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Heroic Fantasy
Série finie
Europe
43 albums
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scenario confus et histoire bien médiocre
encore une fois déçu par ce nouvel épisode
les épisodes sont de plus en plus mauvais
Encore un retour en arrière ... on fini par s'y perdre un peu dans la ligne du temps.
Sinon l'album est plaisant, très illustré peu narré ce qui le met en phase avec son héroine qui est plus dans l'action que dans le discours.
Un récit qui nous replonge dans la chronologie des évènements de la scission des chevaliers et qui développe intelligemment la manipulation dont les chevaliers font les frais.
un très bon album, parmi les meilleurs de la série, même si les dessins faits par plusieurs intervenant sont de qualité inégale.
Vingt-deuxième tome de la geste des chevaliers dragons, ordre uniquement composé de femmes vierges chargées de tuer les dragons. Deux chevaliers demeurent à la porte du Nord, forteresse qui protège la frontière de l’Empire contre les terres froides. De nombreuses créatures déformées par le veill se manifestent mais pourtant aucun dragon n'est visible. Ange signe une nouvelle fois un scénario prenant, magnifiquement dessiné par Alexe.
Un épisode exceptionnel, très bien construit, au scénario très riche.
Ce tome 27, vingt ans après sa création, aurait pu constituer un final éblouissant pour cette série qui a connu des épisodes de qualité moindre. Mais les auteurs (Ange) font comprendre dans le supplément qu'il y aura d'autres épisodes. Pourvu qu'ils soient de la même qualité...
Forcément, quand il n'y a pas de dragon, c'est moins drôle !
Et surtout, c'est plus difficile de faire une histoire originale.
Là, on est dans l'archi classique assez convenu : le dessin est convenable mais un peu statique et formaté, et l'histoire est tellement banale qu'on l'a déjà lue 15 fois. Ce n'est pas désagréable, cela se lit facilement, et ça s'oublie rapidement.
Honnête, sans plus.
Bof bof bof. un des moins bons de la série, avec l'impression que son élaboration a été un peu bâclée. Le dessin est souvent approximatif et statique, peu servi par une colorisation assez grossière. Le gros point faible est le découpage de l'histoire, déséquilibré et avec plusieurs arcs narratifs qui ne servent à rien.
C'est dommage car l'univers reste passionnant, foisonne d'idées à explorer, et l'idée d'un épisode marin était originale. Il y avait le potentiel d'en faire un bon tome, mais là, c'est vraiment fade.
2/5
pas le pire et pas le meilleurs, le dessin de Martino est de bonne facture ! mais le scénario peu trépidant, cet épisode n'est pas indispensable à la série. je pense que deux albums par an c'est peu être trop maintenant.
L'Ordre d'Occident a décidé d'en finir avec l'Ordre d'Orient une bonne fois pour toute. La matriarche charge donc ses Ombres de se débarrasser d'Amarelle, le chevalier félon à la tête de l'Ordre dissident. Les espionnes de l'ordre menées par Lou, véritable atout dans la main de la matriarche, suffiront-elles à mettre fin à la guerre. D'autant que Lou commence à douter.
Le fil rouge de la Geste des Chevaliers Dragons s'épaissit d'album en album. Moins de sauts dans le temps, quasi plus d'anecdotes sur l'histoire de l'Ordre. La guerre des Sardes, le schisme entre Orient et Occident et leur conséquences sont au coeur des derniers tomes. On s'éloigne des dragons, du Veil (dommage) et des chevaliers en armures minimales (pas un mal en soi), pour des intrigues toujours très humaines mais plus politiques. Ici, l'intrigue avance à bon train (trop?) à coup de rebondissements (trop?) jusqu'à un final qui s'il n'est pas surprenant a le mérite d'être satisfaisant.
Quatrième volume de la saga des Chevaliers Dragons, sur la bataille de la passe de Brisken. Un peu de politique et beaucoup de sacrifices pour cet épisode épique, un des meilleurs de la série.
Personnages à fort caractère, il est difficile de rester neutre face à la rivalité de Na-Kira etN'aria, autour d'un thème qui pourrait facilement trouver écho dans notre société, on se laisse porter au fil des pages par ce conflit qui donne sa dynamique à cet album.
Se laisse lire mais il n'y a pas de profondeur, on n'entre jamais vraiment dans l'histoire et on ne s'attache pas aux personnages... un brin déçu.
Les facéties des jeunes chevaliers Eléanor et Akanah nous montrent un côté moins rigide de leur éducation. Comme tous les ados, elle parviennent à se ménager des temps morts et à se soustraire à l'autorité des anciennes. (qui sont elles-mêmes loin d'être dignes de tous reproches, vu le petit clin d'oeil du scénariste sur le "bon vieux temps")
Mais le courage et l'abnégation restent de mise pour assurer le succès de la mission.
L'Empire d'Orient pourra-t-il survivre et son Ordre des Chevaliers Dragons fructifier ? La réponse en fin de volume, avec un dessin moins "leché" que dans les tomes 17 et 18, mais un scénario solide.
Au passage on retrouve quelques "vieilles connaissances" et la "ligne du temps" en fin de volume pour fixer la chronologie des différents tomes est une très bonne idée.
A lire absolument si vous êtes accrocs à la série.
suite et fin de la guerre des Sardes ...
Tout est bien qui finit bien ! Enfin, ça dépend pour qui !!!
Le dragon est vaincu, mais le prix à payer est exhorbitant pour l'impératrice et sa soeur !
Un album top !
Très bon tome qui nous plonge en pleine guerre à outrance entre l'Empire et les Sardes, ce qui n'est sans rappeller les Croisades contre les Arabes au Moyen-Age.
On retrouve Amarelle (tome 11) pour la suite de sa destinée...
Le dragon mettra-t-il tout le monde d'accord ?
La réponse dans le tome suivant.
Bel album sur les guerres ... de religion cette fois, et un aperçu de l'émancipation féminine ...
Comment préserver la virginité des femmes pour constituer une grande réserve de chevaliers dragons en puissance ?
Très beau dessin et mise en couleurs ... malgré une couverture très noire et peu attrayante.
Rivalité entre Empire et Ordre des Chevaliers ... les 2 pouvoir sont inconciliables, même si 2 soeurs les gèrent au mieux.
Les dessins ont moyens avec des visages très "carrés", surtout les hommes ...
Le scénario est intéressant et démontre la versatilité des engagements dans une "révolution".
Je n'aime pas les dessins où l'on reconnaît difficilement l'héroïne, qui semble parfois ado, parfois quadragénaire.
Le langage primitif est fatigant à déchiffrer, et anachronique avec une grammaire très pauvre et du vocabulaire parfois très recherché.
Les novices soulèvent des objections auxquelles la narratrice répond avec plus ou moins d'habileté, mais qui soulignent à mon sens l'incohérence du scénario.
Un des meilleurs scénarios, qui nous tient en haleine jusqu'à la fin.
Bon dessin et belles couleurs.
Mais capturer un chevalier, qui s'est mêlée de politique, vaut il vraiment une telle guerre interne à l'empire ?
Cette serie s'essouffle , toujours plus ou moins le meme scenario et que dire des dessins qui sont de pire en pire , le changement de dessinateur à chaque album n'arrange rien , j'achete plus , lisons les premiers
Une enquête presque policière, à la Agatha Christie, avec des fausses pistes et des indices erronés...
Une contine enfantine délivrera le message salvateur et fera tout comprendre au chevalier Alia juste à temps pour éviter un drame politique.
Les 3/4 de l'histoire se passent en sous-sol, ce qui rend le choix des décors limité et c'est donc un peu frustrant pour les amateurs de beaux dessins détaillés.
La sauce ne prend pas dans cet album ...
Un manque indéfinissable face aux nobles costumés style "carnaval de Venise" et au dragon tué à coups d'écailles !?!
Le sauvetage des enfants est digne d'un Disney. Tout est bien qui finit bien, ... trop bien !
Les tuer tous et laisser Dieu faire son choix ou laisser une chance aux infectés de survivre sans contaminer d'autres créatures ?
C'est le débat au coeur de cet album.
Il faudra 5 ans de débats à l'ordre pour légiférer sur cette question.
Quelques points restent obscurs (rivalité des chevaliers Na-Kira et N'aria) et destin de l'héroïne.
Niveau dessin, les teintes bleues des paysages enneigés ne sont pas du plus bel effet et les décors sont peu travaillés.
Un bon vieux scénario de "D&D" où certains cherchent la gloire et d'autres la fortune !
Les 3 personnages principaux sont bien typés et restent fidèles à leurs ambitions respectives.
Un album où la jalousie de l'empereur met en péril la survie de l'ordre (15 survivantes sur 400 !) et de sa capitale, Messara.
Et pourtant l'ordre ne se mêle pas de politique !
un remake du film "300", l'exploit de Léonidas au Termopyles, ici transposé à la passe de Brisken.
Le passé d'Eléanor, héroïne du tome 2 et de sa famille de chasseurs de trésors ... Leurs problèmes sont au centre de l'histoire et ils auront à subir les effets du veill.
Le chevalier Mara remplit sa mission et sauve cette nouvelle recrue des griffes du dragon.
Le dessin est un peu plus "simplifié" dans cet album, mais reste plaisant.
La petite fille du tome 1, Akannah, a grandi et forme avec Eléanor un duo d'adolescentes un peu dévergondées, bien que novices chez les chevaliers dragons.
L' affrontement épique avec le dragon et l'histoire d'amour déçu avec un jeune prince forment la trame de ce deuxième tome.
Un album réussi.
Après relecture de cette série mythique, mon avis sur chaque album :
ce premier tome mettait bien en place l'originalité et les règles de l'univers des dragons et du veill. Première rencontre avec les "créatures" infectées. (de corps ou d'esprit)
Le niveau des dessins est bon à très bon comme la superbe vue de ville en double page.
Même remarque au niveau du dessin, tout juste digne d'un manga.
La trahison, au centre du scénario, nous apprend que certains Chevaliers considèrent leur survie comme une priorité.
Enfin, on découvre les tribus Sardes, des marchands d'esclaves ...
J'ai moins apprécié le dessin que dans d'autres albums de la série : les visages me semblent taillés au couteau et assez similaires (planches 18 et 20, par exemple)
Le scénario nous montre que la recherche du pouvoir et l'ambition personnelle existent aussi au sein de l'Ordre.
Petit bémol pour la couverture : trop rouge, trop "affiche de film" !La moins motivante jusqu'ici.
Dessins superbes, surtout au niveau des visages et des expressions ... et superbe affrontement du dragon.
Un scénario rythmé et nerveux, où Ellys passe le flambeau à Laïla et se délivre du remords qui la hantait depuis la mort du chevalier Jaïna.
En conclusion, le bonheur existe aussi en dehors de l'Ordre des Chevaliers-Dragons.
Comme les autres commentateurs, je suis déboussolé par ce tome qui ne va nulle part...
Un fouillis de personnages au comportement irrationnel ...
--> ???
Un récit un peu court mais plein de bonnes surprises. Une histoire d'honneur et de courage.
Un trop bref combat contre un dragon des mers.
Mais un récit différent des autres tomes.
une bonne lecture.
7/10.
Au 22ème album on pourrait penser que la série va s'essouffler mais il n'en est rien.
au contraire avec "la porte du nord" cette série semble mêm retrouver un second souffle.
Le scénario est sans faille.
Les dessins excellents.
Une réussite.
8/10.
Rupture avec le graphisme habituel, rupture avec l'Histoire quoique ceci soit moins important. Nous avons quand même droit à une petite allusion à la guerre contre les Sardes. C'est tout.
L'histoire d'une hache, artéfact millénaire de l'Ordre, j'aurais plutôt vu ça dans les premiers tomes. Pourquoi je l'ai acheté ? Pour ne pas avoir un vide entre le 20 et le 22. Pourvu que ce ne soit qu'un accident.
Un album dans la continuité des trois précédents.
L'empire a perdu la guerre contre les Sardes et a du céder la moitié de ses terres à Louis. Le Duc Lorta espionne le royaume des Sardes pour le compte de l'impératrice. Il doit déterminé s'il faut prendre de vitesse les effort de Louis et du chevalier Amarelle pour édifier un nouvel empire d'Orient. Comme de coutume dans la série, un dragon en décidera...
La couverture spectaculaire est bien différente de la traditionnelle vierge-tueuse avec l'hénaurme flamberge à la main. Elle nous replace dans le contexte social et technique de cette saga.
Pour une fois, les jeunes Chevaliers sont présentées sous un jour moins tragique, voir sympathique. Les pulsions des filles s'expriment malgré (et à cause...) des diktats étroits de l'Ordre, ce qui donne une bonne bouffée de fraîcheur à la série. Espérons qu'Ange choisissent de poursuivre sur cette voie, car celle de l'abnégation jusqu'à la mort a été amplement développée dans les 18 tomes précédents.
Le développement du dessin est fait de façon cinématographique, à la "Kill Bill", avec de multiples séries de vignettes pour donner de la mouvance au scénario. Il faut avoir de bons yeux pour décortiquer le petit détail qui tue dans une image à peine plus grande qu'un timbre-poste... Mais au final, ce n'est pas désagréable, même si on n'a plus ces scènes de batailles grandioses en pleine-page.
Au final, une belle réussite. Bis, SVP !
Une excellent surprise ! Scénario très intéressant proposant une réflexion qui n'est pas sans évoquer la controverse de valladolid. Des dessins très bons, avec des premières planches vraiment très réussies (combat sous une tempête de neige) et ENFIN une formidable couverture qui interpelle au premier coup d'oeil.
Malgré tout un petit point négatif : je suis frustré de ne pas savoir quelle est l'histoire entre les deux personnages qui motive cette haine et comment se finit cet affrontement sur le pont. Nous devons nous y faire, il y a des choses que nous ne saurons jamais.
Mon gros coup de coeur pour l'instant dans la série et le seul album qui nécessite vraiment votre attention.
Album réussi pour ma part, un scénario original et pas de dragon. Des personnages un peu cliché mais qui fonctionnent bien pour un format one shot. J'accroche de plus en plus à la saga, les scénarios se diversifiant et sortant du cadre deux chevalier pour affronter un gros méchant dragon. Album très satisfaisant avec des dessins plutôt agréables.
Un album tout à fait correct malgré des dessins toujours décevants suite au tome 2. Le scénario est cette fois-ci vraiment réussi à mon goût. Après le scénario original du tome 3 concernant la place du chevalier dragon dans l'histoire on a cette fois-ci une absence totale de dragon (à l'image du moins) pour se pencher sur des intrigues politiques. Un scénario très intéressant, bien mené et sans faille.
Malgré des dessins réellement décevant, ce quatrième tome confirme que l'on peut attendre quelque chose des scénarios de la série.
Des dessins somme toute assez agréables, on retrouve une qualité à peu près comparable au premier. Une révélation quant aux soeurs de la vengeances évoquées dans les tomes précédents plutôt bienvenue. Les personnages sont plus profonds et mieux travaillés que dans les premiers tomes. Un récit nettement moins centré sur le chevalier que dans les tomes précédents qui peut donner l'impression d'un scénario assez vide. Néanmoins l'angle reste intéressant. Le meilleur des 3 premiers albums pour moi avec en bonus une couverture vraiment réussie.
Des dessins très décevants dans l'ensemble (visage dans l'ensemble assez peu réussis) et un scénario qui ne décolle jamais. Passez votre chemin ...
Des dessins corrects mais présentant un certain nombre de défauts. Un scénario en revanche plutôt bien mené malgré certaines facilités. Lecture agréable mais loin d'être indispensable.
Fin de l'histoire des sardes dans la plus pur tradition de l'heroic fantasy.
Superbe scénario où le dragon sert de prétexte.
Splendides dessins.
Du tout bon.
8/10.
Un des tomes les plus abouti de cette série.
On y mélange l'heroïc fantasy où les femmes guerrières semblent le dernier rempart de l'empire et le mythe du dragon qui apparait timidement dans les dernières pages. Nos heroînes vont alors être confrontés à un choix difficile celui de trahir leur crédo ou de protéger l'empire.
Un plus pour les dessins.
Vivement la suite.
8/10.
Je suis depuis toujours la série « la geste des chevalier dragons » mais je n’achète pas systématiquement tous les numéros, parce que le style de dessin ne me plaît parfois pas trop.
Dans ce tome 16, le dessin est magnifique, tout à fait dans la lignée du tome 1. Mais j’ai surtout apprécié ce tome pour son scénario bien pensé, très actuel et admirablement amené. Il y a un message fort sur l’intolérance religieuse et les luttes de pouvoir mais surtout l’auteur parvient à éviter le manichéisme en jouant sur un cynisme qui m’a arraché un sourire narquois. Pas de bons ni de méchants dans cet épisode mais une merveille de manipulation au long cours. Heureusement que l’auteur nous sauve une « happy End » sinon cela aurait été trop noir.
- See more at: http://blogrimm.fr/?p=1250#sthash.7aPzC0e8.dpuf
Manque "TAKAYAMA HIME Eiko" comme coloriste.
Manque "TAKAYAMA HIME Eiko" comme coloriste.
Manque "TAKAYAMA HIME Eiko" comme coloriste.
A n'en pas douter un des meilleur album de la série.
Une histoire où se mêlent politique et héroïc fantasy avec un final qui s'en être inattendu est grandement réussi.
Après plusieurs opus fades et sans saveur cette série semble retrouver un 2ème souffle.
Il lui reste encore à trouver un dessinateur attitré qui nous fasse oublier Varanda.
7/10
Le meilleur de la série :
Celui qui m'a fait accrocher après la réédition du tome 1.
Lu, relu et re-relu... épique !