Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    thieuthieu79 Le 12/02/2017 à 21:40:14

    Un bon album qui commence très bien, pose des bonnes bases et monte crescendo dans la peur.
    Mais très vite, on tombe dans une surenchère de violence et de sexe qui n'apporte rien d’intéressant au récit.
    Des planches entières sans textes nous laisse penser à un travail bâclé. Des planches pour lesquelles l'auteur ne savait pas forcément quoi faire de ses personnages et quoi dire.
    Néanmoins, les dessins sont beaux, détaillés et très agréables. Ils réussissent à combler le vide scénaristique.

    meuillot Le 07/02/2017 à 17:28:13

    Dans la collection Flesh & Bones, Christophe Bec est un habitué puisque il est scénariste de 3 des 7 parutions (et ce n'est pas fini). Après le très bon Sunlight et Bikini Atoll, je me procure Blood Red Lake sans aucune appréhension...

    Mais au vu du travail de fou de C. Bec, et de ses multitudes sorties BD, je dois dire que je suis déçu par le contenu de ce one shot. Le pire c'est que l'histoire est bonne au départ...

    Une intro et mise en scène classique mais efficace. On sent que le scénariste va, comme d'habitude, maitriser son sujet parsemé de petites bébêtes qui, une fois entré en vous, vous font devenir les pires tueurs sanguinaires...

    Seulement voilà... tout va très vite. Tellement vite que des transitions semblent "tirées par les cheveux"... Ce qui atténue la crédibilité de l'histoire (et ce qui est le point fort, habituellement, de C. Bec). En fait, c'est très frustrant, car je suis sur que quelques planches de + auraient fait de "Blood Red Lake", un très bon album.

    Dans la même collection, cela me fait un penser au titre "Sonar", de Yang Ong et Runberg où j'avais ce même ressenti d'inachevé. J'imagine qu'il y a une espèce de cahier des charges pour "Flesh and Bones" et qu'il n'est pas toujours aisé de à la fois respecter les codes, et donner assez d'épaisseur à l'histoire pour qu'elle fasse mouche, avec un nombre de pages limité.

    En revanche, il faut louer le très bon trait de Renato Arlem. De la couverture jusqu'aux visages des personnages traduisant excellemment la torpeur, et auquel il faut ajouter une très bonne illustration des décors forestiers, le dessinateur apporte une très belle touche.

    Au final, c'est plutôt un 2,5/5 que je mettrais...

    kurdy1207 Le 24/10/2016 à 11:02:02

    Une météorite se scratch sur la terre libérant des petites bestioles pas très sympathiques (style pince-oreilles). Celles-ci, quand elles ont la possibilité de pénétrer dans un être humain par les oreilles, le nez ou tout autre orifice transforment celui-ci en psychopathe sanguinaire.

    Et ensuite… ça devient vraiment gore. Et ce genre de massacre comme celui véridique sur l’île de Utoeya en Norvège en 2011 qui a fait 75 morts me donne envie de vomir. Quel besoin de faire un tel livre ? La violence inutile attire et sème la graine de la violence.

    En conclusion, si cela avait été plus subtil on aurait pu avoir une excellente histoire. Et du coup que le dessin soit bon ou pas devient totalement secondaire.