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Les derniers avis postés sur les albums de la série

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    sebastien01 Le 20/01/2019 à 00:39:07

    Suite et fin de cette série hebdomadaire dont la qualité, globalement moyenne, ne s’améliore pas dans cette seconde moitié (Batman & Robin Eternal 2015, #13-26).

    Dans l’ensemble, l’histoire continue d’égrainer ses micros révélations au compte-gouttes mais leur intérêt demeure très faible. Si le personnage de Maman reste intéressant jusqu’au bout dans son design, sa conduite et ses origines, les deux adolescentes au cœur de l’histoire sont, elles, grossièrement caractérisées (Cassandra Cain est une ado mutique surentrainée et Harper Row est une ado geek surentrainée). Le suspense manque également à l’appel, on ne compte plus les occasions où un membre de l’équipe est sur le point de mourir à la fin d’un épisode pour s’en sortir miraculeusement à l’épisode d’après (qui peut encore sérieusement croire qu’un personnage va mourir ?, ou que Batman est impliqué dans un meurtre ?). Et la fin est grotesque ; tous ces enfants qui crient Maman tels des zombies et, outre les Robin, cette multiplication des interventions de super-héros...

    Il y a cependant quelques bonnes scènes avec l’Epouvantail, Azrael ou l’Orphelin mais l’action l’emporte toujours sur la réflexion. C’est un comics de super-héros donc les personnages passent logiquement le plus clair de leur temps à se battre mais on a parfois le sentiment qu’il n’y a plus que cela pour tenir l’intrigue (se battre, se faire prendre, s’échapper et recommencer encore et encore). Toutefois, parmi les autres petits plaisirs de cette lecture, il y a le retour de Damian Wayne, des dessinateurs qui produisent un travail honorable – mais sans éclat, exception faite de Tony S. Daniel – et de jolies couvertures (notamment celles de David Finch).

    En résumé, une seconde saison d’Eternal, moitié moins longue que la première mais également moitié moins bonne.

    sebastien01 Le 20/01/2019 à 00:38:39

    Cette série fait office de seconde saison à Batman Eternal. On y retrouve en effet les mêmes scénaristes – Scott Snyder et James Tynion IV –, les mêmes impératifs de publication – une série hebdomadaire, de multiples dessinateurs dont le très bon Tony S. Daniel – et les mêmes codes : une machination tentaculaire nécessitant l’intervention de toute une galerie de personnages pour en venir à bout (Batman & Robin Eternal 2015, #1-12).

    L’intrigue se déroule chronologiquement après le combat de Batman contre le Joker (dans Batman: Endgame), le chevalier noir est donc en retrait et seulement présent lors des flash-back. D’une manière générale, il s’agit d’ailleurs plus d’une histoire de Robin que de Batman, tous répondent présents – Dick Grayson (Nightwing), Jason Todd (Red Hood), Tim Drake (Red Robin) et Stephanie Brown (Spoiler) – à l’exception notable, et temporaire, de Damian Wayne. Si l’on y ajoute Harper Row, une des dernières créations de Snyder, et un nouveau personnage énigmatique – Cassandra Cain –, cela donne une galerie de second rôles très voire trop importante. Il faut vraiment aimer entendre le point de vue de toute la Bat-family et passer des acrobaties de l’un à celles de l’autre pour apprécier cette histoire.

    Dans cette histoire justement, les Robin et leurs associés partent à la recherche de Maman (un drôle de nom pour un vilain mais en l’occurrence plutôt approprié), un adversaire dont la particularité est le conditionnement d’orphelins pour en faire des agents dormants (un peu à la manière du film Salt). Les révélations sont distillées au compte-gouttes, on traine parfois un peu en longueur et les cliffhangers sont souvent artificiels mais, malgré tout, on a vraiment envie de savoir de quelle manière Bruce Wayne pourrait être mêlé à ce trafic.

    A noter qu’il est préférable d’avoir lu au préalable les aventures respectives des différents Robin, période New52, pour en saisir toutes les références.