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Les derniers avis postés sur les albums de la série

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    Erik67 Le 13/11/2020 à 13:42:37

    Un concept qui n'est pas trop mal mais qui manque parfois de crédibilité. On oppose les Ajin aux humains car ils sont simplement capables de se relever après la mort. On fait de la ségrégation avec ce qui est différent, avec ce qui ne peut pas mourir. J'ai bien aimé cette idée plutôt originale.

    Le phénomène zombie ou momie est effectivement traité sur un autre mode. Cela demeure un seinen qui axe sur l'action plutôt que sur l'interdépendance des personnages. Le cri d'un Ajin est capable de vous immobiliser pendant plusieurs secondes. L'immortalité a également toujours un prix fort à payer. Attention également aux scènes gores !

    Bon à savoir: Ajin est actuellement le plus gros succès de manga au japon avec pas moins d'un million d'exemplaires vendus en une seule année. C'est énorme et cela démontre bien un phénomène nouveau qu'il ne faut pas négliger. Derrière le succès se cache assez souvent le talent.

    On ne s'ennuiera pas avec cette découverte car c'est très efficace dans la mise en scène et plutôt bien dessiné. Le mystère de ces êtres mystérieux ne sera que progressivement dévoilé.

    Shaddam4 Le 24/02/2020 à 18:14:50

    La reprise de lecture est toujours compliquée dans les manga, avec cette habitude de découper un chapitre entre deux tomes… on reprend donc en pleine action sur le dernier acte de l’opération finale de Sato et immédiatement, comme depuis le début de ce manga majeur on retrouve ces idées multiples liées à la physique des Ajin. L’auteur évite le gore même si le hors champ reste terrifiant! Il y a de grandes proximités entre Ajin et le manga Démon, les deux auteurs semblant s’amuser comme des petits fous à imaginer les interactions physiques de leur univers décalé. Le lecteur en finit donc par oublier que les Ajin n’existent, pas non plus que leurs fantômes et découvrent avec les protagonistes certaines possibilités physiques toujours amusantes et qui donnent toute leur originalité aux combats. Ce volume (qui suit de très près la sortie japonaise puisque la publication originale compte seulement quinze volumes reliés) marque l’entrée en action de l’escouade anti-ajin dont on nous parle depuis longtemps et dont l’efficacité est redoutable. Le risque d’avoir construit un méchant aussi charismatique et machiavélique que Sato est de n’avoir aucune adversité sérieuse en face. C’était le cas jusqu’ici mais c’est en passe de basculer… On approche vraiment de la fin de la série… a moins que l’auteur et son scénario redoutable n’ait prévu quelque rebondissement inspiré par Sato!

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2020/02/15/sushi-baggles-28/

    Shaddam4 Le 23/05/2019 à 11:07:13

    Sa sent la fin! La vague finale de Sato est lancée pour détruire les institutions du pays après avoir pris le contrôle de la base d’Iruma dans une bataille dantesque! Ce volume comporte un peu moins d’action mais garde un rythme endiablé de révélations sur le fonctionnement des Ajin, de leurs fantômes et de leur « physique ». Gamon Sakuraï est un redoutable marionnettiste qui joue de ses personnages en recherchant toujours l’inattendu. Si quelques ficelles du plan de Sato s’avèrent un peu faciles, laissant les forces de défense et le gouvernement dans une sidération totale, on apprécie toujours autant ce diable se jouer de tout le monde avec une facilité déconcertante et une gestion de son corps totalement machiavélique. Au risque, depuis le début de la série, de vampiriser quelque peu l’attention du lecteur en laissant les personnages secondaires en retrait. On ne sait pas trop comment fait le héros Kei Nagaï pour parvenir à comprendre le raisonnement de Sato mais c’est finalement un détail tant cette série continue tome après tome à nous aspirer dans ce tourbillon d’action géopolitique qui n’oublie pas de questionner la société japonaise sur son élitisme et son rapport à l’autre. Résolument un indispensable si vous appréciez les manga!

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/05/16/sushi-baggles-14/

    Shaddam4 Le 26/11/2018 à 18:25:20

    Ajin est définitivement l'héritier de la série mythique Akira (et publié chez le même éditeur au japon comme en France). Les influences sont nombreuses tant dans le dessin de Gamon Sakuraï, d'une précision et d'une nervosité directement issues du dessin d'Otomo que dans les thématiques et la vision très moderne d'un conflit géopolitique faisant du Japon le centre d'une crise majeure. Ce qui fait la puissance d'Ajin c'est sa radicalité, son ambition: Sakuraï dépeint rien de moins que la plus grosse attaque terroriste de l'histoire, une véritable guerre intérieure menée par l'un des méchants les plus réussis de l'histoire de la BD en la personne de Sato qui vise à bouleverser les relations entre humains et Ajin (thème des X-men...). Ce machiavélique bonhomme semble inarrêtable et l'auteur rivalise d'ingéniosité en exploitant la rupture scientifique apportée par l'apparition des Ajin pour livrer des séquences d'action et de suspens rarement vues en BD! Chaque tome s'enchaîne à une vitesse frustrante en étant autant un plaisir visuel que cérébral. Ce douzième volume (la publication française suit de très près la publication japonaise) poursuit la sidérante attaque de la base militaire par Sato et l'on jubile à chaque action de ce génie du crime. L'intrigue avance peu mais quel plaisir! Ajin est une série obligatoire pour tout amateur de Manga, tout simplement.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/11/24/sushi-et-baggles-5

    Shaddam4 Le 27/04/2018 à 14:20:09

    Pour le dernier volume paru en France (en ce mois d'avril!), on sent la fin approcher, alors que le nombre de sujets effleurés est énorme. Sato joue double ou triple jeu et son esprit machiavélique semble impossible à anticiper, même pour Nagaï. Le gouvernement a fait un premier pas en acceptant une négociation, mais peut-on faire confiance à ce génie du crime qu'est Sato? Gamon Sakuraï, comme depuis le début de sa série, sait manœuvrer des temps de pause qui nous font admirer ses magnifiques dessins entre des séquences d'action ou de suspens à la tension digne des meilleurs films d'espionnage! La diffusion de films et d'une série sur Netflix devrait inciter l'auteur et l'éditeur à prolonger le plaisir, tant l'univers développé est gigantesque et l'équilibre entre l'avancée d'une intrigue principale à grand spectacle et l'insertion de multiples éléments intime, socio-politiques (la démocratie, les médias,...) ou purement géopolitiques simplement parfaite.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/04/30/manga-en-vrac-2

    Shaddam4 Le 27/04/2018 à 14:18:54

    Dans ce volume l'on découvre la maman de Nagaï, qui comme la plupart des personnages de la série rompt avec des habitudes manga d’archétypes genre "femmes au foyer traditionnelle soumise"... Ajin est une série résolument moderne, à la fois dans son traitement de l'actualité et des thèmes comme le terrorisme ou le racisme, mais également avec tout un pan de la société japonaise que Gamon Sakuraï dynamite avec grand plaisir. Alors que les séquences d'assaut sont dans une sorte de phase d'armistice, l'auteur nous emmène aux Etats-Unis découvrir ce qu'est allé y faire le professeur Ogura: nouvelle révélation (dans un manga qui n'en manque pas!) sur un mode de gestion du problème Ajin résolument différent entre le Japon et les Etats-Unis. Chez Sakuraï on sent la même volonté que Katsuhiro Otomo d'internationaliser (élargir la perspective) l'intrigue de son récit et d'introduire un conflit entre deux visions de ce que permet le pouvoir. Si le parallèle avec Akira fonctionne pour la critique du complexe politico-militaire, l’œuvre de Sakuraï est beaucoup plus acerbe ne serait-ce que par-ce qu'elle ne date pas son récit, apportant une proximité immédiate avec le Japon d'aujourd'hui.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/04/30/manga-en-vrac-2

    Shaddam4 Le 27/04/2018 à 14:18:24

    Sato parvient inéluctablement à ses fins, quel que soit le moyen. Pourtant, dans ce combat où Nagaï est entré en action directement alors qu'il se contentait jusqu'ici de planifier, des ruptures apparaissent, avec Tanaka notamment qui n'est pas aussi impitoyable que son chef et ressent de la compassion pour certains humains, ce qui l'amène à contester la décision de Sato. Son affrontement avec Izumi par fantômes interposés permet également de voir les capacités de combat de l'aide de camp de Tosaki. Enfin, la relation entre Nagaï et le jeune Nakano évolue alors qu'ils se retrouvent liés dans les combats et doivent se faire confiance mutuellement. Entre le héros et son jeune protégé, la relation à la mort et à l'empathie n'est pas la même, Nakano raccrochant Nagaï à sa part humaine quand il voudrait devenir insensible comme Sato. Alors que les assassinats vont se poursuivre comme prévu, le gouvernement reconnaît son échec et change sa position vis à vis des Ajin. Les cartes sont en train de bouger.

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    https://wordpress.com/post/etagereimaginaire.wordpress.com/4791

    Shaddam4 Le 27/04/2018 à 14:16:50

    L'édition Glénat comprend en début de volume un "who is who" et un salutaire résumé en image, bien plus efficace qu'un texte et c'est donc une très bonne idée. L'assaut touche à sa fin et pour la première fois l'équipe de Sato se voit contrecarrer par le plan de Nagaï, obligeant Sato à se déplacer pour finir le travail. Alors que depuis le début de la série, Sato, véritable croque-mitaine invincible ayant toujours trois coups d'avance sur ses adversaires, créait un sentiment d'inéluctabilité, le lecteur découvre que l'affrontement de l'intelligence risque de durer. Le rôle des différents protagonistes se mets en place, chacun doté de caractéristiques qui, alliés, leur permettront peut-être de contrer le génie du mal qu'ils ont face à eux. Dans un assaut toujours dynamique où Nagaï (dont le père a été absent) se lie avec Hirasawa, le vieux chef des humains de l'équipe Tosaki, le lecteur découvre une nouvelle capacité des Ajin via leur mode de régénération. La cohérence de la science des Ajin est remarquable depuis le début dans cette série et c'est un grand plaisir que de lire un manga d'une telle intelligence dans chaque séquence, chaque idée. Graphiquement le trait évolue vers un plus grand réalisme, des visages en gros plans assez absents au début de la série permettent de voir l'influence Otomo de plus en plus grande, et c'est tant mieux.

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    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/04/30/manga-en-vrac-2

    Shaddam4 Le 27/04/2018 à 14:16:12

    Le septième tome se structure sur le début d'une nouvelle attaque pour assassiner le PDG de la société de sécurité Forge, ce dernier convaincu qu'il empêchera le plan des Ajin rebelles. Alors que l'opération commence et que le groupe de Kei Nagaï (qui se révèle le véritable cerveau de l'équipe montée par Tosaki) prépare son piège, des flashback reviennent sur le passé militaire de Sato ainsi que sur son enfance, nous permettant de mieux cerner la psychologie de ce très charismatique méchant. Gamon Sakuraï parvient à alterner dans sa série (en seulement 11 tomes parus, c'est dire le rythme) des moments de respiration et des séquences d'action endiablées. Ici l'assaut par l'équipe de Sato démontre s'il le fallait l'intelligence scénaristique rare de l'auteur: le principe de l'immortalité permet des astuces vraiment originales dans le déroulement des combats (pour faire clair: l'un des Ajin est chargé pendant l'attaque de "réinitialiser" les autres en les tuant s'ils venaient à se prendre une fléchette tranquillisante... mais ce n'est pas tout!). Tout ceci garde un étrange aspect de banalisation de la mort dans un univers totalement bouleversé par la découverte de ces "créatures". Le nombre de sujets abordés dans chaque volume, subrepticement, par une séquence, par une case, est vraiment énorme et donne une richesse de background gigantesque. Sakuraï est en train de construire un monument du manga!
    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/04/30/manga-en-vrac-2

    Shaddam4 Le 27/04/2018 à 13:40:53

    Les derniers événements au centre de détention des Ajin ont provoqués des remous dans la société: les médias mettent le gouvernement sur la défensive, l'armée voit des contestations internes et une confrontation apparaît entre Ajin, avec l'entrée dans un processus de terrorisme de Sato. Le héros a beaucoup changé dans cet épisode et apprend à contrôler son fantôme. Mais le grand événement de ce volume est l'arrivée du thème du terrorisme et du pouvoir des médias, deux sujets très actuels et qui collent la série à une actualité brûlante. Tant mieux!

    Shaddam4 Le 23/03/2018 à 14:15:35

    Suite de l’évasion de Nagai. L’arrivée d’un chercheur excentrique travaillant pour les américains nous permet d’en apprendre plus sur les visées des différents protagonistes gouvernementaux et notamment le patron de la chasse aux Ajin. Nagai constate qu’il est manipulé et ne peut faire confiance qu’à ses amis. Pendant l’évasion il apprend à maîtriser son fantôme. À mesure que les enjeux et protagonistes sont révélés une ambiance à la Akira se met en place (sacrée référence!) et je dois dire qu’Ajin tient la comparaison haut la main. L’humour apparaît également avec le professeur Ikuya et les dessins sont toujours aussi acérés et efficaces.

    Shaddam4 Le 23/03/2018 à 14:15:09

    On continue dans la foulée du premier volume sur un rythme effréné. L’introduction passée, nous découvrons les motivations des deux Ajin japonais, pas forcément toujours honnêtes: dans cette guerre occulte, personne n’est propre et les objectifs restent cachés. Lorsque le héros est capturé et soumis aux traitements inhumains réservés aux Ajin, l’on comprend que nous aurons affaire à un manga sombre où seule l’amitié présentée dans le volume 1 sera un fil auquel se raccrocher. Le tome 2 montre néanmoins que certaines personnes se préoccupent du sort des Ajin, ce qui permet d’introduire des sujets très actuels des liens entre gouvernements prêt à suspendre les libertés publiques et une société civile qui cherche sa responsabilité collective (Wikipedia apparaît et ce n’est pas anodin de la part de l’auteur). Nous apprenons également de nouvelles choses sur les deux espèces d’Ajin cohabitant et sur les effets des morts successives…
    Le manga est toujours aussi bon, l’univers se développe, les séquences d’action sont redoutables d’efficacité, de nouveaux mystères apparaissent et certains se révèlent. On n’a qu’une envie: continuer.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/03/14/manga-en-vrac/

    Shaddam4 Le 29/01/2018 à 12:25:51

    Les couvertures des albums (assez ternes mais très homogènes) m'avaient attiré l’œil et j'avais mis ce titre de côté (je lis peu de manga et j'essaye de sélectionner vraiment la qualité). A l'occasion d'une critique pour Iznéo j'ai sauté le pas et c'est une excellente surprise. D'abord par la rapidité de l'introduction: en moins de 10 pages l'on sait qu'il y a sur terre des Ajin, humains ressuscités que les Etats tentent de récupérer afin de les étudier. Le Japon en a trois et fait des expériences barbares sur eux. Un jeune lycéen perd la vie et se révèle un Ajin, désormais en fuite avec l'aide de son ami d'enfance...

    Alors que nombre de BD et de Manga mettent plusieurs volumes à faire durer le suspens, rarement une série m'avait aussi rapidement et pédagogiquement immergé dans son background. Le premier volume nous a déjà installé dans une poursuite entre le héros, des agences gouvernementales, des factions d'Ajin, les pouvoirs que l'on découvre progressivement, etc. De même, les manga tournent souvent autour du seul japon; ici dès les premières pages l'on nous parle de cette course entre nations pour avoir ses Ajin et en découvrir les secrets. Le contexte de fonds est à la fois clairement révélé mais garde bien certains mystères évoqués. Le lecteur n'a pas la crainte d'une intrigue au long cours tant les événements et les informations s'enchaînent, sans aucune difficulté à les digérer. Je dois dire que par ce traitement à la fois frontal, conspirationniste et à la divulgation d'info maîtrisée me fait fortement penser à X-files. Les auteurs ne tournent pas autour du pot puisque le lecteur connaît le pitch. Celui-ci est donc balancé en quelques planches pour s'attaquer directement au développement de l'intrigue. Je trouve ça super agréable!

    Ajin nous présente donc une intrigue classique mais que personnellement j'adore: certains humains ressuscitent et se trouvent dotés de pouvoirs. L'on comprend que loin d'être un petit nombre, beaucoup n'ont pas été repérés par les autorités et s'organisent dans l'ombre d'une guerre entre factions dans une guerre occulte. La réflexion sur l'attitude des humains qui ne cherchent que gloire et argent en "attrapant un Ajin" permet d'élever le manga au-dessus du simple fantastique. Très vite se pose la question de qui est humain et qui ne l'est pas, les actes rendent-ils humains, tout le monde n'est-il pas un Ajin en puissance?

    Les dessins sont standards dans le genre manga mais plutôt de bon niveau, notamment au niveau des mouvements (peu étonnant vu le média). Je scrute régulièrement les séries manga à succès et suis rarement accroché par ce que j'en lis. Ici je comprends le succès de cette série qui sait se sortir de la masse des publications. Si vous aimez le fantastique et les conspirations cela devrait vous plaire.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/01/29/ajin-semi-humain-1

    pysa Le 14/01/2018 à 21:34:19

    Troisième tome et pas beaucoup d'évolution. L'intrigue n'avance pas vraiment et semble toujours aussi confuse. Les dessins sont réussis avec de nombreux gros plans qui permettent une lecture fluide et rapide.

    pysa Le 13/01/2018 à 19:02:59

    En cavale, Kei Nagali découvre un groupe d'ajins. Deuxième tome pas totalement convaincant. L'intrigue est confuse et les personnages manquent de profondeur. Reste une lecture rapide, avec beaucoup de dessins en pleine page, et plaisante.

    pysa Le 13/01/2018 à 11:33:38

    Certains humains ressuscitent. Ces êtres éternels, les ajins, sont-ils des extraterrestres ou des humains ? Kei est un adolescent qui est renversé par un camion en rentrant de l'école. Il revient à la vie, comprend qu'il est un ajin et prend la fuite ! Ce premier tome un peu confus et les interrogations des personnages sont redondantes. Gamon Skurai multiplie les gros plans, bien exécutés, mais qui figent l'action.