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Depuis le deuxième tome, le moins que l'on puisse dire c'est que les auteurs passe des messages politiques forts, même si par certains aspects ils enfoncent des portes ouvertes.
En mettant le dernier représentant de la race Humaine sur un piédestal jugeant les attitudes, tantôt misogyne, tantôt capitaliste, tantôt colonialiste, tantôt corporatiste des races constituants la population de sillage, les auteurs nous mettent face à un miroir et nous montrent leur foi en l'humanité.
En dissociant le coté humain, bienveillant, sensible et le coté gestionnaire d'une grande communauté avec tout les manœuvres politiques que cela implique les auteurs nous donnent une vision bien amère de notre propre monde et en tirent un portrait réaliste et peu flatteur.
Riche en émotions ce récit mené de main de maitre, aussi bien graphiquement que scénaristiquement, ne déroge pas à cette règle.
On notera en clin d'œil, les petits hommages aux différents personnages de BD de cinéma et de dessins animes tout au long de l'album.
Un album très intéressant de part la conception de la série, avec les différentes couches de scénario.
D'un coté l'histoire de Nävis, agent de Sillage qui dois trouver sa place au sein de ce "consortium", avec ses principes, sa sensibilité, sa spécificité d'Humain (avec un poil de politiquement correct teinté de "chauvinisme") confrontée aux rouages politiques de cette machine à gaz qu'est Sillage.
De l'autre coté, l'histoire propre de la planète qu'elle doit "aider". Avec un univers différents à chaque album, ce qui permet de changer d'univers et de codes à chaque fois. Et pour l'instant c'est une réussite absolue.
Le style graphique efficace, nerveux quand il s'agit d'action est digne des meilleures scènes d'actions du cinéma.
Les auteurs nous servent un scénario de haute volée dans une ambiance steam punk "soviétique" très réussie. Avec les plusieurs couches de lectures politiques et philosophiques, ce tome est vraiment une belle réussite.
Un tome très intéressant dans son scénario.
Le découpage est assez brouillon mais garde une certaine intensité.
Un bon tome qui nous permet de faire connaissance avec Sillage. Cette gigantesque communauté mobile qui voyage dans tous l'univers.
La venue des grands anciens se rapproche. Tous les protagonistes tournent un peu en rond. Il y a des passages inutiles, ou des tournures de scénarios inutiles et cela dilue la force du récit.
Ce tome reste intéressant au niveau de l'intrigue seulement ça n'avance pas beaucoup.
On retrouve nos ados canadiens après la clôture tonitruante du tome précédent.
S'il y avait quelques indices (que je prenais naïvement pour un hommage, voire un clin d'?il) dans le tome précédent ,maintenant c'est indéniable : on est clairement dans un monde "lovecraftien".
Et il semblerait que le salut de l'humanité se retrouve entre les mains d'ados glandeurs en marge de notre bien-pensante société.
Un récit prenant, inquiétant et qui semble perdu d'avance.
On lève le coin du voile sur la situation en dehors de la zone de quarantaine.
On est un peu comme les ados que l'on suit : perdus. Entre mysticisme et virologie, on ne sait pas (encore?) où est la vérité et cela rend ce deuxième tome très passionnant.
Malgré quelques faiblesses scénaristiques, on a envie de suivre ces ados en mode "survival". Le dessin est nerveux et efficace.
Voyons ce que la suite nous réserve !
C'est avec un plaisir non dissimulé que je (re)découvre cette BD de SF.
Les dessins sont qualitatifs et n'ont pas mal vieilli du tout.
Le scénario, aujourd'hui, peut sembler réchauffer mais cette bd a quand même prêt de 26 ans.
La seule chose qui me fait peur, maintenant que je m'apprête à lire la série complète, c'est la quantité de tomes et le risque de perte de qualité que généralement cela engendre.
Un album très agréable.
Graphiquement de très bonne qualité. Le dessin a acquit une certaine maturité. Le coup de crayon remarquablement inspiré d'Etien colle parfaitement au caractère des personnages et renforce la perception des émotions.
Si on devait avoir des reproches, ce serait toujours en comparaison à la série mère qui était plus dense et plus rythmée.
Il y a aussi quelques incohérences scénaristiques, mais rien qui puisse remettre en cause la solidité du récit.
Cela reste de la bonne BD, mais ce n'est plus de la BD d'exception.
Cela reste agréable à lire mais manque un peu de consistance (surtout si on compare à la série mère).
S'il y a de très bonnes idées scénaristiques, le récit semble être dilué.
La mise en place remarquable des personnages et des références au premier cycle donne de l'intérêt. Cependant un peu plus de rythme aurait été le bienvenu.
Super Graphisme. Des dessins punchy et violents (à la manière de Christopher Nolan). Le deuxième tome est plus accrocheur que le premier. A peine le récit prend de l'ampleur que c'est déjà finit. Dommage, cela aurait mérité quelques tomes de plus.
Avec un ou deux tomes en plus et un scénario un peu plus consistant cela aurait pu entrer dans le panthéon de la saga !
Graphiquement intéressant, scénaristiquement beaucoup moins. Une œuvre qui se laisse lire, mais sans créer de réelles tensions dramatiques.
Les personnages sont bien dessinés (au propre comme au figuré).
Mention spéciale pour le joker et sa personnalité qui est toujours jouissivement timbrée.
Un tome nettement meilleur que le précédent, avec plus de rythme, plus d'imagination, plus d'intensité.
Un album qui relance de manière convaincante la saga.
Un album assez inégal dans le rythme narratif. Il y a deux, trois passages entraînants entrecoupés par des moments plus explicatifs, plus orientés dans la réflexion; et un final tonitruant.
Au niveau graphique, rien à redire c'est parfait.
Dans l'ensemble, on est un peu en deçà par rapport aux deux tomes précédents.
Fantastique !
Ce livre a radicalement changé ma vision sur les grands enjeux de notre monde, aujourd'hui.
Le dessin n'est clairement pas l'atout premier de ce livre. Même si, je dois l'avouer certains passages, soutenus par le talent du dessinateur, m'ont fait rire. Le côté mise en scène est également très efficace.
Malgré tout ça, la partie la plus intéressante est l'approche pédagogique de l'ouvrage.
C'est bouleversant à un tel point, que je me demande pourquoi je n'ai pas eu accès à ces informations plus tôt. Pourquoi toute l'humanité n'a pas accès à cette analyse remarquable, intelligente et documentée.
On pourra reprocher par moments le manque de clarté et de structure, la quantité gargantuesque d'informations à digérer et à assimiler, mais cela n'enlève rien à la force de l'ouvrage et la vision éclairante des auteurs.
Un livre qui, entre de bonnes mains, pourrait changer le monde (voir le sauver).
On monte d'un cran par rapport au tome précèdent.
Les auteurs mettent en place les différents personnages qui feront en partie le succès de cycle originel. Les différents éléments lancés dans le premier tome, prennent parfaitement place sur la trame bien construite de ce récit qui semble monter en puissance.
Les personnages construisent leurs légendes, et le récit laisse planer quelques mystères sur les enjeux de l'intrigue. Ca rend le tout passionnant.
Un très bon tome avec beaucoup de promesse pour la suite.
Ce tome de la quête de l'oiseau du temps est un prequel. Cela paraît évident, maintenant que la série a été reformulée: avant la quête. Mais dans les premières éditions ce n'était pas le cas.
Après un premier cycle brillant, il fallait oser lancer ce nouveau chapitre (qui aujourd'hui semble plus contenir plus de tomes que la première série).
Le dessin est plutôt agréable et efficace, et on sent que les auteurs tentent de retrouver l'émotion du tome précédent mais cela reste compliqué à faire en un volume.
Si la lecture est intéressante, l'intensité est fatalement retombée. Peut-être ne fallait-il pas associer ce prequel directement (dans le titre) à la série principale? Car la comparaison est assassine pour ce premier tome sympathique.
Une fin de cycle qui a la carrure d'une fin de série, tellement les émotions sont intenses. J'avoue avoir été ému à la fin de ce tome, avec un soupçon de nostalgie de voir la série (oups ! le cycle) se terminer.
C'est un vrai tour de force de la part des auteurs d'arriver à créer un lien si fort avec les personnages en si peu de tomes.
Une série remarquable !
Des dessins agréables et efficaces soutiennent des scènes bien pensées. Des scènes rythmées par une alternance maîtrisée de scènes d'actions et de scènes de réflexions tantôt philosophiques, tantôt politiques, tantôt convictionnelles.
Un récit intelligent et par certains aspects poétique. Spécialement, quand les auteurs mettent en comparaison l'image de l'épée, de la rapière et les statuts socio-politiques et leurs implications dans la société de l'époque. Ils utilisent tous les éléments de l'histoire pour lui donner plus de corps, plus de profondeur (également d'un point de vue historique).
Les 96 pages se dévorent tant l'action est prenante et surprenante.
Un très bon one-shot.
La quête de l'oiseau du temps continue en confrontant notre groupe d'aventurier à leur troisième épreuve, un chasseur redoutable : le Rige.
Au cours de cette rencontre, nos personnages évoluent psychologiquement on en apprend un peu plus sur eux, et cela rajoute de la profondeur à nos protagonistes principaux.
C'est (pour moi) le tome qui fait basculer cette série dans les bd de références de l'heroic fantasy.
On garde toutes les qualités du début (scénario original et accrocheur) mais le dessin devient plus soigné et les personnages ont encore plus de relief.
Un vrai régal pour les amateurs.
** pour ceux qui n'auraient pas encore lu ce tome, ne lisez pas trop vite les commentaires plus bas !!! Certains "collègues" confondent commentaires et spoils ;) **
Ce deuxième opus se lit avec plaisir et on décroche difficilement du récit grâce notamment à ce qui a fait sa force dans le premier tome. A savoir, une intrigue prenante (qui cette fois-ci ne manque pas d'originalité) et des personnages charismatiques.
Bref, un moment de bonheur bdphile plongé dans une oeuvre majeure de la BD francophone.
Si les dessins ont plutôt mal vieilli, ils gardent leurs qualités narratives et après quelques pages, on rentre tellement dans l'histoire qu'on ne s'en aperçoit même plus.
Un scénario prenant, construit comme un jeu de rôle, avec des enjeux clairs. On peut y voir un manque d'originalité aujourd'hui, mais cette bd qui a près de 40 ans aura sûrement bien inspiré quelques auteurs.
La plus grande richesse, à mon sens, se situe dans les personnages. En quelques traits et quelques bulles, on a des personnages aux caractères bien dessinés, avec une personnalité forte et originale (qui aura également inspiré quelques auteurs).
Le deuxième tome est dans la continuité du premier.
Une mise page originale et remarquable servie par un dessin agréable, mature et à l'esthétique particulière.
C'est typiquement le genre de récit qui se lit d'une traite. D'une part parce qu'on est happé dans ce déroulement continue d'observations et de réflexions. D'autre part, parce qu'on est bien embêté de reprendre en plein milieu du dédalle d'un de ces fameux tableaux narratifs, brillamment illustré.
Le format du diptyque est vraiment approprié (un tome serait trop court, trois tomes seraient trop long, et un grand volume unique serait probablement indigeste).
En gardant l'esprit des personnages et en y ajoutant de manière réussie toute l'originalité de ce parti pris d'illustrer le cheminement intellectuel de notre enquêteur, on peut dire que cet ovni a réussi son paris.
Bravo Messieurs !
J'ai beaucoup apprécié cet album. La construction de l'enquête, la mise en page du raisonnement d'un des plus grands détectives du monde est remarquable.
Les illustrations intéressantes débordent de caractère et de personnalité.
Un début de diptyque qui vaut le détour.
J'ai trouvé ce dernier tome un peu en dessous du niveau de la série, malgré une conclusion maîtrisée et intelligente. Cela est sans doute dû à la perte du maillage et des interactions entre tous les personnages et leurs destinées propres.
Dans ce tome, ils suivent tous la même voie, ce qui permet d'avancer plus vite dans le récit et de donner plus de place aux scènes spectaculaires.
Plus besoin de rappeler la qualité du dessin qui a lui seul vaut la lecture de cette œuvre.
Malgré mon "petit" bémol, je ne reviens pas sur ce que j'ai déjà dit: c'est une série incontournable.
La trame de l'histoire continue à être passionnante et inspirée. Je trouve que les dessins restent de très hautes volées mais manquent de régularité.
C'est un très bel hommage à ce dessin animé qui a marqué les enfants dans les années 80 (dont les auteurs et moi même faisons partie).
Le scénario reste fidèle (trop fidèle?) à l'esprit du dessin animé, avec quelques nuances intéressantes.
Les graphismes sont magnifiques. Le découpage, les couleurs sont superbes.
Le dessin arrive à respecter l'univers de son modèle mais en l'enrichissant tellement qu'on approche du génie.
Si ce one-shot a tout ce qu'il faut pour charmer les fans, je ne suis pas convaincu que les non-initiés seront séduit.
Quand la qualité du dessin rejoint celle du scénario, on obtient un chef d'œuvre.
Dès le premier coup d'oeil sur l'objet on a compris le niveau; les couvertures sont magnifiques et mystérieuses.
Et que dire du scénario, où trois (voir quatre ou cinq) histoires se croisent, s'éloignent et se rejoignent. Le tout avec des implications propres à chaque personnages On est clairement devant une série incontournable.
Les destins se croisent et les enjeux sont multiples. L'intensité est toujours là, mais laisse un peu plus de place à l'histoire de nos différents personnages qui est passionnante.
Le scénario est maîtrisée de main de maître (comme de coutume chez Dufaux), le dessin n'est pas en reste le graphisme est sublime (aussi bien pour mettre en valeur la beauté et l'élégance que pour illustrer la laideur, la monstruosité et le ridicule).
Un ouvrage de haut vol.
Un album intense par sa brutalité.
On s'attache rapidement aux personnages prenant de plein fouet (sans mauvais jeu de mots) leurs débarquements en tant qu'esclaves sur Puerto blanco.
Le dessins est très relevé et offre un beau panel d'émotions.
Une série qui démarre sur les chapeaux de roue.
Ah ! Quel plaisir de découvrir un nouvel univers, avec de nouvelles races, de nouveaux codes, des intrigues originales, ... cela reste de l'heroic fantasy mais c'est très "rafraîchissant".
Le côté graphique est soigné, fluide et colle parfaitement au récit.
Une très très belle entrée en matière !
Un opus dans la trajectoire des épisodes précédents.
Une bonne bd avec ses qualités (dessins agréables, histoire intéressante avec quelques touches d'humour) et ses défauts (manque de profondeur des personnages, une résolution de l'intrigue "bâclée" en quelques cases, alors que la mise en place est toujours soigneuses).
Bref, les fans de la première heure seront ravis, les sceptiques (dont je fais parti) seront une nouvelle fois déçus et pour les détracteurs : passez votre chemin.
Un épisode agréable soutenu par une intrigue originale et bien construite.
On y trouve aussi par-ci par-là quelques touches d'humour.
La relation entre nos deux "héros" évolue de manière intéressante.
Un album fréquentable, qui élève le niveau de la série. J'ai eu des tomes moins bon de cette série entre les mains.
Un album drôle et décalé. Un humour qui n'est pas sans rappeler Fabcaro.
Mais malheureusement, il est un peu moins percutant.
Cela reste une lecture agréable, mais je pense que j'ai encore trop Zaï Zaï Zaï Zaï et Moon river en tête pour ne pas comparer, et apprécier pleinement cette bd.
Album intéressant, mais sans plus.
L'intrigue est originale, mais les mises en situations sont parfois bâclés.
On a l'impression qu'il manque certaines cases, cela donne des dialogues qui semblent incohérents ou des gags ratés.
Plus on avance, plus je me dis que cette série aurait pu être nettement mieux.
Un nouvel épisode, que je trouve pas si mal que ça.
Evidement l'histoire (celle de monde d'Ekhö, celle des personnages principaux) n'avance pas. Mais l'intrigue n'est pas si mauvaise que ça, c'est plutôt la mise en place et le coté expéditif qui gâche tout (le méchant qui explique tout son plan à la fin, même si c'est présenté au second degré est surtout là pour raccourcir un maximum la BD). Un défaut qui est présent depuis le début de la série.
Cela reste une bonne bd, mais qui déçoit par son potentiel non-exploité !
J'ai apprécié ce tome, malgré la structure répétitive de la série.
Une intrigue (un peu plus accrocheuse que dans les premiers tomes) qui monte en puissance et une résolution en trois planches.
Sans bouder mon plaisir dans ce melting-pot de clins d'œil, ce que j'apprécie le plus, c'est la progression narrative dans ce qui définit réellement le monde Ekhö. Tout le mystère autour des preshauns est passionnant.
Les tomes qui se limitent à une histoire en un épisode m'intéresse beaucoup moins.
Dans cet épisode ci, même si Fourmille campe le personnage de Sherlock Holmes, il n'y a réellement qu'une demi-enquête. C'est dommage.
Je reste persuadé que si les auteurs avaient pris plus de soin pour clôturer chaque épisode cela aurait été une série remarquable.
Mais pourquoi n'avez vous pas fait des diptyques ?
Du point de vue graphique, il n'y rien à redire Barbucci fait le boulot !
Très beau graphisme de Marini. Les dessins sont magnifiques. Le jeu des couleurs est subtil et efficace, l'utilisation du rouge dans ces dessins en noir et blanc est époustouflante.
Le scénario et la mise en scène, sans être originaux, n'enlèvent rien au plaisir du lecteur à se plonger dans cette histoire du milieu du banditisme d'après guerre.
Maintenant que la trame de fond, l'histoire principale a été renforcée au dernier épisode, on apprécie mieux les intrigues secondaires.
Il faut dire que c'est un des premiers tomes avec un vrai message politique et social. Et une fois de plus la réalité rattrape la fiction, puisqu'il y a quelques semaines les USA ont fait marche arrière sur les droits des femmes en lien avec l'IVG.
Toutes proportions gardées, la bd effleure délicatement le sujet.
Ce qui me dérange le plus dans la structure du récit, c'est la différence de rythme ( est c'est le cas de 4 tomes sur 5) entre la mise en place de l'intrigue et sa résolution. La mise en place est lente est prend le temps de bien s'installer. Par contre la résolution se fait en 2-3 planches (c'est à peine caricaturé).
Peut-être, un structure en diptyque aurait donné plus de consistance à l'histoire ?
Sinon ça reste un épisode de bonne facture.
Une belle progression sur la force de l'intrigue secondaire, malgré la contrainte qu'elle doive se conclure en un tome.
Les auteurs ont trouvé l'équilibre entre un monde fascinant à décrire et à découvrir, les personnages et l'intrigue secondaire.
Petit bémol, le découpage (ou le storyboard) des scènes d'action (surtout la dernière) est presque ratée. Certaines ellipses maladroites cassent le rythme, voir décrédibilisent la scène.
Cela reste plaisant, sans être addictif. Mais on voit quelques étincelles prêtes à déclencher la passion.
Pour moi, le meilleur tome depuis le début ! C'est simple, je n'ai pas lâché la bd avant de l'avoir terminé.
Enfin un tome où les personnages principaux sont au centre de l'intrigue.
Enfin un tome où on découvre le monde d'Ekhö en profondeur.
Enfin un tome à la hauteur de ses ambitions.
Si les auteurs suivent cette structure, cet équilibre et cette inspiration, on peut s'attendre à une série digne des grands moments d'Arleston.
Il aura fallut le temps pour que cette série décolle, espérons qu'elle garde le cap et qu'elle ne se crashe pas en cours de route.
On découvre avec plaisir ce Lucky Luke plus adulte, plus sombre de Matthieu Bonhomme.
Les dessins sont agréables. On trouve par-ci par-là des clins d'œil dans les détails du décor. La mise en couleur rappelle la patte de Morris.
Le scénario, sans être original, reste mâture et convaincant. J'ai particulièrement apprécié la relation de notre cowboy solitaire avec le tabac.
Le tout donne un album que les fans de la série apprécieront.
Un ouvrage avec énormément de références cinématographiques. Les auteurs réécrivent la romance entre J.F.K et Marilyn Monroe, les allusions sont nombreuses et à peine forcées.
Un album plaisant vite lu, parsemé de quelques évènements inattendus. Malheureusement, les auteurs ont toujours du mal à donner de la consistance à leurs personnages principaux, ils se concentrent sur LE personnage de la BD : Ekhö.
Si le monde est plaisant à découvrir, on se soucis moins des personnages. L'intérêt pour l'intrigue secondaire est un peu plus convaincant que dans les tomes précédents.
On passe un bon moment, mais on aimerait vibrer un peu plus pour Fourmille et Yuri.
C'est une belle réussite graphique, les dessins, les couleurs sont magnifiques. Les aménagements par rapport à la capitale de référence sont assez comiques (les bateaux mouches) et plutôt bien pensés.
La ville est un personnage à part entière.
Par contre, on ne rentre pas dans l'histoire. Même si l'intérêt pour les personnages grandit au fil des pages, on est pas inquiet pour eux. Ne parlons même pas de l'intrigue secondaire qui n'a aucun intérêt, ni pour nous, ni pour les personnages eux même. On a même un peu du mal à comprendre ce qui les poussent à résoudre cette "quête".
La faute à l'approche superficielle des personnages. Je les trouve lisse, voire transparent.
Une bd pas trop mal, mais qui risque de très vite s'essouffler si on ne se concentre que sur les villes et le monde Ekhö, en négligeant les personnages .
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Les débuts tonitruants et expéditifs en sont certainement la cause.
On a pas le temps de cerner les personnages que l'aventure est déjà lancée à vive allure.
L'idée est originale, les dessins collent parfaitement à l'univers.
Mais il manque quelque chose.
Peut être, est ce à cause de l'humour qui reste en dessous des performances habituelles du scénariste?
Est ce le manque de profondeur des personnages, due à une mise en place rapide et maladroite?
Voilà un album mi-figue mi-raisin, pour lancer cette série qui, je l'espère va gagner en qualité.
Quelle aurait été la vie de Frank Lee après sont évasion de la plus connue des prisons américaines?
Réputée pour être la prison dont on ne s'évade pas, Free Lee Morris accompagné des frères Anglin, réussissent le tour de force de s'en extraire.
Ils ne seront jamais retrouvés.
Les auteurs laissent parler leurs poésies sur l'après évasion. La partie cavale n'est pas le centre de ce récit, on va surtout être le témoin de la reconstruction de Franck et le stress d'être repris qui n'est jamais très loin.
Scénaristiquement, les auteurs ont trouvé le bon équilibre et une cohérence entre fait réels et fantaisie, le tout dans un récit original et intéressant.
Le graphisme singulier donne du caractère à cette œuvre. Le jeu des couleurs fait passer des émotions particulières.
On se laisse volontiers embarquer dans cette histoire où nos émotions jouent aux montagnes russes.
Un récit toujours aussi fluide, malgré la construction du récit sur plusieurs lignes de temps.
Le dessin reste de très bonne facture. Les auteurs soignent le scénario et le découpage des scènes pour rendre l'intrigue prenante.
On attend avec impatience le prochain tome pour voir la conclusion qu'ils nous réservent.
Les auteurs arrivent à créer un univers original dans une série de genre qui a du mal à se renouveler. Ils parviennent à nous surprendre, et à changer les implications de ce monde post apocalyptique zombiesque.
Que ce soit scénaristiquement ou graphiquement, on peut déjà dire que c'est une réussite.
Un monde de zombies, c'est du vu et revu. D'ailleurs, la narration et l'ambiance fait clairement référence à LA série de zombies.
Ambiance forestière ou semi-rurale, dans une Amérique avec des armes en veux-tu-en-voila,. Ca ne vous rappelle rien ?
Mais, je dois bien l'avouer, il y a quand même l'une où l'autre touche d'originalité. Le sujet est bien maîtrisé, les superbes dessins sont nerveux et fluides.
Alors ne boudons pas notre plaisir.
Hé ben, il n'est pas si mal que ça le dernier Scorpion.
Si l'intrigue historique nous tient en alerte sans vraiment nous passionner, l'intérêt est vraiment (pour moi) dans l'intrigue secondaire; celle qui anime le Scorpion dans sa nouvelle quête.
Après avoir passé une bonne partie de l'album à lire avec une passion toute relative, la scène finale relance tout l'intérêt du prochain tome (ils sont forts quand même!).
Une bonne bd qui n'est pas au sommet de la série, mais pas non plus dans la catégorie infréquentable.
Nouvel album, nouveau dessinateur.
La transition graphique passe très bien. On voit par moment les différences de coup de "patte" des artistes mais l'univers est bien respecté, personne ne devrait crier au scandale.
Une petite étincelle dans l'intrigue pourrait donner un élan suffisant pour faire redémarrer la saga. Ce n'est pas tonitruant, mais ça a au moins le mérite de prendre son temps pour poser les bases d'une histoire qui peut être en vaudra la peine.
Espérons que pour la suite, la déception ne soit pas au rendez vous comme pour le tome précédent.
Cette trilogie se cloture de manière forte intéressante.
On se laisse agréablement surprendre, et les reproches que j'avais pour les premiers tomes trouvent leurs explications dans ce troisième opus en gardant une cohérence maîtrisée.
Cependant, il y a à la fois trop et trop peu.
Il y a trop; trop de courtes séquences sans intérêt où les auteurs ont la volonté de donner du rythme là où ce n'est pas forcément nécessaire.
Et il y a trop peu; trop peu de latitude dans les moments clés, où les auteurs pourraient prendre leurs temps pour donner plus profondeur à leurs récits.
Ça reste une bonne bd, plutôt originale avec l'un ou l'autre défaut.
L'histoire se poursuit de la même manière que dans le premier tome, de façon expéditive. L'action est plutôt brouillonne, on ne comprend pas toujours ce qu'il se passe. Et si la mise en page et le découpage sont habiles, parfois le dessin manque d'envergure.
Mais le scénario, arrive à nous surprendre alors qu'on pense être embarqué dans une autoroute narrative.
Malheureusement, ça ne suffit pas et cette série a du mal à rivaliser avec les autres du même style.
Reste à voir comment les auteurs vont conclure le cycle.
Le scénario n'est pas des plus original, même si on le replace à l'époque de sa sortie.
Les dessins sont biens, sans plus. Et la mise en place est expéditive.
Il y a quelques bonnes trouvailles, mais cela reste insuffisant pour sauver ce premier opus.
Je suis assez mitigé au sujet de ce premier tome qui n'est pas très convaincant.
On suit deux personnages qui à priori n'ont rien avoir l'un avec l'autre.
L'intrigue aiguise notre esprit pour tenter de deviner à quelle époque on se trouve, qu'elle sont les circonstances qui ont forgées le monde (l'univers ?) dans lequel se déroule l'action. Bref, de comprendre de quoi il en retourne ... Les indices sont délivrés avec parcimonie et les auteurs prennent un malin plaisir à brouiller les pistes et à injecter par doses croissantes du fantastique. La mise en place réussie donne un univers très intrigant.
Coté ambiance, la froideur du dessin donne un effet de distance par rapport aux personnages. Même s'il est de bonne facture, il manque cruellement d'émotion.
De plus, les auteurs n'arrivent pas à compenser se manque et échouent à donner du relief à leurs personnages scénaristiquement.
La résultante c'est qu'on a du mal à s'intéresser aux personnages et à s'en inquiéter. Finalement, on ne rentre pas vraiment dans l'histoire.
J'ai donc un avis mitigé sur cette BD,. Attendons de lire plusieurs épisodes avant de juger.
Suite et fin de ce diptyque mené de mains de maître !
Certes, le scénario n'est pas extraordinaire, mais l'auteur raconte tellement de chose sur cette époque New-Yorkaise que la simplicité du récit renforce la puissance du propos.
Les dessins sont magnifiques et le travail de mise en place des cases est remarquablement brillant. La faculté qu'a l'auteur de raconter l'histoire, de faire passer des émotions sans une ligne de dialogue me laisse admiratif.
Nous sommes ici en présence d'une très belle œuvre !
Très bel ouvrage.
Le dessin nous plonge dans un décor qui nous donne une bonne idée de ce à quoi devait ressembler la vie des migrants venu vivre le rêve américain. Fuyant leurs terres natales, fuyant la pauvreté qui s'y trouve, laissant femmes et enfants au pays , risquer sa vie pour faire sortir de terre une ville qui marquera l'histoire de l'humanité.
C'est un album très réussi avec des dessins superbes.
Si je devais trouver un petit bémol, ce serait au niveau des phylactères. Je trouve leurs placements peu intuitif. On doit parfois relire chaque case d'une même planche et ça casse un peu le rythme.
Sinon rien à redire.
L'histoire est toujours aussi passionnante. Certes, il n'y a plus autant de surprises, ni de rebondissements que dans les épisodes précédents. Et ce n'est pas plus mal, ça permet d'avancer un peu plus dans l'histoire de notre convoyeur et dans celle de ce personnage féminin qui prend de plus en plus la place du personnage principal.
Le dessin vif et qualitatif nous plonge rapidement dans cette ambiance post-apocalyptique qu'on apprend à apprivoiser au fur et à mesure des pages.
Je reste persuadé que tout les ingrédients d'une saga majeure sont réunis et que ça sent quand même la série mythique.
Reste à espérer que le scénariste sait où il nous emmène.
Nous sommes face à une histoire prenante et intéressante illustrée par un dessin original et à l'esthétisme maitrisé. Tantôt allégorique, tantôt très terre à terre, le récit varie les situations, les illustrations pour soutenir sont propos : l'art et la culture au service de l'humanité ou comment la littérature, la poésie et la philosophie peuvent changer les Hommes.
C'est un ouvrage copieux et exigeant. Je ne pense pas qu'il soit à la portée de tous les lecteurs. Ou disons le autrement, je ne pense pas que touts les lecteurs apprécieront cette œuvre remarquable et singulière.
Les auteurs ne s'encombrent pas de préliminaires inutiles et nous plongent immédiatement dans le vif du sujet, une mission de reconnaissance spatiale s'écrase pour des raisons douteuses et obscures.
Dans une ambiance de méfiance et de suspicion allant crescendo, le récit est très bien construit. La mission de reconnaissance devient très vite une mission de survie, dans un environnement que les personnages ne maitrisent et ne comprennent pas. L'ambiance oppressante servie par un dessin fort à-propos est très réussie.
Cela donne un ouvrage de qualité, même si les lecteurs les plus expérimentés ne seront pas surpris par le dénouement final.
Un récit drôle et émouvant.
Le dessin très expressif donne un supplément d'âme à cette "enquête" douce-amère et nous laisse admiratif devant la pugnacité du personnage principal à aller au bout de sa recherche de la vérité sur la vie cachée de son ami regretté.
Et voila la boucle parfaitement bouclée !
Parfaitement, car on a devant nous la quintessence de ce qui a fait le succès de cette série: humour, qualité graphique, intrigue / aventure, référence culturelle, ...
Certes, on est privé de plusieurs personnages clés des deux premiers cycles, mais Eusèbe remplit parfaitement le vide laissé par leurs absences. Sans oublier les nouveaux personnages qui ne dénotent pas du tout de ce diptyque.
Les ponts vers les autres cycles de la série sont mis en place de manière magistrale. Les références aux tomes précédents (qui se déroulent après ce préquel) sont présentes par légères touches qui rendent le récit savoureux pour les fans.
Les auteurs nous réservent malgré tout quelques surprises, comme par exemple, cette référence à Chantal Goya assez inattendue !
Pour conclure, cette fin de série ne manque pas de ... quel est le mot déjà ?
Ah oui c'est ça !
Cette fin de série ne manque pas de panache !
Quel plaisir de retrouver ce cher Eusèbe dans une aventure qui le met en scène de façon magistrale.
La cohérence avec les 10 premiers tomes est totalement au rendez-vous, et les allusions à ces derniers sont tantôt drôles, tantôt émouvante.
Les auteurs reviennent au fondamentaux de la série et ce qui a surtout fonctionné dans le premier cycle, un équilibre maitrisé entre humour et aventure. L'aventure étant remplacée par l'intrigue politique de la cour du Roi et les milles et une péripéties du Lapin au destin hors normes.
Coté humour, le dessin efficace mettant en scène Eusèbe comme apprenti sont d'une saveur qui ne se consomme sans aucune sagesse.
Bravo !
Une belle sortie de cycle, ou de série, puisque les deux prochains tomes seront des préquels (il me semble).
Je suis ravi de voir que l'humour revient en force. Toute fois ces moments savoureux sont entrecoupés de scènes émouvantes.
Quelques surprises nous attendent au long de ce récit. Un happy-end un peu convenu, mais après toutes ces aventures, il ne fait pas du tout tache.
Si dans le premier cycle, le (les) personnage qui m'a fait hurler de rire c'était la bande de pirates emmené par le capitaine Boone, dans le deuxième cycle c'est clairement Eusebe qui décroche la timbale du personnage au plus haut potentiel comique.
Je voulais aussi insister sur le fait que ces auteurs ont littéralement inventé la planche post générique (à l'instar de la scène post générique des films Marvel), ça ne date pas de ce tome-ci mais c'est tellement original (il me semble) que ça valait la peine d'en reparler ici.
Depuis le début de ce second cycle, je ressent une baisse de qualité. Je trouve que l'équilibre humour, aventure et fantaisie que les auteurs avaient mis en place avec brio ne fait que décroitre de tome en tome.
Au tome précèdent, on n'avait clairement franchit la ligne du drame pour laissé (un peu) de coté l'humour. C'était réussit mais malgré tout, je n'ai pas retrouvé le plaisir de lecture que j'avais lors des 4 premiers épisodes.
Ce nouvel opus respecte la même ligne de conduite, un peu moins d'humour, un peu moins d'aventure et un peu plus de drame.
Ca reste bon, mais avec un gout de trop peu (encore plus que le tome précèdent).
Malheureusement le deuxième opus ne corrige pas vraiment les défauts du premier.
Le dessin n'est pas la l'atout majeur de cet album.
Le scénario, même s'il est correcte, n'est pas d'une originalité folle.
Et le happy end à la fin est d'une naïveté grotesque.
Le tout me donne l'impression d'un empressement de tout dire entre les scènes de combat.
Il y avait du potentiel dans ce diptyque, mais il a été mal exploité.
Le dessin laisse quelque peu à désirer, et l'entrée en matière est lente et peu originale. Mais on se laisse surprendre par le scénario, qui éveil par ci par là l'intérêt de l'histoire.
Je conclurai en disant que cet opus me laisse un avis mitigé. On peut y voir un vrai potentiel, mais la narration coince parfois et manque de fluidité.
L'humour laisse de plus en plus de place à l'excentricité et l'histoire prend un virage vers le drame.
L'ouvrage est de qualité, les couleurs symbolisent bien les situations et donnent un supplément d'émotion au récit.
Malgré la maestria des auteurs à nous livrer un récit palpitant, j'ai un petit gout de trop peu en lisant ce 8ème épisode qui reste remarquable.
Un opus moins drôle que ses prédécesseurs !
Heureusement, on peut compter sur le retour des pirates du Capitaine Boone (sans oublié l'archevêque de Canterburry) pour apporté la petite touche d'humour.
Pour moi, les pirates depuis le début de l'aventure sont à mourir de rire, et leur absence au tome précèdent m'a un peu déçu.
Le récit se concentre plus sur l'intrigue, les secrets et sur l'aventure que l'humour. Les auteurs mettent habillement en place les différents éléments qui font monter en crescendo le suspens, et réussissent une fois de plus à nous livrer un album de très bonne facture.
Je ne m'en lasse pas !
L'aventure palpitante, la fantaisie des personnages, l'orgueil et le raffinement de nos héros, les petites touches d'humour tonitruantes (parfois en arrière plan) rendent cet épisode (cette série ?) exceptionnel.
Les scénaristes commencent à tourner en rond, et fond de cet épisode 4 un mélange des trois premiers. De plus ils utilisent la même trame narrative depuis plusieurs tomes. Je me demande s'ils se lisent entre eux.
Le projet n'est pas mauvais, mais a-t-il encore quelque chose de nouveau à nous raconter ?
Le problème de ces tomes solitaires dans une série, c'est qu'il faut varié, en plus des personnages (dans le sens large du terme), le thème et la mise en scène. Ce n'est pas vraiment le cas ici.
Peut-être faudrait-il un format intermédiaire ?
Deux tomes par personnage pour mieux en "dessiner" les contours et approfondir l'intrigue.
Après les loups dans l'épisode précédent, on continue de mélanger les genres dans ce nouvel épisode.
Cette fois ci ce seront les codes d'heroic fantasy (en particulier les nains) et le space opéra bourrin.
Malgré toute la partie mystérieuse et inquiétante, je trouve que c'est l'opus le moins réussi.
Sans vouloir minimiser la qualité, j'ai moins accroché qu'avec les autres.
Néanmoins, cela se lit très facilement et sans déplaisir.
Le scénariste le dit lui même, c'est un space opéra en mode bourin ... en fait, pas tant que ça. Il y quand même de la profondeur, de la remise en question, de la réflexion au tant qu'il est possible d'en caser en 67 pages.
Le principe de cette série, comme dans d'autres chez Istin, fait qu'on est un peu triste de devoir abandonné le personnage principal.
J'ai été séduits par le démarrage de cette série.
Graphiquement, il n'y rien à dire, on peut y voir quelques références ou inspirations (Juge Dredd, 300, ...).
Scénaristiquement, il n'y a rien d'extraordinaire mais c'est traité avec justesse.
Cela donne un ensemble plus que fréquentable.
La même recette que les tomes précédents: une aventure savoureuse avec des touches d'humour soutenues par un dessin efficace et des répliques qui font mouche.
La mise en scène est habile, laissant place à quelques excentricités des auteurs.
Le final époustouflant est à mourir de rire.
Le premier tiers de cette série est tout à fait remarquable. La seule chose qui me dérange (la raison pour laquelle je ne mets QUE 4 étoiles), c'est l'abus de "poetisation" des dialogues. Je comprends bien que c'est en quelques sortes la signature de cette série et que le travail est admirable, mais à mon goût, il y en un peu trop.
L'humour et l'aventure transforme ce récit en véritable "page turner".
Le dessin et les dialogues soignés donnent un goût particulier à cette œuvre de qualité.
Le premier tome d'une série mélangeant humour et aventure.
Les dialogues sont de haut vol et le travail sur la partie en rime est remarquable.
Le dessin est très expressif et montre une efficacité redoutable au service de l'humour. Parfois certains gags ont même lieu dans l'arrière plan .
Un début de série très prometteur !
Si l'intrigue tiens très bien la route, la mise en place des personnages iconiques de la légendes de Robin des bois apporte une vraie fraicheur à l'histoire et que le dessin est particulièrement soigné, la fluidité (surtout des scènes d'action) laisse un peu à désirer.
Déjà dans le premier tome, il fallait s'y reprendre à plusieurs fois pour bien comprendre le déroulement de l'action et malheureusement ce "petit" défaut n'a pas été gommé dans cette suite qui reste malgré tout agréable.
Espérons que pour les épisodes suivants le storyboard sera mieux travaillé.
Cet ouvrage est destiné aux fans de cette série majeure de 9ème art.
On y trouve de nombreuses copies d'ex-libris, des anecdotes intéressantes, des explications sur les divers processus de la création des différents cycles.
Un peu plus qu'un "simple" art book, il a entièrement sa place dans la bibliothèque à côté de la série !