Les avis de la bedetheque

Je suis tombe par hazard sur cette BD , et bien comme on dit des fois : le hazard fait bien les choses . J'ai adore : cette quete n'est pas tres nouvelle mais les dessins plus que parfait et l'intrigue bien mené nous maintiennent parfaitemant en eveil , un tres bon moment

Un nouveau récit sur les vikings ni meilleur ni pire que les autres.
Les dessins restent le point faibles de cet ouvrage et le scénario n'arrive pas à décoller vraiment.
Bref un moment de lecture agréable mais qui ne restera pas dans les annales.
6/10.

Scénario surprenant pour ce nouveau tome de "7".
Les dessins sont par contre trop proches du style manga pour séduire.
Un petit moment de détente sans plus.
5/10.

Très bon premier album. Aussi bien au niveau du dessin que du scenario très original et bien mené. Le fait de partir sur un dyptique permet d'approfondir pas mal de chose et de donner de la matière ce qui est plutot rare dans ce style de bd. En avançant dans les tomes je pense que la personnalité des personnages sera d'avantage mise en avant. Bref un bon moment de lecture. Avec un poil plus d'humour ça aurait été parfait. Mais ça aussi je pense que dans les aventures à venir ça ressortira d'avantage.
Merci et vivement les tomes 2-3-4.......12-13...26-27---39-40...

Fin de ce deuxième diptyque. Le pseudo suspens entretenu dans le tome précédent tombe heureusement très vite. L’histoire va donc uniquement se consacrer à nous parler de ces héros ordinaires qui font ce qu’ils doivent faire, toujours cherchant à se raccrocher à quelque chose pour échapper à la folie qui les guette. L’évocation des conditions de vie des combattants, des résistants et même des allemands est toujours aussi poignante, juste et humaine. Pas de surhommes décimant la moitié d’une division ennemie : des êtres humains qui tentent de vivre.
La romance qui est le support de l’histoire est joliment racontée, le rattachement au diptyque précédent très bien amené et permettant une fin qui n’était pas attendue.

Le dessin en couleur directe, reste toujours aussi évocateur même si je lui reproche certaines imprécisions sur les visages qui m’ont plus contrariées que perturbées dans le ressenti de ce récit.

Un deuxième tome meilleur que le précédent mais un diptyque inférieur au premier du fait de l’absence de suspense.

Le scénario de ce nouvel opus est totalement sans intérêt et prévisible à l'avance.
On pourrait retenir quelques bonnes idées sur le monde futuriste mais tout cela est noyé dans un fatras romanesque à la limite du ridicule.
A oublier bien vite.
3/10.

Cette édition grand format et en couleur a fait couler d'encre avant même sa sortie : en bien comme en mal.
Force est de constater que cet album est magnifique.
Les histoires dessinées pas Gottfredson sont tout simplement somptueuses. Les scénarii et les découpages sont très efficaces, tellement même que l'on a l'impression de voir Mickey et ses comparses prendre vie devant nos yeux ébahis.
J'avais eu l'occasion de lire ces histoires en vo et en noir et blanc : je trouve que la mise en couleur rend encore plus hommage au trait du dessinateur.
Un album à posséder absolument ou tout du moins à lire et à relire.

Cette série a un peu de mal à démarrer dans les deux premiers albums, mais ce troisième tome est vraiment bien enlevé, et le lecteur en apprend enfin plus sur Guillaume et ce qui l'attend. Il est bien dommage que cette série soit suspendue à un moment où elle décollait...

C'est un vrai comics policier, atmosphère glauque, bouilles invraisemblables, intrigue foisonnantes où tout le monde trompe tout le monde, un clin d’œil aux super-héros, même s'il n'en est pas question ici, et une pointe de fantastique pour épicer le tout. Dessins et couleurs sont raccords, bien sombres mais très expressifs. Du boulot de bons faiseurs donc.
Mais ce n'est décidément pas ma came, je suis trop franco-belge. Mais les amateurs devraient apprécier.

Décidément une série à part.
Dans ce volume peu d'action mais un scénario qui nous pousse à réfléchir sur ce que serait notre vie dans un monde livré à lui même.
Aux antipodes des films gore de Roméro et de la pâle adaptation cinématographique de cette série.
Un grand moment de BD.
Merci aux auteurs.
9/10.

Une BD de SF au scénario plutôt original mais parfois brouillon.
Des dessins soignés sans plus (le petit format de l'intégrale rend plus difficile l'appréciation des illustrations).
Je ne suis pas bien sur d'avoir totalement compris la fin.
A découvrir tout de même.
5/10.

Un début sympa de bonne facture visuelle et au scénario ambitieux mais complètement décousu à la manière d'un épisode pilote d'une série télé (c'est
pas rassurant, je sais).
Sa lecture vaut le coup mais j'espère que Bec va arriver à
démontrer qu'il sait bien finir une série sans faiblir en créativité ou passer la
main.
A ce titre j'espérais davantage une bonne suite à l'excellente Carthago mais le
marketing a ses impératifs.

J'avais bien aimé le premier et j'avoue que le second est au niveau, l'intrigue se met en place, on a envie d'en savoir plus et la perspective d'attendre le troisième album dans un an me parait dejà insuportable...

Après un tome 1 très prometeur, après un bon tome 2, le troisième opus n'a aucun intérêt. Scénario confus et inintéressant, dessin brouillon. Heureusement l'histoire est terminée, il y aurait eu un tome 4 je ne l'aurais pas acheté.

Tout simplement magnifique.
Quelle belle idée d'avoir réuni en un même album les beaux paysages d'Afrique et des illustrations d'aussi beaux navires.
Chapeaux bas!!!
9/10.

Le cycle terrestre est terminée, nos héros partent sur la Lune ! Dans cet album, beaucoup de mystères sont dévoilés, je trouve cet album beaucoup moins drôle que les précédents. Le dessin à quant à lui a baissé d’un ton, les couleurs sont moins flamboyantes qu’auparavant, et la couverture à mes yeux est complètement raté (trop sombre !). Cet album reste tout de même un vrai bijou ! 7/10

Une série fort prometteuse, le scénario est riche, il y a beaucoup de suspense, le dessin est vif, fort, on apprécie les plans de ce «Paris-Métropole ».
Mais je sors de cet bande dessinée un peu frustré, c’est un peu court, on ne dévoile pas grand chose sur l’intrigue, on en veut plus !
Heureusement la suite est pour bientôt ! Je recommande cet album à tous. 8/10

Comme souvent avec Delitte on reste bouche bée devant les dessins en tout point remarquable. En plus on a droit à une histoire bien construite au début de la naissance des Amériques.
Que du bonheur!!!
9/10.

Un ton au dessous des albums précédents.
Des dessins toujours soutenus mais quelques incohérences dans le scénario. Notre héros n'est plus seulement reporter mais semble s'être transformé en agent de la CIA. On perd en crédibilité;
Seule la fin sauve un peu l'histoire.
Une petite déception
5/10.

Warren Ellis est décidément bourré d'idées géniales!! Ce comics de science fiction est digne d'un blockbuster hollywoodien, et je m'étonne qu'une adaptation cinéma n'est pas encore était signée.

Ce second deluxe est largement moins bon que le premier. The Authority étant le bébé de Warren Ellis, qui cède ici sa place à Mark Millar (auteur que j’apprécie tout autant). Ce dernier réalise des aventures sympathiques sans être réellement imprégné par les personnages et l'équipe comme l'était Ellis.

Très dispensable... Dans le même style que RED en moins bien. Il n'y a pas vraiment de scénario et seuls quelques scènes choc valent le détour.

Planetary est aux comics ce que X-Files est aux séries TV... Des histoires surnaturelles passionnantes, avec en primes de multiples et intelligentes références en tout genre... Un MUST HAVE !!!

Warren Ellis prend son temps pour mettre en place l'action et l'histoire, ce qui pourra au premier abord en décourager certains. Mais ne vous y trompez pas, cette série monte en puissance et s'avère particulièrement géniale! Ce n'est certes pas du niveau d'Akira, mais par moment et sur quelques points ça y ressemble...

Un premier tome plutôt sympa, dont l'ambiance très SOMBRE, comme l'indique le titre, est très bien retranscrite. Attends le tome 2 avec impatience!

Après la fin de "Les Terres sans retour", je m'attendais à une suite direct, en lien avec la mort de Leizu, le départ de la princesse Qann avec nos héros et la mort du Roi. Donc petite déception.
Mais peut-être cela fera-t-il l'objet d'un autre album.
Quoi qu'il en soit "Les Marches d'Elyandisse" est de nouveau un chef-d’œuvre graphique. En revanche le récit reste en dessous, comme c'est le cas depuis le départ de Fauche de la série. Les actions, se succèdent les unes aux autres, sans véritables péripéties.

J'aime beaucoup ces BD reportage en immersion dans un pays au ras de la poussette, où tout est observé par petites touches sans à priori, avec des contrepoints surprenants où l'auteur accepte de voir ses convictions chamboulées.
Le dessin faussement simple sait admirablement refléter l'ambiance et faire partager les sentiments.
Et je retrouve beaucoup de l'ambiance que j'ai vécu il y a plus de 30 ans, de ce pays complexe à la fois attachant et effrayant, où le pire côtoie le meilleur chez les deux peuples, mais ce qui est désespérant c'est qu'il semble qu'il n'y ait aucun progrès, bien au contraire.
Indispensable à la compréhension de la problématique du moyen-orient, à la place de longues lectures rébarbatives.

Critique pour les 7 tomes : Une bonne série d'aventure à l'ancienne avec les dessins originaux de Gine. Le scénario est classique mais bien charpenté et au total cela se lit avec plaisir.
Dommage que ce soit inachevé car il y a pleins de pistes qui restent sans conclusion et c'est un peu frustrant.

Cette suite comme le précédent, m'a bien plut.
On retrouve Gil qui essaye toujours de résoudre l'énigme de savoir qui est derrière ce complot et cet assasinat et tente en vain avec l'aide de la police de retrouver Diane.
Le dessin de Krahen est vraiment très bien et j'apprécie vraiment bien son histoire.

Autant j'avais été séduit par les traits de De Vita dans le premier album, autant j'ai trouvé dans cette suite que son dessin se relâchait quelque peu. Les traits sont plus nerveux et moins précis hormis une double planche du plus bel effet qui ne sauve pas l'album malgré tout.
Le scénario de Yves Sente est une véritable escroquerie : la fin me fait penser à la sage du clone ou n'importe quelle autre histoire de chez Marvel ou D.C. où le héros mort revient à la vie par une pirouette scénaristique digne de Dallas (cf Bobby[sic]).
Si toutes les séquelles de l'univers thorgalien continue à être de cet acabit m'est avis que les éditions du Lombard vont vite déchanter.

Une excellente adaptation d'un roman fondateur de la littérature américaine. Achat "coup de cœur" en librairie, il m'a fallu la postface de l'auteur pour apprendre qu'il s'agissait de la version colorisée avec talent d'un travail datant déjà de 30 ans ! A découvrir absolument.

J'ai vraiment bien aimé cette suite de Kriss de Valnor.
Cette guerrière fini de raconter ses exploits qu'elle faisait avec Sigwald juste avant de faire la toute première rencontre avec Thorgal.
Les deux dernières pages montrent qu'il vas se passer soit dans la série originale ou dans un autre dérivé une sorte de suite assez intérressante.

En bref vraiment bien aimé ces deux tomes.

Là où on pouvait pardonner certaines choses au niveau du dessin dans le premier album, ce second me déçoit car il est encore plus inégal. Beaucoup de détails, équipements ou décors sont moins rigoureusement dessinés.
Rien que sur la couverture, trés agréable, les rênes du dragon me semblent mal foutues, d'autant plus qu'à l'intérieur il n'y a plus trace de ces rênes... ou alors juste un mord, comme ça sans rênes, en plus sur des dragons qui semblent possédés.

De plus les personnages, sans qu'il y ait une raison, ont parfois leur casque, puis ne l'ont plus, puis il réapparait... alors que le personnage marche et ne semble rien avoir d'embarrassant dans les mains.
Idem, parfois le bâton est sur la main gauche, la case d'après sur la main droite, puis revient sur la main gauche... Les objets sont petits puis dans la case d'après plus grands.
Le personnage a 2 haches dans les mains et sans raison dans l'action suivante il a une lance...
Même une caisse en bois arrive à changer d'apparence comme ça dés le début de ce tome.

L'humour et le scénario restent de très bonne qualité, mais en ce qui me concerne cela ME GACHE TOUT : j'ai l'impression que certaines cases et même planches ont été bâclées, peut être par des délais imposés trop importants ou bien un manque de concentration sur le travail de cette œuvre. Je ne vois pas dans ces conditions comment cela peut s'améliorer au niveau du dessin ?!
On est dans du classique de l'heroic fantasy, mais même sans chercher trop de réalisme, là on trouve un peu trop de choses étranges sans logique.
Le fusil d'un des personnage principaux est super mal dessiné, tout carré, changeant de dimension, aucun détails.
Le bateau volant, autant il est bien détaillé la première fois qu'on nous le présente, autant à la fin sur une même grande double page, les décors de celui ci sont bâclés...
Un guerrier nain qui se fait battre et découper son équipement par les griffes à mains nues une elfe noir "catwoman"... Une sorte d'arc géant très simpliste, tendu par un nain (déjà bon...) et qui touche des dragons du premier coup...
Non tout ça fait trop. Tout cela réduit la tranche d'age des lecteurs visés.
Au niveau de l'encrage j'ai aussi préféré le premier album.
Le scénario prend le dessus sur le dessin, je continuerai à suivre ce titre mais en roman.

Ce second volet est sans doute un cran en dessous du 1er : je trouve les dessins un peu moins fouillés et légèrement moins bien colorisés, il y a un peu moins de pages...

Il n'empêche que nous restons sur une très bonne série. La qualité des dessins et la profondeur du scénario fait que l'on peut relire l'album régulièrement et découvrir des détails du dessin ou du scénario qui avaient pu échapper d'abord. La compréhension générale que l'on commence alors à avoir donne envie de lire la suite.

J'aime beaucoup ce volume. Ça commence par l’arrivée d’un type louche, puis vient ensuite un décès suspect mais le pus dingue c’est la remise en couleur de leur mule. Ce que j’aime surtout c’est cette fin inattendue (pour ma part). Je trouve cette série vraiment sympa.

Alors que j'avais vraiment aimé les deux tomes précédents, celui-ci constitue une grosse déception. Alors que l'histoire proposait des pistes intéressantes, j'ai vraiment le sentiment que l'histoire est expédiée parce qu'il faut absolument finir avec ce tome. Il ne se passe plus rien à part l'évasion de nos deux héros et le fait que Jélami va se déterminer. Et à part ça, beaucoup de bruit et de fureur à coup de pouvoir surnaturel bien pratique pour résoudre des situations compromises en deux temps trois mouvements. Un gros affrontement de surhommes qui n'apporte rien à l'histoire, à l'intrigue ou au monde créé.

Si l'histoire devait continuer, il est clair que je m'arrangerais pour lire l'album avant de l'acheter et que je serais très méfiant.

Une oeuvre décalée dans le monde de la BD commerciale.
La surprise du 1ier tome étant passé ce 2ème opus semble plus fade et manque de rythme.
Il reste cependant le coté rétro irrésistible par moments.
A suivre sans urgence.
5/10.

Une BD ultra-conventionnelle pas mieux ni pire qu'une autre. Mais il y manque quelque chose............
Les dessins sont perfectibles mais c'est du scénario que vient la faille. Il manque indéniablement de rythme et d'une vrai galerie de méchants/salauds.
Espérons que le tome 2 corrige le tir, s'il arrive........
5/10.

Un scénario original dans tous les sens du terme. Des dessins très minutieux. Voila le cocktail réussi qui résume cette série.
Malgré tout la fin ne m'a pas tout à fait convaincu...........
Le 2ème cycle peut-être.
7/10.

Le volume le moins réussi jusqu'à maintenant. Ce qui est frustrant ici c'est que la quête des Dragon Balls ne s'achève pas dans ce volume. En effet, Toriyama a cru bon d'allonger son intrigue en insérant des combats chez Baba la voyante. Le petit problème c'est que malgré le côté farfelu des adversaires, le tout fait un peu sous-Tenkaichi Budokai qui traîne en longueur.

Un bd américaine indé originale, l'histoire est très sympa, un bon polar.
Bee, l'héroine est atypique, aventurière, intelligente et l'on s'attache très vite à cette courageuse anti-heroine . C'était un lecture très agréable, le format à l'italienne peut rebuter cependant le dessin, les couleurs, la narration nous entraine vite dans l'histoire et c'est vraiment génial. J'ai acheté l'autre album de Bee le lendemain tellement j'ai été séduit par l'univers de Bee et de tous les marginaux qu'elle cotoie

Une très bonne bd proposée ici par Sacha Goerg. Des dessins simples mais efficaces, une histoire poignante et des personnages au caractère bien marqué. Avec une touche de fantaisie qui sort cette ouvrage de la monotonie. Je recommande !

Les dessins sont assurément réussis mais le scénario manque cruellement de consistance et de cohérence.
La lecture donne parfois l'impression de faire du sur-place.
Pas sur de répondre présent pour le tome 2.
Tout juste la moyenne.
5/10.

C'est moche, c'est brouillon. Voici mes 1eres impressions sur cette BD.

L'idée méritait mieux. On frise souvent le grand n'importe quoi.

Si le coeur vous en dit retournez-vous plutôt vers le vrai récit des 1001 nuits ou pour les plus jeunes vers une des quelconques versions de "Prince of Persia"

Lamentable.

2/10.

Dessins convenus, personnages sans émotions, couleurs blafardes, aplats Photoshop, scénario sans âme. Ce n'est pas cet opus qui fera aimer les classiques aux ados !
Heureusement, le CD joint permet de retrouver le texte original.
Pauvre Gustave...
(Cet avis s'applique l'ÉO de Adonis 02/2008)

Kyöchi, jeune cadre dynamique marié, a toujours adopté le « toujours oui » une conduite qui poussé à l’extrême se révèle lâche. Il se trouve comme excuse le fait de ne rien pouvoir refuser à quiconque de peur de le blesser et se réfugie ainsi dans un « ce n’est pas ma faute »

Cette conduite fini par provoquer les retrouvailles avec Imagasé un ami de collège.

Ils vont se redécouvrir, et finir par expérimenter au début un « je t’aime moi non plus ».

Mais la vie impose toujours le choix. Il va falloir que chacun s’écoute et écoute l’autre, accepte ses sentiments et ceux de l’autre. Chaque protagoniste va faire face à une double recherche. celle que nous faisons tous.

Le choix sera balloté dans un sens et dans l’autre et il restera sur une position fragile à la fin de ce premier tome.

Cette histoire de plein pied dans la vie, est servie pas un dessin mature, tout en légèreté et sensualité.

Un vrai plaisir de lecture. Le rappel que chacun doit trouver sa vérité, son chemin.

Comme pour ses productions précédentes dans cette belle collection, Sylvain Cordurié nous offre un récit très vite rythmé, un personnage central charismatique et une histoire qui nous promène de questions en questions : qu’elle est la nature de la relation entre ces sociétés secrètes et les démons, quel intérêt y trouvent elles qui motive cette lutte entre-elles, qu’a découvert le membre qui trahit,… ?
Bref il nous promène gentiment dans le brouillard des rues de Londres où se déroule l’action grâce à une narration fluide, alternant adroitement les actions des uns et des autres.

De plus Lynn, « l’héroïne », a des capacités physiques étonnantes mais semble ignorer beaucoup de chose sur sa naissance et sa véritable nature. Cet aspect donne un petit comics, sentiment que l’on retrouve au travers du dessin de Marco Santucci (qui je crois a déjà sévi dans ce genre). Son graphisme est dynamique et crée bien l’atmosphère de ce récit. C’est globalement très efficace mais je pinaillerai un peu sur quelques visages parfois imprécis ou un petit manque d’audace dans les scènes d’action. Rien qui ne gâche le plaisir de la lecture.

En tout cas pas du tout déçu par ce tome qui mérite sa place dans cette collection 1800 et dont la suite sera attendu avec envie.

Un vieux seigneur orc, alerté par des attaques de goules et par les signes de faiblesse donnés par un mur magique, décide de reconstituer son ancienne meute afin de faire face au retour du mal. Il ne pourra pas mener lui-même cette opération car il va devoir affronter les goules, monstres commandés par des orcs qui cherchaient en fait à s’emparer du vieux seigneur. C’est un de ses fidèles compagnons, « l’intendant », qui va se charger de l’opération.

Alors, commençons tout de suite par les sujets qui pourraient fâcher. Oui il s’agit de Fantasy. Oui la trame est sans doute classique (un groupe qui se forme pour sauver le royaume ou le monde). Mais classicisme n’est pas synonyme de médiocrité. Tout dépend des ingrédients que l’auteur va mettre et de la manière par laquelle il va les agencer. Et au cas présent, il y a des éléments intéressants. Nous sommes classiquement dans un contexte médiéval mais dans une culture japonaise, ce qui n’est pas si fréquent dans la Fantasy. Et puis, certes un groupe se reforme, mais on est loin des jeunes surdoués ou des guerriers confirmés. Ici les héros sont vieux et on se demande pour le moment comment ils vont pouvoir influer sur le destin.

Ensuite, le scénariste, Nicolas Jarry, se révèle un sacré conteur. Parce que en plus de la trame classique, nous sommes en présence d'un vrai tome d’introduction. On prend connaissance des enjeux (de manière très générale pour le moment) et des personnages au fur et à mesure que la meute se reconstitue. Le récit se déroule de manière plaisante avec la découverte de personnages intéressants, l’humour des deux gobelins qui accompagnent nos orcs et le mystère qui entoure les actions des «méchants » (pourquoi vouloir capturer le vieux chef de la meute du griffon ?) mais aussi certains éléments de la meute (« Danse grise » et son sang de fée, « dame Papillon » qui envoie son apprentie la remplacer dans la meute en lui rappelant où doit aller sa véritable allégeance). Bref, en tout cas pour moi, largement de quoi s’intéresser au développement de cette aventure.

Le dessin de Deplano est tout à fait réussi. Il parvient à donner un faciès à chaque personnage, à les rendre expressifs, à faire ressortir des émotions sur des visages peu engageants de prime à bord. Il nous propose de superbes paysages, embellis par une colorisation très agréable qui participe pleinement à créer l’atmosphère de cette quête.

Une très jolie surprise à qui il serait dommage de ne pas laisser sa chance sous prétexte qu’il s’agit encore d’une histoire de Fantasy et d’une quête « à la seigneur des anneaux ».

C’est avec plaisir que j’ai retrouvé la série Sherman avec ce cinquième et avant-dernier épisode. Il n’y avait aucune raison pour que cela change et cela n’a pas changé : l’histoire est toujours aussi efficace. L’intrigue continue de se dérouler entre la menace du présent et les révélations du passé. Comme pour les autres épisodes, cet exercice de style, qui peut parfois s’avérer déroutant, est parfaitement maîtrisé, n’offrant aucun temps mort. Ce jonglage entre les époques est bien accompagné par les changements de colorisation. Le dessin de Griffo privilégie l’efficacité en ce concentrant sur les personnages et « oubliant » les décors. Les cadrages assez resserrés participe du même principe.

Il y a quand même un élément nouveau et il est de taille. On échappera à un dernier tome dans lequel toutes les réponses seront brutalement livrées à coups d’effets plus ou moins réussis mais nuisant généralement à la cohérence du récit. Desberg a choisi d’entamer le dénouement dans cet avant-dernier opus. Les révélations sur le passé de la famille Sherman (père et enfants) sont nombreuses, on apprend la nature des liens entretenus avec l’Allemagne nazie (relations d’autant plus douloureuses qu’elles sont en rapport avec la solution finale). Si le passé est très majoritaire dans cet album, le présent voit quand même la situation évoluer avec également un cliffhanger réussi.

La fin est proche, heureusement, mais sommes nous au bout de nos surprises ?

Excellent album sur lequel j'ai d'abors eu quelques à prioris liés au dessin que je trouve un peu démodé.
A côté de cela, le scénario est bon et relativement réaliste (même si nous sommes dans le fantastique quand même). Et puis surtout, difficile de ne pas être touché par l'expérience humaine de ces sentinelles...

Madila est une série qui se vautre dans une atmosphère Palm Beach 1935 de millionnaires surannés, d'esthètes alanguis et de stars en devenir. On se demande comment peut bien tourner ce microcosme de la superficialité et des qu'en dira-t-on. Mais là n'est pas la question, ça tourne.
Donc, reflet de nos propres excès ? Le comportement auto-destructeur des héroïnes trouve son apogée dans «Zelda». Ainsi que la créativité de l'auteure, qui s'offre le luxe de pirouettes graphiques et textuelles qu'elle n'osait pas aborder dans le monde plus feutré de ses trois premiers épisodes.
Et ce n'est pas pour déplaire; Les situations et réparties font mouche, les personnages accessoires et leurs commentaires tiennent le rôle du choeur dans une tragédie grecque pour recentrer impitoyablement l'étau qui se referme sur Lou.
Comme de De Spiegeleer nous y a habitué, le final nous laisse le choix de faire notre propre terminus...

Un bien bel objet donc que cette Zelda et moi, que l'on peut déguster indépendamment des trois premiers tomes.

Ma fille et moi adorons Yaya, en plus le quatrième tome est magnifique, longue vie aux éditions FEI !!!

Dans le premier tome, Paul jeune séminariste belge rejoint une des missions au Congo en vue d'évangéliser les populations et rechercher son père. Ce dernier va le sensibiliser aux monstruosités faites par les colons pour la récolte du caoutchouc.
Dans cet album, apparaît un journaliste anglais:Edmund, qui essaye de faire prendre conscience aux européens de ce qui se passe. Ici, on est en plein coeur des intérêts coloniaux avec la cruauté extrême, mais aussi les luttes contre ces phénomènes.
Bihel a su traduire le très bon scénario de Maryse et JF Charles sur la douleur et la dureté de cette époque coloniale par un dessin et des couleurs pleins d'humanisme.

Au rayon néo-nazi je demande ... Wunderwaffen...Bon!Que les choses soient claires, moi aussi j'ai fait des maquettes Messerschmitt BF 109, de Dornier 17 et Heinkel 110... mais j'avais 12 ANS!!!! ...Non mais dites ! La simple idée que la couverture puisse faire bander un nostalgique du III Reich devrait suffire à donner des sueurs froides ...Oui bien sûr gnagnagna le héros, un as de la lufftwaffe exècre le méchant Hitler gnagnagna...bref la posture habituelle ... mais ça parait tout de même bien léger et moralement peu défendable.
Mais reprenons le résumé et poussons le juste un peu plus loin..."Wunderwaffen...1946, l'Allemagne nazie est maintenant bien défendue par les nouvelles armes miracles..." attendez? si je comprends bien ça veut dire que le programme d'extermination des juifs est allé à son terme??...Comme si ça n'avait pas été assez horrible?...

Tout doucement, pas trop vite on prend son temps. Là voilà, c'est bien. Respirez profondément. Allongez vous, mettez des coussins sous votre dos. Allez c'est parti pour une petite lecture tranquille sous une petite lumière tamisée avec un petit fond de musique...
Çà se lit tranquillement et rapidement car le magazine n'est pas épais. Peut-être le magazine le plus inventif de l'histoire de la bédé. j'ose le dire. Le magazine "Vaillant" fut une très grande époque. De grands noms y ont participé (Arnal, Cézard, Chéret, Forest, Gillon, Goscinny, Gotlib, Greg, Lécureux, Nicolaou, Tabary....).
Ici pas de violence, les bons gagnent et les méchants perdent. On retrouve les personnages classiques tels que Pif, Placid et Muzo, la pension radicelle, Arthur le fantôme... Et aussi d'autres moins connus, Bob Mallard, Capitaine Cormoran et d'autres...

C'était vaillant N°551 et ça calme notre petit cerveau.
Enfin c'est génial.

Pour l'histoire tout le monde connait (plus ou moins) les contes des mille et une nuits. Toujours intéressant. Mais alors le dessin... hallucinant! Un découpage des planches très particulier, très original, du N&B de la couleur (encre), une pure beauté. A voir absolument.

L histoire ce déroule dans un univers déjà bien connu le Japon médiéval.
Mais le point très attractif c'est le fait d incorporé des personne décalés avec ce type d univers des orcs plus connu pour être des combattants sanguinaires et indisciplinés , cette fois on les retrouve dans un monde bien opposé le respect la maîtrise de soi et autre concepts habituellement dédie au fier samouraï.

Un scénario qui semble très prometteur et extrêmement bien ficelé avec beaucoup d intrigue qui sont ces ennemies ? pourquoi font ils appel au goule ? pourquoi maintenant ? pas mal de questions en suspend qui mettent en appétit pour les prochain tomes
la touche d humour apporter par les gobelins qui accompagnent ces guerriers est incorporé a juste dose dans le récit.
l histoire de chaque personnage est très intrigante dame papillon et danse grise en particulier.

Le dessin juste sublime et nous plonge au coeur d une beauté immense on sent le coté très travaillé du détail


en conclusion A LIRE SANS TARDER
plus développé c est un ouvrage qui j’espère pourra passer dans le monde des références car il y mérite sa place au coté de titres tel que chronique de la lune noire, requiem, okko , quête de l oiseau du temps

Suite du très beau premier tome "Africa dreams". Le scénario prend une direction différente et fait des aller-retours entre l'Afrique et l'Europe. On s'éloigne de l'histoire personnelle du héros qui apparait plus comme un prétexte à la dénonciation de la colonisation. Ce tome 2 est plus centré sur la perception en Europe des crimes commis dans les colonies. Il décrit le conflit entre "capitalistes" en haut-de-forme d'un côté, motivés uniquement par le profit, et de jeunes idéalistes qui tentent de sensibiliser l'opinion publique sur les méfaits de leurs dirigeants. On devine bien que le combat n'est pas gagné d'avance. Le scénario prend une tournure plus politique, l'Afrique mystérieuse et envoûtante s'éloigne.. les vrais enjeux de ce récit se mettent en place.

Xavier Dorison et Ralph Meyer, déjà complices pour un XIII Mystery (la mangouste) nous offre ici un récit de pure aventure, digne de certains classiques des années 70, un peu un Moby Dick au pays des vikings. Un guerrier maudit en raison d’une malformation de naissance, chasseur réputé de vilaines bestioles toutes plus méchantes les unes que les autres, est embauché pour débarrasser la contrée d’un Krökken, monstre marin sorti des enfers.

A partir de ce canevas pour le moins classiques, les auteurs ont bâti un récit particulièrement efficace. J’ai été complètement harponné par ce récit dédié à l’aventure, au rythme dynamique, à la tension rapidement présente et palpable. Mais si l’action est clairement privilégiée, le scénariste n’oublie pas d’étoffer son récit en nous livrant des détails sur les coutumes des vikings et surtout en bâtissant des personnages intéressants, qui vont se dévoilés au fur et à mesure des évènements. Parmi eux bien sûr, le personnage central « Pied-de-Fer », guerrier maudit marqué par la vie et les difficultés pour un infirme pour exister dans un monde dédié aux guerriers et surmonter les préjugés liés à sa malédiction divine. Pour faire craquer ce guerrier bourru, une jeune rescapée d’une attaque du Krökken, orpheline et esclave affranchie, pleine d’énergie et d’envie de trouver sa place dans cette société.

Le tout est porté par le magnifique graphisme de Ralph Meyer qui s’avère tout aussi efficace sur les personnages et sur les étendues sauvages. Son trait est précis, le découpage et le cadrage donnent du souffle à ce récit épique. La colorisation est tout à fait adaptée à cette aventure dans les contrées nordiques.

Un excellent récit dont le seul reproche est qu’il s’avale trop vite.

Une belle aventure agréable à lire, teintée de mystères.
Scénario très bien construit, dessin en accord avec les époques évoquées.
On sent une recherche poussée dans la documentation.
Un bon moment de lecture.

Cette avis est pour les 2 .Si l'histoire est du deja vu , un magicien qui a des pouvoirs grace à des " relations " , cela passe encore mais que dire du dessin des fois inexpressifs , caricaturals enfin tres decevant , je ne conseille pas en plus d'une fin plus que previsible

Attention chef d'oeuvre. Un récit poignant, servi par un dessin efficace. Le duo Lapière-Pellejero est une pure réussite.

Je tiens tout de suite à preciser que je n'ai plus l'age poue cette Bd , reserve aux gamins mais dans le genre ca passe

Ici un très bel album.Le style des 4 dessinateurs est très bon, coloré et très stylisé. J'ai un faible pour les desssins des 2 dessinatrices qui est très propre et harmonieux.Ceux qui aiment l'asie historique seront très ravis de ces courtes nouvelles.Certes l'érotisme est le point fort,mais toujours très délicat et loin d'un érotisme occidental classique.L'ensemble reste poètique au niveau des graphismes, et chaque histoire présente un jour différent de la chine ancienne.Même si il n'y a qu'une cinquantaine de pages,l'objet est très beau et mérite sa place dans une bédéthèque,il est dommage que l'oeuvre souffre d'un manque d'exposition et de distribution. Mon 10 est peut-être trop fort selon certains, mais il faut aussi souligner l'originalité d'auteurs chinois qui se libère de la censure typique à leur pays,et aux éditions Paquet pour avoir fait et la démarche d'introduire des auteurs asiatiques dans notre univers de BD occidentale.

ps: Les stéréotypes ont la vie dure, donc je tiens à préciser que les dessins n'ont rien à voir avec les mangas,manwha ou autres.

Cet avis concerne l'intégralité de la série.

Niveau correct pour l'ensemble de la série.

Le scénario fourmille de bonnes idées et est riche en rebondissement. L'intrigue avance en prenant son temps, et se construit de manière solide. Jusqu'au bout, on se demande comment les héros de cette aventure vont s'en sortir parce qu'ils sont vraiment, pour le coup, dans la galère ! Malheureusement, les caractères "à la ricaine" des personnages deviennent vites des caricatures et pour ma part, j'ai eu du mal à m'accrocher à eux. On devine leur histoire personnelle, mais elle est tellement survolée qu'ils se ressemble tous. De plus, si l'histoire prend le temps de bien s'installer, la fin, elle, est traité en dix pages ! C'est un peu rapide, et on n'y comprends plus grand choses.

Pour ce qui est des dessins, cette série regroupe du très bon et du très mauvais. Les décors sont juste superbes. L'ambiance glauque et lourde est soignée. Les pleines pages sont superbes et la visite du sanctuaire et un pur régal. En revanche, et c'est pour moi ce qui a abimer le plus cette série, les personnage sont indissociables ! Ils ont tous la même temps, ou change de visage en fonction de l'angle pris. On est obligé, pour identifier les persos, de se dire "tiens, lui il a une barbe, ce doit être machin" "lui il a des lunettes, c'est peut être truc", etc. Et ça, tout du long. Cumulé à la linéarité des caractère, c'est vite fatiguant.

Ainsi, pour apprécier "Sanctuaire", il faut suivre l'histoire d'un groupe d'homme sans tenter de les dissocier... Dommage !...

Dans l'ensemble une série sympathique qui si les personnages avaient été reconnaissables, les caractères plus fouillés et une fin plus construite, "Sanctuaire" serait devenu une grande série...

Pour ceux qui prennent le chemin en cours de route, il s'agit de la suite directe de la série Batman Universe éditée par Panini (10 numéro). On se retrouve avec une équipe de choc pour ce qui est un tournant dans la vie de(s) Batman(s)...

J'ai adoré, tout simplement pour moi un petit bijoux à avoir dans sa collection. Je n'ai pas mis 10 car le dessin est inégal dû au fait que les dessinateur se succèdent sur ce run de Morrisson.

Une véritable leçon de vie, et de courage pour cette album de Thorgal .

Le dessin est encore meilleur, Thorgal retourne avec sa femme chez les siens, et se rencontre que le Northland est harcelé par un clan de pilleurs .Le viking venu des étoiles devient cette fois moins loquace face a ses agresseurs.Aaricia nous donne une leçon de vie, en compagnie des loups, la partie magnifique de cette album !!!

Un album majestueux, sombre et sauvage .

La première fois que j'ai vu ce bouquin le dessin m'a paru tellement affreux que je n'ai pas voulu l'acheter, puis bien plus tard il m'a été offert.
La claque absolue, un livre qui marque bien au delà de tout les autres, impossible de s’arrêter sans savoir la suite des pages qui défilent.
Le chef d'oeuvre de la bande dessinnée qui ne pourra pas laisser indifférent

Un gros coup de coeur pour cette nouvelle vision du médiéval fantastique. Un beau condensé de politique, de conte romanesque et de récit de guerre. Une vraie bonne surprise à dévorer. Les dessins sont d'un réalisme à couper le souffle.
Le choix des couleur est tout simplement excellent, ces teintes "sépia" sont parfaite pour ce récit sombre et surprenant.

Frustrant, ce tome 2 !
Sur une base que je trouve très sympa, des bons dialogues, des dessins originaux, un contexte et une ambiance unique, je n'ai finalement rien compris !

Aaarglhhh ! C'est le cas de le dire...! Série IN-DIS-PEN-SA-BLE si les tomes 4 et suivants suivent...Et cela m’étonnerait que ce ne soit pas le cas…
Scénario excellent, et, le petit plus (mais pas si petit que çà...) par rapport à Walking Dead : la couleur... !!! Et oui, cette série est parvenue à créer une histoire tout aussi captivante (même si Walking a placé la barre très haute) en y ajoutant, avec génie, de la couleur : on voit, on sent le sang, mais celui-ci n'inonde pas les "cases" : c'est là tout le génie du coloriste, profession méconnue et qui mériterait d'être mise plus souvent en évidence...Le génie est d’avoir choisi une prédominance sépia : du génie je dit !!
Et franchement, mais là je vais me faire un paquet « d’ennemis » (un peu plus, un peu moins…Pffft) même si le noir et blanc convient, d’un 1er abord, sans connaître cette présente série, à Walking Dead…Ben…Non, désolé, mais je suis partisan de la couleur si celle-ci « sert » le dessin et l’histoire…Je sais, il y a des inconditionnels du noir et blanc, mais, mais : pourriez vous imaginer Blueberry UNIQUEMENT en noir et blanc ?? Oui, je sais, les TT et TL en N.& Bl. sont superbes, MAIS la couleur fait quand même toute la différence pour la lisibilité et le rendu « des corps suants, souffrants… » !! Avec la couleur, « on sent » la poussière, la sécheresse, le soleil brulant, etc… Non ???
Et il est vrai que certaines séries (je n’en ai pas en tête, là, maintenant) qui, misent en couleur perdent, tout « leur cachet » : parfois la colorisation fait qu’on se demande si le gars il sait dessiner…C’est dire, et bcp seront (j’espère) d’accord avec moi.
Mais ici… : c’est tout simplement MA-GNI-FI-QUE !
Bon, on l’aura compris : j’adore cette série (que je viens de découvrir, çà me rend malade !) !!
Et…J’aimerais que Walking Dead fasse un petit essai couleur…N’en déplaise aux intégristes du N. et Bl. !
Un dernier mot sur la couleur : imagineriez vous la série « Haunt » (Comics chez Delcourt) en N.et Bl. ??? TOTALEMENT IMPOSSIBLE !! On ne s’y retrouverait plus dans les dessins tellement le graphisme est riche…(pour l’histoire, ben, chacun ses goûts, mais le mec : quel dessinateur !!!!)

cette bd et poignante elle se lit assez facilment mais personellement je trouve que certaine scene son assez choquante mais a pars ces quelque scene j'ai vremand acrocher

Tout simplement délicieux.
De l'humour à la AUDIARD avec un zeste de polar.
Excellent au 2ème degré.
7/10.

Excellent, inventif et surprenant. Voici les 3 qualificatifs que je donnerai à cette série.
Coté dessin même louanges........
Finalement que du bon....
7/10.

Des dessins precis et interessants .. mais surtout de tres bons scenarios sur des histoires pourtant tres courtes . Bon j'adore la SF , et j'aime bien les serie qui durent sur plusieurs tomes .. mais la, c'est tres bien !!

J'avais lu les critiques ici, plutôt bonnes... Je m'attendais peut-être à trop bien, d'où ma déception. Le dessin est "basique" mais je trouve qu'il va bien avec ce récit. Mais c'est surtout le scénario qui m'a déçu, j'attendais peut-être plus de références à la guerre du vietnam. Je le trouve sans grandes surprises.
(c'est la première fois que je donne un avis sur un album, je ne suis pas un grand spécialiste de la BD non plus, donc mon avis vaut ce qu'il vaut).

Attention: l'édition couramment disponible du huitième volume de "Happy!" présente un problème critique : une partie importante des pages (non numérotées) est reliée dans le désordre, ce qui rend la lecture quasi impossible, même si on peut être assez masochiste pour apprécier cette complexité additionnelle !

Le transfert quasi "en l'état" de l'intrigue de "Happy!" et de ses péripéties sadiques du Japon vers les USA ne permet malheureusement pas (pour le moment...) à Urasawa de donner à sa saga tennistique le second souffle qui est de plus en plus souhaitable. Les matchs de tennis sont toujours aussi passionnants, les intrigues entre "tenniswomen" toujours aussi vicieuses, mais au final, on fait du surplace, et le dépaysement culturel a plus d'inconvénients que d'avantages : pas sûr qu'Urasawa connaisse et comprenne la société américaine aussi bien la société allemande, au point de la transformer - comme dans "Monster" - en carburant pour sa fiction ! Alors, malgré cette déception globale, qu'est-ce qui fonctionne dans le "Volume 8" ? Sans aucun doute la rivalité amoureuse du yakuza et du "fils à papa", et les scènes de comédie romantique - ici assez amères - qui en résultent. Pour le reste, on attendra le "Volume 9" pour juger de la qualité de la suite de la saga "Happy!"

Un excellent volume une fois de plus. Tout continue à très bien s'enchaîner sans jamais ennuyer le lecteur. La fin de la quête des Dragon Balls approche. Suite au prochain volume.

Magnifique livre.
Le dessin est sublime et l'histoire se passant à Tokyo est très touchante.

A lire vraiment !

La fragilité du système de vaccination, sa certaine absurdité, le poids su hasard semble être le fil rouge de ce neuvième tome

Ce vacillement permet d’entrouvrir la porte sur les résistants face à cette loi. leur rang semble grossir au fur et à mesure et l'annonce d'une guerre possible viendra peut-être bouleverser cette société.



Nous entrons davantage dans les coulisses de ce système avec ce tome.



3,5 Dam's/5

C'est une compilation de gags déjà parus, à thématique de neige. Donc, rien de nouveau, et un autre « piège » pour les consommateurs non avertis, c.a.d. les parents qui vont acheter le « dernier paru » pour leurs chères têtes blondes. Comme il y a déjà eu la compilation « Nonos de neige », on se demande jusqu'à où on va étirer la poule aux œufs d'or...

Bon, le contenu. Les gags de Roba sont tendres et savoureux, 8/10; Ceux de Verron sont un peu plus directs, mais c'est le dessin avec les yeux « fatigués » qui devient franchement lassant; ont-ils dormi la nuit passée? 4/10

La première lecture de cette histoire a été difficile pour moi car le personnage est vite antipathique dans sa médiocrité et la fin pas très compréhensible ni très crédible. Certes à la réflexion cela pose des question sur l'humanité mais c'est trop loin de moi pour que ça m'interpelle.
A relire pour en découvrir tout le suc, les dessins sont très adaptés au roman graphique. Intéressant mais pas très plaisant.

Je persiste et signe ! J'ai parlé avec plusieurs libraires qui déplorent la qualité assez pauvre de construction de l'ouvrage, le papier qui n'est pas "habituel", le dos qui perd ses couleurs si mal stocké...

Pour ce qui est de l'impression en Chine, je déplore la concurrence déloyale (taux de change du Yuan, subsides de l'état chinois aux entreprises nationales à l'export, pillage systématique et industriel des brevets mondiaux...) que fait ce pays à l'encontre ... Du monde entier. J'y ai vécu 2 ans et en comprend la langue, c'est pour cette raison que je me permets toutes ces remarques.

Pour ce qui est de la rigueur d'achat de produits courants (et en réponse à Willybouze), je la maintien aussi à tous les autres produits que j'achète : teléphone portable des pays du nord fabriqué en Hongrie, habillement provenant de France, Italie, Turquie, Inde.... Jouets Allemands et Danois, Français. Fer à repasser Français. Chaussures Thailandaises, Anglaises etc etc Et tous ces objets à des prix ultra concurrentiels !!

Dans le monde de l'imprimerie : des façonniers Français meurts de ne plus faire ce genre d'ouvrages (Ets Brun liquidés il n'y a pas longtemps), les imprimeurs idem (ici les exemples sont inombrables).

J'aurai un infini respect pour la Chine le jour ou ils paieront les brevets, qu'ils respecteront en général les règles globales du business international. Tous les peuples ayant le droit de vivre sans faire mourir économiquement les autres.

À l'actif, des dessins méticuleux d'avions fort peu connus, car ils ont tous été envoyés au tapis en trois mois ! C'est une découverte que de voir tourbillonner ces Loire-Nieuport, Amiot et autres Latécoère, ptérodactyles oubliés, ressuscités pour un dernier ballet d'adieu. Et quel flic-Flak ! Jamais batailles aériennes n'ont été rendues avec autant de d'ampleur, de précision, et d'intensité. Les cadrages sont hallucinants, on est vraiment l'ailier qui fait du rase-mottes, la bombe qui vient d'être larguée... À mon avis, ce sont les meilleurs rendus de batailles aériennes de toute la BD. Pour ces dessins, donc, la note serait de 10.

Au passif, les visages des personnages sont rigides et les poses convenues. Les situations dépeintes sont une suite d'escarmouches isolées. Il manque le fil conducteur qui dynamise, et est la raison d'être, d'une bonne BD.

De fait, l'aspect pédagogique prime, avec une liste quasi ininterrompue des noms, rang et affectation des aéronautes. On se fait rappeler au passage que la Luftwaffe a perdu plus d'avions durant ces 45 jours, que pendant les 82 jours de l'autrement glorifiée Bataille d'Angleterre !

On salue l'exercice de style, et on est reconnaissant à Daniel Chauvin d'avoir remis les pendules à l'heure sur ce passage injustement méconnu de l'histoire aérienne, qui devrait être lecture obligée au cours d'histoire.

Je ne regrette pas cette bd, une merveille, un dessin particulier, qui se côtoie à un scénario basique pour finir sur un récit ou tout se complique, le lecteur est transporté, ont dévore !

Pas de violence, pas de super guerriers, juste une grosse quête et surtout de l'évasion, la ville de Gaedor, la gorge des vents brulant, les marais etc....Cette bd est une sorte de conte dans un monde fantastique unique, mais tellement dépaysant .

Une bd indispensable, dans le genre HF à lire ou à relire .

A ranger, avec " La quête de l'oiseau du temps" .

La jeune fille à la perle shootée aux amphétamines, ou La mariée était en noir dans la chaloupe (lorsqu'elle porte sa robe...)

Un scénario fort bien goupillé, enrobé d'un dessin impeccable qui nous fait accepter sans sourciller les quelques raccourcis et invraisemblances. Si les couleurs semblent ternes, la chevelure dorée de l'héroïne luit comme un fanal dans la brume et crève les pages.

L'histoire est déclinée en deux parties. La première est une forte histoire de vengeance, la veuve éplorée pactisant avec un corsaire philosophe pour arriver à ses fins. En deuxième partie, s'ensuit une descente aux enfers sur le Hollandais volant... une fort belle pirouette !

L'auteur a eu la fortitude de s'en tenir à un seul album, bien que le sujet aurait pu être étiré à la Lanfeust.

Amateur de belle en deuil, ou armateur en fauteuil, chacun trouve son bonheur dans Saskia. On reste avec le délicieux souvenir d'une truffe volée dans une bonbonnière dont le couvercle s'est trop vite refermé.

un ouvrage étonnant par la taille et la qualité des feuilles. Les illustrations sont mises en valeurs par le format : Ca permet de plonger dans les sombres.
Par contre le livre est lourd et imposant, il faut être bien installé pour le lire. Les suppléments sont très intéressants pour ceux qui veulent aller plus loin dans l'histoire. Un grand plaisir d'avoir ce bel objet.

Alors que les deux derniers volumes de "Soil" avaient apporté un certain nombre, sinon d'explications, mais au moins de conclusions aux mystères de la ville nouvelle, Atsushi Kaneko a donc décidé avec ce 6ème volume de relancer la machine folle en multipliant les intrigues nouvelles, en faisant littéralement exploser son récit entre passé et présent, et en remettant donc en question tout ce sur quoi l'on avait cru pouvoir s'appuyer jusqu'à présent : car si le capitaine Yokoi faisait seulement semblant de ne pas être concerné par les énigmes fantastiques de Soil, et si la famille Suzushiro dont la disparition inexpliquée a servi de détonateur à toute cette histoire n'existait en fait pas, que peut-on croire de ce qu'on a lu dans les cinq premiers tomes ? Ce pari de Kaneko est évidemment risqué : en voulant relancer sa machine à fictions dans une nouvelle direction, il risque de provoquer une overdose, ou au moins une lassitude chez le lecteur (c'est un peu le syndrome de l'épuisement de la crédibilité de "Lost" qu'on a vécu lorsque les scénaristes de la série ont multiplié contre toute logique la complexité de leur intrigue...). De ce point de vue, le volume 7 sera évidemment crucial : restera-t-on accros à "Soil" ou non ?

Ai fini Les derniers jours de Stefan Zweig chez Casterman :

C'est la meilleure bd de ce début d'année pour moi (il faut dire que l'actualité n'est pas très riche). Tout d'abord, j'adore le dessin de Sorel. J'apprécie de le voir quitter les récits lovecraftiens (bien que j'adore le fils du grimacier). Il signe des planches d'une grande beauté formelle accentuée par de splendides couleurs qui rendent justice au brésil.

Je n'avais pas lu le livre de Seksik dont cette bd est l'adaptation. Je ne peux donc que parler de mon plaisir de lecture et pas émettre de jugement sur la qualité de cette adaptation.
Tout l'histoire peut se résumer au titre. Je pense que si on n' apprécie pas l'œuvre de Stefan Zweig on ne pourra pas apprécier cet ouvrage ( d'ailleurs aura t'on envie de le lire ?).
Je trouve que le scénario fait bien ressentir le spleen si particulier de Zweig. L'ouvrage n'est pas particulièrement tendre avec lui. Son choix peut paraître d'une grande lâcheté. L'émotion vient du sort de cette jeune épouse qui par amour accepte de suivre son mari dans une voie ou elle va à reculons.

Nous avons donc une belle histoire d'amour mais aussi la description d'une période dure pour les juifs ayant fui l'Allemagne nazie. Ils ont survécu mais toutes les horribles nouvelles de l'Europe les affectent au plus hauts points.
Enfin, je n'avais qu'une envie me replonger dans l'œuvre de Zweig à la fin de la lecture de cette bd. Je pense que c'était aussi le but des auteurs. Pari réussi.

Bref 85 pages de très bonnes lectures 4.5/5

ps: Je pense cependant que cette bd pourra être un sommet d'ennui pour certains. On peut être hermétique à la beauté de cette oeuvre. Il ne s'y passe pas grand chose, la fin est connue etc.

Un scénario mêlant plusieurs histoires mais ayant tous le même fil rouge.
Le procédé est parfaitement possédé. On arrive à se retrouver malgré la complexité de l'intrigue. Surprenant§
Les dessins sont magnifiques.

Un poète est embarqué de force sur un navire où son physique à la Teddy Riner sera d’une grande utilité à l’équipage. Il traverse les mers, et d’aventures en aventures, il retrouve une inspiration qui se faisait timide à quai.

La mer lui fera reconquérir un destin qui semblait perdu.

Un joli petit format dans lequel une page correspond à un dessin. Une lecture très simple, légère et agréable.

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http://bdsulli.wordpress.com/2011/10/25/en-mer/

C’est l’histoire du courage et du goût de l’effort.
On se passionne pour le destin tragique d’Amédée, un amoureux de vélo qui participe à la construction de l’observatoire du pic du midi. Dans des conditions dantesques, il se bat contre la montagne.
Une seule ambition guide cet homme : gagner suffisamment d’argent pour participer au Tour de France, même au prix de risques insensés.

Les dessins de Christian Lax sont soignés. Ils vous feront voyager dans les montagnes françaises et dans cette ambiance perdue du tour de France d’avant-guerre.

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http://bdsulli.wordpress.com/2011/11/02/laigle-sans-orteil/

Grande réussite pour cette BD dans laquelle le scénariste déroule le véritable parcours de son père suicidé. A travers les mésaventures du personnage, c’est l’histoire tumultueuse de l’Espagne au siècle dernier que j’ai découverte.

Le récit passionnant d’un homme libre qui a vécu une période importante de l’histoire de l’Europe.

Très sympa, à lire tout de suite !

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http://bdsulli.wordpress.com/2011/11/14/lart-de-voler/

BD très sombre mais qui ravira les amateurs de “faites entrer l’accusé” (oui, j’en connais!). Nous voilà sur les traces de Fritz Haarmann, mieux connu comme “le boucher d’Hanovre”, un des plus célèbres tueurs en série européens.

Haarmann entraîne des jeunes hommes chez lui pour les tuer, dépecer leur corps dont il fait commerce auprès de son voisinage. Âme sensible s’abstenir !

Le dessin crayonné vaut vraiment le détour, chaque case est un tableau.

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http://bdsulli.wordpress.com/2011/11/28/haarmann-le-boucher-de-hanovre/

Etienne et Richard sont deux hommes curieux et passionnés. L’un est vigneron, l’autre est auteur de BD. Ils ont décidé, pendant un an, de partager leur quotidien, de faire découvrir leurs motivations, leurs envies, leurs convictions.

“Les ignorants”, c’est l’histoire de cette rencontre improbable, de ces deux univers que tout oppose, a priori.

Ni action, ni suspense, mais une histoire et un dessin simples et très agréables.

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http://bdsulli.wordpress.com/2011/12/12/les-ignorants/

Jake, comme tous les poulets depuis 1979, parle et vit de la même façon que les hommes…enfin presque. Les injustices quotidiennes et l’hostilité des hommes envers ses congénères sont à l’origine de beaucoup de rage chez Jake.

A la mort de son père, Elmer, il va s’intéresser à l’histoire de ses parents dont la génération a vécu la transition historique de 1979 où les poulets ont été officiellement déclarés humains. Un parcours initiatique qui l’aidera à se construire.

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http://bdsulli.wordpress.com/2011/12/28/elmer/

Dans un bout de campagne française, Edmond et Emile, veufs tous les deux, mènent une vie rythmée par les parties de pêche et les discussions à bâtons rompus avec les copains du bistrot.

A la mort brutale de son copain, Emile est très perturbé. Il entreprend un dernier voyage sur les lieux de son enfance. Un voyage qui dépoussiérera ses envies qu’il croyait incongrues à son âge.

la suite :
http://bdsulli.wordpress.com/2012/01/01/les-petits-ruisseaux/

En 1943, Cambeyrac dans l’Aveyron est un village qui d’ordinaire vit paisiblement au rythme des parties de pétanque et des rires au bistrot du village. Mais les temps sont troublés par la guerre qui ne manque pas de rappeler aux habitants sa triste réalité.

la suite :
http://bdsulli.wordpress.com/2012/01/17/le-sursis-2/

L’intrigue est un peu simpliste à mon goût, mais il s’agit néanmoins d’un polar plaisant qui arrive à accrocher notre attention. Certains passages mettant en scène les deux principaux personnages, font preuve d’une grande intensité.

la suite :
http://bdsulli.wordpress.com/2012/01/27/le-cure/

Comment Hitler en est-il arrivé là ? L’auteur de cette BD s’attache à répondre à cette inquiétante question dans une biographie factuelle et documentée (dessins basés sur des photos d’archives, notes explicatives). Il ne tente pas d’expliquer l’inexplicable, ni de comprendre l’incompréhensible mais juste dire, faire savoir l’effrayant cheminement d’un homme qui fût élève moqué, artiste-peintre raté, vagabond, déserteur puis militaire décoré, avant de devenir ce monstre destructeur

la suite
http://bdsulli.wordpress.com/2012/02/10/hitler/