Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    omoide Le 29/06/2020 à 06:22:27

    Ken, un japonais plutôt costaud mais franchement cancre tente de suivre sa dulcinée, Sumin, qui lui a préféré une carrière policière en Corée du Sud.
    Là-bas, faute de trouver à s’insérer, Ken devient un traine-savate, jusqu'à être recruté par un gang de minables pour être leur chef.

    Graphisme variable, scénario assez mou caractèrisent ce 1ier tome de Sun-Ken Rock, pour ce qui parait être les débuts de Boichi.

    Shaddam4 Le 29/04/2019 à 14:14:16

    Pfiouuu, enfin la conclusion de la saga mafieuse de Boichi, qui m'a fait passer par toutes les étapes: sceptique sur le début, ébahissement visuel sur tout un tas de séquences, ridicule vulgaire sur un gros arc et limites porno sur pas mal de séquences... Pour rappel mon dernier billet sur la série remonte à janvier avec la fin du combat contre Ban Phuong.

    Après les révélations sur le rôle du clan du père de Yumin, fidèle à lui-même Ken abandonne le clan à son ami Tae-soo qui croit nécessaire d'assumer le fonctionnement criminel du clan, devenu la plus grosse organisation criminelle de Corée, rendu par là même visible aux yeux du Clan du dragon blanc. L'affrontement se prépare alors que ce dernier décide d'éliminer la Sun-Ken Rock et de prendre le contrôle de la Corée. Las, Ken décide de passer à l'action pour protéger ses amis et conclue enfin avec Yumin lors d'une soirée d'amour moins vulgaire que d'autres séquences de sexe du manga mais tout aussi explicite. L'affrontement final se déroulera dans le building de Busan où le parrain du Clan a posé ses valises.

    La conclusion de Sun-Ken Rock est à l'image de tout le manga. Totalement sidérant de virtuosité graphique (Boichi est clairement l'un des tout meilleurs dessinateurs japonais), de chorégraphie des combats (l'affrontement au sabre de Yumin est magnifique), lénifiant de blablas interminables, très drôle quand il décale les séquences et tout à fait lourdingue par ses plans prolongés et récurrents sur l'entre-jambe des filles et ses délires SM. Arrivé au terme, je conseille aux lecteurs de démarrer simplement au tome 16 avec l'affrontement contre le gang de Ban-Phuong pour vous éviter ainsi les arcs inutiles sur la chanson et les interminables débilités et cours culinaires.

    La série se termine de façon incompréhensible avec plusieurs courts prolongements entrecoupés de sauts temporels, comme si Boichi avait prévu d'autres arcs mais n'avais pas souhaité y passer encore plusieurs années. Enfin, on voit intervenir Wallman... La très bonne série dérivée est sortie en 2013, Sun-Ken Rock se termine en 2016 et reprends donc les personnages créés trois ans plus tôt. Contrairement à ce que je disais, peu de chance donc de voir une suite à Wallman...

    Sun-Ken Rock reste donc une série très imparfaite, truffée de bonnes idées, de flamboyances visuelles de la part d'un homme au talent incroyable. Gageons que s'il choisit dans la suite de sa carrière de s'allier avec des scénaristes cela bridera ses mauvaises idées et fan-service éhonté. La série vaut néanmoins le coup pour ces moments de combat incomparables pour peu que vous preniez des raccourcis. A bon entendeur, salut Ken!

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2019/04/27/sushi-baggles-13

    Shaddam4 Le 04/06/2018 à 14:34:47

    Tae-Soo découvre que le soutien politique du gang (corrompu) est tombé et tente de savoir qui est derrière la menace alors que l'attitude de Ken fait vaciller la confiance de la Pioche... Mine de rien cette série construit à mesure des volumes une photographie sociale et politique de la Corée assez intéressante, avec l'histoire du pays avec ses voisins, la corruption politique, l'immobilier galopant... Étonnant manga avec ses côté vraiment "fan service" ou redondants (la bouffe...), caricaturaux et la noirceur de certaines séquences, la puissance des scènes d'action et la réflexion finalement assez ambitieuse.

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/05/28/manga-en-vrac-3

    Shaddam4 Le 04/06/2018 à 14:34:03

    le volume s'ouvre sur la fin de la baston contre KG et enchaîne sur une dépucelage de la bande à Ken dans un bordel (ça faisait longtemps que le mangaka n'avait pas eu le loisir de dessiner des filles à poil). On enchaîne sur des histoires de cuisine puis sur l'intro du nouvel arc où la bande va s'engouffrer dans l'immobilier.
    Encore un album à oublier. Je ne comprends pas ce qui amène Boichi à se perdre ainsi, loin de son histoire mafieuse ouverte il y a presque six volumes. Les lecteurs aiment SKR pour ses mafieux en costards poseurs, ses bastons dantesque et sa radicalité...

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/05/28/manga-en-vrac-3

    Shaddam4 Le 04/06/2018 à 14:33:20

    les choses sérieuses commencent pour la Sun-Ken rock team avec l'arrivée d'une équipe d'assassins professionnels qui ont pour mission d'éliminer ces éléments gênants. Le colosse de la bande se retrouve à affronter un trio de tueurs redoutables. Ouf! ce qui me plaisait dans cette série reprends sur les chapeaux de roue après un peu trop de volumes dispensables. Le sens de l'action, du mouvement, la puissance des dessins de Boichi s'expriment dans les combats. Quelle matière dans ces visages hurlant de toutes leurs veines, appuyés par des traits insaisissables... J'espère que cela ne va plus s'arrêter et que l'auteur va arrêter avec ses délires culinaires ou sexuels...

    Lire sur le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/05/28/manga-en-vrac-3

    Shaddam4 Le 23/03/2018 à 14:23:48

    Le volume 11 raccroche avec les thématiques précédentes: mélange de corruption, de traite des femmes et de baston mafieuse. On revient dans la ligne qui fait l’intérêt de Sun-Ken Rock. A noter que le trait évolue vers quelque chose de plus éthéré, noir, moins manga-déconne. Et plus esthétique que jamais!

    Shaddam4 Le 23/03/2018 à 14:23:20

    Le volume 9 voit Ken engagé comme chauffeur d’une star de la chanson. Il se retrouve quasi-esclave du manager et soumis à la tentation de la jolie Sun. L’auteur semble avoir voulu explorer le monde des fans et du star-système coréen. Pas franchement convaincu par cet arc.

    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/03/12/sun-ken-rock-8-11/

    Shaddam4 Le 23/03/2018 à 14:22:53

    Dans le volume 10 un groupe de chanteuses est recruté et mis sous l’aile de Ken qui doit les protéger de l’appétit sexuels du manager et qui va être très tenté par les mœurs très très libérées des donzelles…

    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/03/12/sun-ken-rock-8-11/

    Shaddam4 Le 18/01/2018 à 12:35:50

    On rentre dans le vif du sujet de la série, avec le récit de Yumin: elle est la fille du chef Yakuza du japon qui veut mettre la main sur le monde de la pègre. C'est plus noir, plus de combats et les séquences avec le Corbeau sont des pics de virtuosité graphique et d'action. Chaque tome de Sun-ken rock (ou presque) semble pousser la barre un peu plus haut chaque fois. Cette série est étrangement peu chroniquée. Personnellement mon maître (Shirow) a été dépassé: Boichi est actuellement ce qui se fait de mieux en matière d'action sexy et chorégraphiée sur la planète BD. Tout simplement.

    Lire le blog:
    https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/01/15/sun-ken-rock-3-7

    Shaddam4 Le 18/01/2018 à 12:32:57

    Après avoir conquis l'Imperial Hotel, la bande de Ken part en Italie rencontrer un Parrain et fait la rencontre de "l'étalon" Benito, pas très fort mais membré comme un cheval (sic). Après un prologue en mode fantasme de Boichi (l'équipée se fait un barbec géant avec le sanglier rapporté par Kae-Lyn. Tout le monde se retrouve à poil avec projection de ketchup-mayo...
    Comme pour les autres tomes, tout est ici pretexte à des scènes dénudées, à des coups de tatane ou à des scènes de cuisine. Cette série est grosse, bourrine, macho... mais qu'est-ce que c'est bien dessiné! La montée en puissance se poursuit mais ce volume n'est qu'un intermède.

    Shaddam4 Le 21/12/2017 à 09:09:22

    Ken est un jeune japonais parti en Corée pour suivre la fille qu'il aime, engagée dans la police de Séoul. Se retrouvant à la tête d'un gang local, il va gravir les échelons entre ses idéaux de justice et le pragmatisme de la vie de criminel...

    Boichi est l'un des prodiges du manga asiatique. Contrairement à son personnage, il est coréen et vit au Japon. Sun-Ken Rock est l'un de ses premiers manga; sur le plan graphique le premier volume ne sort pas de l'ordinaire de la masse des BD japonaises... ce qui changera rapidement dès les tomes suivants, jusqu'à fournir certaines planches absolument sublimes et un niveau moyen très au-dessus des standards. Boichi est précis, ses personnages sont caractérisés et son dessin impulse une énergie propre au média Manga mais qui sort ici vraiment du lot. La maîtrise des anatomies (hum...), des plans et cadrages délirants, font de cette série un must du manga d'action.

    Sur le plan de l'histoire, dans ce volume de démarrage on est vite dans le n'importe quoi, les scènes d'humour débile étant plus nombreuses que des scènes de combat improbables, assez rapidement menées et dotées d'un découpage parfois abrupte... Ce qui anime Boichi et ce manga ce sont la baston, les gags et les filles dénudées. Sun-Ken Rock n'est d'ailleurs pas à mettre entre toutes les mains car c'est assez cru et violent par moments. Les jeunes hommes sont des machines de combat et les filles de la chair fraîche à abuser ou à défendre: on est dans la psychologie et l'univers des mafia. On est néanmoins surpris de lire certains échanges assez intelligents (le débat sur le statut de l'Etat et celui du gang, la responsabilité de la Corée dans san participation à la guerre du Vietnam) et qui entraîne des réflexions que l'on ne s'attend pas à trouver au milieu de ces planches délirantes.

    Je ne m'étendrais pas sur un scénario assez dérisoire sur le premier volume et qui va se poursuivre dans une ascension du héros au sein des guerres de gang, scénario linéaire, simple, permettant les successions d'affrontements verbaux ou aux poings. On reste dans l'esprit de beaucoup de Mangas: humour décalé et combats.

    Je découvre juste cet auteur et en parcourant les planches de ses différentes œuvres (qui commencent à être nombreuses) je retrouve une maestria que je n'ai jamais retrouvé depuis le chef d’œuvre de Masamune Shirow: Appleseed 4, notamment dans les scènes de combat. C'est brut, c'est cru, c'est violent, c'est précis. C'est le Manga comme je l'aime! Boichi a en outre le mérite de réaliser des séries assez courtes, ce qui permet de garder l'intensité nécessaire à ces histoires de rage et de fureur. Je lis peu de manga car j'ai du mal à trouver (un peu comme dans le comics) autre chose que de la grande consommation reproductible. Parfois pourtant je déniche des auteurs, comme Shin'ichi Sakamoto sur Ascension et en général c'est la baffe. Boichi et le manga c'est un peu comme quand on compare un comics de Jerôme Opena ou de Travis Charest au commun des BD US... on voit la différence! Dans la foulée je vais me lire sa dernière publi en France: Wallman, série sur un assassin en 3 volumes qui s'annonce dantesque.

    Lire sur le blog : https://etagereimaginaire.wordpress.com/2017/12/18/sun-ken-rock

    leonidas49 Le 23/01/2011 à 15:51:25

    Quoi !!! Personne ne connais Sun-ken rock !!! Je ne suis pas un fana de mangas mais celui-ci décoiffe littéralement ! baston, humour, jolies filles, sexe, un cocktail vraiment détonnant !!! A posséder absolument !!!