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Les derniers avis postés sur les albums de la série

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    Erik67 Le 02/09/2020 à 01:10:02

    Voilà un auteur que j'aime bien et qui réussit toujours à trouver des scénarios surprenants. En l'occurrence, il se base sur une publicité organisée par l'office du tourisme australien pour un concours auquel ont participé plus de 330 000 candidats de 196 pays. Les heureux gagnants devaient découvrir pendant leur séjour vacances-travail une nature emblématique pour une expérience de rêve.

    En 2013, c'était d'ailleurs une française qui a décroché le meilleur job du monde pour garder la grande barrière de corail. Bref, l'auteur s'ancre véritablement dans les réalités d'aujourd'hui. Cela fait du bien pour ceux qui aiment la modernité ou ceux qui en ont marre des vieilleries poussiéreuses qui donnent de l'asthme.

    Bien entendu, les critiques fusent comme celle concernant la télé-réalité où les jeunes espèrent gagner la célébrité sans rien foutre ou la mériter. Tout semble aller dans le meilleur des mondes pour notre jeune héros en proie à un traumatisme du passé venu le hanter. Des choses mystérieuses se passent sur cette île totalement isolée du reste du monde.

    Le suspense est d'ailleurs à son comble à la fin du premier tome et il ira en grandissant dans le second même si le final sera un peu décevant car nous n'aurons pas toutes les réponses. On flirte un peu avec le fantastique dans une atmosphère mi-horrifique. On va sortir des schémas classiques et cela étonne forcément.

    C'est diablement bien mis en scène avec un dessin réaliste à la hauteur. Je suis en tout cas preneur de ce thriller se basant sur une réalité. Le meilleur job du monde, vraiment ?

    Rody Sansei Le 06/12/2015 à 18:54:23

    Une série de Christophe Bec (auteur que j'appréciais vraiment beaucoup, fut un temps), qui commence bien, mais qui tire en longueur et qui perd trop vite en suspense au fur et à mesure que l'intrigue avance. À tel point que ce dernier tome est quasi anecdotique (sans être mauvais). Vraiment dommage, car tout aurait dû tenir sur 2 tomes. C'est le même problème que dans d'autres séries de l'auteur, AMHA : la fin est trop souvent trop terne.

    Nalojolan Le 13/05/2015 à 20:52:09

    Enfin la révélation ! Le dessin ‘au scalpel’ de Fonteriz/Facio est toujours aussi efficace et le basculement facile vers le fantastique (qu’on pouvait craindre) n’a pas lieu. Revers de la médaille : les ‘visions’ de Doug n’arrivent pas à être justifiées et se retrouvent totalement inutiles. Elles auraient pu l’aider à combattre et tenter une fuite ? Au lieu de ça, le protagoniste principal de l’histoire reste allongé sur un lit durant 50 planches. Difficile pour le lecteur de s’attacher encore à lui !
    On suit donc l’intervention des autorités sur l’île et on re-découvre la relation malsaine qui lie le chef nazi à sa femme. Ce sujet passionnant (notamment grâce au premier flash-back dans le camp) constitue le véritable intérêt de l’album. Il n’est toutefois qu’effleuré, faute de place (mais pourquoi perdre 4 planches à nous faire croire à un cauchemar ?!).
    Ce Meilleur Job du Monde se termine avec l’impression d’être passé à côté de quelque chose. De quoi nous a parlé Bec ? D’une jeunesse prête à tout pour le fric ? De la force de l’Amour dans un couple maudit ? Des fantômes ? Des chiens ?! Des femmes aux super pouvoirs ?! Et Doug dans tout ça ?! On le perd ! A notre grand regret.

    Bourbix Le 02/02/2015 à 10:20:55

    Un album qui fait sombrer dans la facilité scénaristique une histoire à l'origine plaisante. Le fantastique est là pour meubler un dénouement joué d'avance pour les habitués de C. BEC. Un dessin sympathique cependant, et quelques frissons. Mais le dénouement est trop léger, et le passage en rêve/flashback de notre héros et très exagérément long. De la pagination gratuite, voire honteuse selon moi.
    Correct, sans plus.

    Nalojolan Le 03/10/2014 à 15:10:17

    Christophe Bec sans monstres, sans fin du monde et sans 150 protagonistes, ça donne ça : une histoire originale avec un héros humain (qui a besoin de se masturber de temps en temps) et attachant.
    Le rythme est bon et l'ambiance est oppressante quand il le faut.
    La fin de ce tome 2 laisse le héros en très fâcheuse posture et on se demande vraiment comment il va s'en sortir. Les 'visions' qu'il a eu sont-elles un prélude à un basculement dans le fantastique ? Si tel est le cas, espérons que cette série au dessin soigné saura garder sa crédibilité et sa cohérence.

    mome Le 19/02/2012 à 00:08:30

    Christophe Bec s’inspire du fait divers qui est arrivé en 2009, le gouvernement Australien offrant un emploi de gardien pour 6 mois sur une île « paradisiaque ». Nous allons suivre l’heureux gagnant (un « fils à papa » pas spécialement dans le besoin, content d’échapper à l’emprise de son père) pour qui la principale crainte dans ce job intérimaire va être … la solitude. Lors de la visite de son futur lieu de travail, il va effectivement découvrir un lieu paradisiaque dans lequel les propriétaires ont construit une villa de luxe. Une seule « bizarrerie », la propriétaire des lieux lui interdit d’ouvrir une porte.

    Un album intéressant sur le plan du scénario et de la narration. On retrouve tout le talent du Christophe Bec capable d'amener le lecteur là où il le veut, de manière cinématographique. L'histoire est un peu lente à démarrer. Mais notre jeune héros va ensuite être confronté à des phénomènes étranges dont l’apparition d’un chien. Cette arrivée, l’ennui et l’excitation liée à l’interdit vont amener le jeune homme à s’interroger et mener des recherches qui vont rendre l’endroit beaucoup moins attrayant. La montée de la tension est parfaitement maîtrisée, ce mélange entre fantastique et thriller plutôt réussi et bien sûr, l’auteur ne dévoile rien de ses intentions.

    La déception pour moi se situe au niveau du dessin. Je le trouve trop lisse, trop aseptisé, n'illustrant pas correctement la tension qui envahit progressivement le récit.
    Je n’ai pas grand-chose à lui reprocher techniquement, c’est vraiment une affaire de ressenti. Il m’est arrivé de lire des histoires dont le dessin de prime abord ne me convenait pas pour ensuite ne pas concevoir l’histoire illustrée autrement. Eh bien là c’est l’inverse, je trouve vraiment que le dessin ne correspond pas à l’ambiance du récit, qu’il ne créé pas d’atmosphère. Au contraire, il affadit le propos.

    L’ensemble reste suffisamment cohérent pour être lu mais je suis vraiment ressorti avec une déception compte tenu du potentiel du scénario. Je continuerai pour ce dernier et l'art du suspens de Christophe Bec.