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Manga - Seinen
Série finie
Asie
15 albums
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Je crois que je viens de découvrir ce qui a marqué la genèse du manga survival. Ce fut probablement ce titre issu des années 90. Certes, le problème de cette série est certainement sa longueur. Le récit s'étire plus que nécessaire. Cependant, il pose de bonnes bases pour nous faire découvrir un monde apocalyptique et surtout comment survivre après la catastrophe. On est très vite accro à cette lecture haletante.
Le graphisme n'est pas trop mal avec une bonne visibilité ce qui constitue plutôt un atout. Le début est assez flippant avec cet accident de train dans le tunnel. La peur, l'angoisse, l'effroi va vite nous gagner au travers ces 3 jeunes survivants. Il est toujours intéressant de voir les différentes réactions face aux obstacles. En tout cas, le scénario est plutôt très bon. Il entretient le mystère autour de ce qui s'est passé.
Un manga incroyable, plein de suspens, à l'ambiance plutôt tendue.
J'ai trouvé ce premier tome super, les petits flashbacks sur leur vie nous sont plutôt utiles à situer les personnages et à les comprendre un peu mieux, l'ambiance à la "Resident Evil" sans les zombies promet un manga digne de la patte d'un bon magaka car pendant toute l'aventure l'ambiance restera la même et à chaque tome les révélations se font plus vives. A suivre de pret. :)
Un huitième tome qui ne fait pas vraiment avancer l'histoire et notre envie de découvrir ce qui a provoqué cette apocalypse.
Après avoir atterri sur un centre commercial à l'abandon, nos quatre survivants vont apercevoir une immense colonne de feu qui jaillit de la terre (voir couverture). D'après leur orientation, l'endroit d'où émerge cette colonne de feu … serait Tokyo.
Mochizuki nous sert un peu du réchauffé avec de nouvelles ruines abandonnées, un nouveau déluge, une nouvelle marche vers Tokyo et un nouveau survivant bizarre. C’est bien dommage car j’ai l'impression que Téru (qui se retrouve ici à nouveau isolé) et Ako auraient du être à Tokyo depuis longtemps, mais que Mochizuki fait traîner les choses pour rallonger cette série, pourtant excellente jusqu'à présent.
Ako et le capitaine des secouristes Nimura se retrouvent enfin au village où ils vont pouvoir trouver le carburant nécessaire à leur hélicoptère et les médicaments pour soigner Teru.
Minetaro Mochizuki continue de développer la psychologie des personnages en situation de peur extrême et ce concentre dans ce tome sur le capitaine Nimura et Ako.
Ako, sur qui repose le sort de Teru, va prendre ses responsabilités dans ce tome et également reculer la frontière de son humanité face aux événements, en s'abaissant au meurtre d'un villageois. Le capitaine Nimura, jusque là présenté comme l'égoïste suprême en situation de survie, va aider et montrer une certaine reconnaissance vis-à-vis d'Ako.
Un tome qui donne des indices concernant l'origine du cataclysme tout en continuant de développer les réactions des êtres humains dans de telles situations.
Voici le cinquième tome de cette série en 10 volumes de Minetaro Mochizuki. Ce manga avait commencé à paraître en France en 1998 (et oui déjà) sous la jaquette Manga Player mais, à partir du sixième tome, il est passé chez Pika Edition, qui publie maintenant l'intégralité de cette série.
On se retrouve donc au milieu de cette excellente série où Minetaro Mochizuki continue de développer brillamment les réactions de l’être humain dans un monde post apocalyptique et sans repères.
Ako et le capitaine des secouristes Nimura partent à la recherche d'un village afin d'y trouver des médicaments et du carburant, mais ils vont faire des rencontres terrifiantes et bizarres, dont un garçon au crâne recouvert de cicatrices qui n'a qu'un mot en bouche : Dragon ...
Malgré un dessin parfois défaillant pendant les scènes de combats rapprochés, cette série continue de lever le voile sur l'âme humaine au milieu d'une ambiance angoissante et sombre.
Ako et Teru avancent péniblement sous ce ciel toujours aussi noir à la recherche de survivants, mais surtout à la recherche d'une explication à l'apocalypse qui règne sur le monde depuis leur accident de train.
Tout comme dans «Gen d'Hiroshima», un autre manga post apocalyptique, on retrouve les personnages errants au beau milieu de la désolation et le désarroi. Mais, à l'instar de «Gen d'Hiroshima» qui avait tendance à exagérer la bonté ou la méchanceté des personnages, Minetaro Mochizuki excelle dans le réalisme avec lequel il développe la psychologie humaine en situation de stress et face à l'inconnu. «Dragon Head» va au cœur de la peur et au plus profond des instincts primitifs de l'homme.
Teru et Ako vont ainsi rencontrer une équipe de secouristes déserteurs, dont le capitaine illustre parfaitement cet égoïsme et cet instinct de survie qui refont surface dans des situations extrêmes. D'autre part, Teru, qui incarne le semblant d'humanité qui peut subsister chez l'être humain dans de telles situations va également s'abaisser à commettre un meurtre sauvage, montrant bien qu’en situation de stress extrême toute la bonne volonté du monde ne suffit plus à canaliser nos instinct de prédateurs.
Après deux tomes angoissants au fond d'un tunnel, nos jeunes rescapés de l'accident de train parviennent enfin à trouver une sortie, mais sans pour autant être délivrés complètement de cette obscurité qui a nourri leurs peurs pendant deux tomes, car dehors, une catastrophe gigantesque a obscurci le ciel d'une fumée opaque qui cache le soleil. Dehors c’est l'apocalypse, les gens sont devenus fous en reviennent aux comportements les plus barbares et les plus irrationnels.
En trouvant la sortie du tunnel, le scénario de «Dragon Head» est entré dans une nouvelle phase. On va maintenant suivre les aventures de Teru et Ako qui vont essayer de découvrir ce qui s'est réellement passé dehors et peut-être trouver les nombreuses questions que le lecteur se pose, dont la plus importante : qu'est-ce qui a provoqué ce cataclysme?
Dehors, les repères sociaux, moraux et affectifs ont disparus. La civilisation n'est plus et Minetaro Mochizuki va pouvoir ôter le masque que porte l'humanité en dévoilant la vraie nature de l'être humain. Sans repères, la barbarie et la folie refont surface, surtout quand l'instinct de survie de l'homme est titillé.
Le huis clos des deux premiers tomes était tellement prenant, que l'on en vient presque à regretter l'évasion de Teru et Ako. Mais, même si elle est moins stressante, la rencontre avec d'autres survivants est également intéressante. Et puis côté dessin, elle permet à Minetaro Mochizuki de dessiner autre chose que l'intérieur sombre d'un tunnel.
Dans ce deuxième tome Mochizuki ne va toujours pas s'éclater graphiquement en dessinant des paysages extraordinaires, car il nous garde enfermés dans ce tunnel obscur. Par contre il va continuer à exploiter nos peurs et celle des trois collégiens rescapés de l'accident de train, Teru, Aoki et Nobuo.
Dans la lignée du premier tome Mochizuki continue de développer cette ambiance oppressante dans un environnement angoissant, alors qu'à l'extérieur du tunnel l'état d’urgence a été décrété par les autorités. Cet environnement restreint permet à Mochizuki de se focaliser sur les personnages, leur psychologie et leurs angoisses.
Même s'il n’est pas basé sur des faits historiques comme l'autre manga post-apocalyptique «Gen d'Hiroshima», je trouve le scénario de «Dragon Head» plus prenant et surtout le dessin et les expressions des personnages moins irritants, même si graphiquement cette série n'atteindra probablement jamais des sommets.
Bref, un thriller d'anticipation à l'ambiance prenante et graphiquement efficace. Excellent !
Un excellent premier tome, où l'on se retrouve directement dans un huis clos passionnant en compagnie de trois collégiens, Téru, Nobuo et Ako, seuls rescapés du terrible accident de train. L'ambiance et tendue et pesante et une fois le premier choc de l'accident passé, c’est l'instinct animal de survie qui va prendre le dessus.
Enfermés dans un tunnel, Téru, Nobuo et Ako plongent le lecteur dans un récit plutôt claustrophobe. C'est dans cet environnement restreint que Mochizuki parvient à développer de façon brillante la psychologie des personnages et les différents comportements de l'être humain en situation de danger extrême.
Si tout comme «Gen d'Hiroshima», «Dragon Head» est une histoire post-apocalyptique, ça force réside surtout dans l'ambiance oppressante qu'elle dégage, dans cette analyse poussée de la peur, une peur que Mochizuki exploite à merveille dans cet environnement sombre et terrifiant.
Le dessin de Mochizuki ne fait pas dans l'esthétisme mais dans l'efficacité et se concentre sur les yeux des personnages à l'aide de gros plans. Des yeux qui scrutent l'obscurité à la recherche du danger, des yeux qui transpirent la peur ou trahissent la folie.
Claustrophobe, peur du noir, pétrifié par l'apocalypse ou effrayé par la mort en général ..., «Dragon Head» est là pour vous servir.
Au début, j'ai été rebuté par le dessin de l'auteur, notamment par l'expression des personnages qui ont tous l'air shooté, et en plein "bad trip". Passé cette mauvaise impression de départ, je dois avouer que j'ai été captivé par cette série, scotché par cette atmosphère noire et terrifiante. Les premiers tomes dans le tunnel sont les plus opressant, mais certains épisodes se déroulant dans un immeuble en ruine ou dans l'hôpital désert sont tout aussi stressant.
Une histoire post-apocalyptique avec une atmosphère de "Horror Survival", voila qui va vous valloir quelques délicieuses nuits blanches !
On en est au huitième tome et cette série est toujours passionnante. Nos héros progressent toujours en direction de Tokyo même si leur espoir de retrouver leur famille vivante est quasiment nulle. Maintenant ce qui compte c'est comprendre, savoir ce qui s'est réellement passé. Hélas en cours de route Teru se retrouve séparé du reste du groupe. Ne sachant ce qu'il est advenue des autres certaines questions lui viennent en tête. Une surtout qui le hante depuis le début mais que ses dernières aventures l'ont poussé à la laisser de côté : Pourquoi est il encore vivant alors ue tant d'autre sont mort ? Voici la question qui le hante. Mais il a beau y réfléchir il ne trouve aucune réponse satisfaisante mais y en a-t-il rééllement une ?
Un album passionnant à lire absolument.
Cet album nous fait bien avancer dans l'histoire. En effet on en apprend de plus en plus sur ce qui c'est passé même si au final rien n'est tout a fait sur. De plus on a une réfléxion poussé sur la capacité de survie et de s'informer de l'homme d'aujourd'hui. Il semblerait à première vue que selon l'auteur Les Hommes d'aujourd'hui soient devenue des assistés se reposant entièrement sur la technologie rendant la plupart incapable se débrouiller en cas de cataclysme comme on le voie dans le scénario. L'Homme semble donc avoir perdu sa capacité à survivre dans un monde hostile et rude.
Ce tome est aussi psychologique que les précédent et développe un hypothèse très intéressante sur ce qui est finalement advenue de l'Homme et de son instinct de survie. Je dois dire que c'est très intéressant et qu'en plus le lecteur est amenné à se poser beaucoup de questions autres que celles inhérentes à l'histoire de cette série.
Dans cet épisode on voit clairement l'évolution d'Ako. Jusu'à présent elle se laissait facilement aller au désespoir totalement dépassé par la situation. Mais dans cet album elle va prendre sur elle car elle est désormais le dernier espoir pour Teru. En effet comme elle ne peut pas faire confiance en Nimura pour rammener les médicaments nécessaire pour la survi de Teru elle va devoir affronter et vaincre ses peurs pour le faire elle même. Elle va donc se rendre compte que tout espoir de survit dans ce monde hostil n'est pas vaint et ce malgré la folie qui s'emble s'être emparé des habitants de l'île.
En bref une suite des plus passionnante qui m'a tenu en haleine tout du long.
Dans cet épisode Minetaro Mochizuki va plus loin dans l'analyse de la psychologie humaine dans les situations critiques. En fait 2 théories s'affrontent. La première est que l'Homme est foncièrement lâche donc en cas de catastrophe il ne pensera qu'à sauver sa propre vie quitte à tuer ses semblables pour avoir une impression de contrôle sur la situation et ainsi se rassurer. L'autre théorie est que chaque individu peut, dans les situations de crises, apporter son aide aux autres, s'unir à eux pour que tous ensemblent ils puissent se sortir de cette situation, survivre, quitte à faire des sacrifices pour le bénéfices du groupe.
Dans cet albums ces deux conception de la nature humaine se confrontent et même cohabitent mais quoi qu'il arrive jusqu'à présent c'et la peur qui prend le contrôle car tout repose sur elle. Il semblerait à première vue que ceux qui arrivent à la surmonter tendent à rentrer dans la seconde hypothèse alors que ceux qui se aissent envahir par leurs peurs tendent à rentrer dans la première. Donc pour l'auteur c'est bien la réaction face à ses peurs qui détermine la nature d'un homme comme on le voie dans cet album.
Ici nos ''héros'' continuent leur progression dans ce monde hostil et bien qu'ils ne connaissent pas la cause de la catastrophe, ils en mesure de plus en plus l'empleur ce qui peur faire craindre le pire. Ils vont en plus se retrouver confronter avec les deux types de personnages qui représentent chacun le côté extrème de chacune des théories évoqués plus haut alors que nos ''héros'' restent encore entre les deux chacun ayant tout de même tendance à basculer vers l'un ou l'autre des ''camp''.
Un album passionnant dans la lignée des 4 premiers tome qui n'est pas fait pour les âmes sensible mais que je conseille fortement.
Ce quatrième opus nous fait découvrir une autre part de la psychologie humaine. En effet dans cet épisode nos deux héros sont confrontés à des sauveteur qui font tout sauf les sauver. On découvre ici un personnage égoïste pour qui les gens ne sont devenus qu'un outil de survie et rien d'autre. Il est très ntéressant de voir que dans diverses situations critiques le comportement de tel personnes peut changer du tout au tout.
Par exemple on se rend compte que le capitaine des secouristes déserteurs essaye d'éliminer Teru afin de garder Ako "pour lui" comme il le dit si bien et n'hésite pas à organiser une chasse à l'Homme pour se distraire et parvenir à son but. Cependant quand la situation se complique et qu'il voit qu'il ne pourra pas s'en sortir sans l'aide de Teru il essaye de le convaincre de l'aider sous le prétexte que tout ceci n'était qu'une plaisanterie, l'argument étant tout sauf crédible.
Mais ne croyont pas que Teru soit le "gentil ado" par excellence incapable de faire de mal à une mouche. Déjà dans le premier tome il montrait qu'il ne se laissé pas marché sur les pied et savait se protéger contre le danger que pouvait représenter certaines personnes ayant perdu la raison suite au choc psychologique de la catzastrophe sans toutefois dépasser une certaine limite. Ici Teru dépasse alègrement cette limite en tuant l'un des membres de l'équipe de secouriste mais une fois ce geste accompli il refuse d'endosser la responsabilité de l'acte ce qui peut s'expliquer sans doute par le fait qu'il avait l'air de ne plus avoir toute sa tête.
On peu dire que cet opus nous livre encore l'un des multiples comportements de l'homme face à des situations extrême. A travers cet album nous en apprenons bien davantages sur les personnages et les liens qui se tissent entrent et mais ce qui est aussi l'un des atout de cet album c'est que les personnages eux même prennent conscience de ce qu'ils sont réellement près à faire pour survivre et surmonter les embuches semé sur leur parcours.
Le scénario est entrée dans une nouvelle phase. Nos héros qui ne sont plus qu'au nombre de deux ont enfin réussi à sortir du tunnel dans lequel ils sont retenus prisonnier. Hélas pour eux leur situation ne s'arrange pas pour autant car ils se retrouvent maintenant dans un monde dévasté pas on ne sait quel cataclysme. Leur situation n'est pas enviable. En effet ce sont les seul survivant de leur voyage scolaire et forcément certaines questions existentiel se posent. Pourquoi eux, pourquoi sont ils en vie ? Arriveront ils à le rester longtemps dans ce monde devenu innospitallier ?
Par moment on se rend compte que la situation dans laquelle ils se trouvent est très difficile à supporté et parfois le découragement est proche mais heureusement qu'ils sont deux car chacun aide l'autre et lui redonne espoir quand l'un des deux vient à flancher. C'est une belle leçon de courage qui nous est présenté dans cette série. car malgrès toutes les difficultés rencontrés nos amis continuent à se battre pour savoir ce qui s'est passé et retrouver leur famille même si l'espoir est bien mince.
L'espoir la dernière chose qu'il leur reste dns ce monde chaotique.
J'aime bien le scénario. en effet dans ce tome la psychologie des personages est encore au premier plan. On voit tout leurs peurs, leurs espoirs, la façon dont ils se comportent entre eux pour faire face à la situation dans laquelle ils se trouvent, leurs réactions face au stress et à la pression d'une mort qui peut survenir à chaque instant.
Tous ces sentiments allant du courrage jusqu'à l'impuissance en passant par la nécessitée sont très bien traités malgrès une ambiance un peu glauque et malsaine un peu nécessaire pour bien planter le décors et faire ressentir au lecteur à quel point la situation des personnages est critique et instable. Mais on sent très bien à la fin de ce tome que cette première phase de l'horreur touche bientôt à sa fin pour aller vers une nouvelle phase peut être pire.
Au niveau du dessin j'ai un peu de mal, je le trouve un peut trop chargé et j'ai l'impression que sans le scénario on ne comprendrait pas toujours ce qui se passe. Mais il n'est pas désagréable et n'empêche pas de bien comprendre l'histoire.
Je dois dire que ce premier tome débute fort. On a trois personnes qui ont survécu à un accident de train et qui se retrouvent dans un tunnel où toutes les sorties sont obstrués entouré des cadavres des autres passagers. C'est dans cette ambiance tendue, pesante que se déroule le début de leur lutte pour survivre.
On voit bien que chaque personnage à sa manière de réagir face au drame qui le touche et sa façon de résister à la peur et l'effroi de cette situation peu enviable. En tout cas on apprend, à travers la réaction des personnages, à mieux les connaitre et c'est la première pierre d'une aventure qui à première vue ne s'arrêtera pas à un banal accident de train.
A première vue j'ai l'impression que nous avons à faire à une série très dure mais qui à le mérite de mettre en avant différents comportements face à une situation quelque peu hors du commun. De plus l'ambiance créée met le lecteur un peu mal à l'aise mais à tout de même le mérite de ne rien passer sous silence ce qui rend la situation plus que crédible.
Le dessin est plutôt bien fait même si je n'aime pas trop le dessin des personnages qui patr moment ont un air bizzare qui ne traduit pas, selon moi, l'état d'esprit réel dans lequel il se trouve. Heureusement ce dernier peut ce deviner par les action et les dialogues des différents personnages.
Comme je le disais il s'agit d'une série plutôt dur que je ne recommande pas aux âmes sensibles et aux dépressifs chroniques. Pour les autres il s'agit d'une très bonne série à lire.