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Il est pas mal, celui-ci, qui nous propose une histoire un peu originale et différente des précédentes…
La désertion réussie de Blutch qui va devenir un tueur pour l’ennemi, sympa à suivre.
Et puis on retrouve l’humour de la série, dans le tenancier de l’hôtel et la répétition cocasse de la montée/descente des marches, par exemple… Ou le confessionnal…
L’histoire se tient bien et se suit avec plaisir, au point que j’ai trouvé la fin abrupte, j’avais l’impression que ça commençait et ça pouvait aller plus loin.
Après, on aurait pu avoir un gang d’ennemi un peu moins naïf et stupide pour mettre plus de tension autour de Blutch mais ça restait bien sympa.
Les tuniques Bleues ont affaire à deux personnages, une jeune femme enrôlée dans l'armée et la boue. L'un comme l'autre ont joué un rôle important en toutes guerre.
Le scénario comme le dessin en font un très bon Tuniques Bleues.
J'ai aquis l'album édité chez Gombert, c'est un grand format en noir et blanc.
Les éditions Gombert on fait un très beau travail, nettoyage des planches, impression sur beau papier, petit dossier et ex-libris.
C'est un album magnifique dont on ne peut que féliciter la réalisation.
Deuxième scénario de Fred Neidhart et deuxième réussite . Le cahier des charges est plus que respecté et l'on retrouve ici une histoire digne des premiers albums . Blutch est à l'honneur dans cet album pour notre plus grand plaisir dans un rôle un peu différent : il déserte pour changer un peu mais ... Chut ! A découvrir par vous mêmes !
Qu'on se le dise: Les Tuniques Bleues sont de retour et bien évidemment sous le pinceau du vénérable Lambil !
Bienvenue à Fred Neidhardt au scénario ! Cet épisode contient tout les codes de la série en piochant de-ci delà dans les albums précédent de la série avec des airs de déjà vu.
C'est vrai, rien de bien original mais cela a le mérite de remettre nos chères Tuniques Bleues sur de bon rails.
Coté dessins, le Père Lambil fidèle au poste et c'est tant mieux tant le tome 65 m'a traumatisé !
Un album qui ne déçoit pas. On est certes loin du meilleur de la série mais c’est amusant avec une histoire qui met Blutch (soyons franc, le vrai héros de cette série,) au cœur de l’intrigue.
L’apport des personnages secondaires est important dans une intrigue et le petit groupe de comploteurs sudistes, pas très doués, et emmené par une femme qui use de la force et de ses charmes pour enrôler Blutch contribue pour beaucoup à la réussie de cet album. Des personnages à revoir dans une prochaine aventure. Et un grand bol d’air frais’, comme toujours, quand nos deux héros s'éloignent du champ de bataille.
Les Tuniques Bleues est une série que je suis depuis mon enfance, et j'ai collectionné l'ensemble des albums presque chaque année lors de leur parution. C'est souvent par habitude et par nostalgie que je continue cette tradition, mais je dois admettre que les derniers albums n'ont pas toujours été à la hauteur des jours heureux de cette série. Il est vrai qu'il aurait peut-être fallu envisager un arrêt à un certain moment.
Ce tome en particulier suscite plus de curiosité, car il met en scène un complot visant le président Lincoln, dont la vie est mise en danger par des tueurs. Nous savons malheureusement qu'il sera assassiné à la fin de la guerre de Sécession par un fanatique sudiste incapable d'accepter la défaite. Cette toile de fond historique, aussi dramatique soit-elle, apporte une résonance particulière au récit.
Dans cette aventure, nos deux héros, Blutch et Chesterfield, parviennent à déjouer le complot, apportant une note d'espoir et d'humour à une période sombre. Malgré les horreurs de la guerre, la série conserve son ton humoristique, et cela reste une source de joie et de bonne humeur.
Quant au dessin, Willy Lambil reste fidèle à son poste. Il a choisi de revenir malgré son grand âge pour poursuivre l'aventure de sa vie, ce qui est tout à son honneur. Son style graphique, toujours aussi expressif, contribue à rendre les scènes à la fois vivantes et engageantes.
En conclusion, Les Tuniques Bleues tome 69 est une lecture agréable qui ravive des souvenirs d'enfance et qui, malgré ses hauts et ses bas, continue d'offrir des moments de plaisir. Je recommande ce tome aux fans de longue date et à ceux qui souhaitent découvrir cette série emblématique de la bande dessinée franco-belge.
Ben non, ou tu fais du copier-coller de Maitre Lambil ou tu crées ta franchise . Zéro pointé pour Dupuis !!
C’est avec cet album que j’ai commencé à me lasser franchement des tuniques bleues. L’histoire aurait pu être originale puisque les combats se déroulaient en Europe au large des Pays-Bas ou de la France, ce qui aurait pu amener de l’inédit. Mais, je trouve que les situations sont vues et revues, l’humour lourd, les gags téléphonés.
On a l’impression de voir toujours la même chose : Blutch et Chesterfield sont condamnés injustement par l’état-major et sont alors obligés d’accomplir une mission pour se racheter. Les auteurs ne se renouvellent pas et c’est bien triste.
Depuis cet album, j’ai l’impression que le scénariste de la série se contente de broder autour d’un fait historique, en apportant quelques micro-variations. On reconnaîtra néanmoins l’excellente documentation des auteurs sur ce combat naval au large de la Manche. Mais, est-ce suffisant pour faire un bon scénario ?
Les auteurs ont-ils été en panne d’inspiration sur cet album ? C’est à se demander. L’histoire est un peu trop lente à mon goût. Le scénario s’attarde sur le personnage de Quantrill, véritable chef de guerre sudiste, véritable pillard, toujours accompagné des frères James. Il est à noter que J.M. Charlier avait déjà évoqué le personnage dans deux albums de la Jeunesse de Blueberry : les démons du Missouri et terreur sur le Kansas.
J’ai trouvé que les auteurs avaient beaucoup de mal à donner du charisme à ce personnage. J’ai regretté les apparitions de Blutch qui m’ont souvent paru un peu grosses. Le scénario manque de surprise et de trouvaille. Heureusement, la fin de l’album est d’excellente qualité et relève un peu la note.
J’aime beaucoup les décors de cet album. L’ambiance enneigée est particulièrement bien rendue et amène un peu d’exotisme à la série.
Concernant le scénario, je suis plus sceptique. Le fait que Chesterfield ait des cousins dans l’autre camp était une bonne idée. Elle est cependant assez mal exploitée et ne donne lieu qu’à des situations un peu convenues. On aurait aimé un peu plus de folie. Le personnage de Ransack qui est une représentation du chef de guerre pillard, sans foi ni loi, est un peu trop caricatural.
Concernant l’humour, là aussi, c’est "petite forme". J’ai trouvé le gag sur le kilt des Ecossais complètement désuet. Peut-être que l’" inusable " Cauvin était en panne d’inspiration. Le scénario " patine " dans tous les sens du terme sur la construction d’une ligne de chemin de fer, ça n’avance pas et on s’ennuie, même, fermement.
Heureusement, la fin de l’album est assez originale et comme souvent très ironique ; ce qui sauve cet album de la médiocrité.
Ce n’est pas un des albums que je préfère. Pourtant, il y a une bonne situation de départ. Blutch, victime d’un obus doit être soigné par les infirmières du camp. Les femmes sont ici l’élément perturbateur du récit. Les hommes font tout pour les rejoindre à l’infirmerie. Hormis ce bon départ, j’ai trouvé que l’album manquait par la suite de rythme.
On s’ennuie par moment. L'humour n'est pas très efficace. Seul Stark, amoureux de Miss Bertha, infirmière travestie, m'a fait sourire.
Au final, un album correct, mais qui n’exploite pas assez une situation au départ pourtant originale.
Voilà un bon album de la série. Même si à partir du titre, on pouvait s’attendre à une autre histoire d’engagement de mercenaires. L’histoire se décompose en trois parties.
La première concerne la recherche de nouvelles recrues. Après de sanglantes batailles, l’armée nordiste a été décimée. Blutch et Chesterfield partent en quête de nouveaux soldats. Si l’histoire reprend inévitablement certaines séquences déjà vues, le sujet est plutôt bien traité, empreint d’une certaine ironie.
La deuxième partie évoque la rencontre avec les 5 nouvelles recrues, des bandits totalement stupides. Là, intervient un problème : comme souvent chez Cauvin, celui-ci n’exploite pas complètement toute la puissance comique de ces pieds nickelés enrôlés.
Enfin, la dernière partie évoque la présentation de ces bras cassés au général Alexander.
On passe un agréable moment, plus souriant que réellement drôle. Mais la fin est très réussie, même si elle propose une variation sur un thème déjà usité. Les tuniques bleues sont une très bonne série classique qui mériterait une plus grande analyse de l’ensemble de l’œuvre.
Cauvin et Lambil traitent, dans cet album, des motifs présumés de la guerre de sécession, c'est-à-dire la suppression de l'esclavage dans le Sud des Etats-Unis. Black Face (titre de l'album) représente le leader de la cause noire-sorte de Malcolm X avant l'heure- en s'imposant comme un des personnages les plus forts de la série.
Celui-ci démontre vite que le sort des Noirs n'est pas plus enviable au Nord -où ils sont réduits aux travaux avilissants- qu'au Sud-où l'esclavage perdure- et que la présummée abolition de l'esclavage n'a été qu'un prétexte des Nordistes pour prendre les richesses des Confédérés.
Les auteurs déversent leur charge antimilitariste aussi bien contre le Nord que le Sud. Le cynisme est la règle une nouvelle fois de la conclusion de l'album.
Quant à Blutch et Chesterfield, me direz-vous ? Ils sont fidèles à eux-mêmes : Chesterfield toujours aussi borné et un brin idéaliste ne comprenant pas que les Noirs fassent la guerre au Nord qui se bat pour eux et Blutch se montrant toujours un peu plus au-dessus de la mêlée. Mais ceux-ci s'effacent véritablement par rapport à Black Face le vrai héros de cet épisode.
Un des meilleurs albums de la série, sans aucun doute. Le début est magnifique, avec un Blutch au meilleur de sa forme. Celui-ci risque la peine capitale et il s'en prend avec arrogance à l'état-major.
La mission est aussi très intéressante à suivre, puisque par la suite, le sergent et le caporal sont chargés d’enquêter sur le David un mystérieux sous-marin qui fait des dégâts dans la flotte nordiste. Cela donne lieu à d’excellents gags, où l’on voit Blutch et Chesterfield en mutilés de guerre et en costume sudiste. Ceux-ci, ayant été découverts vont être pourchassés par les Rebs dans une course-poursuite haletante.
Enfin, le fin de l’album est très bonne ; comme souvent, les auteurs jouent la carte de la situation ironique.
La grande originalité de cet album vient du retour en arrière qui est fait sur la vie de nos deux compères. Les auteurs choisissent de montrer Blutch et Chesterfield juste avant leur incorporation dans l’armée du Nord.
L’album se compose de deux parties de qualité très inégale. La première partie est la plus intéressante des deux. Elle se situe juste avant leur intégration dans l’armée. On peut y voir les parents de Chesterfield : une mère castratrice qui rêve de voir le futur sergent marié avec la fille du boucher ; un père en fauteuil roulant qui se dit ancien combattant d’Alamo. Quant à Blutch, on le voit en train de tenir son bar, là où il rencontrera Chesterfield pour la première fois. Dans cet album, Les auteurs donnent les raisons de l’incorporation forcée dans l’armée yankee des deux hommes ; cela pouvant expliquer le ressentiment que Blutch éprouve pour Chesterfield.
La deuxième partie m’a moins plus, on y évoque les premiers pas des deux acolytes dans l’armée du Nord. Hormis un détail amusant : on y apprend le prénom de Blutch ; cette partie manque réellement de rythme. Elle ne sert qu’à montrer une suite de situations plus ou moins drôles.
L’incursion au Mexique apporte un petit côté exotique et dépaysant à cet album. Pour une fois, on quitte les charges de cavalerie et les champs de bataille de l’Est américain. C’est, d’ailleurs, l’album que je préfère de la série.
Le début de l’histoire est très intéressant et les auteurs vont parfaitement jouer de la situation. L’album est très dynamique jusqu’à la fin et on ne s’ennuie à aucun moment. Le fait de trouver Chesterfield déguisé en padre et Blutch en peone est une trouvaille géniale. Cela les amène dans des situations totalement burlesques. Ainsi, la scène de la messe est particulièrement drôle. On y voit Chesterfield obligé d’officier pendant une messe, sous la pression du bandit local Diaz.
J’émettrais, cependant, un petit bémol, j’ai trouvé la découverte d’Amélie Appeltown dans le chariot un peu tirée par les cheveux.
Un album pas très original, mais qui se lit assez bien. Les auteurs choisissent d’incorporer une femme dans la garnison des Tuniques Bleues. Celle-ci est en fait l’élément perturbateur de l’histoire car c’est une espionne sudiste.
Les réactions de Blutch et Chesterfield sont diamétralement opposées. Le sergent fait une nouvelle fois preuve de naïveté alors que Blutch se montre plus lucide.
Les combats dans la boue sont assez bien rendus graphiquement et amène à des méprises assez drôles.
Sans être un des meilleurs albums de la série, cette histoire est donc plutôt d’honnête facture.
Voilà le prototype de l’album des Tuniques bleues que je n’aime pas. On attend désespérément qu’il se passe quelques choses dans cette histoire et on est vite déçu. L’originalité devait venir de la présence de Cosaques dans l’armée nordiste, or les auteurs n’arrivent pas dû tout à exploiter la situation de façon convenable.
On a, donc, une impression de gags répétitifs ; Chesterfield servant d’instructeur de cette équipe de Cosaques, Blutch s’amusant de la situation. Cet album est l’archétype du mauvais côté de la série, c’est-à-dire le manque d‘imagination. On sent que les auteurs sont tenus de sortir un album par an et cela se fait, parfois, au détriment de scénarios solides.
Dans cette histoire, les auteurs s’amusent à partir d’une situation inusitée : la présence de Cosaques chez les Tuniques Bleues. Mais, c’est mince pour faire une bonne histoire…
Matthew Brady a été un vrai photographe de guerre et il a notamment officié lors de la guerre civile américaine.
C’est d’ailleurs le personnage de Brady qui fait l’essentiel de l’originalité de cet album. Cette histoire est plutôt bonne et bénéficie de bons traits humoristiques. C’est notamment le cas, lors de la charge héroïque de Chesterfield sur les lignes ennemies. Celui-ci sera très mal récompensé par ses supérieurs, tout le mérite de la charge revenant à Stark. Mais, contre toute attente, c’est Blutch qui va permettre au sergent de retrouver les honneurs. Blutch, dont les auteurs commencent à particulièrement peaufiner sa personnalité d’antimilitariste patenté, trouvant sa situation de photographe bien plus enviable que celle de soldat.
On notera à la fin de l’album un passage plutôt amusant avec le Président Lincoln. Celui-ci a d’ailleurs des idées bien arrêtées sur les militaires et certaines répliques font mouche. La fin, comme souvent dans les Tuniques Bleues, est vraiment bien sentie et particulièrement ironique.
A noter que les combats qui sont décrits dans cet album sont authentiques. A mon avis, c’est un des rares points positifs de cette piètre histoire.
Le scénario est vraiment mince. Il consiste surtout en une exploration des différents corps de l’armée nordiste : la cavalerie, l’infanterie, l’artillerie et la marine.
Chesterfield et Blutch sont à chaque fois chassés d’un corps par un de leurs supérieurs pour cause d'incompétence. On notera parmi ces gradés la deuxième apparition de l'infatigable capitaine Stark, toujours prêt pour une charge de cavalerie.
La deuxième partie de l’histoire qui se concentre sur le passage maritime des deux compères est très poussive et n’a rien d’original. Je me suis clairement ennuyé.
Deuxième album de Lambil au dessin ; je dois dire que je le préfère nettement à celui de Salvérius. Cet album fonctionne une nouvelle fois sur le comique de répétition. Prisonniers des geôles sudistes, Blutch et Chesterfield multiplient les tentatives d’évasion.
Si les premières tentatives ne sont pas très originales et échouent lamentablement ; vers la fin, cela s’améliore nettement. J’ai bien aimé l’idée de la permutation d’identité, les Bleus se retrouvant Gris à la fin ; ils sont alors pourchassés par les deux camps, dans un quiproquo général.
D’ailleurs, la fin de l’album bénéficie d’une charge de cavalerie d’une grande virtuosité graphique. La fin de l’histoire est d’ailleurs très bonne, il y a une bonne dose d’ironie ; comme ce sera souvent le cas dans la série.
Les tuniques bleues avaient été lancées dans le journal Spirou pour pallier le départ de Lucky Luke chez Pilote. Les premiers albums proposent des histoires sur le principe de celles du cow-boy solitaire avec des Indiens et des bandits mexicains.
Cette histoire « Outlaw » choisit le même postulat. Le dessin de Salvé est assez étonnant, utilisant beaucoup les plans cinématographiques. Par contre, les personnages paraissent plus petits par rapport à ceux de Lambil. L’histoire est assez intéressante, on ne s’ennuie pas du tout. Le personnage de Mathias est assez amusant et la situation plutôt originale. Blutch et Chesterfield sont dégradés pour démasquer un groupe de bandits. Un bon album de la série.
J’aime beaucoup cet album qui fait preuve d’une grande originalité. On quitte les champs de bataille de l’Est pour la haute mer et cela donne lieu à d’excellents moments.
L’histoire démarre sur les chapeaux de roue avec ce procès où Blutch s’en donne à cœur joie. Ensuite, la mission qui les mène au bateau la Rose de Bantry est passionnante. Les auteurs jouent sur le comique de répétition avec la méprise de Blutch qui prend un passager du nom de Kavanagh pour l’homme qu’il recherche Hogan. Celui-ci était chargé de sceller une alliance entre Napoléon III, la Reine Victoria et les confédérés. Le capitaine du navire est un personnage secondaire très intéressant, sorte de tyran, que seul l’argent attire.
Enfin, la fin est excellente comme souvent dans la série et est un hommage non voilé à l’album Les cavaliers du ciel.
Vraiment un excellent album qui n’a qu’un point faible, à mon avis (voir plus bas). Les auteurs s’étaient déjà amusés au retour en arrière sur Blue Retro. Ils rééditent l’expérience ici, mais avec plus de réussite. L’intérêt de cet album est de nous montrer l’enfance de Blutch par le regard d’une sorte de père adoptif Doc, un ivrogne notoire. On se rend compte que son enfance n’a pas été facile. Même Chesterfield éprouve de la compassion pour son comparse. La narration adoptée par les auteurs est très intéressante car elle laisse planer un doute, le Blutch dont Doc parle est-il bien le Caporal Blutch que nous connaissons tous ?
Seule la fin m’a un peu déçue car on ne comprend pas pourquoi Blutch qui avait l’occasion de déserter une bonne fois pour toute l’armée revient au camp. Enfin, hormis ce petit point négatif, cette histoire fait preuve d’une grande maturité. Il est bien dommage que les auteurs n’aient pas gardé la qualité scénaristique de cet épisode pour les albums suivants.
Rumberley est un très bon album de la série : la situation de départ est particulièrement intelligente. Sur ordre de l’état-major, Blutch et Chesterfield sont chargés de ramener des blessés nordistes dans la petite ville de Rumberley.
Le seul problème, c’est que les habitants de cette ville sont dévoués corps et âmes aux Sudistes. Cela donne lieu à d’excellentes situations, Blutch étant particulièrement en forme. Une nouvelle fois, les auteurs jouent sur la critique de l’état-major dénonçant son cynisme ; Alexander sait parfaitement que la ville de Rumberley est un « nid » de Sudistes, pourtant il n'hésite pas à y envoyer ses blessés.
La fin de l’album est d’ailleurs très réussie. Pour la première fois, les auteurs donnent à Stark un côté humain. Celui-ci participe aux manœuvres destinées à éteindre l’incendie qui touche la ville. La fin est, comme souvent dans la série très réussie, la charge sur le général Alexander menée par les éclopés de l’armée nordiste, Stark en tête, étant très drôle.
Album qui tient entièrement sur la personnalité de Bronco Benny, dresseur de chevaux de son état et qui ne prononce pas une parole de tout l’album. Le personnage est particulièrement bien trouvé.
Le scénario est assez bon, mais souffre de quelques faiblesses, il y a un côté un peu trop répétitif dans certaines situations. On notera la présence de Traveller, véritable cheval du général Lee, qui, dans l’album est dressé par Bronco Benny.
Encore une fois, les auteurs évoquent le cynisme de l’état-major. Stilman, proposant d’utiliser la solde des troupes pour acheter des chevaux. Il décide de ne verser la solde que le lendemain d’une charge de cavalerie, espérant faire des économies à cause du nombre de morts. Blutch et Chesterfield vont être encore victimes d’une terrible désillusion quand ils se rendent compte que les chevaux qu’ils ont pris sont tous des éclopés.
J’ai bien aimé l’ambiance, à peu près l’idée (de se faire passer pour des Sudistes, même s’ils l’ont déjà fait)…
Et j’ai retrouvé un peu la verve de Cauvin des débuts, avec des piques plus amusantes venant de Blutch.
Cela étant, voilà longtemps que la série a quitté la catégorie « humour de situation et de dialogue » pour entrer dans celle de « cours d’histoire avec le sourire ».
Là, on voit un noir engagé dans le camp qui l’oppresse, un magot à trouver, nos héros qui se font passer pour des Sudistes sans savoir de quoi ils parlent…
Il y avait matière à rebondissement, course-poursuite, quiproquo, malaise…
On est dans une sorte de road movie tranquillou pépère où on marche en discutant jusqu’à ce que la fin arrive.
C’est pas déplaisant en soi mais on est loin des épopées hilarantes d’antan…
Vous croyez encore que l'enjeu de cette série, c'est le plaisir du lecteur ? On est là face à du service minimum, du travail d'astreinte, du pur alimentaire. Rien d’irritant (quoi que, le dessin peut-être ?), rien de plaisant. C'est plat comme un repas de CROUS un dix janvier.
Bon soyons clair, cette série aurait dû s'arrêter depuis au moins 10 ans, cependant les raisons pécunières prévalent toujours au-dessus de toutes les autres, même après la mort de Cauvin. De plus, le dernier album des Tuniques Bleues ("Du feu sur la glace") m'avait quelque peu refroidi, autant dire que pour le prochain, je n'avais pas d'attente particulière.
Première surprise: au scénario exit Kris, place à F. Neidhardt et finalement c'est un changement qui s'est avéré bénéfique pour cet album. En effet, nous retrouvons le duo Chesterfield/Blutch qui va tomber sur les doubles de leurs colonels habituels mais du côté confédéré, le fils du Général Lee, son assistant noir Jones et un pasteur hors-la-loi sans honneur. Ces rencontres apportent un peu de nouveauté et d'humour.
Le rythme est correct avec quelques rebondissements qui pointent le bout de leur nez mais sans trop de surprises. Le terrain est bien balisé et cela fonctionne mais il manque peut-être un peu de folie et d'audace pour sortir du lot. Par ailleurs, le postulat fait écho à l'un des meilleurs albums "L'or du Québec" avec ces lingots qui permettraient au Sud d'obtenir un avantage sur le cours de la guerre de Sécession.
La série continue mais comme je l'ai dit au début elle aurait dû s'arrêter bien plutôt, c'est beau de vouloir persister mais comme dit dans un avis précédent: "le meilleur est désormais derrière nous". Je note quand-même la meilleure réplique qui m'ait été donné de lire depuis très longtemps dans cette série: "Vous croyez encore que l'enjeu de cette guerre, c'est l'abolition de l'esclavage ?".
Pas envie de dire que c’est mauvais mais on est tellement habitué aux dessins de Lambil que la lecture en est troublante.
C’était totalement évitable. Je ne recommande pas.
Quand la série s’essouffle, ça se ressent. Il y a des hauts et des bas dans les albums des Tuniques bleues. Ici, on est clairement dans une mauvaise passe.
Le scénario est un peu faiblard, ça manque de punch. L’humour, bien que présent, est moyennement maîtrisé. L’acharnement de Blutch vers l’officier supérieur est lassant à la longue.
Au final, c’est vite lu et ça s’oubliera très rapidement. Dommage car il y avait certainement matière pour mieux faire.
Une série qui continue, mais qui se cherche, n'est pas Cauvin qui veut. Bonne petite histoire, mais l'impression est que le meilleur est désormais derrière nous. Il est un moment où il faut pouvoir s'arrêter en pleine gloire plutôt que trop tard.
Un peu surpris par le dessin. Je me suis même demandé s’ils n’avaient pas changé de dessinateur plutôt que de scénariste.
L’histoire est pleine de rebondissements et il y a quelques réussites comme l’inversion des rôles entre Blutch et Cornelius ou l’affreux rejeton du général Lee. L’album tient la route et c’est louable. Je reste convaincu que pour redonner de la vigueur à cette série il faudrait sortir de cette guerre de sécession qui limite les innovations.
avec le changement de scénariste on espérait beaucoup, et le résultat est peu probant, l'idée de départ est sympa mais au fil des pages cela ronronne et les rebondissements sont sans surprises. Lambil assure à minima le dessin même si celui ci devient moins précis. Quel dommage que les auteurs ne savent pas dire stop!
Nous retrouvons nos deux compères que sont le caporal Blutch et le sergent Chesterfield. Tous les séparent car l'un est plutôt pacifiste quand l'autre a l'âme d'un guerrier. Pour autant, ils sont toujours fourrés ensemble même lorsqu'ils bénéficient d'une permission de sortir.
A noter tout de même que le sergent Chesterfield fait la différence entre un acte de guerre et un pur assassinat. Il va essayer de tenir la promesse qu'il a fait e à un mourant sudiste ce qui ne sera pas une mince affaire quant à sa réalisation.
J'ai trouvé que pour une fois, c'est lui qui semble voler la vedette au caporal Blutch qu'on trouve généralement plus censé et sympathique que le va-t'en-guerre. Chesterfield a visiblement une moralité et de beaux principes.
Ce tome tourne autour du thème du fameux or sudiste qui aurait pu inverser le cours de la guerre. Oui, comme chacun le sait, c'est l'argent qui est le nerf de la guerre. Il reste assez léger malgré toutes les horreurs de la guerre de Sécession. On a également droit à une remarque comme quoi sur le prétexte abolitionniste pour expliquer la cause du Nord. Oui, c’est une guerre pour s’approprier des richesses et rien d’autre.
Nous avons là un album qui demeure encore assez sympathique. Il y a une simplicité et une efficacité dans le scénario qui va de pair avec un dessin dans la tradition des séries humoristes franco-belge. A noter qu’un nouveau scénariste a pris le relai pour nous présenter un récit plus structuré et à rebondissement tout en restant dans la tradition de ce qu’on attend d’une telle série. Bref, un divertissement à l’état pur pour l’une de mes plus grandes séries dans ma collection.
Voilà longtemps que la série a perdu son humour décalé et son originalité, ses dialogues drôles et ciselés entre Blutch et Chesterfield…
Alors, qu’est-ce qu’il reste ?
La nostalgie, d’un côté, le plaisir de retrouver les personnages – et ici, on en retrouve même des anciens.
Le côté historique vrai de l’autre, nous faire découvrir des choses qui ont existé à l’époque.
Mais je n’ai pas été emporté par la folie dynamique des vingt ou trente premiers tomes.
La qualité du dessin est toujours là et c’est sympa de se plonger dedans mais sans procurer les émotions d’antan – sans savoir si c’est la série ou moi qui a vieilli et devrait arrêter…
Un album un peu faiblard comme souvent quand les bleus sont au fort et non au front. Ça reste très sympathique et amusant mais le challenge principal (empêcher les chercheurs d’or de venir sur un territoire indien ce qui relancerait les guerres indiennes) est résolu un peu trop rapidement et facilement. Les auteurs ont privilégié la farce à l’action. Il faudra s’en contenter. Au meilleur de leur forme, ils étaient capables des deux.
Les dessins ne donnent pas envie de continuer la collection, histoire banale d'un journaliste plein de bonnes intentions scénario utilisé en BD et films
quel dommage de ne pas avoir arrêter la série quand il était encore temps, le scénario part dans tous les sens, on part des syndromes touchant les soldats puis on dérive dans une ballade avec un anarchiste qui tutoie mais qui mène nulle part pour arriver sur un territoire ou les gentils indiens sont pris à parti par les sudistes, mais protégé par un chaman ! à coté d'un fort où l'on retrouve l'amour du sergent! et à la fin on a l'impression qu'aucunes des histoires ont aboutis! par ailleurs le dessins lui aussi semble manqué de précisions au fil des pages! un album à oublier!
Critique de la BD “du feu sur la glace”
Je sais pas trop quoi penser de cette BD. Je suis un très grand fan de Cauvin et des tuniques bleues, et j'avais été extrêmement déçu par les précédents tomes. “Les tuniques bleues” s’essouffle. L'histoire est sans intérêt et la fin bâclé. Les dessins franchement moyens. De plus Kris à voulu rajouter un soupçon de magie indienne qui dénote avec l'esprit des précédents opus.
J'ai du mal à me décider si ce nouveau tuniques bleues est mauvais ou simplement nul. Rien ne va ! L'histoire n'est vraiment pas terrible, les personnages inintéressants au possible et le message maladroit. Y a juste les dessins qui sortent un peu du lot. Cependant ils n'ont rien à voir avec le style habituel de ces bandes dessinées. Ils viennent juste rajouter un peu de confusion chez les lecteurs habitués au style de Lambil.
Un échec total, je ne recommande vivement pas !
Tiens tiens, un nouvel album des Tuniques Bleues avec de nouveau Kris au scénario et Lambil aux dessins, après le sympatoche 'Irish Melody'. Est-ce que le présent volet est d'aussi bonne facture voire mieux que le précédent ?
Cet album a malheureusement le cul entre trois chaises (oui c'est possible) avec d'un côté le stress post-traumatique du sergent, les tribus indiennes opprimées par les méchants blancs sudistes et la présence du cartographe anarchiste. Il y a l'envie de traiter de plusieurs sujets sur un album, chose appréciable mais atteindre l'équilibre est délicat. Dans l'ensemble, j'ai eu plus l'impression d'avoir assisté à une greffe qui marche par à-coups.
Le pire se révèle être l'insertion de problématiques progressistes actuelles au forceps, dans un contexte géopolitique et socio-historique qui était beaucoup plus complexe que ce l'on peut supposer. Ce volet insiste là-dessus via le personnage d'Amélie qui veut soigner tout le monde et l'anarchiste qui récite ses belles leçons de vivre-ensemble sans frontière. A mourir de rire.
L'armée de l'Union a aussi massacré son lot de tribus indiennes, et ce encore plus après la guerre de Sécession. Pour une série qui réussissait à ne pas tomber dans un camp ou l'autre (par exemple Black Face ou les cousins d'en face) et à ne jamais être trop pontifiante, c'est vraiment dommage.
cet album ne fait pas partie des plus grands de la série mais c’est un bon album avec une aventure plaisante et drôle aussi grâce à un Blutch qui offre un festival digne d’une comédie de cinéma muet.
Cet album est une énigme pour moi.
Le dessin, pour une raison que j'ignore m'a perturbé sur les premières pages. Je ne saurais dire si c'est une impression ou un réel changement, alors même que Willy Lambil était à la manoeuvre. Outre ce détail qui s'est un peu estompé au fil de ma lecture, je n'ai à vrai dire rien compris au scénario. L'idée de départ d'un Sergent Chesterfield en proie au stress post-traumatique est bonne (quoique trop similaire aux nombreuses péripéties connues par le capitaine Stark au fil des albums suite à l'éclat d'obus). Mais pourquoi diable y insérer un cartographe pacifiste et communiste avant l'heure (ce qui pose question d'un point de vue historique (là où la série les tuniques bleues brille habituellement par sa rigueur historiographique) et des creeks ? Je n'ai pas vraiment compris la logique de l'entremêlement de ces trois problématiques. Cela a créé une surcharge narrative avec un enchaînement d'actions sans véritable fil conducteur. Et que dire de la fin qui introduit un soupçon de surnaturel ? Non cet album est une déception pour moi. J'espère que le prochain tome rehaussera le niveau. Un scénario plus clair avec davantage de légèreté.
Bonjour, j'étais content de retrouver Will Lambil comme dessinateur mais l'histoire de plus d'un siècle parsemée des "états d'ame de notre époque" me laisse perplexe. Il faut arrêter de dénaturer l'histoire en la travestir avec des connaissances inexistantes à l'époque décrite
Visiblement après avoir annoncé ses adieux à sa série à coup de grandes pompes, Willy Lambil revient au dessin pour un tome supplémentaire. Les fans seront évidemment ravis. J'ai la plus grande admiration pour lui en raison de son âge. Il ne lâche pas l'affaire.
C'est la BD que je suis depuis ma plus tendre enfance aussi loin que je me souvienne avec le duo comique entre le Sergent Chesterfield et le caporal Blutch sur fond de guerre de Sécession. Autant, dire que je possède les 67 tomes de cette série qui constitue la plus longue de ma collection. C'est presque devenue comme une habitude.
Pour la partie historique, il s'agit pour les rebelles de massacrer les tributs indiennes situées plus à l'Ouest pour les faire tomber dans leur girons car la plupart sont restés fidèles à l'union. On se rend compte que les indiens ont été massacrés même pour une guerre qui ne les concernaient pas. C'est triste comme la fin où il y aura un sacrifice pour sauver la troupe. Voilà pour le travail de recherche concernant ce tome scénarisé par Kris.
Le ton reste toujours aussi léger avec quelques réparties bien senties. On retrouvera même la délicieuse Amélie Appeltown qui se transforme en infirmière pour soigner les blessés quelque soit la race.
Evidemment, la lecture demeure toujours aussi agréable avec une évolution assez intéressante concernant le personnage du Sergent Chesterfiel qui va s’intéresser à autre chose que le culte de l'armée.
Après un dernier album scénarisé par Cauvin (T.64) très moyen et une reprise catastrophique (T.65), j'avais arrêté la série et pensais passer à autre chose. C'était sans compter ce nouvel opus qui titillait mon regard en grande surface et qui ne demandait qu'à être lu. Après lecture, je suis soulagé de dire que la barre a été (heureusement) relevée.
Bon soyons clair, ce n'est pas un chef d'œuvre et il ne s'y passe pas grand chose au final. Néanmoins, le scénario écrit par Kris ajoute un côté plus brut de décoffrage dans le sens où nous revenons à la réalité meurtrière de la guerre.
Il y a bien entendu de l'humour mais moins qu'à l'accoutumée. J'ai aussi noté la qualité de certains dialogues bien amenés et piquant par moment. L'histoire globale m'a rappelé l'excellent album 'les cousins d'en face' par instant, même si cet opus n'en atteint jamais la qualité.
Au dessin, Lambil est fidèle à lui-même et à 86 ans passés, on peut dire qu'il a du mérite de continuer.
Un album sympathique, sans prétention, mais largement mieux que le précédent (ce qui n'était pas difficile). J'attends de voir les opus suivants avec de nouveau Kris à la barre.
En soi, le tome est assez vivant.
On ne remarquerait quasi pas le changement de scénariste tant Kris s’est parfaitement imprégné de l’esprit de la série.
Lambil est toujours épatant avec ses dessins ronds et vifs à la fois…
Cependant, ça manque pas mal d’humour par rapport aux débuts…
Quelques confrontations entre Blutch et Chesterfield, pour la forme, mais l’ensemble est assez sérieux, on a de la vraie guerre, du mort…
L’histoire avance, certes, mais plus rude que d’habitude et si c’est agréable de voir qu’on pourra toujours avoir un bon scénariste à la série, ce n’est pas le tome que je prendrai plaisir à relire…
Très bon album avec une intrigue émouvante et drôle. J'ai trouvé les graphismes réussis. Au final, j'ai passé un bon moment en compagnie de nos deux zigotos de service. Je n'ai qu'une hâte : de lire le prochain opus !
Ouf, on a retrouvé l'esprit et le dessin des Tuniques Bleues. Bon album, il augure plein de bonne chose pour le suite. Kris prend la relève et est à la hauteur de cette BD mythique.
Seule question: Quid de Lambil qui avait annoncé sa retraite, bien méritée ? Reprend-il du service ? Lui trouver un remplaçant permettrait de repartir pour 60 albums ! ! !
A quand les Blutch et Chesterfield au Mexique ?