Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    ancollin Le 07/12/2017 à 18:18:11

    Début de l'excellente histoire "MAXIMUM CARNAGE" qui est pour moi l'une des meilleures histoires de Spider-Man. On y retrouve tout d'abord Carnage s'échappe de l'asile et s'alliant avec Shriek et le double sans âme (de spider-man) apparaitrons dans l'épisode 2 Cape et Epée.

    br1 Le 17/04/2007 à 01:53:16

    Tout à fait d'accord. Les 4 ou 5 premiers numéros de cette série sont
    époustouflants. Moi qui lisais toute sorte de comics gamin, j'avais suivi
    l'évolution des dessins, et forcément, plus les dessins prenaient de l'ampleur,
    se modernisaient, plus j'aimais. C'est ce qui se passait petit à petit dans les
    séries à rallonge comme Strange et Titans, que j'adorais. Tout petit, c'était les
    bulles qui m'emmerdaient le plus, et puis ça bougeait pas beaucoup toutes ces
    histoires. On était dans un mode de récit encore très classique. Et je me
    souviens d'avoir pensé qu'avec cette série de 4 albums Todd Mc Farlane avait
    élevé le niveau à un endroit beaucoup plus intéressant (en tous cas qui
    m'intéressait plus, moi) ou plutôt plus prenant, plus troublant et plus puissant
    que le reste. Ceux l'ont lu à cette même époque comprendront ce que je veux
    dire. La violence est palpable, le climat sombre, opaque, à la fois oppressant
    et très riche visuellement, il y a une noirceur et en même temps des volutes
    très raffinées dans les mouvements, dans les détails, les plissures, les plaies,
    quelque chose de vraiment élégant dans mon souvenir, et il y a un désespoir
    profond. Tout cela n'est pas dans les habitudes des comics de cette époque
    (même si cette tendance est apparue petit à petit ici et là), on sentait à
    plusieurs moments que merde, Spiderman il allait y passer, il pouvait mourir,
    et il finissait gravement blessé ! C'était incroyable de découvrir ça gamin,
    c'était rare, la toute-puissance du super-héros était bafouée, foulée au pied. Et
    puis au moment de l'adolescence cette vision m'a semblé bien plus juste que
    l'héroïsme conventionnel des comics. Les ados pensent à la mort, s'identifient
    aux principes de destruction et traversent des époques de deuils. Je
    recommande absolument cette lecture qui offre un exemple magnifique du
    basculement de toute une époque du récit (qui s'est sentie ensuite jusque
    dans le cinéma, y compris en France) : une plongée dans une forme de récit
    sensitif, sensoriel, archaique, une violence brute, dénuée de sens, est
    annoncée dans ce récit visionnaire, on ne sait pas d'où ça vient, ça tranche
    terriblement du reste. Et en même temps, cette violence est annonciatrice
    d'un grand danger, celui de l'obscurantisme, du nihilisme, de la perte de toute
    valeur. Cette forme, à sa manière, sentait venir un certain nombre de
    catastrophes qui se sont produites ensuite dans notre monde réel. Voilà tout
    ce qu'une oeuvre peut avoir comme intérêt. Pour moi, cette série a donné
    naissance à un plaisir que j'ai retrouvé ensuite intact, dans Sin City de Frank
    Miller, avec la même fascination et le même léger dégoût devant la démesure
    et la gratuité de la violence représentée. Akira aussi a incarné ce
    basculement, mais dans une autre culture qui n'a rien à voir avec l'héroïsme à
    l'américaine. Mais tout se paye, et finalement, sans doute à cause de sa
    radicalité, l'audace des premiers albums de Spiderman s'est assagie par la
    suite, à partir du 6 ou 7ème épisode (je ne sais plus, je crois même qu'ils ont
    changé de dessinateur, plus efficace), et là c'est devenu cent fois moins
    intéressant. Mais il faut absolument lire les premiers albumes et penser à ce
    que ces albums pouvaient pressentir, 10 ans plus tôt, de tout ce qui s'est
    passé ensuite.
    br1

    galactus Le 03/08/2004 à 20:06:29

    La note se justifie de par le talent de McFarlane, son coup de crayon certes qui
    a fait prendre à notre spidey une envergure tout autre (les yeux, les
    mouvements /musculature/la texture de la toile), mais surtout de part le
    scénario, bien que la première histoire avec le lézard précède le meilleur avec
    une chasse au Bigfoot dans les opus 2 et 3 qui s'avère géniaux!!!

    Les albums de 1 à 4 = le meilleur de spider-man tout simplement.