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Les derniers avis postés sur les albums de la série

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    sebastien01 Le 04/08/2019 à 10:14:23

    Dans ce quatrième et dernier Deluxe, la série renoue avec des considérations mythologiques laissées longtemps de côté – tel l’Arbre-Monde – mais sombre comme jamais avec cette longue et inintéressante histoire dont le dessin est à l’avenant (Thor 1966, #615-621 et #620.1).

    Matt Fraction prend la suite de Kieron Gillen et va amener la série à son point le plus bas sur la période considérée (09/2007 - 05/2011). Si le tome précédent pouvait être défini comme globalement mauvais, celui-ci est encore pire. Certes, son titre aurait dû me mettre la puce à l’oreille : "Les dévoreurs de mondes", on ne pouvait guère faire plus ridicule comme entame. Les adversaires du jour, les Uthana Thoth, ne sont que des barbares à la peau rouge sans une once d’originalité et dont on ignore tout de leurs motivations si ce n’est qu’ils ont pour projet de massacrer le monde entier... Après des pages et des pages de combats et de palabres vains, la solution vient d’un gros monstre et de sa grosse épée... Comment peut-on laisser publier cela ? Car ce n’est pas le dessin de Pasqual Ferry qui rattrapera le scénario. Les gros plans à profusion, le manque de détail, le trait imprécis, les couleurs pastel informatisées, on croirait voir ici le travail d’un dessinateur amateur et non d’un professionnel.

    De ce volume, il n’y a que l’épisode 620.1 à sauver. Un one-shot déconnecté de l’intrigue qui le précède et probablement commandé par Marvel pour pallier à un éventuel retard de publication. Le scénario et le dessin sont dans la norme, font efficacement le job mais n’ont guère d’envergure. Maigre consolation.

    Et c’en est enfin fini de ce titre qui aura couru sur presque quatre ans, commençant de manière plutôt intéressante avant de se conclure de manière lamentable. Pour la suite, il faudra lire "Mighty Thor" (le relaunch de 2011 avec Olivier Coipel que l’on retrouve au dessin) ou "Jouney into Mystery" pour les aventures du nouveau Loki.

    sebastien01 Le 04/08/2019 à 10:14:05

    Panini Comics aura attendu près de quatre ans avant de publier la suite de ces aventures de Thor. Et à la lecture de ce troisième Deluxe, intitulé "Le contrat", on comprend malheureusement pourquoi. Déjà, malgré quelques bonnes séquences, la série n’était pas une franche réussite. Mais depuis que J. M. Straczynski en a confié son scénario à Kieron Gillen, elle va de mal en pis. Les idées lancées dans les épisodes précédents sont certes poursuivies mais, dans l’ensemble, la prestation de Gillen se résume à une succession d’affrontements sans intérêt (Thor 1966, #604-614).

    Dans la première histoire, Fatalis manigance sur trois numéros un plan contre les derniers Asgardiens pour être finalement défait quelques bourre-pifs plus tard puis lâchement s’enfuir (l’éternel recommencement des comics...). Loki est évidemment de la partie jouant sans surprise son rôle de traitre (à nouveau, l’éternel recommencement des comics...).
    On poursuit notre lecture avec les tie-ins tout à fait dispensables de l’event de l’année 2010 "Siege". Bien que celui-ci soit directement lié au royaume d’Asgard, ces tie-ins n’apportent rien de plus à l’intrigue principale si ce n’est nous offrir un combat final Thor contre Ragnarok dont on connaissait par avance le vainqueur.
    Enfin, la dernière histoire voit Thor et Hela faire équipe contre les Dises. Ces Walkyries zombifiées sont navrantes de classicisme, le prétexte à l’histoire est incompréhensible, le fameux contrat m’a complètement perdu si bien que j’ai parcouru les dernières pages sans même les lire...

    Au dessin, Billy Tan est bon sur les trois premiers épisodes avant d’être malheureusement secondé par d’autres dessinateurs moins talentueux que lui sur les suivants. Mais surtout, comment a-t-on pu avoir cette idée saugrenue de confier à Doug Braithwaite l’illustration d’épisodes éparts (soit les épisodes 610, 612 et 614) alors que son style est en décalage total avec celui des autres dessinateurs ? Décidemment dans ce T3, du scénario au dessin, rien ne sera épargné au lecteur. Si fait.

    sebastien01 Le 16/12/2018 à 00:06:32

    Suite des aventures de Thor par J. M. Straczynski avec le retour au premier plan de Loki, du moins le Loki féminin post-Ragnarök (Thor 2007, #9-12, Thor 1966, #600-603, Thor: Giant-Size Finale 2010, #1, et Thor: Annual 2009, #1).

    Dans la première partie, on continue de suivre les relations tintées d’humour entre Asgardiens et Texans (notamment Kelda et Bill), puis Balder, le demi-frère de Thor, devient prince tandis que Loki complote comme à son habitude. Il ne se passe grand-chose au final, il s’agit plus de mettre en place une situation qui culminera avec le relaunch. A noter tout de même un joli numéro post-Civil War avec l’esprit de Captain America.
    Le relaunch justement voit Thor combattre et tuer Bor, son grand-père devenu fou ; crime pour lequel il est rapidement banni d’Asgard laissant le trône à son demi-frère Balder. Sous l’influence de Loki, celui-ci fait déménager les Asgardiens au royaume de Latvérie où, évidemment, Loki et Fatalis vont poursuivre leur complot sans grande originalité...

    Suivent deux numéros spéciaux. Le premier fait directement suite à l’histoire précédente : "Full Circle" raconte la fin de Bill – le Texan amoureux de Kelda – ainsi que la première attaque fomentée par Loki et Fatalis qui amènera le Dr. Blake à l’hôpital. Le second, "The Hand of Grog", n’est qu’un affrontement dénué d’intérêt entre Thor et quatre méchantes bébêtes égyptiennes.

    Au dessin, Olivier Coipel, toujours très bon, poursuit jusqu’au relaunch puis laisse sa place à Marko Djurdjevic. Ce dernier est un chouilla en-deçà du premier mais cela reste tout de même très beau.

    sebastien01 Le 16/12/2018 à 00:05:49

    Début d’un nouveau cycle pour Thor avec J. M. Straczynski au scénario après les événements de Ragnarök ayant conduits à la disparition du peuple d’Asgard (Thor 2007, #1-8, Thor: God-Size Special 2009, #1 et Thor: The Trial of Thor 2009, #1).

    Après un petit moment d’introspection avec le Dr. Donald Blake – son alter-ego humain –, Thor décide de planter Asgard dans un coin paumé de l’Oklahoma et de trouver parmi la population locale des gens dignes de repeupler sa cité. Suivre les interactions du dieu nordique avec les locaux ou le Dr. Blake en Afrique avec Médecins sans frontières est assez intéressant, du moins l’aspect plus humain qu’à l’accoutumé. Mais lorsque Thor décide d’accélérer la cadence pour retrouver son peuple, l’histoire reprend des proportions épiques lourdingues. Il s’épuise, prend du repos et, dans ses songes, revoit Odin, son père, et son dernier combat contre Surtur ; une seconde partie de l’histoire bien plus bourrine donc.

    Les deux numéros spéciaux à suivre sont également très dispensables. Dans le premier ("The Death and Life of Skurge the Executioner"), on découvre la légende de Skurge, un héros nordique ayant la drôle d’idée – et totalement anachronique – de se battre avec un fusil d’assaut ; et dans le second ("The Trial of Thor"), Thor est à tort accusé de meurtre à cause d’un imitateur.

    Si le dessin d’Olivier Coipel est aujourd’hui magnifique, il était déjà en 2007 très très bon. Par contre, avec sa mâchoire carrée et sa face aplatie, le visage de Thor est bien peu avenant et lui donne un air idiot.