Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    Shaddam4 Le 15/12/2020 à 09:23:46

    Comme la plupart des mangas de Bushido il faut s’intéresser à la culture et l’histoire japonaise pour bien apprécier cette nouvelle série fantastique. Non que l’objet de l’auteur soit une véracité historique stricte, les 7 ninja d’Efu est avant tout une série fantastique parlant de démons, de pouvoirs et de combats impressionnants de créatures s’éloignant souvent d’un réalisme humain. L’approche est donc historico-mythologique et si le point de départ prends son origine dans un événement majeur de l’histoire de l’archipel (l’ère Edo qui mène du XVI° au XIX° siècle et l’isolement total), l’univers est résolument magique, ne serait-ce que dans le comportement des corps que le mangaka se plait à torturer et à soumettre à des traitements extrêmes (dépeçage vivant, découpages en règle et explosions,…). Que les héros soient des Ninja Onshin (guerriers-démons vengeurs) ne limite pas ces traitements atroces aux créatures fantastiques. Dans ce monde les guerriers du Bakufu (gouvernement militaire du Shogun) sont dotés d’armures pas très éloignées de celles des Chevaliers du Zodiaque et certains simples humains sont dotés d’une force ou d’une résistance permettant de briser une lame de katana avec son crane nu…

    Le graphisme est étonnant, un peu daté années quatre-vingt mais très fouillé avec une très faible utilisation de trames, remplacées par des hachures très sophistiquées et une attention portée sur les objets, armes et armures. L’auteur est perfectionniste et on peut dire qu’il y a un sacré boulot graphique. On aime ou pas ce style extrême mais ça reste très plaisant visuellement. Les couvertures sont magnifiques et font regretter que tout le manga ne soit pas en couleur pour nous aider à distinguer la multitude d’éléments des dessins. C’est très fouillé avec une attention particulière de l’auteur aux tissus très décorés de motifs élégants, ce qui permet une vraie originalité. Le point faible est les personnages dont l’expressivité est assez limitée et la physionomie plus que caricaturale. C’est volontaire et fait référence au théâtre populaire traditionnel japonais fait d’outrances. Pour qui a l’habitude de lire des mangas vous ne serez pas surpris.[...]

    Lire la suite sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2020/03/21/les-7-ninja-defu-1-3/

    Shaddam4 Le 15/12/2020 à 09:19:41

    Série par moment complètement foutraque, les 7 Ninja d’Efu mérite de prendre le temps d’apprécier l’investissement de l’auteur (signalé par les notes d’intention insérées en fin d’ouvrage et sa grosse bibliographie qui montre le travail documentaire ) et ses objectifs, qui ne sont pas tant une chronique d’histoire politique que bien peu de français seront à même de saisir mais plutôt des tranches de vie populaire fortement inspirées par les traditions, le folklore multiple de l’archipel qui n’était à cette époque aucunement unifié. A travers la violence et la cruauté, le point commun entre ces histoires ce sont ces personnages simples plongés dans la violence malgré eux, ces tribus traditionnelles massacrées ou soumises par les atroces féodaux,… Ce septième tome conclut l’histoire de la forteresse humains Burokken, véritable Gundam avant l’heure et confirme l’envie de l’auteur de proposer des armures proches de Saint-Seiya sans rechercher la moindre explication ou vraisemblance. Une fois compris cela et l’inutilité de chercher une trame générale entre les arcs, on peut ainsi apprécier les très beaux dessins, le design d’une folle originalité et des histoires simples et manichéennes axées sur les concepts de vengeance ou d’amour. L’approche de la série n’est pas facile mais elle s’améliore à l’usage pour devenir vraiment intéressante en s’approchant de la conclusion au dixième tome. Les intrigues, même si elles sont à cheval sur deux tomes chaque fois, se simplifient et deviennent plus intelligibles.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2020/12/12/manga-en-vrac-5-2/