Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    kingtoof Le 26/10/2018 à 18:03:39

    En accord avec l'ensemble des avis donnés sur ce diptyque, mention spécial à celui de lahtdekc (qui a tout dit)
    Cette série m'a permis de connaitre ces charmantes bestioles que sont les solifuges.

    DamBDfan Le 01/07/2014 à 16:36:29

    Un scénario qui ne vole pas bien haut mais ayant emprunté cette série, je ne regrette pas la lecture, elle a été très divertissante et je ne me suis en aucun cas ennuyer.
    Quant à l'achat, c'est autre chose (me concernant hein) car le tout est assez primaire, très classique, on déjà vu ce genre d'histoire milles fois au cinéma et cie, et la psychologie des personnages n'est pas des plus développées. Ici, place à l'action !
    Tout les clichés du genre y sont présents avec même parfois quelques dialogues bien bébêtes comme dans le style série B à la Schwarzy.
    Les dessins sont correctes avec une bonne restitution des égouts (peut-être la seule originalité de la série)
    Une BD sans prise de tête qui ne révolutionne rien mais qui pourrait bien faire son petit effet aux arachnophobes.

    mome Le 08/01/2012 à 18:00:14

    De la série B pure et dure ! (cet avis concerne le diptyque dans son ensemble)

    Bon tout est dans le titre. Si vous souhaitez vous intéresser à cette série, il faut clairement prendre conscience de ce paramètre : Christophe Bec nous offre une série B! En prenant l'exemple du cinéma, si vous êtes allergiques aux films nous proposant Van Hamme, Seagal ou encore Schwarzenegger, passez votre chemin. Ici seul l'action compte. Oubliez la cohérence, la plausibilité, la profondeur des personnages. Ici vous aurez droit à tous les poncifs du genre. On retrouve ainsi le politicien véreux prêt à tout pour rester au pouvoir, l'amourette entre une scientifique sexy et le chef de la police des égouts (oui dans ce monde et cette ville il y a une police des égouts, c'est comme ça, point), dit "beau mec" de service (avec les abdos et tout hein) qui a quand même une fêlure du fait d'un passé douloureux et traumatisant, des morts en pagailles, des victimes innocentes et des bébêtes monstrueuses issues de mutations provoquées par les produits chimiques déversés dans les égouts.

    Ah oui, je vous ai prévenu, rien que du lourd, aucune finesse, aucune subtilité. Mais une fois ce postulat accepté, force est de constater que le produit répond parfaitement au cahier des charges. En effet, une des grandes forces de C.Bec est d'utiliser parfaitement les éléments en sa possession, de savoir parfaitement amener les lecteurs là où il le désire. Il excelle en général sur la construction des atmosphères de ces récits, en particulier quand il faut faire ressentir l'angoisse et l'oppression (mais pas seulement, voir en particulier "Royal Aubrac").

    Le dessin d'un de ses compères préférés, Stefano Raffaele, sert efficacement le récit. Son trait fin et précis recrée l'atmosphère confinée des égouts, la tension du parcours des personnages, la violence des scènes d'action. Il est à l'aise avec les détails et avec les décors. Et il nous prose des "monstres" qui réjouiront tout les amateurs d'horreur et angoisseront les arachnophobes.

    La série B de temps en temps et quand c'est bien fait, moi j'ai rien contre. Avec Under j'ai été bien servi. Alors à lire... si vous aimez la série B.

    dixsept Le 13/11/2011 à 11:45:51

    Il est des albums dont il est possible de regretter l’achat : Under T2 est de cela !
    Surenchères dans le sordide voire le scabreux, incohérences techniques de base – aller voir des égoutiers se balader sans cuissarde - scénario simpliste, cet album est affligeant. Si au moins le suspens était insoutenable mais le scénario est tellement stéréotypé que cela en deviendrait presque risible ; surprenant de la part de Christophe Bec et Stefano Rafaele qui nous avaient habitués à (beaucoup) mieux sur Prométhée.
    Pour amateur uniquement !!!

    lahtdekc Le 09/10/2011 à 02:25:33

    On connait l'affection ,(l'obsession?), de Christophe Bec pour les situations où un groupe humain est confronté à l'impensable, dans des ambiances menaçantes généralement amplifiées par une forme ou une autre de démesure. Idem pour ses constructions, et ses références, toujours très "cinématographiques". "Under", tout en ayant toutes ces caractéristiques (ou justement par ce qu'elles y sont) est assez décevant, surtout à cause des personnages, et des situations dans lesquelles ils se trouvent, tellement stéréotypés: un héros ténébreux et torturé par son passé, une "intello" sexy au beau milieu d'une bande de machos, un maire magouilleur, les gros bras patibulaires, etc..., etc...
    Le dessin de Stefano Raffaele alterne le bon et le moins bon mais manque de caractère pour compenser les faiblesses scénaristiques. La mise en couleur de Christian Favrelle est étrange. Dans le contexte, ce n'est pas un défaut.

    DixSept Le 04/09/2010 à 21:18:50

    Muté à la sécurité des égouts de Megalopol, Wilson Jericho doit accompagner, Sandra Yeatman, une jeune biologiste désireuse d’étudier la faune de ce dédale…
    S’il est indéniable que Christophe Bec, en scénariste averti qu’il est, maîtrise toutes les ficelles et exploite tous les codes du genre, il n’en demeure pas moins que cette même maîtrise ôte, in fine, une grande part de suspens à cet album.
    Il en est de même pour le dessin de Stefano Raffaele dont le réalisme s’avère être à la limite du clinique : Wilson Jericho a cette virilité d’écorché propre à tous ses coreligionnaires, les méchants sont (bien) méchants et la belle scientifique est physiquement irréprochable. C’est (trop) net, (trop) propre : plus de travail sur les ombres et un graphisme moins précis auraient peut-être apporté à l’ensemble une dimension plus incertaine, plus sombre… plus glauque et ... plus humaine !
    Au final, un album stéréotypé, à l’image de ces productions hollywoodiennes qui se clonent entre elles afin de ne pas décevoir leurs spectateurs. Dommage car il y avait matière à …