Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    PEB Le 22/03/2020 à 09:43:35

    Orion est de loin la série la plus faible dans l’œuvre de Jacques Martin. Elle concentre tous les défauts des précédentes séries sans en garder aucune des qualités.

    Les dialogues d'Alix, souvent critiqués pour leur emphase excessive, sonnent ici pompeux et franchement gnangnan. Le scénario, qui veut s'inspirer de la mythologie grecque, est parfaitement ridicule.

    Cet album ressemble à une auto-caricature de l’œuvre de Jacques Martin. Seul échappe au naufrage Christophe Simon, dont le dessin, bien dans la ligne martinienne, est plus qu'honorable.

    Triste, triste, triste…

    Krompir Le 15/06/2014 à 16:28:44

    - Un éphèbe aux cheveux pâles se prend d'amitié (et plus...) pour une personne au teint mat et aux cheveux noirs.
    - Sa ville d'adoption lui confie une importante mission secrète chez l'ennemi.
    - Sa morale et sa droiture lui fait rejeter la "raison d'état".

    Alix, vous avez dit Alix ? Et bien non, il s'agit de "Orion", La machine à remonter le temps est rendue au Péloponnèse, 5 siècles plus tôt. Le choix est avisé, car il permet une iconographie somptueuse et une référence aux évènements, personnalités et coutumes fondateurs de notre culture.

    Orion doit distraire Sparte, rivale d'Athènes, en fomentant une révolte d'esclaves. Ce scénario un peu faible souffre de court-circuits lors du déroulement. Reste le dessin, pareil à lui-même: les décors, détails historiques et coloris sont absolument magnifiques; les personnages évoquent les frises sur les amphores antiques mais restent statiques lors des scènes d'action, qui ne manquent pas ! Les cadrages sont très variés et contribuent au plaisir visuel.

    Tous les poncifs qui font grincer des dents dans l'oeuvre de Jacques Martin sont bien là :
    Éphèbes peu vêtus, hommes d'âge mûr admirés dans des postes d'importance, matrones conspiratrices et bedonnantes, dialogues incroyablement ampoulés dès que le héros s'adresse à une femme.

    On rajoute des scènes inutiles de sado-maso dignes de Saint Sébastien et une amourette de bienséance entre Orion et Hilona, jeune "femme" qui n'est qu'un garçon aux lèvres pulpeuses et tétins siliconés.

    Les inconditionnels du style Martin seront ravis. Les esthètes admireront le travail graphique. Les amateurs d'un scénario bien ficelé et de dialogues savoureux y gagneraient à faire l'impasse sur les phylactères et à imaginer leurs propres dialogues.

    MZMPJE Le 02/12/2006 à 20:46:22

    Comme à son habitude, l'auteur conduit l'intrigue avec une assez bonne maîtrise, même si la vraisemblance, qui n'a rien d'obligatoire en l'espèce, peut sembler lointaine. Du bon roman d'aventure plus ou moins fantastique dans un cadre qui s'y prête. Néanmoins, la lecture de cette oeuvre, comme pour toutes celles de Jacques Martin, me laisse sur une impression de malaise : ces visages et ces attitudes d'hommes pour le moins équivoques, ambigües, ces visages de femmes, surtout les jeunes femmes, qui peinent à être des visages féminins et iraient tout aussi bien à de jeunes hommes... Chacun son style, bien entendu, mais je n'aime pas du tout et c'est dommage, car le dessin est par ailleurs particulièrement soigné et de qualité, ce que l'on peut raremement dire aujourd'hui dans le domaine de la bande dessinée.