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Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    sebastien01 Le 16/08/2018 à 21:05:37

    Quatrième et dernier Deluxe dédié au run d’Ed Brubaker. Ou plutôt faudrait-il l’appeler mini-Deluxe car il ne contient que cinq épisodes (Daredevil 1998, #116-119 et #500) alors qu’il aurait suffit à Panini d’inclure les sept épisodes suivants par Andy Diggle pour obtenir un vrai Deluxe et par la même occasion faire le lien avec Shadowland...

    L’unique histoire donc voit le retour à Hell’s Kitchen de Wilson Fisk alias le Caïd et de Leland Owsley alias le Hibou. Pour le reste, on retrouve les mêmes protagonistes jouant la même partition que précédemment, Daredevil tient encore moins son rôle d’avocat, ses amis au civil sont dépassés par les événements et la fin est abracadabrantesque.

    Après une quarantaine d’épisodes, dont trois-quarts franchement bons, il était temps qu’Ed Brubaker quitte le titre.

    sebastien01 Le 16/08/2018 à 21:04:48

    Ce troisième Deluxe s’ouvre par la rencontre entre Daredevil et Carlos LaMuerto alias la Tarentule noire (Daredevil: Blood of the Tarantula #1). Un épisode banal mais malgré tout inclus ici car scénarisé par Ed Brubaker, et de surcroît mal positionné car on ne retrouvera ce héros de seconde zone que dans la deuxième moitié du livre.

    Bien que Matt Murdock soit avocat et que ses aventures regorgent d’artifices juridiques, il n’avait pas encore été dépeint sous son jour professionnel par Ed Brubaker. La première histoire vient donc corriger cela en invitant Daredevil à défendre un condamné à mort (Daredevil 1998, #107-110). Mais, plus que cette histoire de mafia/FBI un peu grossière, c’est la mise en avant de Dakota North, la détective du cabinet de Murdock qui est à souligner. La seconde histoire voit apparaître un adversaire inédit pour Daredevil en la personne de Lady Bullseye (#111-115) mais se résume à une mêlée de super-héros (Iron Fist, la Tarentule noire, le Tigre blanc, la Main et ses innombrables ninjas). Ainsi, encore une fois, c’est la sous-intrigue avec Dakota North qui rend la lecture intéressante.

    Si la partie graphique, toujours majoritairement assurée par Michael Lark aidé d’un très bon Clay Mann, est excellente, le scénario baisse lentement en qualité ; Daredevil n’est jamais aussi bon que lorsqu’il est Matt Murdock et les pirouettes costumées tendent désormais à prendre le dessus.

    sebastien01 Le 16/08/2018 à 21:04:00

    Matt Murdock a retrouvé son épouse, son étude et ses escapades nocturnes, bref sa vie d’auparavant. Ce retour à la normale aurait pu être l’occasion pour Ed Brubaker de repartir pour de nouvelles aventures sur une base saine, pourtant il choisit de remettre en selle Daredevil en lui rappelant l’héritage de Brian M. Bendis.

    Après une introduction tout en sensibilité (Daredevil 1998, #94), Daredevil fait face dans une première histoire à un vieil ennemi, Melvin Potter alias le Gladiateur, qu’il a déjà affronté lors du run précédent (#95-99). Puis, dans une seconde histoire vient immédiatement le tour de Larry Cranston alias Mister Fear (#100-105). Ces deux confrontations sont d’un très grand classicisme – Daredevil cherche à comprendre, se trompe, affronte des sous-fifres puis enfin le vrai méchant –, et n’offrent que peu d’intérêt aux intrigues. En revanche, leurs répercussions sur Milla Donovan, l’épouse de Murdock, et, dans une moindre mesure, sur Lily Lucca, une femme rencontrée lors de son récent périple en Europe, constituent l’enjeu principal de deuxième Deluxe.

    La partie graphique est majoritairement assurée par Michael Lark, toujours très efficace dans le registre du polar noir, tant au cœur de l’action que dans les scènes plus posées. Un bémol toutefois pour finir, avec ce dernier épisode fill-in (#106) d’un intérêt nul si ce n’est d’offrir un rôle de figuration à Ben Urich, l’ami journaliste de Daredevil.

    sebastien01 Le 16/08/2018 à 21:01:50

    Avec Ed Brubaker, on retrouve Matt Murdock dans la situation exacte où Brian M. Bendis l'avait laissé lors de la conclusion de son run, c'est-à-dire en prison et avec une identité secrète en passe d’être révélée. Le programme de Daredevil dans ce premier Deluxe est donc simple : sortir de prison et retrouver l’anonymat, non sans quelques péripéties au passage.

    Deux histoires se succèdent ici. La première (Daredevil 1998, #82-87) est un huis-clos carcéral auquel Michael Lark procure une ambiance noire et inquiétante très fidèle à celle dépeinte par Alex Maleev lors du run précédent mais dans un style judicieusement moins photo-réaliste. Puis, après un intermède sur l’associé Foggy Nelson (#88), une seconde histoire (#89-93), par David Aja, voit Daredevil partir enquêter en Europe et se révèle comme une transition bienvenue et moins sombre tant par son propos que par son dessin.

    D'une manière générale, le maître-mot de ce premier Deluxe est "continuité" : continuité du scénario comme du dessin toujours orientés polar noir et urbain à la suite du run de Brian M. Bendis, de l’état d’esprit de Murdock – introspectif, empli de doutes quant à sa mission et aux prises avec des personnages féminins bien caractérisés –, en passant par les habituelles acrobaties, l’esbroufe juridique et le défilé de personnages propre à tout comics de super-héros.

    madmix83 Le 02/06/2016 à 10:02:05

    Indispensable pour la première partie qui est absolument fantastique ! Brubaker et Lark développent une histoire extraordinaire.
    Heureusement, la seconde partie, plus légère, est dans la continuité graphique de la première.