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L'histoire n'est pas très originale, on a une impression de déjà vu notamment dans les premiers albums de la série où Hugues était également accusés à tort.
Les dessins de Pierret sont corrects mais sont loin d'être des chef d'oeuvre.
La série s'installe un peu dans la routine. les scénarios ne sont pas mauvais, mais pas très originaux non plus. les dessins sont beaux mais n'évoluent plus.
Jeremiah et sa nouvelle amie vont retombés sur une communauté pas très rassurante. Ils auront du mal à se dépêtrer de cette situation car la température ne joue pas en leur faveur. C’est un bon Jeremiah avec une ambiance assez particulière, on ressent bien la tension. Sympathique.
Après 3 Surimi, Salma retourna à Nathalie.
Sage décision.
Cette série est un hybride : Les gags animaliers (avec Surimi) sont simplistes et orientés vers un lectorat d'enfants. Les gags avec les personnes sur la plage sont un peu mieux réussis, mais ne feront esquisser un (bref) sourire qu'aux adultes.
P.S. à Casterman : Si vous rééditez, contentez-vous d'un «best of» et sélectionnez pour un seul album...
Très bonne surprise que cette "page blanche" ! Si j'y suis tout d'abord allé à reculons, je suis bien rentré dans cette histoire sympathique qui ne paye pas de mine, mais qui tient ses promesses.
Sans renouveler ce genre d'histoire, l'auteur ne tombe pas dans les pièges faciles, et on parvient même à s'attacher à cette héroïne sensible à qui on ne souhaite que du bien ! "La page blanche" ne tombe jamais dans la mièvrerie et prends le temps de mettre en scène son héroïne sans sentiment gluants. Ouf !...
Les dessins collent tout à fait à l'ambiance et apportent un vrai plus !
Alors oui, "La page blanche" n'est pas le chef d'oeuvre de l'année, mais cela reste à lire, et à faire découvrir !...
Si le dessin m'a posé quelques problèmes au début de l'histoire, j'ai très vite accroché par le scénario passionnant. A l'exception d'Irina qui m'a semblé un peu en dessous des 3 autres, XIII mystery est une série de valeur. Si la série mère continue de s'essouffler (à mon humble avis), cette série là lui redonne de l'intérêt. Je recommande les tome 2,3 et 4 sans réserve et attends avec impatience les suivants à venir.
J'ai discuté avec Angleraud en 2010 de cet album. il avait terminer les dessins et Froideval a pris son temps pour poser le texte. Au final, une longue attente pour ça..... comme l'avis précédent, si cet album pose la trame des chroniques de la lune noire, faut reconnaitre que ce n'est pas l'album du siècle. J'ai commencé cette série à ses débuts et par principe, je continue d'acheter les nouvelles sorties, idem pour arcanes de la lune noire (depuis le tome 10 des chroniques, je continue de penser que mon raisonnement est débile car dépenser de l'argent pour des M..... pareil.... Et pourtant, je continue.) 3/10. Dans l'attente des arcanes tome 4 avec probablement une note aussi pourrie ....
Remodelé depuis une aventure de Félix parue dans Héroïc Albums, cette histoire d'Ange Signe est excellente, tranchante, rigoureuse comme du bon Tillieux.
Je tiens à signaler l'existence d'une sorte de fac similé pirate de l'édition MJC de 1981. Réalisée vers 2002-2003, il a (d'après mes renseignements) été tiré à 50 exemplaires par un imprimeur. La couverture est très bien faite (non peliculée, elle est très fragile), mais les pages intérieures en N&B sont plus proches de la photocopie. L'ensemble donne quand même un très bon résultat. Tous ces fac-similés sont bien entendus numérotés comme l'édition MJC mais portent tous le même numéro : 14.
Cet album m’a un peu surpris sur le comportement de Kurdy, même déçu. On ne sait pas si finalement il était plus attiré par l’argent ou par une autre raison. Et puis ce marécage dans ce tome est très spécial; c’est vrai que parfois la série tend un peu vers le fantastique. Je trouve que l’histoire reste correcte.
Je trouve cette histoire sympathique. Jeremiah et les siens vont faire la rencontre d’un groupe d’extrémistes. Ils vont devoir par la force des choses, décamper de leur nid douillet. Ils vont faire la rencontre d’un autre groupe partagé entre des idées extrêmes ou moins radicales. Jeremiah aura beaucoup de mal à se dépêtrer de cette situation d’autant plus que son adversaire du jour maitrise parfaitement le langage des gros chats. C’est du bon Jeremiah, comme d’habitude.
Cette avis concerne l'ensemble de la série.
Sans être le chef d'oeuvre annoncé, cette série à le mérite de réunir tous les éléments d'une bonne série de science fiction. Bajram va au bout de son intention et assume l'idée que l'être humain se perdra lui-même.
Seul petit bémol, il faut bien l'avouer, c'est la fin, un peu "légère" et comportant quelques détails incohérents.
A découvrir parce qu'il faut bien avouer que c'est tout de même rare de tomber sur des séries qui tiennent vraiment sur la longueur !...
Le Château des Ruisseaux est un album brut. Il est à peine scénarisé; l'horreur des parcours de chacun des pensionnaires suffit largement. Le dessin, désincarné, sans chaleur, est ramené à l'essentiel pour mieux traduire la fragilité de ces personnages déglingués, que jamais les auteurs n'essaient de rendre sympathiques...Seuls les tons pastels apportent en peu de douceur, mais ils nous rappellent aussi -cruellement- l'enfance, et l'innocence à jamais perdue....C'est un album dur, cru, courageux, sans le moindre effet; la seule et unique manière d'aborder ce sujet... On en ressort sidéré.
Durant les premières pages le dessin quasi enfantin m’a un peu déstabilisé, puis les détails se sont fait jour et la revisite du mythe d’Orphée s’est installé. (Orphée descendu aux enfers pour aller sauver Eurydice sa bien-aimée… pour la suite, lisez le conte mythologique…)
Et quelle revisite !!!!
Nous suivons surtout Dysserie (l’épousée) dans son voyage aux ombres, elle est accompagnée par Zebl, un diablotin particulièrement obsédé et très attachant. Dans cet album la galaxie Arleston est là, et les références au monde de Troy sont nombreuses.
La vision décalée des enfers, l’humour incroyable des dialogues, renforcent le combat de cette jeune fille pour vivre sa passion, pour être simplement ce qu’elle est, durant sa vie et sa mort.
Un excellent « one shot », qui nous rappelle un chose essentielle : l’important c’est d’être en harmonie avec soi-même et de vivre pleinement ce que nous sommes, ce que nous aimons, ce qui nous attire.
Car après tout, nous n’avons qu’une vie et qu’une mort. A moins que…
Le coeur de l'album est son texte, plein d'humanité. Heureux mélange d'Histoire peu connue et de biographies, on appréhende le rôle essentiel du « petit monde » qui gravite autour des Grands de l'histoire et leur donne leur assise.
Au passage, on en apprend beaucoup sur des parties méconnues du conflit, qui on permis la renaissance de la France malgré l'ignominie de Vichy.
Au passif, les visages manquent d'émotion et les couleurs seraient éminemment perfectibles. Et surtout, le héros éponyme est constamment présenté en contre-plongée, statue déifiée regardant au loin...
Bon, d'accord, ce n'est pas une « vraie » BD. Mais le récit est plutôt bien réussi. Surtout si on le compare à un poncif dans la même série « Biggles raconte » comme « La bataille d'Angleterre. »
Donc, 7/10; Mais seulement dans sa catégorie de BD historique !
Le Schtroumpfissime est une très bonne satyre sur les jeux de pouvoir. Les gags plairont à coup sur aux plus jeunes (7/10), alors que l'opéra bouffe regorge de pointes vers la classe politique qui font mouche 48 ans plus tard... (9/10). Le premier long récit des schtroupmfs, et à mon sens, le meilleur.
Le texte accompagnateur livre des anecdotes liées à la création des planches (pour la plupart, déjà parues dans d'autres ouvrages sur Peyo). Hugues Dayez essaye également d'établir des liens entre la mise en scène de certaines vignettes de Peyo et d'autres auteurs antérieurs, avec plus ou moins de bonheur; certains parallèles font même grincer des dents...
La pertinence de cette édition ? Mmmh... 3/10.
Dans cet épisode, Kurdy va rencontrer une ancienne connaissance. Cette dernière va lui proposer de travailler avec lui pour quelque temps, histoire de gagner un peu d’argent. Le but de la mission, Kurdy en aura la connaissance une fois qu’ils auront rencontré le client. Je trouve que ce tome reste d’un bon niveau, toujours dans un esprit action et aventure. Sympa.
Une très bonne BD. Déja on sent que le scénar est en effet une idée qui trainait dans un tiroir depuis assez longtemps, ce qui fait que les idées ne manquent pas dans ce monde cyberpunk. Et les dessins sont très très bons car typés et pourtant forts détaillés.
Et puis la suite étant parfaitement à la hauteur, mes réserves se sont envolées !
Une BD sympa mais sans plus, on sent que niveau dessins, Arinouchkine a été parfois à la facilité, et les couleurs proches d'Elwen, ne sont pas aussi pimpantes et enchanteresses que dans l'oiseau de feu ... bref le dessin n'arrive pas à faire oublier la simplicité du scénario, dommage.
Avis concernant Locke & Key 1, 2 et 3
Après l’assassinat de leur père (Rendell) et le viol de leur mère par deux élèves du collège dans lequel il travaille, la famille Locke va s’installer dans la demeure dans laquelle Rendell a grandi et où vit toujours son frère Duncan. Alors que tout le monde tente de reprendre vie, Bode, le plus jeune des enfants va découvrir une clé qui a le pouvoir de séparer le corps et l’esprit et provoquer bien involontairement la libération d’une créature enfermée dans un puits et qu’il était seul à voir. A partir de là, les évènements vont s’enchaîner et les enfants vont devoir lutter pour leur vie qui semble dépendre du contrôle de mystérieuses clés qui sont cachées dans la maison et que la créature du puits, très liée au passé de Rendell, veut posséder à tout prix.
Joe Hill, fils de Stephen King, a commencé sa carrière par un roman puis par un recueil de nouvelles qui ont été l’un et l’autre plusieurs fois primés. Il s’attaque à la BD et une nouvelle fois sa série se fait fortement remarquer (et primer). Je ne suis pas spécialement attiré par les comics car hermétique aux histoires de supers - héros et souvent rebuté par le graphisme et la colorisation. Mais devant le flot d’avis positifs et aimant généralement le fantastique, j’ai regardé, j’ai hésité (bah oui le dessin) et j’ai pris le risque.
Et bien je ne peux que m’en féliciter. Joe Hill nous propose un thriller fantastique particulièrement efficace, intelligent et prenant. Tout d’abord, même s’il y a de la violence, nous ne sommes pas dans le fantastique gore : pas de geyser de sang, d’intestins à l’air et autres têtes qui roulent. Ici nous sommes plus dans l’envoûtement grâce à trois éléments :
- tout d’abord une capacité étonnante (encore plus venant d’un jeune auteur) à installer des ambiances ; un rythme de narration sans aucun temps mort qui happe le lecteur jusqu’à une fin pleine de promesses ; une narration limpide, alternant les différents membres de la famille et Zack/Dodge.
- un fantastique tournant autour d’une maison et de clés offrant des possibilités et des pouvoirs différents que j’ai trouvé attrayant ; ces éléments fantastiques ne sont jamais des prétextes pour des « deus ex machina », ne sont pas là pour faire étalage de supers – pouvoirs ; ce fantastique intrigue, on a envie de découvrir les autres secrets et surtout de comprendre l’ensemble du tableau qui pour l’instant reste bien énigmatique.
- enfin le traitement des personnages est une totale réussite. L’approche du deuil qui frappe la famille Locke est plutôt intelligente. Les personnages sont crédibles et touchants tant dans les impacts du drame qui les frappe que leurs tentatives pour se reconstruire. Leurs relations sont bien décrites et on s’attache à eux.
Bon, dans une BD il y a un dessin. Et oui il s’agit d’un comics et donc j’ai vraiment du mal mais là je dois reconnaître que je m’y suis vite habitué. Tout d’abord on nous épargne les couleurs flashies trop souvent présentes dans les comics que je feuillète. Ensuite, il y a un vrai travail sur les décors et arrières plans. Enfin le style semi - réaliste du dessinateur peut sembler un peu décalé sur ce style de récit. De plus il y a un aspect un peu dessin animé, un peu cartoon. Ce graphisme facilite totalement l’immersion dans le récit. Grâce à ce côté un peu enfantin, il n’alourdit pas le propos.
Alors même si ce style de dessin me posera toujours problème, ici je le trouve extrêmement efficace et au service d’une histoire intelligente et addictive.
Le quatrième tome est annoncé pour juin et au bonheur, la série ne devrait en compter que 6. Ne vous privez pas, venez visiter Lovecraft ! Une étape immanquable.
Un bon premier tome qui nous plonge dans le vif du sujet très rapidement.
Une belle surprise, j'espère ne pas être déçu par la suite car ce 1er tome nous tiend bien en haleine jusqu'a la fin.
A suivre
Le meilleur album de science-fiction, sans aaucune comparaison possible. A avoir absolument dans sa collection.
Difficile critique : il est évident que l'album à demandé du travail.. mais franchement pour quoi au final : des dessins bâclés et moches, des anecdotes sans queue ni tête, rien qui retienne ni mon attention ni mon regard. J'ai cherché le pourquoi de ce livre.. pas trouvé.
Après un excellent diptyque évoquant la deuxième guerre mondiale lors de la bataille des Ardennes, Jarbinet poursuit son hommage à ces « héros » inconnus, son devoir de mémoire.
Il le fait toujours avec les mêmes arguments qui m’avaient procuré beaucoup de plaisir. Tout d’abord une évocation habile de la grande histoire à travers les petites histoires. Une capacité à donner vie à ses personnages, à exprimer des sentiments, à évoquer les drames et les choix des uns et des autres avec pudeur et authenticité.
L’auteur semble toujours aussi bien documenté et nous propose encore un dessin réaliste à l’aquarelle dont la puissance évocatrice ne se dément pas tant pour évoquer la campagne Normande avant la guerre où le jeune Gavin va tomber amoureux de la jeune Joanne que pour décrire l’horreur et la folie du débarquement.
Tout va donc bien me direz-vous. Eh bien non, ce coup là, il manque un peu de magie, un peu de tension dans la trame centrale sentimentale qui sert de fil rouge au récit. Ici j’ai trouvé l’histoire peu crédible : deux jeunes tombent amoureux durant un été, ils le restent alors qu’ils sont séparés par un océan et que à priori ils n’ont pratiquement aucune chance de se revoir et finalement notre petit américain va revenir, 6 ans plus tard, sur les plages où est née son idylle pour découvrir que Joanne serait morte... Et sur ce dernier élément, même pas de suspens, la ficelle est trop grosse.
Il nous reste quand même une belle évocation mais, pour l’instant le récit est largement inférieur au diptyque précédent.
J’aime beaucoup ce volume où Jeremiah et Kurdy vont escorter une famille d’une ville à une autre. Ça commence par une disparition, suivit par de mauvaises rencontres (forcement). Jaime beaucoup le dénouement de cette histoire, j’ai été un peu surpris. Je l’ai trouvé très sympa.
Cette fois-ci, Jeremiah part à la recherche de sa tante (et d’un groupe de survivant). Il va faire la rencontre d’un mystérieux magicien accompagné d’une étrange créature. Il va avoir à faire à un groupe d’indiens d’Amérique qui n’est pas très commode. Ce que je trouve dommage, c’est qu’on ne sait pratiquement rien sur la créature ainsi que sur ses pouvoirs (d’où est ce qu’ils proviennent), on le saura peut-être plus tard. Je trouve la fin de ce volume un peu facile mais ça reste sympa, ça se laisse lire.
Une claque magistrale sur tous les plans et jusque dans la construction de l’ouvrage. Les illustrations sont d’une rare puissance. L’horreur distillée avec génie. J’en ai eu le souffle coupé et j’ai encore du mal à m’en remettre. Il est des lectures qui ne s'oublient jamais et celle-ci en est une. Merci.
Cet avis concerne l'ensemble de la série.
Cette série aurait pu accéder au rang des titres indispensables à toutes bibliothèques. Dessins superbes, scénario maitrisé, de la poésie, de l'émotion, du suspens, etc.
Mais malheureusement, ces qualificatifs ne valent que pour les deux premiers tomes (très beaux), cassés purement et simplement par un troisième tome tout juste anecdotique. Des dessins aussi grossiers que le scénario qui tente de recoller à l'esprit de la série dans les dernières pages sans jamais y parvenir...
L'éditeur se serait-il disputé avec les auteurs pour décider d'abimer une série qui commençait si bien ?... Dommage...
A découvrir tout de même...
Un ouvrage ambitieux avec un dessin très travaillé qui crée parfaitement l'ambiance nécessaire à ce récit mi-psychologique mi-fantastique, une interprétation réussie d'Oscar Wilde.
Mais tout en reconnaissant l'indéniable qualité à la fois du dessin et de scénario, qui permet de prendre du plaisir à cette lecture, je dois avouer que ce genre n'est pas ma tasse de thé, ce qui ne me permet pas de le placer dans mes coups de cœur.
Mais je suis sur qu'un récit un peu plus réaliste du même auteur m'enchanterait.
En tout cas, cela vaut le coup de la lecture rien que pour admirer les planches.
Je crois que je suis un peu comme les autres , du tout pas mai salors pas du tout fan , tout me parait plus que moyen : les dessins , le scenario , la mise en page ( il faut lire ou ? La suite est en bes , sn heut , a droite ,? ) dons A EVITER
Bon, simplement pour signaler - je l'ai déjà fait DEUX fois à BDGest - qu'il existe une 2ème version à 999 exemplaires (Ah, marketing, quand tu nous tiens !!) où il est stipulé (foutage de G. vu que pour le "Virgin" = idem...) : Edition spéciale, Tirage limité à 999 exemplaires : Tirage unique (la bonne blague !!) pour spécialistes indépendants en Belgique.
Ben oui !! C'est parce que mon scan est out et que je n'ai pas le temps, mais, si, si, il existe ce tirage ! Suffit de demander à Brüsel ou Durango !!
Non mais !!
quel plaisir ! le dessin est magnifique, l'histoire prenante! et que dire de l'ambiance dégagée par ce jeu de couleurs, sublime!
Jeremiah et son pote Kurdy vont arriver dans une ville où on embauche. Apparemment les dirigeants de cette ville cachent certaines choses. Encore une histoire où Jeremiah va pouvoir mettre son grain de sel. Sympa comme bédé, je trouve que ce n’est pas la meilleure de la série mais elle se laisse lire.
Fin du suspens sur les origines du héros! le scénario est moins original que prévu.
Le dessin ne s'est plus amélioré, il est bien mais sans plus
Avec du retard, je viens de lire le deuxième tome.
Et j'apprécie vraiment cette série !
Le dessin est très précis et cale idéalement avec le scénario bien ficelé et raconté, plein de dilemmes. J'aime bien aussi la manière avec laquelle on accepte progressivement les différents évènements surnaturels.
Vivement le tome 3 (dont les premières planches annoncent la couleur).
La rencontre de deux hommes perdus dans leur solitude. L’un parce qu’il n’arrive pas à garder une relation stable, et l’autre un secret, une fausse dépendance lui empêche de nouer des liens, de vivre.
Le dessin, les paroles, le ton de ce manga (one shot), nous entraîne dans un conte pour adolescent. Une lecture rafraîchissante, parfaite pour les trains, les moments d’attente ou les atmosphères de légèreté.
Un polar de Servais ? Pas au début, où on baigne dans un mystère enveloppé d'un essaim d'abeilles...
L'intrigue est bien tournée, nous faisant osciller entre plusieurs coupables possibles. Il restera bien peu d'innocents dans ce rucher urbain. À la fin, d'ailleurs, les nouveaux amoureux vont quitter le guêpier comme porte de salut.
Tous les ingrédients Servaisiens y sont : un arbre (évidemment), des jeunes filles nubiles (re-évidemment), des évènements mystérieux reliés à la nature, l'univers oppressant de la zone urbaine.
Les dessins-gravures, réalistes, restent tendres et sensibles lorsqu'ils détaillent les travers et bizarreries de l'âme humaine. La toute dernière vignette est une des plus belles que Servais aie réalisé, illustrant à merveille la fusion de l'Homme (pardon, la Femme) avec la Nature.
Incontournable.
C’est simple, captivant. On entre dans ce roman graphique et on n'en sort plus. Une pièce majeure de la narration d'histoire, voilà ce que Pedrosa à réussit.
Album en édition participative, je ne connaissais pas le principe mais les personnes qui ont soutenu le projet sont des Bédéphile car cet album est splendide.
Un graphisme et un découpage collant au texte, vivement la suite.
Un détective en imper avec une mèche rebelle dans le Paris interlope des années 50, une collaboratrice aux cheveux noirs courts, un assistant pas très futé et gaffeur, beaucoup de bagnoles, des physionomies coupées au couteau... et beaucoup de bagnoles !
Gil Jourdan reprendrait-il du service?
Eh non, c'est son grand cousin Martial Marquand, dit Le Marquis dans un certain milieu, qui s'y colle ! Et tout ressemblance avec le style Tillieux devrait être vue comme un hommage au Maître.
Et il s'en sort bien, l'artiste. Les vignettes se suivent en séquence et définissent bien la continuité de l'intrigue. On peut même « couper le son » (ne pas lire les bulles), et l'histoire tient la route. Pas de sauts de cadrage intempestifs, aplats de couleurs coordonnés... Ah, ligne claire, quand tu nous tiens !
Et même si Bénédicte possède la carrosserie de l'emploi, il est clair que Delvaux a plus de plaisir à détailler la superbe Facel Vega FV2, que l'on voit sous toutes les coutures dans plus de la moitié des planches...
Le scénario devient hyper-dense dans la deuxième moitié, et là les récitatifs sont de rigueur pour démêler l'écheveau qui ne finit pas de s'empêtrer, et pour séparer les cadavres qui s'accumulent. Du Tillieux aux stéroïdes...
Une bonne BD classique, qui mériterait d'être plus connue.
Les animaux parlent entre eux. Ils ont des caractères bien typés. Les gags sont bons, assez amusants pour un vaste public, tant adulte, ado, qu'enfant. Peut-être un peu trop disparates - on cherche encore un fil conducteur fort. Ceci devrait se développer dans les albums futurs.
Le graphisme est très expressif, dans le style cartoon, en aplats. On peut ne pas aimer les expressions exagérées, mais bon, c'est le style choisi. Les couleurs sont souvent criardes sans nécessité, ce qui distrait l'adulte qui va en chercher la raison, et qui risque de louper le gag en finale.
Plaisant à lire. Les lecteurs québecois sympathiseront d'emblée avec les « anim-héros », car ils les ont vu lors de leur visite au vrai Biodôme !
On va voir la suite...
Voici une autre critique : http://BiblioAllie.CanalBlog.com/Archives/2011/11/20/22630688.html
La première chose qui frappe c'est que les dessins sont de plus en plus réussi.
Les personnages sont maintenant au niveau des décors. Le scénario est de qualité égale, l'histoire se poursuit agréablement avec de nombreux rebondissements.
« Ma petite pouliche » pour filles de 6 à 11 ans. C'est ce qui vient à l'esprit lorsqu'on pénètre le milieu feutré et à l'eau de rose de ces filles de millionnaire dont le seul souci semble être d'assortir leur gilet à la couleur des mèches fluo (!) de leur monture.
Pourtant, on détecte un semblant d'histoire moralisante au détour du paddock. Les cadrages sont variés, le découpage saccadé, comme dans une vidéo. Beaucoup de bulles - jusqu'à 6 par vignette ! - et très (trop ?) remplies.
Au final, on préfère la série équestre « Triple galop », une vraie BD avec de beaux dessins et des aventures moins mielleuses.
Pour jeunes de 5 à 10 ans.
Cette série pourrait faire penser aux Schtroumpfs : toutes les abeilles se ressemblent, elles ont des caractères variés, sont sympathiques et un peu naïves.
Les jeux de mots, toutefois, vont passer par dessus la tête des plus jeunes - sont-ils là pour le parent qui va lire l'histoire avec son enfant?
Les dessins sont simples et chaleureux; les phylactères sont un peu trop remplis (verbosité excessive).
Ne deviendra pas un classique.
Surprenant.
On pensait avoir fait le tour du scénario jusqu'aux dernières pages mais je n'en dirait pas plus pour ne pas dévoiler la fin de ce tome.
Excellente série à découvrir d'urgence.
9/10.
Les dessins sont nuls et pourtant on reste scotché à ce premier opus comme rarement. L'histoire est passionnante debout en bout et on se demande de quoi peut bien parler le second tome.
Patience...
8/10.
Sattouf nous livre une compilation de petites saynètes d’une étonnante perspicacité. Hilarant et parfois pathétique, le tout se déguste planche par planche.
Fin du premier cycle qui pourrait être le dernier étant donné la tournure prise par le scénario.
Enfin ce tome apporte des réponses, on les devinaient déjà.
Les dessins restent impeccables.
7/10.
Un scénario extrêmement bien ficelé. La série se lit presque d’une traite. Contrairement à ce que j’ai pu lire dans pas mal d’autres commentaires, j’ai vraiment aimé ce dernier tome qui donne une nouvelle épaisseur au personnage de Blanche. Elle s’endurcit. Les épreuves la rendent plus lucide. On a bien envie de la suivre plus loin…
Le deuxième tome est l’un des meilleur de la série je trouve. Il a, comme la plupart des Jeremiah, un coté Western. Au début, nos deux compères vont apprendre l’existence d’un trésor qui a été délogé d’un fourgon qui a été attaqué. Apparemment, plusieurs personnes sont sur le coup. Pas mal ce volume, il y a un peu d’émotion, des malentendus. Vraiment sympa, je conseille.
Un livre assez drôle sur la vie des femmes iraniennes, mais bien en dessous de Persepolis ! Les conversations s’ajoutent les unes aux autres… Je trouve que le thème aurait pourtant pu être traité avec un tout petit peu plus de profondeur vu le talent de la dame !
Note identique aux tomes précédents malgré une réalité historique décrite avec détail.
Les dessins sont eux aussi au dessus du lot.
Et pourtant .................
6/10.
Pas mal du tout, mais il manque un petit quelque chose à cette série.
Peut-être plus de minutie dans le description des combats navals.
Je déplore un érotisme facile et qui n'apporte rien de plus à l'histoire.
J'aime bien les premières pages du début sorte de flash-back sur premier opus.
Malheureusement pas de nouvelles révélations.
A suivre.
6/10.
Belle entrée en matière pour ce premier tome d'une série sur la piraterie dans l'Amérique pré-indépendance.
Le cocktail a l'air réussi entre un scénario qui n'a pas livré tous ses mystères et des dessins très réussis. Quelles belles illustrations de bateaux des siècles derniers.
On attend la suite.
6/10.
Trois truculents copains saumons remontent le courant pour aller féconder les saumonettes. C’est le début d’un périple extrêmement réjouissant. On rit à voix haute à maintes reprises !
Le format du livre est original. Les dessins adorables tout comme le début de l’histoire. Lorsque le mignon Bludzee prend conscience du super pouvoir de ses griffes alors l’aventure prend un tout autre chemin. C’est inventif, c’est drôle et parfois même un peu ‘gore’.
J'ai lu la BD, j'ai vu le film, j'ai acheté la BD.
Cette série a un scénario vraiment fait pour le cinéma. Tout y est: action, suspense érotisme et dépaysement. Les dessins sont remarquables. Une très bonne BD moderne.
Pas vraiment emballée. J'imagine que je m'attendais à retrouver la Pénélope du blog. Je me suis un peu ennuyée.
L'Afrique comme on n'a pas l'habitude de la voir ! C'est léger, c'est drôle. J'ai lu tous les tomes. De très agréables moments de divertissement !!
C’est l’histoire d’un chat philosophe et de personnages hauts en couleurs aux avis souvent fort divergents (c’est le moins qu’on puisse dire^^). Vraiment malin et drôle. Un grand coup de cœur !
Le cheminement d’un homme. C’est son histoire et pourtant c’est un peu la nôtre. Des joies, des peines, des peurs universelles. La vie quoi… le combat ordinaire.
Bouleversant. On a beau penser tout savoir de cette période, on met du temps à se remettre de cette histoire. On ne peut s’empêcher de penser que ce père vieillissant, aigri, possessif, obsessionnel et pourtant si attachant serait un autre homme s’il n’avait pas traversé cette terrible période. Un livre de mémoire. Indispensable !
LE livre qui m’a enfin convertie à la BD ! Une simplicité du noir et blanc qui décuple l’intensité des émotions. L’Histoire à travers les petites histoires de Marjane. Drôle et engagé pour ne rien gâcher. Un véritable petit bijou. J’ai envie de l’offrir à tout le monde... et de continuer à explorer le monde de la BD !
Le dessin n'est pas vilain , plutôt sympathique même avec des proportions inédites interessante qui rappelle le dessin de Gazzotti...Mais !!Tabarnak!!ça ne suffit pas pour faire une histoire qui tienne la route... Qui parle ? Et à qui? qui sont tous ces gens? Où sont ils? Autant de questions élémentaires qui envahissent sans cesse le cerveau du malheureux (moi, en l'occurence) qui aurait osé s'aventurer dans ce "Fahrenheit 14"...Le Sentiment de confusion est bien là, dès les premières répliques toutes plus lourdes les unes que les autres ("interessé par une partie interessée?") ... Comme si ça ne suffisait pas, les auteurs nous servent des jeux de mots hors sujet et anachroniques comme cet épouvantable: "Un très beau site Oued"... C'est consternant.
J’aime bien la série Jeremiah, c’est une bédé où le thème post apocalyptique me plaît beaucoup. Les scénarios sont principalement simples et efficaces avec de l’aventure et de l’action. Les dessins sont très chouettes et les couleurs bien prononcées comme j’aime. Le premier tome nous raconte la rencontre entre Jeremiah et son pote Kurdy qui vont ensemble tout faire pour déjouer les pièges de leur terrible adversaire du jour, l’amateur de rapace.
Sympa comme BD, mais un conseil, pour soigner votre problème d'éjaculation précoce visitez: www.ejaculationcontrole.com.
BD croustillante relatant les états d'âme d'une jeune fille subissant son célibat. Aussi , de quoi est-elle capable pour séduire?...
Totalement d'actualité , cette BD retanscrit bien les soucis des jeunes , leurs frasques...
A lire
un style particulier reconnaissable , on reconnait bien, là le dessin très fouillé de l'auteur complet (dessin peinture aquarelle et cénario)
Le style est a cheval entre enluminures et bd, et un style très particulier se trouve en adequation avec le sujet parfaitement maitrisé
album très dense, à lire et peut être relire une deuxième fois tant il y a des information, dommage que la couleur de Kompf soit terne...
Mais pour le contenu c'est comme toujours pour ce scenariste toujours précis
EH OUI EN 20 PAGES c'est insuffisant, heureusement les auteurs l'ont repris pour leur maison d'édition habituelle
LE ROI HENRI TIENT TOUJOURS LA CORDE ET SON VIEUX RIVAL LOUIS LE GROS LE LUI REND BIEN
ON EN REDEMANDE ET C'EST TOUJOURS AUSSI BIEN DESSINE
UNE NARRATION bd FICTION HISTORIQUE AVEC LE ROI HENRI QUI DEVIENT AU FIL DES TOMES LE PERSONNAGE PRINCIPAL ET TOUJOURS CETTE PRECISION QUI FONT LA REPUTATION DE LA SERIE
LE TRAIT DE DARVIL A PRIS DE LA MATURITE
POUR LA NARRATION ON EST DANS LE GENRE ROIS MAUDIT MAIS EN BD
a lire impérativement pour tous les amateurs d'histoire.
Du détail et de la précision
beaux dessins de dARVIL
Probablement le meilleur album depuis le reprise de Pierret au dessin. les personnages prennent du volume et les visages deviennent enfin plus réaliste.
Le scénario est simple mais éfficasse.
Je suis Belge, Thibs, et je lisais des planches bd de Sato en Belgique en 2004, comment et par quel miracle pouvez vous parler de l'ex auteur de la série que j'ai appris à connaitre. Il a signé chez joker qu'en 2007, sous l'influence de Pierre Tranchant, après que Bamboo et Delcourt ait refusé le tome 1 déjà terminé !
Pour votre gouverne, ce contrat dépend d'une loi abolie, et le Syndicat des auteurs et compositeurs Français parle clairement de malversations sur son site pour ce tome 4, et met en garde les auteurs Français à ce sujet, de plus il aidera l'auteur pour aller en justice dés la sortie hexagonale de ce tome 4, pour ce vol de sa propriété intellectuelle.
Edit : De plus Thibs, vous êtes partie lié avec joker ( époux de la secrétaire ) à ce que je viens d'apprendre, donc de parti-pris dans cette affaire.
Comme pour les tomes 1 et 2, tout ce qui aurait pu donner un peu de sel à cette suite de planches est systématiquement réduit à néant par l'auteur. Reste un décor de pierre envahi par la végetation, des personnages peu attachants, des objectifs mal définis...à part foutre la pâtée aux types d'en face... ça ne pèse pas lourd pour une série de 4 albums à 15 euros, je trouve.
Ce tome 8 clôture en quelque sorte la fin premier cycle d'une brutalité rare, mais de bout en bout passionnant (hormis le tome 6, il est vrai, bien en-dessous de tous les autres).
Walking Dead est une série addictive où les auteurs parviennent à éviter les écueils du genre, et va bien plus loin que le genre lui même.
Il faut le dire, j'ai rarement ressenti autant de violence dans une oeuvre graphique. Les auteurs n'hésitent pas une seconde à sacrifier femme et enfant, jusqu'à tuer purement un simplement les héros qu'on peut suivre depuis plusieurs tomes.
Je ne sais pas jusqu'où nous mènera Walking Dead, mais ce qui est certain, c'est que l'enfer ne sera pas loin...
le scénario est toujours aussi intéressant, mais la surprise vient des dessins de Pierret qui deviennent de plus en plus réalistes. Les visages des personnages sont bien mieux réussis et plus expressifs.
La série se perd dans un scénario à l'américaine avec ses kilomètres de longueur à nous expliquer le bien et le mal. pourtant l'histoire recèle une bonne part de sales gueules et de paumés en tout genre.
le dessin tient parfois plus du gribouillage que de l'illustration.
Pour amateurs uniquement.
4/10.
Pas mal du tout, C'est beau, drôle, original et palpitant !!! L'aventure est menée d’une main de maître!
Les rebondissements sont surprenant, hilarants, le dessin est magnifique…
Qui sont donc ces sélénites ?!!! Vivement la suite ! 9/10
Un très (trop) rapide moment de sourire et de nostalgie.
Le genre de BD lue par plusieurs générations.
Mais bien vite oubliée....
5/10.
D'accord les gags font plus rire que sourire mais ce tome montre qu'un personnage de BD peut survivre sans son auteur.
A réserver à un jeune public ou à lire par pure détente.
C'est selon.
5/10.
Une fin prévisible mais un grand moment de bande dessinée.
A y réfléchir de plus près une histoire quasi-réelle.
Merci aux auteurs.
7/10.
Le meilleur tome de la série en attendant le dénouement.
Du bon du très bon : machination et trahison à toutes les pages.
Digne des meilleurs scénarios d'Hollywood.
Foncez découvrir ou redécouvrir cette histoire.
9/10.
Tout bonnement excellent.
Un scénario riche en rebondissement et assez fin finalement.
Une très belle galerie de salauds.
Une histoire qui finalement aurait pu être vrai tellement elle est réaliste.
Du grand Desberg.
8/10.
De la difficulté d'adapter un visuel sur une oeuvre littéraire. Même le maître Peter Jackson avait du essuyer les critiques de fans de Tolkien qui avaient imaginé d'autres approches visuelles de sa trilogie cinématographique. Du pouvoir évocateur des mots à l'interprétation graphique, périlleux exercice... ...que les auteurs de cette série auraient dû éviter. Majipoor c'est un peu le Star wars de Silverberg, avec son bestiaire, ses castes dirigeantes, ses cités et un optimisme rafraichissant qui parcourt l'univers majipoorien.
Quid en l'occurence ? Des personnages sans épaisseur, et l'épopée Silverbergienne rabaissée au rang du conte pour enfant. Pourtant les dessins sont sympathiques et les couleurs jolies, mais voilà, la passion est absente, le souffle manque, la magie a disparu.
Vite lu, vite oublié.
Troisième volet de cette saga d'espionnage.
Un scénario vraiment bien conduit avec une galerie de personnages qui s'entrecroisent, s'entretuent ou se trahissent.
Même les dessins finissent par paraître réussis.
une belle maîtrise.
7/10.
Le 2ème tome a sans nul doute atteint son niveau de croisière au plan scénaristique. Les principaux personnages sont en place et on comprend mieux la rivalité entre de nos 2 ex-meilleurs amis;
J'aurai surement mis 9 mais les dessins ne sont vraiment pas top.
8/10.
Un premier opus bien ficelé pour les amateurs de BD d'espionnage.
On regrettera les dessins vraiment pas à la hauteur.
A noter aussi que les nombreux flash-back nuisent parfois à la fluidité du récit.
A suivre sans modération.
6/10
C'est un Frederik Peeters en grande forme qui nous revient avec cet album.
En revenant à la science fiction, Peeters nous livre içi une aventure aussi mystérieuse que prenante.
Cet album de 86 pages, est accès sur les déboires de Verloc, homme paumé et raté ,qui se retrouve sur une planète abandonnée, pour des raisons économiques, en compagnie de son frère et d'un garde du corps, Churchill, à la recherche d'une substance mystérieuse.
Le scénario est très bien construit, mélant habilement flashes-back et aventures sur la planète. Le récit est dense, très dense mais je ne me suis pas ennuyé une seule minute à la lecture; et il foumille de gadgets originaux ("le parapluie","le filtre")
Le personnage de Churchill , un robot-singe, grand fumeur de cigare devant l'éternel, est assez énigmatique et très attachant et il me tarde de savoir ce qu'il lui est arrivé.
Un très bon scénario avec des dessins jolis mais très simpliste. Certaines planches de décor sot très belles mais le visage de certains personnages comme celui de Nolwen par exemple sont trop classique à la Hergé. Dommage
bd agréable à lire, dessins sympa et histoire très légèrement érotique. On retrace la vie de ce monsieur qui n'aime qu'une seule fille : sa femme.
trés belle bd érotique. On approche là l'érostisme chinois, avec de la sensualité, du plaisir et des dessins sublimes.
Bien dessiné, histoire qui a du sens et érotisme bien présent. Un livre érotique qui tient la route, avec une hsitoire se passant à la préhistoire, ce qui laisse place à un peu de brutalité mais sans gâcher les scènes érotiques.
Les personnages sont ni crédibles ni attachant.
Les gags ne sont pas drôles : on sourit peu voire on s'ennuie.
A éviter.
2/10.
Quelques bons gags mais l'ensemble reste très décevant.
Finalement vite lu vite oublié.
Passez à autre chose.
3/10.
Nicolas Mahler est sans conteste un auteur lucide sur son époque. Avec son album Bad job, il nous décrit la misère des pays industriels soit disant évolués où l'espèce humaine est à ce point niée et avilie par le commerce. C'est avec l'idée qu'il faut vendre à tout prix que nous partageons le quotidien de ce personnage, clown triste, affublé d'un costume ridicule et étouffant en train de distribuer des prospectus. De quel prospectus s'agit-il ? Nous n'en saurons rien mais nous passons avec lui des moments émouvants au cours desquels l'auteur s'interroge au final sur son existence, sa condition, la valeur et le devenir de l'espèce humaine. Tout un programme et tout cela réalisé sans texte, pari difficile qui fait de Nicolas Mahler un auteur de bande dessinée réaliste et humoristique hors du commun. Reiser aurait sûrement salué sa finesse...
Au départ on peut être surpris par le graphisme, puis au fur et à mesure de la lecture c'est une évidence.... L'Histoire de cette grand mère qui raconte son histoire à sa petite fille est très émouvante. Elle est racontée avec pudeur et beaucoup de sensibilité.je suis enseignant en histoire et cet ouvrage permet de parler à des jeunes enfants de cette période de l'Histoire... C'est un joli cadeau à offrir....je recommande vivement cet ouvrage. J'ai rencontré le dessinateur à Angoulème, Marc Lizano, nous avons discuté de cette BD pendant un bon quart d'heure merci à lui de m'avoir consacré du temps....
Certainement le meilleur Jess Long que j'ai pu lire jusqu'à présent. Une histoire complète qui se déroule en Belgique et sans son coéquipier habituel Slim Sullivan sur un scénario plutôt bien ficelé.
Plus que correct à mon avis.
Pas drôle non plus !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
A éviter d'urgence!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
1/10.