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Les derniers avis postés sur les albums de la série

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    Saigneurdeguerre Le 03/02/2022 à 12:04:12

    50 Av. J.-C.
    Quand César veut quelque chose, il s’en donne les moyens. Et que veut le grand César ? Un griffon ! Créature mythique qu’aucun Romain n’a jamais aperçue, et pour cause, on ne trouverait cet animal mi-aigle, mi-lion, avec des oreilles de cheval, que chez les Sarmates, en plein Barbaricum (le nom dit bien ce qu’il veut dire). Qu’à cela ne tienne ! Une expédition est organisée avec le savant Terrinconnus pour la guider (la tête de ce savant vous dira peut-être quelque chose). Il faut dire que les Romains disposent d’un atout exceptionnel, une prisonnière Sarmate, une Amazone pour être précis. Ils lui proposent de les guider jusqu’au griffon en échange de sa liberté. Le belle, fière et courageuse, refuse mais Terrinconnus interprète très librement ses propos.
    Des mois plus tard, nous retrouvons un quatuor gaulois bien connu dans les steppes glacées recouvertes de brouillard que pas un bruit ne vient troubler… Ou presque… Le druide Panoramix est en bien mauvaise condition et ses éternuements déchirent le silence. Nos amis ont répondu à l’appel du shaman Cékankondine. Son tambour sacré lui a fait savoir qu’un grand nombre de Romains se dirigeraient vers le territoire de son peuple pour lui dérober le griffon, son animal sacré…

    Critique :

    A l’heure de #metoo, quoi de plus normal que d’avoir des guerrières sans peur et sans reproche qui s’en vont guerroyer pendant que les hommes restent pour s’occuper du home, sweet home ? C’est le cas chez les Sarmates dans cet épisode d’Astérix où, comme du temps de Goscinny, les jeux de mots, les allusions à l’actualité et à l’histoire foisonnent, sans oublier les noms des personnages (dont toute ressemblance physique avec des personnalités connues vivantes, ou un peu moins, est voulue).
    En ces années d’après l’ère Trump, vous ne vous étonnerez ni du nom, ni du comportement d’un légionnaire du nom de Fakenius…
    Un très bon cru qui ferait presque oublier qu’Uderzo et Goscinny nous ont quittés.

    NB : La version « de luxe » de cet album est à un format nettement plus grand (268 x 371 mm) que celui des albums classiques. Elle comprend 128 pages, à savoir, en plus de la bande dessinée en couleurs, la reproduction des planches au crayon et les « coulisses de la création ». Dans celles-ci, une planche couleur qui annonce l’histoire que vous trouvez dans le 39e album. De nombreuses esquisses agrémentent ces pages. Vous en saurez plus aussi sur les shamans, les Amazones et bien d’autres choses. Un vrai parcours culturel.

    herve26 Le 21/10/2017 à 11:58:56

    Par Toutatis, les auteurs commettent un triple sacrilège en omettant la célèbre carte de la Gaule, en passant à la trappe la galerie des personnages du villages Gaulois et en faisant débuter l’album par la planche 1 à gauche !
    Mais cela finalement, n’a aucune importance puisque cette nouvelle aventure d’Astérix et surtout d’Obélix est d’un très bon niveau. Définitivement, Conrad & Ferri ont dépassé le niveau des albums signés du seul Uderzo.
    Par une incipit bien amenée, on rentre de plein pied dans le sujet de cette histoire, à savoir une course de chars, non pas une de celles « qui ont tendance à tourner en rond », comme le dit le sénateur Lactus Bifidus mais une véritable course à étape, véritable prétexte à découvrir un empire Romain pas si unifié que cela.
    Les jeux de mots de Jean- Yves Ferri fusent dans cet opus (peut- être un peu trop, parfois) , du meilleur comme « le changement de carrière » d’Obélix aux multiples variations liés aux « Cimbres » en passant par des jeux de mots plus douteux comme « le déplacement des bornes » ou encore le très facile « Capri ; c’est fini ! »
    Le scénariste introduit dans cette aventure une pléiade de noms, (collant, comme toujours, à notre époque) que n’aurait pas renié Goscinny comme Coronavirus et Bacillus, le très actif Lactus Bifidus, Bioétix, Pataquès et j’en passe.
    Même si quelques gags sont assez inutiles dans le récit (je pense aux « galettes », à l’apparition d’un Berlusconi, et au Vésuve), l’histoire se déroule, comme la course, sur un train d’enfer. Le scénario est rythmé et au fil des albums, Jean- Yves Ferri s’approprie de plus en plus, et de de mieux en mieux, l’esprit de Goscinny, dont on commémore le 40ème anniversaire de sa disparition.
    Côté dessin, Didier Conrad s’est définitivement moulé dans le style d’Uderzo, même si son Jules César diffère un peu de celui que l’on rencontrait dans les anciens albums. D’ailleurs, je ne peux que vous recommander la lecture de cet album dans l’édition « grand format », qui propose, en outre, une version crayonnée de l’aventure.
    Avec « Le payrus de César », les auteurs avaient déjà placé la barre assez haute.
    Mais « Astérix et la Transitalique» (titre qui sonne très mal, soit dit en en passant) Jean-Yves Ferry et Didier Conrad prouvent qu’ils sont les dignes successeurs d’Uderzo & Goscinny.

    magma57300 Le 20/10/2017 à 17:42:09

    Comme les 6 autres Albums, à posséder absolument par tout fan d'Astérix et d'Obélix.
    C'est une fabuleuse Collection.