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Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    Blue Bird Le 27/08/2023 à 16:53:16

    Le Noir dans la BD indépendante (4). Chaque Auteur qui a du succès chez Marvel ou DC rêve d’avoir sa série creator-owned, c'est-à-dire sa série qu’il a créée lui-même avec ses propres personnages dont il est le seul posséder sans rendre compte à une maison d’édition et sans le rendre une fois son run fini. Les Auteurs se tournent alors vers les petites maisons d’édition indépendantes.
    C’est le cas récent du Scénariste de Daredevil et de Batman, Chip Zdarsky avec sa creator-owned série Newburn ou Lazarus-Tome 8 : Fracture (2023-Urban Graphic) du Scénariste Greg Rucka, du Dessinateur Michael Lark et de l’Encreur espagnol Santiago Arcas.
    Qui sont les Auteurs ? Greg Rucka est un écrivain de romans policiers qui a écrit des BD Polars en noir et blanc comme Whitout et Queen and Country.
    Et Michael Lark s’est fait connaître avec son run sur le super-héros hardboiled, Daredevil, et a été plusieurs fois nommé au Will Eisner Award en tant que meilleur Dessinateur.
    Quelle est l’histoire de Lazarus ? Femme sans super-pouvoir ,recréé , mais au centre d’une histoire de familles se partageant le monde, dans un récit sous forme de thriller.
    En effet, dans un avenir proche, trois amis ont découvert comment sauver le monde et la fin des gouvernements menacés par les populistes et nationalistes élus démocratiquement.
    Les familles règnent donc par l’argent et le pouvoir et l’une d’entre elles, les Carlyle grâce à Forever Carlyle, leur agent ayant la maîtrise des super-militaires, leur Lazare (d’où le titre), leur protectrice.
    Dans un monde pourri où tout n’est que meurtres et complots, Forever Carlyle se révolte contre sa « famille ». Tel Jason Bourne de Robert Ludlum, autre star du thriller international et Noir, Lazare « ressuscitée » comme sa référence biblique, part donc à la recherche de son passé et de sa liberté dans cet album.

    Lakazdelonclepol Le 03/05/2023 à 11:52:35

    Le postulat de départ est très audacieux et pourtant les évolutions de notre monde nous poussent à le rendre très plausible.
    Cette vision futuriste froide et dure suscite la réflexion et, en cela, LAZARUS est une BD assez salutaire.
    En parcourant les avis de lecteurs on peut mesurer tous les ressentis variés à cette lecture, une démonstration du caractère sensible des sujets abordés par cette série atypique.
    Une œuvre addictive.

    Lecture DC Le 21/10/2021 à 14:19:41

    Ce premier tome a pour objectif de présenter l’univers de Lazarus ainsi que les personnages principaux de la famille Carlyle et bien entendu l’héroïne Forever. À travers un complot interne et une négociation avec une famille rivale, le lecteur va pouvoir découvrir la fonction d’un Lazare, leur puissance, mais aussi le traitement parfois dénué d’humanité qu’ils subissent.

    ----> Lire la suite sur https://lecture-dc.fr/lazarus-comics/
    ----> En savoir plus sur l'Ordre de Lecture DC Comics sur https://lecture-dc.fr

    INTRIGUES 4.5/5
    DESSINS 4.5/5
    PERSONNAGES 4.5/5

    LES PLUS
    Un univers riche et captivant
    De la géopolitique bien dosé
    Des personnages profonds et unique

    LES MOINS
    Des passages un peu mou de temps en temps

    sebastien01 Le 04/08/2021 à 08:18:16

    J’ai donné cinq étoiles au premier tome, puis quatre, puis trois et, en refermant le septième, il m’est impossible de lui donner une meilleure note malgré tout l’intérêt que je porte à la série. Depuis ses débuts il y a près de huit ans, Lazarus a toujours adopté un rythme lent, tant en ce qui concerne le déroulement de son intrigue que la parution de ses épisodes, mais désormais il serait temps que Greg Rucka en arrive à la conclusion (Lazarus: Risen 2019, #1-3).

    Ce T7 constitue le début de la seconde saison de Lazarus, la série ayant été relancée après un épilogue en deux parties centré sur Jonah Carlyle (constitué des épisodes 27 et 28, inédits en VF). A l’exception de son format, rien ne change et on retrouve donc les mêmes ingrédients que dans les tomes précédents : les combats très chorégraphiés, les discussions familiales et/ou politiques nébuleuses et, par petites touches, le développement de l’héroïne et, récemment, de sa sœur. Mais au fond, il n’y a pas de nouvel enjeu et l’intrigue n’avance guère. Il s’agit presque d’un tome pour rien et je n’en retiendrai qu’une seule chose : Forever s’est coupée les cheveux. C’est dire…

    Malgré cela, et alors que la collection Glénat Comics périclite et puisse raisonnablement faire craindre aux lecteurs pour la suite de la publication en VF, je continue à suivre la série. Un peu par habitude de complétiste, un peu aussi pour le dessin de Michael Lark que j’apprécie toujours autant. Mais on sent que la série ronronne, que l’intérêt s’essouffle ; pourvu l’on n’en vienne pas à s’ennuyer et que les auteurs aient assez rapidement une véritable conclusion à proposer.

    Erik67 Le 22/12/2020 à 15:33:59

    Je n'ai pas trop aimé l'univers futuriste, le récit ainsi que le dessin très sombre. C'est tout cet ensemble qui peut faire qu'on aime ou pas une oeuvre.

    Il faut dire que ce n'est guère crédible comme postulat de départ. Une famille riche règne sur un monde de pauvres et n'hésite pas à faire sa loi en se servant d'être doté de pouvoirs exceptionnels comme la régénération du corps. On découvre petit à petit ce qui fait tenir ce monde avec ses codes bien particuliers.

    Je n'ai pas réussi véritablement à rentrer dans ce récit bien que le rythme soit présent. C'est très froid et parfois trop impersonnel. On suit une héroïne à laquelle il est difficile de s'attacher. Bref, cela ne prend pas. Par la suite, on devine que les rouages dépassent certaines frontières mais il est trop tard pour bien faire. Le manque d'empathie peut effectivement nuire à l'envie de continuer l'aventure.

    snip Le 11/09/2020 à 23:46:28

    L'aventure continue et cela fait du bien de retrouver le trait nerveux et contrasté de Lark après le t. 6.
    Nous retrouvons donc l'univers et la philosohie générale de la série, sombre souvent, très lumineuse parfois. On note quand même une petite baisse de régime. j'en espérais plus : le scénario n'est pas aussi bluffant que les précédents. Les rebondissements font parfois penser aux effets utilisés dans les séries (la prochaine adaptation à l'écran pourrait déteindre sur la narration ?) un peu trop de buzz mais le fond est discutable pour l'avancée de l'histoire ou le réalisme. pas mal de mise en place pour la suite, ça sera peut-être un tome de transition avant un nouveau souffle ?

    Le résumé du tome par le site m'étonne par contre : je n'ai pas vu Jonah dans ce tome et il n'y a pas de retour dans le passé : cela correspond bien au T.7 édité par Glénat ?

    thieuthieu79 Le 18/08/2020 à 16:43:16

    Après une longue attente, on retrouve enfin Forever 4 ans après les événements du Tome 5 (le Tome 6 étant un Tome de transition).
    La guerre du conclave suit son cours et l'histoire aussi. Mais celle-ci prend du temps pour avancer. On sent bien que de gros bouleversements arrivent et se mettent en place mais le rythme à tendance à s’essouffler un peu.
    On reste néanmoins toujours accroché à cet univers très complet.
    Le graphisme est toujours au rendez vous avec un dessin très détaillé et une mise en couleur efficace.
    Ce 7ème tome à la particularité d'être découpé en 3 gros chapitres de 22 pages, au lieu de 6 de 11 pages comme habituellement.
    A la fois, suite logique de la série et à la fois initiateur d'une second cycle, Risen continue de dérouler son univers à la fois complet et passionnant.

    Shaddam4 Le 04/07/2020 à 07:05:59

    Le précédent volume commence à remonter puisque ma critique date d’un an et demi… Je n’ai pas lu le tome noté « 6 » chez Glénat, qui reprenait des épisodes spin-off apparemment peu intéressants. L’intrigue reprend donc bien au tome « 7 ». A noter que le nouveau cycle est sous-titré « Risen » chez l’éditeur original Image, Glénat ayant choisi de maintenir une continuité de tomaison. Espérons que cela n’oblige pas dans quelques volumes à une révision de la maquette sur les réeditions…
    ---------------
    Alors que la guerre des familles s’intensifie Forever noue un pacte avec sa sœur pour enfin rencontrer son clone. La défaite contre le Dragon a marqué les esprits et les alliances se font et se défont dans un monde sur le point de basculer…
    ----------------
    Est-ce le fait d’avoir attendu un temps inhabituel entre le précédent opus et celui-ci? Le fait est que cette reprise, si elle est plus que jamais marquée du sceau de l’action (entre intervention commando hyper-technologique et affrontement primaire entre lazares), semble patiner un peu dans la résolution de l’affrontement géopolitique. Le nouveau contexte marqué par un réequilibrage interne à la famille est désormais connu mais les aller-retours géographiques avec des informations temporelles assez absentes pour le lecteur ne facilitent pas la compréhension. Une carte des noms des clans en début d’album aiderait grandement à contextualiser de qui on parle car dans ces discussions stratégiques on est un peu perdu. De même, le changement de coiffure de Forever rend parfois compliquée la lecture des actions entre des soldats tous harnachés de combinaisons de storm-troopers. Le style de Michael Lark peut diviser, personnellement j’ai du mal depuis le début de la série, ce qui ne m’empêche pas de’apprécier l’excellent scénario, très sombre, froid et psychologique de Greg Rucka. Hormis cela on assiste à des assassinats violents, à l’apparition de la matriarche Carlyle, au retour du Dragon et aux incidences de la guerre sur les populations civiles.

    On attend toujours la série Amazon qui devrait propulser encore plus haut cette série dans la popularité geek et il faut reconnaître une solidité indéniable dans la progression dramatique (un peu lente….?) et des personnages forts. L’univers de Lazarus est noir, très très noir. Gageons que cette « résurrection » soit un chemin vers la lumière.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2020/07/03/lazarus-7/

    Scalparev Le 05/03/2020 à 10:47:07

    Lazarus tome 6: X+66 et tome 7: Risen.
    Le tome 6 est une transition entre deux séries de formats différents. La première série, titrée "Lazarus", est constituée de comics au format standard (24 pages mensuelles). La seconde série, titrée "Lazarus risen" (comprenez: Lazarus augmenté), est constituée de comics au format augmenté (44 pages trimestrielles) et d'une adaptation cinématographique (en projet).
    L'épisode d'intro de la série "Lazarus risen" est titré "Prelude". Il est constitué de 2 comics au format standard (voir les derniers tomes de "Lazarus 2013"). Le premier cycle de cette série est titré "Fracture" par "Image Comics" et "Risen" par "Glénat". Il est constitué de 3 comics au format augmenté. Le prochain comics de cette série est titré "Gifts of god" et le second cycle est titré "Fracture II" par "Image Comics".
    Il semble que Glénat a commis une erreur d'adaptation. Je conseille de visiter sur ce même site, les pages de la version US de "Lazarus 2013" et "Lazarus Risen" pour mieux comprendre la démarche des auteurs.
    Nota: Le résumé prend en compte les deux comics "Prélude", lesquels ne figurent pas dans le tome 7 de "Glénat".

    Karoutcho ! Le 29/10/2019 à 23:35:06

    Mais quelle idée de confier le dessin à 6 dessinateurs différents !? Incompréhensible... Ça casse complètement la dynamique de cette très bonne série. Certains dessins sont beaucoup trop éloignés de l'original. En plus d’être moches pour certains. Ça gâche tout le plaisir. Il y a des gens, durant les réunions marketing, qui prennent des décisions totalement stupides...

    Cote scénario, certains chapitres sont décevants. D'autres intéressants. Bref, très inégal.

    Je m'interroge sur le pourquoi de cet album. Le lecteur n'est-il considéré que comme un simple acheteur ? Dénué de passion et d'émotion ? Se rendent-ils compte que ces choix basés sur une logique purement mercantile occasionne des dégâts irréversibles à la série ?

    sebastien01 Le 28/07/2019 à 12:10:00

    Un sixième tome qui ne constitue pas réellement une suite au volume précédent puisqu’il vient compiler une série de six one-shot – toujours scénarisés par Greg Rucka mais illustrés cette fois-ci par six dessinateurs différents – visant à explorer l’univers de la série via des personnages ou des familles secondaires (Lazarus: X+66 2017, #1-6).

    S’ils sont globalement de bonne facture, et une fois passée la petite déception à la découverte de l’album, il est raisonnable de s’interroger sur le bien-fondé de ces one-shot. Certes, l’univers est riche et il y a matière à en développer certains de ses aspects mais pourquoi le faire sous cette forme ? L’histoire principale aurait pu aisément se poursuivre à son rythme lent habituel en intégrant ces sous-intrigues. Mais la raison est peut-être ailleurs. Il fallait probablement soulager le dessinateur attitré, Michael Lark, qui, bien qu’excellent, illustrait ces derniers temps ses épisodes à un rythme difficilement compatible avec une série à suivre.

    Ce sont donc six artistes différents, aux styles malgré tout adaptés à l’ambiance noire et réaliste de la série, qui vont tantôt illustrer, en l’an X+66, le parcours d’un soldat, d’autres lazares ou de serfs, tantôt d’une vieille connaissance de la famille Carlyle... Inévitablement, la qualité du scénario et du trait varie d’un épisode à l’autre mais l’on peut souligner la réussite en tous points du numéro #5 illustré par Bilquis Evely.

    Pour finir, on peut aussi s’interroger sur la raison qui a poussé Glénat à placer le nom de Michael Lark en couverture de ce T6 alors que celui-ci n’en dessine donc pas la moindre planche. Erreur ? Tromperie ? Au moins, l’édition VO se montrait plus respectueuse des différents artistes à l’œuvre sur ces six épisodes.

    sebastien01 Le 28/07/2019 à 12:09:44

    La suite d’une excellente série dont, chose rare et c’est à souligner, la qualité ne recule pas d’un pouce au fil des épisodes (Lazarus 2013, #22-26).

    Forever se remet doucement de sa blessure et découvre partiellement ses origines, sa jeune successeur poursuit son entrainement, leur père entre en convalescence, les serfs font de la figuration, les manœuvres familiales continuent et la guerre se poursuit par lazares interposés (soit le "génocide programmé" du titre qui force un peu le trait).
    Bref, cinq épisodes où l’on continue tranquillement de suivre nos personnages désormais bien connus, sans jamais se précipiter, ni se répéter ou s’ennuyer la moindre seconde. Au contraire, le déroulé des événements raconté par Greg Rucka apparait naturel, les idées nouvelles sont amenées avec cohérence (la médecine, les médias, le lazare monstrueux) et la lecture reste passionnante de bout en bout, bien aidée par le dessin toujours aussi magnifique de Michael Lark. En résumé, un comics qui se maintient à un haut niveau sur la durée et il est fort dommage de constater que l’on arrive déjà au bout du premier cycle.

    S’il y avait malgré tout un bémol à mentionner, il serait pour ces scènes de combats qui durent sur des pages et des pages. Certes, le lazare est un personnage destiné avant tout à être le bras armé de sa famille et, certes, la série insiste fortement sur l’aspect militaire de la société dans laquelle se déroule l’intrigue, mais il n’était probablement pas nécessaire de réserver dix pages pour un simple combat à l’épée...

    sebastien01 Le 23/06/2019 à 00:35:33

    Chaque tome de Lazarus à son sujet et, après l’ascenseur social du petit peuple dans le T2 puis un diner entre dirigeants dans le T3, voici venu dans ce quatrième tome le temps de la guerre (Lazarus 2013, #16-21).

    L’opposition, jusqu’alors relativement diplomatique, qui couvait entre les familles Carlyle et Hook dégénère en conflit armé et c’est encore à Forever que l’on va demander de mener ce combat. L’occasion d’apprécier sur le champ de bataille ses aptitudes aussi diverses qu’extraordinaires – voire surhumaines sans trop rien en dévoiler – pendant une bonne moitié des scènes. Et de donner ainsi au scénario de Greg Rucka un petit côté Metal Gear Solid pas déplaisant.

    Mais le plus intéressant est ailleurs. Il est à découvrir dans le suivi, en parallèle, des tractations qui se jouent en coulisses autour de l’état de santé du chef du clan Carlyle et des répercussions que cela pourrait avoir sur les alliances avec les autres familles. Les deux sujets sont intelligemment liés tout du long de l’histoire, même si l’on ne progresse au final toujours pas des masses sur le fond. Bref, on a toujours autant envi de découvrir la suite, d’autant plus avec ce cliffhanger totalement inattendu en dernière page.

    Le dessin de Michael Lark est toujours au top, mention spéciale pour ses scènes sous la neige.

    sebastien01 Le 23/06/2019 à 00:35:11

    La suite d’un des meilleurs comics d’anticipation du moment où le scénario et le dessin sont tout aussi excellents l’un que l’autre (Lazarus 2013, #10-15).

    Si l’on continue, par séquences, à suivre les doutes grandissants de Forever quant à ses origines, l’intrigue principale de ce troisième tome est consacrée à une réunion des familles – un "Conclave" – organisée dans le but de solder un différent autour de la défection/trahison d’un des leurs. Costumes, petits-fours et amabilités, les invités se comportent en parfaits gentlemen... du moins quand il ne s’agit pas de comploter les uns contre les autres. Finalement, l’affaire se réglera une nouvelle fois entre les lazares des familles Carlyle et Hook. Ce qui nous permettra d’apprécier durant presque un épisode entier ce charmant anachronisme qu’est le duel à l’épée alors que ceux-ci ont disparu depuis le milieu du XXe siècle.

    Au-delà de cet aspect, si le personnage de Forever gagne au fil des épisodes un peu en épaisseur et en humanité, il faut tout de même souligner que l’on progresse encore très lentement dans l’évolution de sa personnalité. A ce rythme-là, il faudra bien à Greg Rucka une centaine d’épisodes avant qu’elle n’ouvre les yeux et ne prenne conscience du monde qui l’entoure.

    Quant au dessin, mon avis est inchangé par rapport aux deux précédents tomes : le travail de Michael Lark est remarquable.

    sebastien01 Le 26/05/2019 à 09:55:14

    Si l’on continue dans ce deuxième tome à suivre les pas et les doutes grandissants de Forever, le scénario de Greg Rucka se focalise désormais sur deux autres aspects précisés ci-après. Avec pour conséquence de s’éloigner quelque peu du cœur du sujet et ne faire guère progresser l’intrigue (Lazarus 2013, #5-9).

    Il y a tout d’abord l’enfance de Forever. Éduquée tel un robot, voire conditionnée, elle grandit sans amour ni attache, loin de sa famille et ne peut compter que sur la complicité de son entraineur lors de rares moments de partage. Si l’on devine l’intérêt futur de ces scènes – et leur impact sur la jeune fille devenue adulte –, il est dommage d’avoir limité celles-ci aux seules séances de maniement du sabre. C’est oublier que l’empathie du lecteur serait d’autant plus importante pour une véritable enfant que pour une simple humanoïde...

    La seconde aparté concerne un groupe de citoyens de seconde classe, devenus migrants, qui se rendent à l’"ascension" proposé par la famille Carlyle. Sorte de job dating et d’ascenseur social à grande échelle, leurs destins vont inéluctablement se mêler à celui de Forever. Si les personnages sont peu intéressants, il s’agit malgré tout d’une bonne manière de détailler l’univers dans lequel se déroule l’histoire.

    Le dessin est toujours assuré par Michael Lark et, pour ne pas se répéter, disons simplement qu’il est très très réussi.

    sebastien01 Le 26/05/2019 à 09:54:49

    Dans un futur proche, il n’y a plus ni Etats ni gouvernements. Le monde est divisé en territoires sur lesquels règnent sans partage de puissantes familles. A l’instar d’une société pyramidale poussée à l’extrême ou d’une dictature moyenâgeuse, on retrouve aux étages inférieurs une petite classe moyenne (appelés "serfs") et une abondante classe ouvrière (appelés "déchets"). L’histoire racontée par Greg Rucka nous fait suivre la famille Carlyle et se concentre en particulier sur le personnage de Forever. Tour à tour commando, assassin, émissaire ou garde du corps, la jeune femme surentrainée obéit sans sourciller aux ordres de son paternel et joue froidement son rôle de Lazare.

    L’attention du lecteur est cependant rapidement captivée par les dissentions internes à la famille mais surtout par la personnalité de Forever, moins monolithique, antipathique et insensible qu’annoncée. Qui plus est, l’univers dystopique imaginé par Rucka est incroyablement riche et réaliste. L’histoire s’annonce passionnante à suivre et il s’agit assurément du meilleur titre de Glénat Comics. Il faudra cependant être patient car ce premier tome laisse une foule de questions en suspens, d’autant plus que les révélations sont rares (Lazarus 2013, #1-4).

    Si l’histoire est aussi captivante, cela est dû en grande partie au dessin de Michael Lark. Son trait est réaliste, brut, très encré – assez proche de ce que fait Alex Maleev. On le sent autant à l’aide sur les personnages que sur les décors et cela contribue à créer une atmosphère sombre et dure propice au récit. Pour les amateurs, il faut lire les précédentes collaborations de Rucka & Lark sur Gotham Central ou Daredevil.

    Shaddam4 Le 26/11/2018 à 18:22:19

    L'intervention de Forever dans la guerre a été décisive mais a entraîné son incapacité à être déployée sur d'autres opérations et surtout a provoqué une rupture psychologique suite à l'arrêt des prises des drogues qui la conditionnaient. Alors que Johanna dirige les opérations d'une main de fer, l'équilibre entre les familles est bouleversé par la destruction de certaines et l'utilisation des lazares des alliés de Carlyle dans la guerre.

    On sent qu'un cycle s'achève et que la nouvelles situation mise en place au cours de ces cinq volumes permettra de développer la suite avec des personnages plus stables. Ce que je reprochais en début de série est donc partiellement résolu et ce monde en guerre est plus passionnant que jamais avec des interactions inter et intra familiales, le chaos psychologique du personnage principal et cette SF d'anticipation tout à fait géniale. Le parallèle avec Game of Thrones est plus pertinent que jamais, ces séries incarnant notre époque au pessimiste très ancré. La suite mettra-t'elle un peu de légèreté dans l'intrigue? Rien n'est moins sur vue la conclusion barbare de ce tome...

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/11/24/sushi-et-baggles-5

    Shaddam4 Le 13/11/2018 à 13:36:57

    Ce second tome intercale l'enfance d'Eve faite d'entrainement très intense et d'amour filial avec son maître de combat et le projet d'attentat d'un groupe de déchets. On sort un peu de l'univers des Familles pour découvrir comment vivent (ou pas) les humains dans ce monde sauvage. La structure du récit et de la rupture attendue se mets en place, nous faisant comprendre progressivement que toute rébellion est vouée à l'échec. Hormis si un Lazare décide de rompre le ban... Vraiment dommage qu'un artiste plus esthétique ne soit pas aux dessins, la lecture donne vraiment très envie d'une adaptation ciné à laquelle cette histoire se prête absolument.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/10/28/sushi-et-baggles-2

    Shaddam4 Le 13/11/2018 à 13:34:28

    Beaucoup entendu parler de cette série du scénariste tendance Greg Rucka, du coup je me lance: dystopie absolue où le monde est régi par des grandes familles à la tête de multinationales, qui font la loi, la police, la guerre, bref, dirigent le monde en un système proche de la féodalité. Les humains sont répartis en trois classes: les familiers (la famille élargie), les serfs, travaillant pour la Famille, et les déchets qui sont considérés comme inutiles. Ce monde est absolument terrible et le scénariste nous fait suivre les pas du Lazare de la famille Carlyle, Eve, machine de guerre invincible formée dès son plus jeune age pour assurer la sécurité de la famille. Impitoyable, elle est néanmoins humaine et s'interroge sur sa place dans la famille et sur l'amour supposé de ce père génétique, le patriarche de la Famille qui entretien une relations ambiguë avec elle.

    Si les dessins sont assez difficiles pour moi (style américain fait de numérique très noir et pas toujours précis (style que pouvait avoir Bec à une époque et qui allie photoréalisme et aspect très froid), je reconnais que ce monde sorti des cauchemars de Renato Jones est passionnant en même temps que terriblement dur. On part sur un format long dans le style des séries US et l'histoire (très axée sur la psychologie des personnages) et l'univers justifient de poursuivre la lecture.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/10/28/sushi-et-baggles-2

    thieuthieu79 Le 02/11/2018 à 18:29:32

    Un poil déçu par ce 6ème tome de transition qui complète l'univers mais qui n'est pas la suite directe. Chacun des 6 chapitres a été réalisé par des auteurs différents. Cet album est donc moins intéressant et moins prenant que ses prédécesseurs tout comme certains dessins vraiment grossiers.
    A mon avis cet album sert uniquement à faire patienter les lecteurs car les auteurs, avec le succès de Lazarus, sont pris sur d'autres séries (notamment Black Magik). J'espère qu'ils vont rapidement se remettre sur cette série phare et continuer de nous livrer des albums de qualité. C'est dommage de voir de plus en plus de belles séries s'estomper et s'arrêter, à cause des auteurs qui veulent se lancer sur pleins de projets différents, et qui du coup n'en aboutissent aucun...
    J'attends de voir ce que l'avenir nous réservera...

    biggyjay Le 24/08/2018 à 19:49:16

    Excellente fin de cycle !
    Le développement et la progression de l’histoire et des personnages sont très bons. Les personnages sont toujours aussi bien écrits et Forever est toujours aussi attachante.
    Malgré un style bien à lui, Michael Lark réalise une bonne adéquation avec le scénario de Rucka. Même si les cases ne sont pas parfaites, la narration et l’ambiance sont d’un très bon niveau.
    Cette série ne m’a pas encore déçu depuis le 1er tome !

    mome Le 18/07/2018 à 14:35:11

    Le 6 n'est pas une suite directe, mais ce n'est pas non plus un spin-off. Il s'inscrit temporellement dans la continuité des tomes précédents et permet de découvrir l'action d'autres "Lazare" durant la guerre en-cours. En dehors d'étoffer l'univers en ne restant pas centré sur une famille (ce qui est plutôt une bonne chose compte tenu de sa richesse et du nombre de personnages potentiellement intéressants), c'est très bien maîtrisé sur le plan scénaristique en particulier parce que l'auteur a choisi de ne pas présenter des épisodes anodins. Certains événements décrit devraient avoir des conséquences sur la suite des opérations.

    Sur le plan du dessin, ce n'est pas Lark mais cela reste de bonne tenue et dans le ton graphique (le coloriste reste le même).
    7/10

    snip Le 15/07/2018 à 23:22:27

    Quelle déception. Voilà une série que j'aime beaucoup pour son rythme, la qualité des dessins, la qualité du scénario : le tout étant homogène sur les 5 tomes précédents.
    Et là, quelle claque, l'entrée dans le tome 6 se fait avec un dessin vraiment médiocre : les visages sont méconnaissables, des cases sont ratées, c'est un job de débutant... tellement éloigné de ce que Lark a pu donner avant ! Pourquoi laisser à d'autres le dessin ?? Le chapitre 3 est tout aussi mauvais en qualité graphique. Le scénario rempli des pages et pourtant perd en épaisseur. Les chapitre 2, 5 et 6 sortent un peu du lot.
    Avec ce tome 6 on sort de la série culte pour retomber dans la séries ayant eu (au moins) un accident.

    Fantasy30 Le 23/06/2018 à 12:03:22

    Un tome de transition? Non! Un spinoff.....
    Fan de cette série (Voir commentaire précédent) je ne peux être que déçu...
    6 historiettes de qualité très très inégale au niveau du dessin (6 dessinateurs différents) et un scénariste pas toujours inspiré....
    Bref ça sent la commande imposée qui permet à l'éditeur de sortir un tome 6 qui n'en est pas un!...
    Mais où est passé Michael Lark????
    Espérons que la véritable suite de la saga soit pour bientôt....
    Agréable tout au plus car l'univers Lazarus est respecté, mais vraiment sans plus.
    6/10.

    meuillot Le 13/07/2017 à 13:09:52

    La fin du tome précédent avait laissé notre héroïne dans une bien mauvaise posture. Dans ce nouveau Lazarus, on la retrouve fort logiquement sur une table d’opération, en piteux état, mais vivante. Bien que rapide, sa capacité de régénération ne lui permettra pas d’être sur pied avant deux mois. Il en faudra peut-être moins connaissant la rage et la pugnacité dont fait preuve Eve. Mais cet épisode qu’est Génocide programmé sera surtout l’occasion pour elle de découvrir une donnée importante la concernant. Et qui devrait, vraisemblablement, l’aider à enfin prendre le contrôle, ce qui serait une première pour un Lazare…

    Le personnage qui va être au centre de ces nouvelle révélations est Johanna. Désormais Chef de la Famille Carlyle par intérim, bien que l’état de santé de son père évolue favorablement, elle aura fort à faire pour assumer cette fonction. D’abord pour gérer le conflit de guerre l’opposant à la Famille Hock. Elle va montrer tout son intelligence tactique pour déjouer les plans de Jakob Hock, et devra faire face à des choix lourds de conséquences. Mais c’est surtout la régence de sa propre famille qui va lui donner un tout autre visage.

    Les derniers épisodes montraient une femme prête à tout pour que son père lui donne l’affection et l’importance qu’elle recherchait auprès de lui. Ses frères ne faisant pas le poids, seul subsistait ce sentiment de jalousie auprès de Forever, laquelle obtenait toutes les louanges de leur paternel. Jusqu’à ce qu’elle sert dans ses bras cette petite fille de onze ans. Y a-t-il eu un effet madeleine de Proust ? Toujours est-il que juste après, ruisselleront quelques larmes le long de ses joues lorsqu’elle verra sa sœur affaiblie et mutilée.

    Les intentions de Johanna sont très ambiguës. Le fait est que pour l’instant, elle veut démontrer à son père qu’elle est à même de lui succéder. Mais elle ira jusqu’à prendre des risques pour sa propre vie en dévoilant à sa sœur-Lazare sa véritable origine. Est-ce par stratégie ou par pure sincérité ? Certainement un peu des deux. Une choses est sûre, quelque soit l’issue de leur relation, Forever ne pourra oublier cette confidence, à moins qu’on le lui impose.

    Toutes les qualités scénaristiques de Greg Rucka relatées maintes fois par la Rédaction ne faiblissent en aucun cas. Ce cinquième tome de Lazarus, pour l’édition française, continue de nous happer tant par son intrigue que par le rendu graphique. En effet, Michael Lark est toujours aussi généreux avec toutes ces planches illustrées. On pense notamment à ces deux scènes d’affrontements d’une grande intensité en début et fin d’histoire, et qui s’ajoutent à celles déjà très marquantes depuis le début de la série. À noter cette évolution dans l’expression faciale des personnages ou cette impression d’avoir enfin des protagonistes montrant leurs émotions.

    biggyjay Le 16/06/2017 à 20:51:32

    Encore une très bonne lecture que ce 4ème tome.
    Une gestion de l'action et du suspense au top, une ambiance et des personnages travaillés, une héroïne charismatique et un cliffhanger de dingue font de cet album une franche réussite.
    Comme certains l'ont dit avant moi, cette série est un must et sa qualité devance bien des productions mainstream !
    Bravo et merci à Glénat Comics de nous l'avoir proposé.

    thieuthieu79 Le 13/05/2017 à 10:38:33

    Cet avis concerne les 5 premiers tomes.
    Les auteurs ont mis en place un univers fantastique particulièrement bien détaillé servi par un scénario millimétré, riche en rebondissements et digne d'une série télé américaine. Les multiples scènes d'action se mélangent et s'imbriquent parfaitement aux scènes plus calmes mais indispensables pour faire évoluer l'histoire. Tous les protagonistes ont une personnalité bien particulière ce qui rend le récit authentique. Résultat, on ne s'ennuie pas un seul instant.
    Niveau dessin, la fluidité des mouvements et la précision des expressions de visages rend l'ensemble vivant. La noirceur des traits et des couleurs renforcent la violence de cet univers lourd et oppressent. Le découpage est quasi cinématographique et rend la lecture très attractive et accrocheuse, si bien qu'on ne peut pas s’arrêter de lire les albums les uns après les autres.
    Une très grande série qui a un très bel avenir devant elle et dont j'attend la suite avec impatiente.

    Fantasy30 Le 23/04/2017 à 18:00:22

    Avis pour les 5 tomes:
    Un univers fantastique servi par un scénario millimétré en béton armé et des dessins qui épousent et mettent parfaitement en valeur cet univers sombre...
    Fan de Comics ou pas, cette bd possède tous les ingrédients d'une série culte! On ne s'ennuie pas un seul instant et le découpage est quasi cinématographique. Indispensable...
    Pour une meilleure lisibilité des alliances et des antagonismes, je conseillerai juste à l'éditeur d'insérer une "planisphère" au début du prochain tome avec les découpages territoriaux par famille (merci à celui qui l'a postée dans le forum récupérée avec la version Deluxe US et que je viens de découvrir ^_^). 10/10

    biggyjay Le 29/03/2017 à 13:23:04

    Excellent album !
    Le duo Rucka / Lark fait encore des étincelles. Le scénario est maîtrisé du début à la fin et les personnages sont très travaillés. Forever est de plus en plus torturée dans un contexte qui voit la pression grimper aussi entre les familles. Excellent travail.
    Côté graphique, l'ambiance et les décors sont les gros points forts de la série. Le dessin de Lark et les couleurs collent parfaitement à cette série avec ses côtés clairs d'autres plus sombres.
    Je cours lire la suite.

    Urbanscarface49 Le 12/07/2016 à 10:26:07

    Lazarus est définitivement l'une des séries les plus réussi en tant que Ongoing series US.
    Sans vous spoliez, dites vous que la qualité est toujours aussi bonne au niveau du dessin et que le scénario nous réservé quelque beaux rebondissement, en revanche l'univers et lui même n'est beaucoup plus approfondi.

    Tome à lire absolument et série indispensable que vous soyez amateurs de comics ou non.

    meuillot Le 27/05/2016 à 15:13:14

    Six mois après la parution du 3e chapitre, c’est avec ce nouvel épisode, intitulé Poison, que revient Lazarus. Greg Rucka et Michael Lark nous entraînent cette fois dans deux univers distincts : les conflits d’intérêt entre puissantes familles d’un coté, le terrain & ses violentes querelles de l’autre. Chaque tome de Lazarus, délivrant de précieuses informations, celui-ci ne déroge pas à la règle. Prenant.

    La suite de mon avis ici : http://www.comixtrip.fr/bibliotheque/lazarus-4/

    madmix83 Le 17/05/2016 à 12:56:27

    Malgré un début un peu lent et une fin qui me laisse assez perplexe, un très bon tome de cette superbe série !!

    snip Le 31/03/2016 à 13:50:08

    J'ai beaucoup aimé la série jusqu'ici et le tome 3 monte encore en puissance. Le monde anticipé ici possède beaucoup d'éléments "plausibles" sur les dérives possibles de notre réalité. Les personnages sont nombreux et intéressants, même les perso secondaires sont assez fouillés. L'évolution de l’héroïne est très bien menée. Des éléments ont pu me faire penser à des choses actuelles comme l'univers de hunger games ou des éléments de lutte de pouvoir familiales type game of thrones. Finalement mon principal coup de coeur ira peut-être au dessin que je trouve remarquable. Il a une capacité à afficher toute une palette d'émotions sur les visages avec un dessin qui reste apparemment approximatif mais qui fonctionne à merveille. Beaucoup d'esthétique et sans doutes de technique (l'école MARVEL), mais quelle réussite et quel plaisir à lire !

    meuillot Le 03/03/2016 à 12:27:00

    Avis pour ces 3 premiers tomes de Lazarus : une série au monde dystopique et rondement menée par ses auteurs :

    http://www.comixtrip.fr/bibliotheque/lazarus/

    paulin89 Le 19/02/2016 à 16:03:37

    une intrigue super sympa qui se découpe en chapitre et qui se laisse lire toute seule sans accro. Un dessin très beau, très fin qui permet de mettre en valeur encore d'avantage le scénario. A lire sans hésitation!!!

    Urbanscarface49 Le 21/12/2015 à 16:33:39

    Avec ce troisième tome, l'univers de Lazarus s'enrichit de plus en plus, que ce soit au niveau du monde en lui-même, les relations entre les personnages, les intrigues mise en place, les différences sociales, la mondanité de ce monde néocapitaliste.
    Le dessin et la mise en scène de Michael Lark sont toujours aussi bon, et l'intrigue principale s'accélère de plus en plus pour se clore sur un coup de théâtre sonnant le glas d'un conflit qui changera à jamais cet univers.

    Tome et série indispensable, que ce soit pour les amateurs de comics ou les néophytes.

    biggyjay Le 14/12/2015 à 23:09:47

    On en découvre un peu plus cette fois au sujet du monde environnant Forever et des procédés de fonctionnement de celui-ci. La tournure que prend cette histoire est prenante même si elle est cette fois moins centrée sur Forever. Le dessin de Lark fonctionne toujours aussi bien avec la série et son contexte.
    Très bon bouquin et très belle réussite !

    madmix83 Le 30/11/2015 à 15:48:11

    Après un tome 2 un peu en deçà du 1er, je suis satisfait par ce 3ème tome qui ouvre magistralement les récits à venir vers quelque chose d'encore plus grand !
    Si ce tome est plutôt avare en action, le combat final, lui, envoie du lourd comme disent les jeunes :)

    Urbanscarface49 Le 11/09/2015 à 00:55:55

    La nouvelle série de Greg Rucka (Whiteout ; Queen & Country), qui fut l'objet d'un véritable phénomène aux USA revient pour un deuxième tome. Verdict ?
    Le principal intérêt de ce nouveau tome est le développement de son système de caste dans son univers.
    Quant au reste, c'est toujours aussi bon.
    Le scénario, le dessin, les combats, les scènes d'action, les personnages.

    Lazarus reste une excellente surprise et est réussi à tout les niveaux

    Urbanscarface49 Le 15/07/2015 à 22:23:09

    Le célèbre Greg Rucka, auteur de nombreux récits licenciés chez Marvel et DC, ainsi que certaines créations originales, telles que Whiteout, Felon, et l'excellent dessinateur Michael Lark, co-auteur de Scene of Crime et dessinateur de Gotham Central, reviennent pour une nouvelle série Image.
    Lazarus nous entraine dans un univers d'anticipation néo-capitaliste où une poignée de familles dirige le monde politico-économique, et même le monde tout court.
    Ce premier tome contient les 4 premiers numéros de la série, qui constituent un excellent début de série (ce qui n'est pas tâche faicile) avec une entrée dans l'univers fluide, des personnages ayant dès le départ un certain charisme et une intrigue très bien maitrisé qui nous talonne jusqu'au bout et engendre une impatience insoutenable du second tome.
    Un excellent début de série qui à de bonnes chances de devenir culte.
    Indispensable pour les amateurs de comics.

    artbd Le 19/05/2015 à 21:41:55

    Une intrigue prenante dès les 1ères pages, des personnages qui prennent place rapidement et efficacement, un dessin de Michael Lark sombre à souhait (jetez un oeil sur certaines des planches sur 2D Galleries, c'est à tomber par terre), voilà qui préfigure un beau succès en France après un carton aux Etats-Unis.

    madmix83 Le 17/05/2015 à 17:20:42

    Quand on aime les dessins de Michael Lark, la moitié du chemin est faite ! Ajoutez à cela une intrigue passionnante de Greg Rucka et vous obtenez une très bonne BD polar/fantastique !

    biggyjay Le 03/05/2015 à 22:02:12

    Topissime ! Un récit dense qui ne dit pas tout, une intrigue prenante et rythmée. Le tout servi par une dessin assez "dark" mais vraiment sympa. Foncez !