute l'exagération mais on pardonne.

Un peu de religion, un peu de mystère, un peu de truands et un gros noeud d'une légende à défaire.

Une belle soirée en perspective pour les amoureux de bd polar à saveur ésotérique.

La nouvelle du "Diable amoureux" vaut à elle seule le prix du livre. Vehlmann nous revient avec des saynètes, de petites histoires courtes mais déjantées tirées directement de l'univers de Méliès.

Le dessin de Duchazeau se prête bien à l'époque livrée en bouchées fort digestes. J'ai trouvé cependant les histoires inégales, question intérêt ou point de chute. Ce qui en fait une oeuvre où l'on passe un bon moment mais où manque seulement un léger zeste de continuité dans la magie des histoires.

Alors que Soul Eater continue à dérouler son programme ultra-typique de manga pour ado (intrigue devenue incompréhensible, introduction permanente de nouveaux personnages sensés renouveler la dynamique des combats et apporter de nouveaux concepts ébouriffants), le lecteur fatigué continuera à se raccrocher au graphisme inspiré - pas forcément très lisible, mais c'est si beau, tout cela ! - ainsi qu'aux quelques rares moments de pause ou de comédie, rafraichissants au milieu de toute cette débauche d'énergie finalement assez gratuite. Et au milieu de ce 8e tome, miracle : une dizaine de pages sublimes, à la fois parfaitement simples et radicalement terrifiantes (la possession d'une petite fille), qui montre qu'Ohkubo pourrait être un sacré conteur, et même un vrai artiste, s'il sortait des poncifs...

Un peu decu par cette BD , je m'attendai a mieux d la part de ce duo , il manque un petit quelque chose , le dessin manque de precision , le scenario est sympa sans plus et on suit ces aventures de fin du 19 ° siecle sans grande effervescence , dommage ;

Juste un mot sur l'album édité par Cap au large.Un album de trés bonne facture.Le travail effectué est trés bon.Une solution pour découvrir l'album qui a lancé la série Durango à moindre frais
Je recommande donc

Clairement un travail de commande pour les maisons Image/Wildstorm.
Alan Moore prend les séries "phares" des deux maisons pour un crossover en 4 parties ,ça colle niveau scenario à l'esprit Image/Wildstorm de l'époque.

Donc pas de grand Alan Moore ici , mais ça se laisse lire , un petit comics pas prise de tête qui après un début un peu poussif , deviens intéressant .

L'intrigue repose sur le jeu temporel, assez sympa comme concept.

Comment peut_on publier des BD aiussi indigestes?
Cette fois-ci j'ai craqué à la page 12 tellement le scénario est plat et sans intérêt.
Les dessins sont presque nauséabonds tant ils sont ridicules. On a parfois l'impression que tous les seconds rôles se ressemblent.
A oublier ou à garder pour un feu de cheminée les soirs d'hiver.
Nul.
2/10.

Excellentissime....
A conseiller à tous amateurs de polars noirs.
On se croierait dans un film de maffieux de Martin Scorcese.
C'est du polar cru, glauque mais tellement proche de la réalité.
Une vrai cure de jouvence.
9/10.

Une bonne série et un premier tome tout à fait honnète.
Le scénario est asssez d'actualités avec son lot de rebondissements.
Les dessins sont bons sans exceller.
C'est la proximité d'avec la réalité qui rend cette BD attachante.
Vivement le tome 2.
7/10.

Une oeuvre au scénario original puisqu'içi l'Allemagne nazie a gagner la guerre.
Sur ce thème se brode un scénario de guerre entre le bloc germanique et le bloc soviétique.
Mais finalement peu de suspens et une simple histoire de guerre, de sérum de super soldats ou d'humains transformés en bêtes.
De plus les dessins sont certes originaux mais parfois minimalistes.
Bref une impression mitigée.
J'attendais mieux au vue des critiques.
6/10.

Un deuxième tome tout aussi troublant que le premier.
Ici on voit apparaitre sans raison un cube qui se met à grossir jusqu'à intégrer complètement une ville.
L'oeuvre est matière à réflexion sur de nombreux sujets tel l'urbanisme ou la condition humaine.
Mais cette BD est tout aussi déroutante que le tome 1.
A réserver aux amateurs.
4/10.

J'ai eu un peu de mal à comprendre le pourquoi de cette série.
Visiblement on y parle de cité mystérieuse mais le thème de cette BD s'apparente plus à une oeuvre mysthicopoétique qu'à une oeuvre de science fiction.
Pas d'action, un seul personnage et des dessins dépouillés.
Il y a matière à aimer ou à détester.
Pour amateurs uniquement.
4/10.

Un scénario d'une extrème platitude sans suspens ni action. Les dialogues des 2 à 3 dernières pages sont à vomir.
Les dessins sont à peines passables.
Bref après avoir fini ce livre on a qu'une envie passez à autre chose.
Ce fut mon cas.
3/10.

J’adore thorgal, c’est une série ou l’auteur peut se permettre pas mal de chose. Il y a de l’action, de l’aventure, de l’émotion ; parfois il s’y trouve de la science-fiction et d’autre fois du fantastique. L’idée que son fils reprenne le flambeau est intéressante. Dans ce volume, Jolan doit récupérer le bouclier de Thor pour lui permettre par la suite d’avoir un destin extraordinaire. Son demi-frère, lui est convoité par une secte qui pratique de la magie rouge. On en sera plus dans les prochains volumes… Personnellement je trouve les scénarios de Sente excellents, s’il continu dans ce sens là, ça ne me dérange absolument pas qu’il participe à la suite de cette série culte. Les dessins de Rosinski sont toujours au top et les couleurs plus ardentes. Pour moi c’est une BD indispensable!

Plutôt déçu par cet album.
Le scénario a du mal à décoller. le monde post-apocalypse présenté resseùble plus à l'Angleterre victorienne du XVIIIème siècle.
Il y a peu d'action, peu de suspens.
Seuls les dessins de Stalner relèvent le niveau.
Sera-ce suffisant pour faire perdurer cette série?
6/10.

Personnellement j'apprécie ce type de dessins très léchés voire même trop précis. la coloration est pourtant bien interessante. Quant au scénario il promettait de beaux développements mais il semblerait que cette série soit en passe de stopper net.
Décidemment cette nouvelle vague de dessinateurs chinois qui maitrisent autant leurs traits que la colorisation.
sniff

Le dessinateur étant sur LYON j'ai eu loisir de discuter avec certains de ces potes car je m'interrogeai sur la longueur prévue par cette série sur laquelle j'ai fortement accroché!
Hélas il apparait que la fin se profile pour le tome 4 et que l'auteur principal arrêterait la bande dessinée pour se consacrer à l'illustration... Fort dommage puisque le scénario est superbement mené, le graphisme à couper le souffle et on sent la maîtrise anatomique des sujets (bien qu'il y ait sur certaines plances certains abus).
De plus cette série allie suspens, humour, action... Bref un beau travail.

Enfin personnellement j'ai senti, avant même d'avoir le retour de certains illustrateurs proches de l'auteur, un 3ème tome légèrement expédié, l'action se précipitant un peu trop à mon goût alors que le rythme était parfaitement dosé jusqu'ici. je regrette parfois quelques expédiants dans le traitement de certains backgrounds, et c'est d'autant plus étonnant que certaines planches sont dantesques.
En conclusion je n'irai pas jusqu'à être méchant car cette série restera un vrai coup de coeur avec le niveau de violence que j'affectionne sans compter la qualité générale des ouvrages.

On peut saluer la qualité du travail d'A.BOCCi pour les dessins en cours de série, rien n'est dénaturé et le style bien respecté.
Ce 3ème tome déploie enfin des éléments de réponse mais c'est à mon goût assez lent. Simple avis personnel puisque tout de même la série semble bien se profiler. J'ai donc acheté les 3 tomes avec l'espoir que la continuité soit au rendez vous avec un virage/suspens soutenu pour le 4eme tome et des ramifications si possible non fumeuses^^

Argl j'en étais sûr, je craignai un développement avec une entité xénos manipulatrice, toutefois je n'ai pas boudé mon plaisir sur la qualité des planches. Désormais j'attends une certaine rigueur pour tenir la série sur le moyen terme et l'achever correctement. Dans ce 2nd volet on demeure principalement dans la veine du 1er, beaucoup d'éléments se mettent encore en place.

j'espère que la qualité de "Sanctuaire" et carthago seront respectées ici d'autant plus que les triptyques marchaient plutôt bien avec une forte maîtrise du développement des scénari

Série qui démarre lentement comme souvent avec Bec, les éléments se mettent en place, les personnages et je rejoins facilement les avis déja parus pour dire que les sauts temporels ou géographiques sont parfois malheureux.
Certaines planches sont magnifiques avec une légère rigidité des personnages... ma seule crainte et que cette série ne soit trop longue! A voir en fonction des développements apportés par la suite

idem que l'avis posté au 1er tome,j'ai lu les autres sans les acheter pour voir si le niveau était réhaussé:
toujours aussi nul, scénario moisi et quel horreur graphiquement!
Les éditeurs ont sorti la version condensée à l'instar des éditions anglaise, cela sert un peu mieux la maquette mais le problème de fond demeure: investissement nul de Games workshop, travail baclé et scénarii digne de série Z. lorsqu'on sait que certains illustrateurs nous sortent des couvertures fantastiques pour leurs romans, on ne comprend pas quel est l'intéret de se coller une balle dans le pied.
A bruler au lance flamme et vite si possible

Alors que je suis passionné par l'univers décrit par warhammer 40k et Battle, on ne peut que siffler la piètre qualité d'adaptation en BD...
c'est affligeant... d'autant plus que même la version comics est inégale et c'est complètement incompréhensible de savoir que Games Workshop, studio qui survit depuis plus de 20 ans avec de larges bénéfices, ne soit pas capable de confier son univers à des illustrateurs compétents.
un gâchis horrible qui ne nécessite nullement un tel investissement.

avis valable pour toute la série

Une série qui, pour l'heure, tient ses promesses, avec une agréable légèreté.
Je me suis ainsi habitué au style graphique et me suis surtout laissé convaincre par la rigueur d'approche du conte et la qualité d'adaptation également des auteurs.
bel ouvrage!

Contrairement à l'avis posté précédemment et que je respecte au demeurant, j'ai personnellement adoré.
Le 1er point est le risque à prendre lorsqu'on sait que ce conte est tout bonnement fondateur jusqu'au Japon ou les adaptations ont été plus ou moins heureuses : Orion (2T) et "Le voyage en Occident" hélas abandonné ou enfin Dragon Ball.
Ainsi ai-je trouvé le graphisme à mon goût, certes très propre mais l'histoire est suivie avec beaucoup de précisions et d'espièglerie propre à la nature intrinsèque du singe. j'ai donc attendu la suite avec angoisse pour m'assurer que le niveau ne chuterait pas ou que la coopération sur ces ouvrages tiendrait ses promesses.

il faut aussi rappeler que la force de ce conte est dans son contexte culturel, lors de l'introduction du bouddhisme, les croyances shinto ou animiste se télescopent avec la nouvelle vision religieuse qui balaye l'inde, la Chine, le Japon etc...
Suivant ce télescopage c'est tout simplement 2 visions du monde qui s'affronte à l'instar de nos Dieux païens détrônés par la christianisme
l'influence et la représentation du singe a une connotation puissante au point d'en trouver des exemples dans la musique traditionnelle ou les ensembles d'instruments s'affrontent à la façon des communautés de singe (Cf Sumatra, Java etc)

11ème album de cette série mythique.
C'est glauque, violent, anticonformiste mais tellement original!!!
Bien sur il faut savoir lire cette série au 2ème degré et s'imaginer une société ou les humains sont livrés à eux-mêmes.
On recouvre ici une autre conception du meutre et du cannibalisme.
Une oeuvre brillante.
9/10.

Un deuxième opus bien moins maitrisé que la premier.
Coté dessins c'est l'extase, sérieux et minutie dans les moindres détails.
Coté scénario c'est un peu du grand n'importe quoi. On y cotoie des sorcières, des pirates et même des zombies.
Pas très crédibles.
Bref une déception.
5/10.

Ma foi une série qui commence plutôt bien avec quelques rigidités dans les personnages mais le scénario se met bien en place. j'ai eu quelques difficultés à m'attacher aux personnages d'autant qu'il y a pas mal de carnages :)... pour un thème horrifique on s'approche assez de "28j plus tard" et j'ai bien apprécié la qualité de la transposition du thème dans une variante assez musclée.

Le dessin de cette histoire est vraiment sublime. Depuis que je lis des BD, je crois que je n’ai jamais lu quelque chose d’aussi abouti visuellement, Rosinski a fait très fort. D’un point de vu scénario c’est pas mal non plus, il y a pas mal de rebondissements. En gros l’histoire : c’est un artiste peintre qui revient quelques années plus tard pour se venger après maints périls. Rosinski et Sente forment incontestablement un duo de choque.

Peut-être pas le meilleur livre de Clowes, "le Rayon de la Mort" restera néanmoins comme l'un de ses plus sombres. Les hasards de l'actualité nous le feront comparer à "Kick Ass", pour à la fois en rapprocher le thème (être un super héros au milieu de l'Amérique banale, quotidienne) et en opposer le traitement (au final, rien ne sert à rien, si ce n'est à empirer les choses, soit le pessimisme un tantinet cynique typiquement ClowesienClowesien). L'absurdité de la vie quotidienne est ici à hurler, accentuée par l'impuissance (créative et finalement physique) du "héros" à y changer quoi que ce soit, à s'inventer un futur décent, ou ne serait-ce qu'à trouver en soi la moindre volonté d'avancer. Dans ce monde à la précision aussi tranquille qu'absolument mortifère, le fantastique le plus outrancier ne peut être que lamentablement inopérant : mettre à la pâté à un sombre imbécile ou faire disparaître de la surface de la planète un gêneur peut difficilement être assimilé à un valeureux combat contre le mal, et Clowes, des tréfonds de son désespoir silencieux, nous murmure qu'il vaut sans doute mieux continuer à nous mentir à nous-mêmes pour pouvoir seulement survivre.

Les graphismes sont destabilisants, on a parfois plus l'impression de gribouillages que de dessins.
Le scénario mélange histoire et fantastique.
L'ensemble serait assez réussi s'il n'était pas si confus.
Bref je n'ai pas aimé mais je conseille vivement la lecture pour se faire son opinion.
5/10.

Decidemment je crois que je n'aime pas cette série.
La fin est grotesque mais c'est normal pour un spectacle de clowns.
Ce dernier tome révèle la pauvreté du scénario onvoit venir la fin dès les premières pages du livre.
Et decidemment les dessins sont horribles.
A oublier.
5/10.

Déçu par ce deuxième album.
Une description trop caricatural des banlieux, un scénario un peu poussif, des dessins vraiment pas à la hauteur.
Même les personnages que l'on pouvait trouver originaux sombrent dans le banal.
Espérons que le tome 3 apporte plus de souffle à cette série.
6/10.

Lydie n'existe que dans l'imaginaire de sa maman Camille, simplette qui a accouché d'un enfant mort-né, mais pas pour elle. Et du coup, toute l'impasse "du bébé à moustache" (sauf les enfants qui sont bien les plus cruels !) joue le jeu de cet enfant irréel qui sert de famille à sa maman.
Histoire très touchante mise en image toute en douceur par un dessin plein de charmes, une petite réserve pour le fin un peu "trop", mais au total une très bonne bd sur la vie de gens ordinaires qui peuvent aussi nous émouvoir et nous faire rêver.

Percevan, contraint et forcé, vole au secours de la princesse chinoise Fu Hao enlevée par le brigand Qan qui demande comme rançon qu'on lui amène des chevaux célestes.
L'histoire est classique, avec le contraste entre le héros placide et la faire valoir râleur et gaffeur qui amène un peu d'humour dans l'histoire, la princesse est bien jolie et le brigand a peut-être du charme. Bref des péripéties un peu attendues mais qui restent plaisantes grâce surtout au très bon dessin de Luguy qui reste au sommet de sa forme et donne tout le relief à cet album.

BD initiée par RaphaelB, les 19 autres auteurs ayant été sélectionnés après un concours sur internet.
Une bande d'ami fête le retour de l'un d'eux au sommet d'un immeuble de Paris et s'aperçoivent au petit matin que la ville est envahie par l'eau et des bêtes aquatiques. Chaque auteur développe les péripéties subies par le groupe ou certains d'entre eux.
L'idée de départ est intrigante et le récit et bien lancée par Raphael. La suite est inégale mais reste intéressante à lire. Certains auteurs seront certainement à suivre, et RaphaelB. surement.

Dans ce troisième album, le suspens reste omniprésent. Jean-David Morvan passe néanmoins à la vitesse supérieure et nous révèle enfin les raisons d'une apocalypse annoncée. L'histoire est vraiment plaisante et on s'y laisse immerger de très bon cœur.

Le dessin de Gérald Parel s'est notablement modifié par rapport aux deux premiers tomes. L'ambiance générale se fait plus sombre grâce à l'emploi plus important des nuances de noir. Ce changement est accompagné par l'arrivée d'une nouvelle coloriste, Kness, en lieu et place des Color Twins.

Quel sera le personnage éponyme du quatrième tome ?

J'ai par rapport a cette BD un bilan nuancé d'ou le 6 sur 10.
En fait ce que j'aime pas du tout en BD c'est la voix off qui nous explique ce qu'on devrait voir et là franchement c'est limite insupportable : c'est de la BD rogntudjuu ! si vous voulez montrer des choses ben dessinez les !
Comment peut on rentrer dans une histoire avec sans arret cette vox qui nous dit ou nous explique ce qu'on est censé simplement ressentir !
C'est vraiment dommage cette nuisance ! L'auteur aurait du revoir son travail à la lueur de l'encyclomerveille par exemple : c'est un récit qu'on nous conte mais on entre tout de même dans l'action comme si elle était au présent et ca dynamise le tout ... au lieu de nous dire "ca c'est la maison de machin que tu vois dans la case ..." alors qu'on la déja vue plusieurs fois, franchement inutile .
Sinon mis a part ca, la BD est très jolie et l'hstoire assez bien découpée pour justement se passer de voix off ... et le monde assez original même si à mon gout pas assez décrit alors qu'on devine pourtant un grand nombre de recherches, dommage. On se contentera donc des turpitudes de la sorciere qui retourne les ames des morts dans des poupées au risque de se mettre à dos les dieux et les hommes qui en dépendent.

Voila !! Voila la raison de la baisse des scénars de Requiem Chevalier-Vampire car on ne peut pas être sur tous les fronts Mr Mills !
Le scénar est assez basique dans un monde celte désormais assez classique pour les lecteurs assidus de BD avec des Balor-méchants et une humanité entre rebellion et soumission par rapport aux démons. Je ne dis pas que c'etait aussi classique à la création de Slaine, il y a mantenannt quelques années, mais de l'eau a coulée sous ls ponts depuis .
Les dessins sont parfois brouillons et on ne capte pas toujours qui est qui et qui est ou dans la planche, en fait la bonne surprise est la facon dont l'histoire est découpée en épisodes, la séparation se faisant par un graphisme en double page d'un bel effet.
Bref une BD qui veux en mettre pleins les yeux et qui réussi plutot bien, un monde déja vu et revu ailleurs mais qui laisse la part belle à l'action, et un nombre de planches sympathique (112) bref une bonne surprise même si encore une fois je trouve dommage que Mills soit sur plusieurs productions car si il a des idées originales cela va les disperser et donc nuire aux 2 séries.

J'ai été tout d'abord très agréablement surpris par les 6 premières planches de cet album que j'ai découvert sur le site officiel de l'éditeur.
J'ai donc acheté cet album, et le fait est qu'il tient toute ces promesses.
Le dessin est précis et détaillé, le style graphique est vraiment très réussi. Mention spéciale à la couverture et à la double page : "Wouaouh !".
Concernant le scénar', étant fan de Walking dead, j'avais peur de lire du réchauffer, mais il n'en fut rien. La BD a une vraie identité, et mon dieu quelle ambiance, l'excellent travail sur les couleurs y est pour beaucoup !
En outre, le travail autour de l'histoire du personnage principal est très intéressant...
Bref, une excellente surprise à tous les points de vue ! Vivement la suite...

Ranx est un robot au cœur d'artichaut épris de Lubna , gamine pubère et junkie, dans une Rome d'apocalypse où la violence règne en maître. BD culte des années 80 à ne pas mettre entre toutes les mains, ultra violente et totalement immorale, son excès même la rend jubilatoire, d'autant que les dessins de Liberatore aux couleurs criardes correspondent bien au caractère artificiel du monde décrit.
A lire au second degré même si c'est une allégorie de la violence que peut atteindre notre société d'hyper consommation.

Fan de la serie initiale, je trouve le 1er opus de Merlin le Prophète plutôt satisfaisant.
J'apprécie particulièrement le dessin de Pierre Denis Goux sombre et fouillé.
Les couleurs sont je trouve particulièrement réussies.
Quand à l'histoire, Merlin est de retour et la tache qui l'attend apparaît déjà particulièrement complexe. Les forces du mal sont bien présentes et s'organisent rapidement.
Vivement le deuxième épisode!

Les fans de comics en auront pour leur argent, pour une édition antérieure aux albums Panini et bien moins chère, mais qui s'en est arrêtée là, malheureusement !
L'action est le mot d'ordre, ça pète de partout et le dessin et les couleurs confèrent un côté spectaculaire très réussi.
C'est speed, violent et finalement assez jouissif !

Un premier tome intéressant ! Une famille particulièrement compliquée dans de sublimes décors Kényans.
Je ne suis pas totalement fan du dessin, très sobre, je ne le trouve pas assez fouillé.
Néanmoins l'histoire nous prend rapidement et on a hâte d'en savoir plus sur ces personnages qui semblent tous cacher de multiples secrets.

A la fin du XXIème siècle, l'Angleterre a été dévasté par des évènements inconnus qui ont conduit à la destruction de la majorité de la population. Des survivants regroupés dans une ville se sont réfugiés dans la religion qui condamnent les livres.

BD d'anticipation classique avec les très bons dessins de Stalner, cela a l'air intéressant mais il s'agit d'un tome de présentation et il faut attendre les suivants pour juger définitivement. Pour l'instant c'est la qualité Stalner, distrayant et bien dessiné avec quelques scènes coup de poing qui évitent la mièvrerie.

Impression mitigé mais plutôt favorable.
Le scénario est une vrai réussite et vaut surtout pour la richesse de ces personnages. On y regrette parfois le cliché sur les banlieux.
Les graphiques sont accrocheurs mais un peu moins bons que dans le pouvoir des innocents.
L'histoire est bien construite avec sa dose de suspens et d'action.
Peut-être une future grande série.
Attendond le tome 2.
7/10.

Cette remarque vaut pour les 3 premiers tomes réédités en édition reliée. Et je n'au pas vraiment aimé cette série.
Le scénario est plat et sans suspens. On parle des ptérodactyle qui renait à la vie comme par magie, un dieu au nom ridicule et un homme préhistorique qui s'exprime comme Molière.
Les dessins sont horribles et restent enfermés dans des cases.
Bref à oublier très vite.
3/10.

Les fans d'épouvante y trouveront leur compte, bien que ce premier épisode se distingue plus pour la qualité de dessins, vraiment très beaux et bien mis en valeur par la grand format.
Côté scénario, on navigue en plein classique du genre : les gentils humains d'un côté, les monstres contagieux de l'autre. Ça fleure bon la série B mais c'est tout de même bien fait. On apprend en effet les origines de la FVZA et les maux qui se sont depuis longtemps dispersés parmi la population américaine.
Dernière précision : ça se lit en moins de temps qu'il ne faut au virus du Zombisme ou du Vampirisme pour passer dans le sang...

Quatre épisodes jusque là inédits, Moore au scénario, le parfum alléchant du crossover pour deux séries cultes d'Image (même si WildC.A.T.S. a été revendu par Lee et Choi à D.C.), il y avait de quoi se réjouir...
Je n'ai pourtant pas été convaincu.
Deux raisons majeures pour cette légère déception. D'une part le dessin, plutôt gauche, même s'il a le mérite de respecter le graphisme des deux séries. On est bien loin des McFarlane, Capullo, Haberlin ou même Daniel. Globalement, ça n'a pas très bien vieilli... D'autre part, il m'est apparu évident que Moore s'est retrouvé dans un carcan éditorial qui a grandement limité sa légendaire créativité.
Cette histoire de remontée dans le temps offre pourtant des moments cocasses : de nombreux personnages sont confrontés à leur moi futur, c'est même le postulat de départ puisque Spawn va contribuer à contrecarrer son propre destin sous l'impulsion des WildC.A.T.S. Mais le côté action/bastons, qui semble être un impératif, fait aussi que le récit est très linéaire.
L'issue est prévisible, mais elle reste bonne dans sa forme, bien que je sois persuadé que ceux qui ne connaissent pas la série régulière de Spawn n'y comprendront goutte...
Un album anecdotique, qui ne pourra séduire que ceux qui sont déjà acquis à la cause, et encore...

Etant collectionneur de la première heure, j'ai la (presque) totalité des albume de cette période.
Par contre, j'aimerais bien avoir quelques renseignements sur les illustrations de Corben présentes à la fin de ces Chroniques de Conan 1975.
S'agit-il de celles précédemment publiées dans "Savage Sword of Conan" n° 4 de 1975, au nombre de quatre, où on le voit aux prises avec de terribles dangers : face à un singe ailé, à un "loup" à cornes, un serpent géant et enfin une femme nue (Conan semble avoir le "coup de foudre" pour cette dernière) ?
Merci pour votre aide. Fred

Chabouté a le don de créer des ambiances muettes où un seul regard peut tout dire, tout faire.

Le métier de marin n'est pas sans repos mais il devait l'être encore moins au début du siècle. Surtout lorsque des meurtres se produisent sur la goéliche, que le capitaine boit un coup et bat son moussaillon...

On ne sait pas où l'auteur veut en venir avant le quart final de l'oeuvre.

Une belle surprise égale aux oeuvres de Chabouté. Pas la meilleure mais vaut le détour.

L'histoire de Richard Sorge, espion mythique de l'URSS qui a changé le cours de l'histoire.
Le personnage est très attachant et très loin des stéréotypes sur les barbouses.
Alcolique ouvertement d'extreme gauche, surnommé le Russe par les allemands, il souffre des attrocités de la guerre du coté japonais et allemand.
Une bd originale et très intéressante, très loin des lieux communs sur l'espionnage.
Un dossier historique assez succint a la fin de l'ouvrage apporte un complément intéressant.

Quelle bonne surprise que cet album!

Il est vrai que "Walking Dead" a placé la barre très haut, et bien cette "Divine Comedie" n'est pas en reste dans cette course à la survie.

L'introduction est tout simplement fantastique, à la fois très drole et implaccable, ce que l'on peut dire c'est que ça commence bien (ou mal, c'est à vous de voir!).

La suite ne baisse pas en intensité, le système de narration en voix off permet une imersion totale, le personnage principal est assez charismatique.

Les rencontres entre les différents protagonistes s'enchainent, puis c'est la mort brutale et sans pitié qui frappe, on a pas le temps de la voir venir. Le rythme est très soutenu, le suspense est omniprésent.

La fin de ce premier volet vous laisse un gout amère tant elle est dure et cruelle.

C'est bien dessiné, les couleurs sont appropriées.

Bienvenue en enfer, une descente que l'on a hate de poursuivre.

Superbe album
Le dessin est très beau, très réaliste, les personnages sont très expressifs et mettent bien dans l'ambiance.

L'intrigue est très bien amenée, c'est un très bon pollar.

Le personnage du juge bao a une force de caractère et une détermination impressionnante et n'hésite pas à utiliser des stratégèmes originaux et à être très autoritaire pour mener son enquête. Le contraste avec la mollesse de la justice actuelle est saisissant.

Un album haletant qui nous fait découvrir une Chine rafinée et assez décadente, bd de très grande qualité sur une civilisation et une période peu abordées.

Je n’ai pas été très emballé par cette histoire (les 5 volumes). Je pense qu’il faut aimer le genre Roméo et Juliette ; une histoire d’amour dramatique. La fin n’est pas si époustouflante que ça. Par contre les dessins sont impeccables et les couleurs originales. L’ambiance des années 1840 est vraiment bien maitrisée. Je conseille mais uniquement pour ceux qui aiment ce genre d'amour impossible.

Quelle déception!!
Le scénario est d'une platitude extrème. Les personnages sont caricaturaux à souhaits avec des évagéliques puribonds qui rêgnent en maitre dans ce vaisseau spatial, des militaires bornés comme rarement. Même l'histoire du métisse extra-terrestre est difficile à croire.
De plus l'hhistoire se passe finalement peu sur Antares.
Ca sent la série sans inspiration.
Espérons quand même pour la suite que les auteurs fassent preuve d'originalité.
5/10.

En commençant cette série je n'avais lu ni Aldébaran ni betelgeuse, je partai donc un peu dans l'inconnu.
Ce premier tome m'a paru un peu poussif, on y décrit peu ce nouveau monde.
Peut-être aurait-il fallu changer les personnages.
Heureusement la fin est plutôt encourageante pour la suite.
Les dessins restent fidèles à l'auteur ; simples, clairs, satisfaisants.
Attendons la suite.
6/10.

On suit en parallèle ARQ et Arena qui mènent tout deux une enquête, elle pour retrouver la petite amie disparue de Mike dans le coma suite à une agression, lui pour retrouver le dossier de ses origines. Déroutant de prendre en cours de route (13ème épisode) l'histoire d'Arq. Mais si j'en crois les commentaires des amateurs, ils sont aussi désorienté que moi comme pour tous les albums d'Andreas dont c'est la marque de fabrique de brouiller les pistes dans un univers fantastique foisonnant où le dessin participe de cette complexité voulue. Pourtant on arrive à suivre ces histoires que l'on devine très travaillées comme le dessin qui utilise à fond la magie du noir et blanc avec une mise en page originale. On sent la patte d'un véritable auteur qui ne cède pas à la facilité. Il faut rentrer dans son univers, accepter de ne pas tout comprendre et se laisser porter. A ce prix on peut adhérer, mais le risque existe de passer à côté. Personnellement motivé par la participation à un jury, j'ai fait l'effort et je ne regrette pas cette découverte, mais je ne suis pas sur d'avoir assez de motivation pour rattraper les 12 épisodes qui me manquent, sachant que j'ai toujours laissé de côté les histoires de Rork quand elles étaient publiées dans le journal Tintin.

Pas mauvais pour un premier tome de série mais trop conventionnel.
On a du mal à croire à la fuite de ce père avec son fils sans qu'il ne lui dise rien.
On sent venir les coups de théatre et le fait qu'il s'agisse d'une affaire d'espions dormants.
Mais le rythme de l'histoire est bien menée et les dessins sont agréables.
On passe donc un bon moment de BD.
A suivre avec intérêt.
7/10.

Dans le même style que le précédent album avec son lot de révélations.
On regrette que la mission eut été si facile pour un garconnet.
Il y manque peut-être le féérique des aventures du père.
Mais les dessins....
On attend la suite avec impatience.
8/10.

Superbe passage de flambeau entre Van Hamme et Sente.
Le scénario est époustouflant et alors que l'on pensait que l'histoire ne concernerait que Jolan on se trompait et toute la famille va être mis à contribution semble-t-il.
Le plus gros changement concerne les dessins de Rozinski en couleurs directs cette fois. Au départ c'est un peu déroutant mais le résultat final est au rendez-vous.
Sublime.
9/10.

Déçu par ce quatrième opus qui n'apporte finalement pas grand chose de nouveau coté scénario.
Parfois on atteint même le gore.
Et cette sale manie de vouloir que tous les personnages se soit déjà rencontrer dans leur jeunesse est un peu puéril.
Dessins constants dans le parfait.
6/10.

M-A Mathieu est un de ces auteurs qui va vous toucher ou vous déplaire peu importe le temps que vous passerez à essayer de le comprendre. Dans mon cas, j'adore sa grande vivacité intellectuelle qui nous permet d'avoir accès à des oeuvres telles que celle-ci.

Rien n'est facile quand Dieu débarque "en personne". Mais est-ce vraiment Dieu? Et si c'était lui, pourquoi ne pas lui offrir un procès d'intention pour tous les maux engendrés par notre création? Telle une rock star, il devient un phénomème médiatisé, interplanétaire.

On y retrouve certaines des prémisses du débat sur l'athéisme mais en même temps, on y dissèque la manière groteste et parfois illuminée de créer un phénomène médiatique. Si on y rit, c'est de couleur jaune.

Quel bel exercie de création, de style, de questionnement...

Ah si tous les auteurs pouvaient atteindre, à quelques reprises, des sommets d'une telle intelligence.

Chapeau!

Jodo frappe fort avec ce nouvel opus. Cette série ne sera pas cependant à mettre entre les mains des plus jeunes dû à ses scènes érotiques assez fortes et marquées du seau de l'impudeur.

On y dévoile une Église dévergondée, où la quête du pouvoir devient l'objectif ultime, peu importe le nombre de cadavres qu'il faudra laisser sur le plancher pour y parvenir et peu importe la dépravation et la violence engendrées par cette quête.

Un bon début. Où serons-nous transportés ensuite?

Le dessin est très joli.

David Lapham provient du milieu du comic book et on reconnaît le trait régulier de ce genre de médium.

Deux petites curieuses, emmerdeuses, se mêlent de ce qui ne les regarde pas et l'action se met à débouler. Le problème, c'est qu'on s'en fout un peu. Tout est en surface, l'émotion n'est pas au rendez-vous, le suspense à peine présent.

Seul le dessin précis, aérien donne de l'intérêt. Ce n'est pas si mauvais, c'est seulement pas inoubliable et surtout...un tantinet soporifique.

Tout s'y déroule sans profondeur. L'ambiance est différente puisque crayonnée ce qui apporte une touche d'originalité.

La nouvelle, puisque je préume que c'est là d'où ça vient doit être plus étoffée, concise. Ici, on lit rapidement et on oublie...rapidement. Rabattez-vous dans cette collection sur Shutter Island.

Troisième tome de la série : un peu moins abouti que les 2 premiers.
Mais l'ensemble reste tout à fait correct. Le scénario est sans faille même si parfois on a un peu de mal à y adhérer.
J'ai trouvé les dessins un peu moins bon.
Une très bonne lecture tout de même.
8/10.