Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    Megalito34 Le 18/06/2019 à 20:43:02

    Ce recueil d'histoires sombres et cruelles, est servi par un dessin extraordinaire, Jean-Claude Gal à la plume! C'est de l'art ou ça y ressemble! Je suis resté en arrêt sur certaines planches...

    amra Le 28/07/2012 à 17:37:43

    A une époque où l'art semble se confondre avec cette confiserie de poubelle pour super marché de laquelle est banni l'originalité du trait et l'ampleur romanesque, il est toujours intéressant de revenir sur le seul cas unique dans le genre où un artiste français comme Gal égalait les meilleurs américains des comics. Quelque part entre l'art de la statuaire d'un Buscema, la précision picturale d'un John Bolton, la grandeur picaresque d'un Formosa, la splendeur mystique d'un Gerard Basiletti et la finesse du trait d'un Barry Windsor Smith, on trouvera donc un certain Jean-Claude Gal, immense artiste fauché dans la fine fleur de l'âge. Né en 1942 et mort en 1994 de façon trop prématurée, Jean-Claude a inventé cette Sword and Sorcery si française qu'on ne retouve plus du tout d'ailleurs. Et inutile de dire que sans lui le rêve Metal Hurlant aurait sans doute été un peu fade. Grand ami des maîtres que sont Druillet, Jodorowsky et Dionnet, Gal a pourtant son style bien a lui, parce que ne se redevant de lui-même et à aucn modèle sur lequel il aurait pompé grassement comme ça se fait un peu trop souvent de nos jours où le tout est d'être le premier à l'arrivée peu importe les moyens utilisés.
    Partant d'un moyen-âge décadent pour glisser subtilement dans un âge de bronze indéterminé, la saga d'Arn est un peu le diamant noir de la bande-dessinnée française. Conspué par des jaloux, disputé par des générations de soi-disant spécialistes du genre qui ne comprennent rien au genre, Gal est une odyssée à lui tout seul. Son Arn c'est un peu comme une brutale plongée dans le pays de tous les absolus, où dans des déserts profonds vivotent des temples maudits, des sorcières qui comblent l'ennui par le sacrificiel, des fantômes qui vous disputent quelques morceaux d'un temps qui se dilue sur une éternité anonyme où enfin tout devient possible, tout prend plus d'importance pour, une fois arrivés à la dernière case de ce palimpseste utopique anachronique et merveilleux, nous donner une douce envie de pleurer.
    Jamais dans l'histoire de la bande dessinnée française un artiste ne sera allé aussi loin dans la précision du trait et la flamboyance de décors qui font exploser les cadres, un peu comme le fera un Druillet mais de façon moins géocentrique. On ressort d'une telle lecture comblé, ainsi que touché par cette singulière mélancolie, et juste ce sentiment diffus pour nous amener à dire, avec Druillet et son pote Dionnet, "tu nous manques, Jean-Claude, tu nous manques beaucoup".
    Jean-Claude Gal est probablement l'artiste qui même encore aujourd'hui nous envient les américains, un artiste qui nous rappelle l'élan vital qui permis à un écrivain comme Robert Ervin Howard de donner un jour naissance à un certain Conan. Il en a la même vivacité, la même authenticité, et ce parfum d'interdit des paradis noirs et artificiels devant lequel même Beaudelaire se serait agenouillé.
    N'hésitez pas un seul instant à vous ofrir ce moment unique de la bande dessinnée, une bande dessinée qui est comme une respiration, à des kilomètres de tout axe idéologique et de tout dessein sectaire. Bref, l'élan artistique libre et spontanné, qui s'inscrit autant dans l'art que dans une certaine mystique du récit radicale, magique et noir.
    Le chef d'oeuvre du genre, jamais égalé en France ou ailleurs...

    BIBI37 Le 31/10/2009 à 15:38:58

    Sincerement on aime ou on deteste.
    Personnellement j'ai détesté car les dessins en noir et blanc mis à part il n'y a rien dans cette bédé pour nous tenir en haleine ni scénario ni suspensni ...rien
    Lire une BD ce n'estpas seulement regarder de belles images alors je déconseille
    3/10

    voltaire Le 24/07/2008 à 14:39:01

    A cette époque, Métal Hurlant était LA revue. Le tout meilleur de la BD francophone, voire européenne, de SF s'y était donné RV avec quelques guest stars US.
    La qualité fut telle que des films d'animation en furent tirés ainsi qu'un comics américain qui porta le titre de Heavy Metal (plus de 100 n° !).

    Parmi toutes ces séries, un recueil de courtes nouvelles noires et souvent désespérées : Les armées du Conquérant.
    Un dessin d'une qualité inégalée. Des paysages, des décors et des costumes exceptionnels au services de courtes histoire d'une vraie densité.

    philig Le 21/11/2006 à 17:38:12

    sur un scenario de dionnet (metal hurlant)
    les armées du conquerant permet a gal de nous faire la démonstration éclatante de sa maitrise du noir et blanc
    chaque page est spendide avec beaucoup de recherche autour du découpage
    nous sommes en 1977

    paru dans mtal hurlant dans un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaitre, ça n'a pas pris une ride
    c'est violent,pessimiste,etc
    mais c'est indispensable