Les avis de la bedetheque

Deuxième et dernier épisode de cette mini-série. J'aime bien l'ambiance et le caractère anticonformiste des différents protagonistes.
Le scénario frise souvent l'immoralité, il est noir à souhait et j'ai trouvé l'ensemble plutôt réussi.
7/10.

Un album de transition que notre héros traverse convalescent sur un lit d'hopital, enfin une chambre de saloon reconvertie en cet usage et aux bons soins d'une chanteuse de cabaret reconvertie en infirmière.
Ca manque un peu d'action, d'indien et de far west.
un bon moment de lecture.
7/10

Un peu déroutant par moment avec violence et sexe gratuit. Un scénario qui ne fait pas dans la finesse et franchement on se demande par moment où l'auteur veut nous conduire.
Mais en fait il ne s'agit que d'une simple histoire de magie dans l'orient du moyen âge. N'y chercher surtout pas un message mais passer un bon moment de lecture.
8/10.

Un deuxième tome tout à fait semblable au premier et un scénario comme une introduction à rallonge.
On en apprends si peu et au final on est déçu.
Par ailleurs l'histoire me fait penser à celle du "territoire".
L'intérêt donc de cette série s'étiole donc. Pas sur d'être là pour l'acte 3.
5/10

histoire complète, mais difficile à suivre à mon goût. toires se mélangent, et même si le scénario est finalement interessant, j'ai failli abandonné la lecture une ou deux fois ne voyant pas de finalité...

j'adore !
Sans être un pro des bd, j'ai aodré les dessins tout comme le scenario. Original par le déroulement, sans être trop long ni trop court, les suspenses et rebondissements sont là.

Effectivement un ton au dessous des 2iers opus.
L'histoire paraît un peu plus brouillonne malgré les références historiques.
Les dessins s'améliorent doucement.
7/10.

Un bon deuxième tome plus centré sur les personnages principaux que sur l"épopée de l'aviation.
Les dessins déclinent un peu d'où une note inférieure au 1ier opus.
Excellente lecture tout de même.
7/10.

Un excellent premier tome d'une série prometteuse, celle des faucheurs de marguerite convaincus que le ciel commence au ras du sol.
L'histoire est plutôt agréable, les personnages attachants et leur passion est rapidement communicative.
Les dessins restent perfectibles mais s'éclipsent devant la puissance du scénario de l'une des plus belle conquête de l'homme.
A dévorer sans modération dans l'attente d'une suite.
9/10.

Le tome le plus abouti de la série et pourtant le scénario est sans surprise car trop linéaire. Il y a peu d'action et l'idée d'une agence de "gamins" indépendant aux diverses talents est vraiment trop mal exploité.
Dommage!!
5/10.

Un scénario sans relief, des personnages qui nous accrochent peu.
Des dessins perfectibles;
Bref, rien d'inoubliable.
6/10.

L'après guerre,Joseph et les résistants de la police ont retrouvés toute leur superbe et ne veulent plus entendre parler des zones d'ombre de leur passé, quitte pour cela à user de méthodes qui ne devrait plus avoir court dans une démocratie en paix.
Et c'est tout le mérite de cette bd, de nous plonger dans l'ambiance et l’ambiguïté de cette époque qui aimerait bien ne garder que la partie avouable du passé, mais certaines victimes ne veulent pas se laisser faire. Mais rien n'est manichéen dans cette histoire où il est difficile de trancher facilement entre les bons et les méchants, à l'image de toute société.
Superbe reconstitution, histoire rondement menée, on en redemande.

Excellent tome qui se passe cette fois dans le milieu des défenseurs de la cause animale dont l'extrémisme s'apparente parfois au mouvement type KKK;
Dommage que les dessins soient si baclés.
8/10.

L'histoire est très bien construite mais le sujet est trop abscons pour un non initié.
En résumé il s'agit d'une épidémie d'encéphalite spongiforme bovine (creuzfeld jacob) du à un prion mutant indétectable, transmissible à l'homme par simple ingestion de viande.
Sur ce sujet de psychose et d"épidémie mortelle on aurait aimé un scénario plus haletant ne se résumant pas à un duel père-fils.
Plus de simplification dans les explications aurait été bienvenu;
On a tout de même une bonne histoire à lire.
8/10.

Une fin en forme d'inachevé puisqu'on voyait venir de loin la déroute terrienne.
Un combat final totalement ratée.
Des tonnes de blabla moralisateurs.
Restent les excellentes illustrations, c'est peu!!
3/10.

Un scénario en très nette perte de vitesse. L'histoire devient confuse à la limite parfois de la caricature.
Navrant.
6/10.

On tombe un peu dans le "space opera" ce qui nuit à la qualité du scénario.
Heureusement les dessins restent à la hauteur.
Série en baisse.
6/10.

Une bonne BD de science fiction où les humains jouent le rôle des méchants colonisateurs sur une planète aux peuplades pacifiques (de l'Avatar avant Avatar) encore que le pacifisme s'arrête là où commence la révolte.
Scénario bien ficelé et dessins d'excellente facture.
Un bon moment de lecture.
A suivre avec intérêt.
8/10.

Vraiment pas mal du tout cette histoire.
Aria donne naissance à un petit Sacham, le problème est qu'il est couvert d'écailles avec des cornes, heureusement, les frones se métent tous à guérir le jeune garçon qui à grandi très vite en quelques jours.

Cette fois ci notre chère Aria se retrouve enceinte de Tigron et décide donc de retourner dans son pays natal qu'est l'Arnolite.
En chemin elle vas croiser un homme qui vas tenter de la garder pour lui.

J'ai bien aimé cette pression qu'Aria subit ainsi que son amnésie.

Moi aussi je me disait que reprendre XIII c été pas une mince tache a faire, mais j osait y croire!!! (Sente c est très bien débrouille avec thorgal)

Pour tout dire, ça ne s arrêtera donc jamais, voila la réflexion que je me suis faite en lisant, sinon c est un album sympa, qui laisse présager une bonne suite de l histoire mais bon un peu bis répétita tout ca!!!

A conseiller pour ce qui ne sont pas essouffles par XIII

@cachou
euh je veux pas jouer les rabats-joie, mais j'ai constaté que tu as mis 5 étoiles à tous les albums de XIII. Tu mets donc "le jour du soleil noir" au même niveau que "l'or de Maximilien"?...Enfin bref, tu mets les notes que tu veux. Tout ça pour dire que j'étais content de voir une bonne critique avant de peut-être l'acheter quand je me suis souvenu qu'il y avait quelqu'un qui mettait 5 étoiles tout le temps. Bingo, ça a pas loupé! Je vais donc attendre de lire d'autres avis que le tien pour me décider.

Agréablement surpris par l'intrigue de ce " casse".
Je suis bien rentré dans l'histoire, le scénario est cohérent et plutôt bien ficelé.
J'ai trouvé que le dessin colait bien avec l'intrigue, quequechose d'assez sobre et épuré.
Enfin et surout, de très belles couleurs.
Voilà, certainement pas la BD du siècle, mais j'ai pris beaucoup de plaisir à m'y plonger.

Nous retrouvons Aria, qui cette fois doit essayer d'éliminer Sacristar qui cherche à éliminer toutes les amazones du pays, heureusement pour elle son ami Tigron est là pour l'aider.

Un album excellent, où le ton légèrement cynique comme le dessin soutiennent des blagues un peu geeks, des chutes improbables, et des raisonnements subtils !

Avec cet ouvrage on en a pour son argent: 255 pages pour 15euros, ce qui occupe beaucoup plus qu'une BD classique. Bref à lire et à offrir !

Par contre, faites vous un avis sur le blog de Marion Montaigne, en lisant une ou deux aventures du professeur moustache; mais ne le lisez pas intégralement le blog parce que le livre ne contient pas énormément d'inédits.

"L'une des réflexions les plus pertinentes d'un auteur de bande dessinée sur son moyen d'expression"... l'Association, dans son catalogue, résume parfaitement le sentiment que l'on a à la lecture de "encore un effort".
Les réflexions de Baladi sont (ou semblent en tout cas!) totalement dénuées de langue de bois, certaines d'entre elle étonnent, dénotent, d'autres parfois provocantes parfois sujettes à débat (me concernant je ne suis pas d'accord avec tous les propos exposés) mais toutes sont frappantes de justesse et de sincérité. Pas de fards, pas d'artifices, mais un effort de sincérité emprunt d'humilité. Il s'agit très certainement, à mon sens, d'une référence pour l’Esthétique et la philosophie de la bande dessinée. En somme: une super BD!

Encore un autre album que je trouve très réussi.
Le dessin de Boucq colle parfaitement au personnage d'Amos.
Coté histoire j'ai vraiment aimé., vraiment bien le mot de la fin.

Cela faisait 4 ans que j'attendais, s'il devait un jour en avoir une, la suite.

Tout d'abords, le dessin de Jigounov se préte vraiment bien au style de Vance, on a l'impréssion que c'est toujours Vance qui dessine et pourtant on voit aussi très bien que c'est tout à fait du Jigounov.
Pour ma part, les personnages connus (XIII, Jones, Carrington, Bettie et Pressau) sont vraiment bien représentés presque comme si c'était Vance lui meme qui les avaient dessinnés, mais les autres persos sont perfects. Et pourtant il est bien noté que ance ne colabore que sur les 4 pages de fin d'album sur les décorations.

Maintenanant l'histoire, Sente, je trouve, nous fais içi une histoire qui nous tiens en haleine, c'est la suite ou l'avais laissé Van Hamme, et comme pour Thorgal (meme si je trouve que sur XIII cela paraissait plus dure), il a su parfaitement reprendre la série se qui ne devait pas étre une mince affaire.
A la fin du livre on a vraiment envie de savoir la suite tellement on rentre dans l'aventure et les nouvelles embrouilles dans lesquelles XIII c'est à nouveau fichu.

Pour moi ce 20ème tome et une vraie réussite sur tous les plans, les auteurs ont suent reprendre la série avec brio, vraiment un petit bijou.

Je pense qu'il ravira tout les fans de la série et ceux de Vance.

Ne serait-ce pas le meilleur de la série ?
A vrai dire, je viens de me replonger dedans et ce tome est vraiment excellent. On revoit la saga Joanovici mais vu sous l'oeil de ce 'petit juge de Meulin' confronté à vouloir rétablir l'ordre façon 'Eliott Ness'...
Génialissime, encore et toujours, vraiment une série incontournable...

J’ai acheté cet album en me basant uniquement sur le fait que Gimenez en était le dessinateur (c’est une valeur sure ^^) et qu’il s’agissait de Space Opera.
En effet (honte à moi peu être) je ne connaissais pas Malka.
Cet album est au final une véritable réussite tant au niveau des dessins que de l’histoire.
J’attends avec impatience le tome 2 en espérant qu’il soit aussi réussi que le premier.

Andramone

un des meilleurs de la serie.
Manipulation génétique, un grand défi qui nous attend. En tout cas facile à lire, superbe couleur, trait maîtrisé, un régal!

ambiance speciale, specialement dérangeante... il fait froid, ils sont perdus et seul un navire bloqué par la glace peut leur sauver la vie...ou leur prendre!
Belle BD

un classique de la serie,
se lit comme on boit comme un coca bien frais au soleil,
à lire sans sourciller!

Un trés bon One shot. Personnellement le meilleur de Berlion, le trait et les couleurs
se marient parfaitement avec cette histoire qui sent la lenteur d'un été sous le soleil, l'ambiance bien transmise.

une ambiance tres seventies, du noir et du blanc, et puis du rouge ...sang.
Tueur de cafard comme un roman de gare se lit d'untrait, et puis...on en redemande!

Je n'aime pas mettre 10/10 car cela voudrai dire que l'album est parfait, mais la BD c'est un art, l'art est imparfait.
Le tome 4 cloture une oeuvre incontournable de la BD. La richesse du texte de Vautrin est ici magnifiée par Tardi.
J'ai la chance d'avoir le tirage de tête du testament des ruines, un must dans une collection.

La première rencontre entre les deux petits monstres, jeunots et innocents, puis bien vite curieux et prêts à vivre de folles aventures.

Une pure merveille à découvrir pour les non initiés.

Trés bon diptyque, avec un scénario trés bien mené et de superbes dessins notamment certaines doubles planches.

Je pense que la série pourrait encore être développée dans cet univers...

L'intrigue de ce 3ème volume reste très bonne. Dommage, comme certains l'ont déjà fait remarqué, que le dessin est tant changé !

Il n'empêche que je suivrai avec grand plaisir, et jusqu'au bout, cette série très particulière, dans le bon sens du terme.

Voilà une série qui m'a fait sortir des sentiers battus, tant au niveau du dessin, du choix de l'époque et du ton général.

Ce 1er volume est vraiment une référence : l'ambiance est sombre, le mystère encore grand, certaines planches des oeuvres d'art avec une mention spéciale sur les couleurs.

Je pense malgré tout que cette série prendra toute sa dimension pour un public un peu averti et relativement mature.

Je ne connaissais pas du tout cette BD ; les avis postés sur le site m'ont donné envie de la lire.

C'est d'abord une bonne histoire d'aventure dans des contrées et à une époque plutôt originales et, semble t'il, bien retranscrites.

2 défauts quand même pour expliquer une note sous la moyenne des autres avis de lecteurs : les dessins mais surtout, le ton (léger) et les péripéties (souvent faciles) sont un peu démodés de mon pt de vue.

Encore une histoire que je trouve originale et qui m'a bien plu.

Cette fois Aria aide une femme qui se serait réincarné en Ove, à fuire son marie forcé et ainsi retrouver son autre mari qui aurait 467 ans.

Ce 4ème tome (sur 6) consacre une place importante au passé et se déroule essentiellement en Allemagne lors de l'ascension du Reich, période que j'ai trouvée très bien évoquée. La technique de narration reste toujours la même avec l'alternance présent/passé qui reste très lisible grâce au jeu de couleurs entre chaque époque et un rythme relativement rapide. Le scénario ne s'embarrasse pas trop avec la profondeur des personnages et privilégie la description des évènements et du contexte ce qui finalement correspond bien au cadre du récit, Sherman contant son histoire afin que les enquêteurs puissent déterminer d'où vient le danger. Les révélations commencent vraiment à tomber, on peut enfin mettre un (des ?) visages sur la (les) personne(s) lui en voulant à mort même si le degré d'implication et les liens entre tous les ennemis potentiels (la dernière page le confirme bien) restent encore à découvrir. De plus, dans le présent, toujours pas de nouvelle de sa fille.

La partition de Griffo reste toujours aussi plaisante même si j'ai ressenti une légère baisse par rapport aux tomes précédents en particulier sur certains visages. C'est sans doute le prix à payer pour assurer un rythme de sortie aussi rapide des 6 tomes, mais globalement le trait reste efficace, les personnages bien campés et relativement expressifs. On ressent bien ce soucis de recherche d'efficacité avec des décors fournis que pour certaines cases. Mais je trouve que c'est fait adroitement et que cela ne perturbe pas trop la lecture les ambiances restant bien restituées.

Un album (une série) sans grande originalité mais une intrigue parfaitement maîtrisée et orchestrée qui peut ravir les amateurs de suspens.

J'ai vraiment bien aimé cet album, pour l'instant il fait parti de mes préférés dans la série.
Cette fois Aria croise la route d'un barde qui, lorsqu'il est censsé mourir lui donne certains pouvoirs dont celui de jouer parfaitement de la harpe, se qui va permettre à Aria de reverdir un pays à l'aide de ces sceptres.

Ce deuxieme tome est décevant, normal les pirates sont restés à terre.
Les personnages sont peu crédibles et on aurait préféré vivre des aventures plus maritimes.
Peu de suspens, restent les dessins excellents.
5/10.

Sans être le meilleur Spirou, loin s'en faut, cet album subit une avalanche de critiques négatives totalement injustifiée.
Après un tome 51 convainquant mais navigant dans les mêmes eaux que la plupart des albums "classiques" de la série, cet album-ci détonne par son ton : c'est de la gaudriole pure et simple, de la guignolerie de A à Z, rien n'est à prendre ni ne se prend au sérieux, c'est du 4eme voire 5eme degré, et c'est à considérer et lire comme tel. A partir du moment où le parti-pris est accepté, tout passe. C'est enlevé, marrant, il y a des running gags toutes les deux pages, Zorglub est toujours réussi. C'est sûr, on en a pas l'habitude.
Le dessin n'est pas mauvais sans être exceptionnel. Les arrière-plans sont souvent réduits à leur plus simple expression, et la mise en place du décor lunaire eût supporté quelques étoffements.
Dans tous les cas, c'est un bon album qui remplit sa mission de divertir, sans autre prétention. A lire pour se faire une idée.

L'après-guerre et le processus d'épuration / retour à la "normale" offre l'occasion à Nury et Vallée de nourrir la saga de Joanovici de nouveaux éléments historiques passionnants et de dilemmes éthiques différents (qui doit on absoudre quand tout le monde a collaboré plus ou moins ?). En adoptant le point de vue du "chasseur" - ce "Petit Juge de Melun" - plutôt que celui de Joanovici, ils offrent une mise en perspective salutaire des agissements de Monsieur Jo, qu'on a naturellement moins tendance à dédouaner. De plus, le véritable coup de maître de ce 5ème tome, c'est de nous faire assister à la déchéance morale progressive de ce juge a priori intègre, une déchéance qui, même si elle est annoncée par une phrase de Nietsche placée en introduction, ne laisse pas de nous plonger dans un désespoir encore plus noir que les précédents tomes de la saga. Avec une narration plus classique qu'à l'habitude - ce qui n'est pas plus mal - et l'efficacité reconnue du dessin (loin d'être génial, il est vrai) de Sylvain Vallée, "le Petit Juge de Melun" est le meilleur volume à date de "Il était une fois en France", chronique d'une France gangrenée par la lâcheté et l'argent, dont on a toujours tenté de nous dissimuler l'histoire, et dans laquelle il n'est pas interdit de reconnaître les ferments de la politique actuelle.

Autant les trois tomes précédents, en les relisants m'ont plutot bien plu, autant celui ci je trouve qu'il est moins bien, certe le dessin est toujours aussi agréable à voir, mais l'histoire est un peu difficile à suivre je trouve, peut étre l'apprécirais je mieux lorsque la suite sera paru et que je les relirais.

Exercice de style jouissif réussi par Larcenet qui réussit à parodier la série culte sans la déshonorer. Le récit est plaisant, on retrouve tous les poncifs du genre, mais détourné par des anti-héros truculents.
Et je suis bluffé par les dessins de Larcenet qui réalise deux pleines pages de toute beauté, et qui réussit à merveille aussi bien les ambiances urbaines que intersidéral.
Bref un hommage à ne pas manquer.

Ce quatrième tome conclut magnifiquement l'histoire, avec un rebondissement final très enlevé, même si on reste dans un récit d'aventure plus classique que le début le laissait prévoir, mais avec un fonds historique toujours bien utilisé.
Comme les dessins sont au niveau de la réputation de l'auteur, cette série fera partie de ses toutes meilleures et se relira toujours avec plaisir.

C'est un one-shot: efficace, simple, agréable à lire.
Van Hamme est cependant en mode-automatique: le scénario est un peu trop facile, même si tout les ingrédients de la série sont là: camions, femmes, argent, trahision et exostime.
Denayer aurait pu passer un peu plus de temps sur la couverture, c'est l'un des seuls reproches côté dessin.

Lu et 25 minutes, par sur que j'y revienne de si tôt.

Une BD à conseiller d'abord aux amateurs de musique, en particulier le blues. Ici on suit l'aventure d'un père et d'un fils passionnés par les musiques traditionnelles de l'Amérique, qui cherchent à enregistrer la musique de leur "terroir" pour ne pas qu'elle soit oubliée. Rien à voir avec les producteurs avides d'argent d'aujourd'hui qui misent sur la médiocrité au nom du billet vert. Non, on a là deux aventuriers de la musique, qui partent à la recherche de la qualité, de l'authenticité, de l'exceptionnel. Ils y rencontrent des bluesmen qui deviendront des légendes tels que Son House ou encore Guitar Slim. Tout cela est bien sûr une histoire vraie. Ce n'est pas un scénario particulièrement rebondissant mais juste une belle épopée humaniste, qui rend hommage à John et Alan Lomax, deux blancs qui ont rendu un immense service à la musique noire. Les dessins sont en noir & blanc et retransmettent bien cette atmosphère vintage et poussiéreuse de l'époque. A voir avant tout comme un bel hommage, même si c'est également un portrait de l'Amérique de l'époque, avec son Sud scandaleusement raciste.

Il est des albums dont il est possible de regretter l’achat : Under T2 est de cela !
Surenchères dans le sordide voire le scabreux, incohérences techniques de base – aller voir des égoutiers se balader sans cuissarde - scénario simpliste, cet album est affligeant. Si au moins le suspens était insoutenable mais le scénario est tellement stéréotypé que cela en deviendrait presque risible ; surprenant de la part de Christophe Bec et Stefano Rafaele qui nous avaient habitués à (beaucoup) mieux sur Prométhée.
Pour amateur uniquement !!!

La série s'essouffle puisqu'actuellement elle ne parle que Paul à la recherche de son père et on n'oublie l'âme de cette série : la découverte d'un nouveau monde et de nouvelles races.
Reste la dernière page qui laisse présager d'un bien meilleur tome 5.
Dessins corrects sans exceller.
Un bon moment de lecture tout de même.
7/10.

Encore une histoire de Jerry Spring très simple mais tellement bien ou l'on ne s'ennuie pas une minute.

Jerry se met à braquer une banque pour se faire embaucher dans le groupe d'El zopilote un voleur qui sévit au Mexique.

Aria retourne dans la ville de son enfance ou elle vas essayer de récupérer un trèsor qui lui apartient et qui a été volé par les hommes du nouveau dictateur.

Une histoire ni mauvaise et ni transcendante.

Cet album aussi m'a bien plu.
Aria voit son cheval se faire enlever par un groupe de personnes, elles les les retrouvent plus tard, et fait la connaissance d'une jeune fille qui n'est autre qu'Arcane qui à grandi.
Là aussi j'ai bien apprécié l'histoire.

Une bonne entrée en matière que cet "escobar" même si pour ma part j'aurai préféré qu'on place l'action dan sl'amérique pré-colombienne plutôt que de nos jours.
Le scénario est par moment un peu caricatural.
Et les dessins ne sont pas arrivés à me convaincre.
En attendant la suite.
6/10.

Voilà une histoire qui m'a bien plu, ou Aria se retrouve malgré elle esclave sur une galère qui part sur un nouveau continent et elle vas faire ressurgire un dieu qui avait disparu.

Un tome plutot sympas à lire mais pas génial non plus.
Aria tiens à sauver un animal capturé par des hommes pour le tuer, elle se retrouve dans une citée ou une boisson délicieuse provoque une maladie.

Je reste toujours captivé par les aventures de Kim et sa bande, par les surprises de ces planètes et par la philosophie de vie qui s'en dégage. Les dessins sont vraiment agréables à regarder et les personnages attachants. Et même si c'est vrai que ça ne se renouvelle pas beaucoup, je prends toujours plaisir à lire et relire ces histoires.
Bref si Léo ne me surprend plus, il ne me déçoit pas non plus et j'attends la suite avec impatience.

Avec ce troisième tome, cette série prouve qu'elle est véritablement à ne pas manquer. En effet, il n'y a pas beaucoup d'histoire qui trois ans après peuvent se lire sans avoir besoin de reprendre les tomes précédents, tellement on se rappelle son originalité et son atmosphère.
Et les dessins de Maillé sont véritablement abouti, on y est bien tout de suite quelle que soit le lieu, moderne, passé ou féérique.
Son seul défaut est donc de nous faire attendre si longtemps, mais pas de doute, si elle arrive à sa fin elle restera dans les grands classiques de Loisel, à la hauteur de "la Quête"

L'histoire de Jack l'éventreur transporté au far west.
Un bon final, un scénario qui tient la route et des illustrations impeccables.
Un bon divertissement.
6/10.

En tout point excellent.
Un scénario qui nous rappelle la grande histoire ou les français avec Lafayette ont aidés les indépendantistes américains face aux tuniques rouges.
Et des dessins................;
Que du bonheur dans las moindres détails comme dans les doubles pages.
Un grand merci à l'auteur.
Et un autre merci aux éditions Glenat d'avoir ressorti cet album en grand format. UN PUR REGAL.
10/10.

Suite à une trahison, Eric se retrouve galérien qui cingle vers la Grèce alors sous la domination des Ottomans. Après différentes aventures, la chiourme se révolte. Eric saura profiter de la situation pour reprendre les choses en mains et, accessoirement, sauver la France.

Une belle aventure qui nous fait pénétrer -un peu- dans le monde asse méconnu des galériens de l'époque.

C'est dans cet album qu'Eric supplante (presque) Barbe-Rouge comme héros de la série. Comme l'on se souvient, Eric est le fils de nobles français partis chercher fortune dans les Caraïbes. Le voici donc de retour dans son pays natal pour faire valoir ses droits. malheureusement pour lui, ce retour ne plaît pas à tout le monde ...
Excellente bande de cape et d'épée dans laquelle on ne s'ennuie pas une seule seconde. A noter que la bande était sortie dans Pilote sous le titre "le Capitaine sans nom".

Aventure indépendante, loin des flots tumultueux. Il s'agit pour Eric, le fils adoptif du célèbre pirate de retrouver son identité et son rang : celle d'un noble français. Si les choses ne se passeront pas comme prévues les méchants seront quand même punis !

Une nullité totale ! L'ambiance n'y est plus du tout, les gags sont forcés, tellement lourds qu'on ne rigole même plus. Il est temps d'arrêter le massacre.

Pire encore que le précédent. Uderzo fait ressurgir Falbala des oubliettes mais ce personnage manque décidément cruellement de saveur à mon goût (côté personnages féminins, je préfère largement Bonemine et ses amies commères). Les parents des deux héros font leur apparition mais ils n'étaient à mon avis guère nécessaire.
Bref, un album très fade.

Une histoire qui n'a ni queue ni tête, des personnages secondaires sans envergure, une ambiance assez incongrue ... seul le dessin est de qualité dans cet album qui est l'un des rares de la série à obtenir le qualificatif de "raté".

Un album bien drôle, qui m'a toujours amusé. Le personnage de Maestria est formidable et ces luttes féministes avant l'heure sont bien marrantes. Le dénouement est lui aussi excellent.

Très bon album, l'ambiance est poétique à souhait, et le voyage en tapis volant qui dure sur plusieurs pages est très agréable.

L'idée d'affubler un "fils" à Astérix est très bonne, mais l'album manque un peu de mordant et de situations épiques, sauf à la fin avec l'incendie du village.
Dans cet épisode, Brutus apparaît tel un vrai méchant, sans le moindre côté comique; le personnage fait assez froid dans le dos. D'habitude, tous les "méchants" dans Astérix ont un petit côté humoristique (dans le caractère ou le représentation physique) qui les rendent attachants; or ici non, et ça m'a toujours un peu dérangé.

Très bon album de la part d'Uderzo, le scénario est excellent (avec plein d'allusions rigolotes à la Bible), le personnage de Zérozérosix me fait toujours sourire (y compris grâce à son nom) et les dessins sont toujours au top.

L'un des albums d'Astérix que j'aime le moins. Le personnage d'Acidenitrix est vraiment "bizarre", plus pour son physique que pour sa personnalité. Le fait que toute l'action se déroule dans un autre village gaulois amplifie le décalage et j'ai toujours eu une sensation de malaise en lisant cet épisode. Un album étrange.

L'ambiance belge est tout à fait délectable, pleine de rigolades et de ripailles. Les couleurs sombres (ciel gris) participent à l'atmosphère particulière de cet album. Abraracourcix est vraiment au top dans cet épisode, sa mauvaise foi et son chauvinisme sont sources de nombreuses situations forts drôles.

Uderzo & Goscinny se permettent une petite critique du monde libéral et des univers financiers. Album amusant, mais assez loin de meilleurs tomes de la série.

Astérix qui découvre l'Amérique ... oui, pourquoi pas. Je n'ai jamais vraiment accroché à cet album, l'ambiance n'y est pas vraiment (ça manque de Romains !) et je trouve que la transition indiens / vikings s'enchaîne assez mal.

Pas le meilleur de la série, loin de là, mais il comporte quand même beaucoup de passages très comiques, comme le duel politique entre Abraracourcix et Orthopédix.

Pour moi, le meilleur de toute la série ! Bon, je ne suis pas des plus objectifs car c'est par cet album que j'ai découvert Astérix et son univers et c'est avec "Astérix en Corse" que j'ai appris à lire, donc forcément d'un point de vue émotionnel c'est un album auquel je suis très attaché.
Mais franchement il est excellent ! La caricature des corses est juste énorme, et c'est probablement l'un des plus hilarants de toute la série ("elle te plaît pas ma sœur ?").

Je n'ai pas accroché plus que ça. Bien que le personnage du devin soit très bon (j'adore la façon dont Uderzo l'a dessiné, avec sa peau de loup sur la tête), l'histoire manque un peu de panache. La contamination du village par un gaz nauséabond et la bagarre finale sont néanmoins des passages succulents.

Un album qui ne m'a jamais convaincu. L'ambiance de cette Rome antique est certes très appréciable, mais il y a dans cet album trop de personnages désagréables (à commencer par Homéopatix) et le fait qu'Astérix et Obélix soient vendus comme esclaves m'a toujours dérangé.
A noter quand même le très bon gag sur la prétendue insomnie des Romains.

Si vous aimé la cervelle grillée et le gore façon Romero n'hesitez-pas!!
Sinon passez votre chemin ou précipitez-vous sur l'excellent walking dead.
3/10.

Pas mal du tout, le scénario est des plus original et l'humour est toujours aussi présent. Le passage où les esclaves renégocient leurs droits est très drôle et l'invention de glands magiques par Panoramix est bien trouvée.

Très bon album, quoiqu'un peu en-deça des précédents épisodes. Le moment où Astérix & Obélix se cachent dans le coffre d'une banque est l'un des passages marquants de la série.

Album en tout point remarquable, dans la lignée des meilleurs épisodes : drôle, original, avec des personnages secondaires forts appréciables (Tullius Détritus est juste exceptionnel, repoussant à souhait, y compris dans sa représentation graphique). La bataille finale est mémorable, et le running-gag de la guerre psychologique est hilarant.

Excellent album, l'un des meilleurs de la série. L'Espagne et ses us & coutumes (danses, tauromachie, gastronomie ...) sont très bien caricaturées et le personnage de Pépé est tout bonnement génial, à la fois drôle et attachant.

Cette serie , des que j'ai vu " CONVARD " m'a interesse et je ne suis pas decu , l'histoire , le dessin sont à la hauteur , tout se lit avec un reel plaisir meme si la fin est legerement previsible on est amene avec classe à la derniere page , Juste une remarque le mien est marque : IMPRIME EN JUILLET 1996

Après la science du 1ier tome place à l'action. Nos scientifiques se révélant être d'assez bon combattant.
La fin est par contre un peu décevante.
5/10.

Je viens de relire cet album et toute a série et finalement mon avis change radicalement. Les personnages principaux sont plutôt originaux et aux antipodes des héros habituels: une blonde libertine, un bellâtre trop coincé et un mentor façon Charles Xavier les jambes en plus. Ce sont des scientifiques et le scénario est basée sur la science même si on nous fait croire au mythe de l'Atlantide.
Le dessin enfin est plutôt sympa.
l'ensemble est assez cohérent et agréable à feuilleter..
5/10.

Les dessins et le scénario sont parfaits, c'est du "john long silver" bien dessinée. En espérant que le prochain et malheursement dernier albul soit à la hauteur des deux premiers

Que c'est il passé, les deux premiers tomes étaient excellents, au niveau du scenario il y a beaucoup de remplissage et ne reprend pas la magie du début.
En attendant un quatrième tome plus dense.

Le scénario est bien, en revanche je trouve que le dessin de Tardi devient de plus en plus minimaliste en se demandant si c'est lui qui a dessiné.

Dernier tome qui n'apporte rien de plus. Le scénario aurait gagné en lisibilité s'il avait été plus conventionnel au lieu de sa présentation actuel. On aurait par ailleurs aimé une fin en forme de rebondissement final.
La série retera quand même un bon moment de lecture.
5/10.

Un scénario sans surprise cette fois. On reste sur sa faim alors qu'il y avait d'autres thèmes à développer comme par exemple la suppression des alter-egos de personna non grata.
A suivre tout de même.
6/10.

L'un des meilleurs tomes de la série façon "le prisonnier" mais avec un scénario en plus.
On regrettera quand même l'absence d'inter-connection entre les personnages.
Série à suivre.
7/10.

Une histoire plutôt bien tournée. Réflexion et cohérence dans ce monde ou l'utilisation de clones a transformé bien des aspects de la vie sociale. L'intrigue policière qui s'en nourrit y gagne en profondeur. Mention spéciale pour le choix d'un traitement graphique aux antipodes de ce qui se fait généralement dans la représentation d'une réalité "technologique". Bien que parfois limite, (dessins dédoublés, décors simplifiés à l'extrême), la mise en forme vaut surtout pour son aspect brut et son traitement coloré, qui donne à l'ensemble une ambiance originale. Honte à Delcourt pour la face de Bruce Willis en couverture, la galerie de couvertures originales, présentée à l'intérieur, offrait 7 alternatives plus judicieuses.

Le deuxième volet des aventures de notre anti-héros au même niveau que le premier opus.
L'ensemble st agréable mais l y manque un je ne sais quoi.
Agréable à lire tout de même.
6/10.

Une bonne entrée en matière pour un anti-héros plutôt don juan dont on sent qu'il va être le dindon dans l'affaire.
Le scénario laisse à ce stade planer un mystère sur le contenu du "panier à chat.
les dessins sont perfectibles mais assez plaisants au final.
Le tout se lit avec plaisir dans l'attente d'un tome 2 du même acabit.
6/10.

Plutôt déçu par cette lecture.
J'ai du mal à comprendre ou l'auteur voulait nous entrainer mais vraiment ce mélange des genres entre fantastique et révolution russe est surprenant.
On peut être conquis ou trouver l'ensemble décevant, pour ma part il s'agit de la 2ème solution.
Dommage.
5/10.