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Les derniers avis postés sur les albums de la série

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    Erik67 Le 03/12/2020 à 09:01:41

    J'ai du mal à croire que la première édition de cette série a débuté en 1982. Cela a si peu vieilli. Le dessin est un peu figé. Cependant, le trait de Giardino va évoluer au fil des tomes et des années. Je me souviens encore du fabuleux Jonas Fink que j'ai découvert il y a peu. On retrouve un peu de cette ambiance.

    J'ai bien aimé les aventures de cet espion français qui commence en Février 1938 avant la Seconde Guerre mondiale. Les dialogues sont de qualité. Le scénario est réellement subtil avec une bonne documentation historique par derrière.

    Je crois que j'ai surtout aimé le personnage de Max Fridman qui ne se fait plus d'illusions sur la vie ce qui lui confère une grande maturité d'esprit. Il est perspicace et intelligent ce qui aide sérieusement dans le monde de l'espionnage entre trahison et double-jeu.

    Une série également à découvrir pour admirer le talent de cet auteur italien de génie!

    jmarcv Le 24/04/2017 à 09:39:00

    un petit côté vintage à cette histoire d'espionnage qui nous fait retomber dans les gueguerres entre les différents services d'espionnage de l'époque de différents pays.
    Les dessins aident à l'ambiance générale de cette histoire.
    un album à ranger dans les classiques de la BD.

    pokespagne Le 13/06/2016 à 06:12:07

    "Sin ilusión", conclusion désabusée, amère même, de "la trilogie de la guerre d'Espagne" de Giardino, est certainement le meilleur des trois livres - le plus rempli d'action, de coups de théâtre, etc. -, mais ne réussit pas non plus à soulever le même enthousiasme de notre part que les débuts de Max Fridman. Malgré les multiples péripéties qui mènent Fridman à la découverte de Treves et du secret de "Cocorito", règne ici une impression d'immobilisme pesant : on a du mal à vibrer même quand les balles sifflent - de manière un peu répétitive d'ailleurs - aux oreilles de notre héros. On peut tenir pour responsable de ce manque de dynamisme le dessin parfait, mais par trop "posé", de Giardino, mais c'est peut-être plutôt l'immobilisme de Fridman, paralysé par ses désillusions (le titre du livre est clair) et par une forme naissante de défaitisme qui passe mal ! ... Et est dans doute antinomique par rapport à un récit policier / d'aventures où l'on doit craindre pour la vie du héros. Ici tout est clairement perdu depuis toujours, la grande Histoire (on sait bien entendu le funeste destin de la jeune République espagnole) comme la petite : la fuite de Fridman devant l'aventure de l'amour qui lui est offerte, même si elle nous offre une jolie conclusion avec ses retrouvailles avec sa fille, n'est pas un grand moment romantique, plus une lâcheté sans aucun panache. On peut comprendre, voire avoir de la sympathie pour le pessimisme (la lucidité) Giardino, mais il est indiscutable qu'il est fatal au charisme de "Max Fridman", le personnage de BD. (C'est d'ailleurs en cela que Giardino est infiniment inférieur à son compatriote Pratt qui réussit au contraire à nourrir le romantisme éperdu des aventures de Corto Maltese du cynisme élégant de son héros...).

    pokespagne Le 11/06/2016 à 09:32:06

    Le temps de la découverte fracassante d'un Max Fridman aux prises avec les jeux d'espionnage européen de l'avant-guerre est désormais loin, et Giardino malgré l'excellence de sa ligne claire, ne s'est pas imposé comme le géant de la BD dont on avait prédit l'avènement. Je me suis moi-même détaché des aventures historiques de Max Fridman, et renouer aujourd'hui avec le fil embrouillé de son histoire - depuis "No Pasarán", Fridman est aux côtés des Républicains espagnols peu avant la victoire de Franco... - n'est pas une chose aisée. Alors, du coup, mieux vaut se délecter de la mise en scène impeccable de ces scènes de guerre, mais surtout de déroute et d'accablement, qui dressent un constat tragique de l'effondrement du rêve communiste sous les assauts du fascisme, abandonné par une Union Soviétique qui avait déjà d'autres préoccupations que la libération des peuples... En lisant "Río de Sangre", on suit les vains allers et retours de ses personnages perdus dans le chaos de la guerre, vaincus par le froid qui s'avance, on tremble avec eux sous les bombes, on pleure avec eux les pauvres victimes. Même si l'intrigue en elle-même n'est pas passionnante, cela fait de "Río de Sangre" un beau livre.

    Mercutio_Untold Le 19/10/2015 à 20:46:18

    Novembre 1938,
    Max Fridmann touche au but et commence à sérieusement gêner certains intérêts. Utilisé malgré lui par la Seguridad pour trouver la taupe au quartier général, le héros avance sans faiblir, entre cynisme et romantisme, jusqu'au dénouement tragique.
    Un très bon album de Vittorio Giardino.

    Mercutio_Untold Le 19/10/2015 à 20:20:03

    Novembre 1938,
    L'enquête pour retrouver son ami Guido Treves mène Max Fridman sur le front de l'Ebre en pleine débâcle des Républicains. Une atmosphère très reporters de guerre. Certains dessins sont un ton en dessous par rapport à la production de Vittorio Giardino . Néanmoins, l'album est très agréable à lire et la suite prouvera le talent de cet artiste.

    Mercutio_Untold Le 19/10/2015 à 20:08:15

    Octobre 1938,
    Max Fridman part en pleine guerre civile espagnole pour rechercher son ami Guido Treves qui a disparu sans laisser de traces. Une plongée dans le passé de Max et son engagement dans les Brigades internationales. Le héros sera troublé par le charme de la belle journaliste belge Claire Blon.
    Une nouvelle fois, nous sommes à la lisière de la deuxième guerre mondiale qui finalement n'est que la continuation d'un conflit qui a commencé bien avant. Un très bon album de Vittorio Giardino où le lecteur se transforme en reporter de guerre dans une Barcelone assiégée.

    Mercutio_Untold Le 19/10/2015 à 19:35:58

    Février 1938,
    Le réseau d'espionnage français Rhapsodie est éliminé à Budapest. Max Fridmann est envoyé en Hongrie par le 2ème bureau pour découvrir ce qui s'est passé.
    Une formidable histoire d'espionnage qui plonge le lecteur dans la guerre secrète entre puissances européennes. Le scénario est si bien ficelé que le mystère ne sera dévoilé qu'à la dernière page. Le héros principal est attachant comme la jeune et jolie Ethel Möget pour qui il craquera. Un superbe album d'un très grand de la bande dessinée italienne

    Mercutio_Untold Le 30/09/2015 à 19:55:38

    Une superbe histoire d'espionnage à Istanbul pendant l'été 1938 à la veille de la deuxième guerre mondiale . Le passé rattrape une nouvelle fois Max Fridman pris entre les services secrets soviétiques et français dans une course-poursuite pour capturer l'ingénieur David Stern en fuite. Sa rencontre avec une belle mystérieuse, Martha Witnitz, troublera une fois de plus notre héros. Le dessin de Vittorio Giardino est toujours aussi magnifique.

    noubealitas Le 24/11/2013 à 20:53:17

    Cette trilogie sur la guerre d'Espagne est vraiment magnifique. On oublie souvent de dire que Giardino est non seulement un très grand dessinateur, mais aussi un très grand conteur. En tout cas, moi, je n'hésite pas à le hisser à la hauteur d'un Hugo Pratt, par exemple !
    L'histoire est captivante d'un bout à l'autre, sérieusement documentée. Giardino a fait là de l'excellent travail.
    Au bout du compte, Max Fridman s'en sort bien, alors que les Républicains sont en train de perdre la guerre. Ainsi va l'Histoire...

    padav Le 07/01/2012 à 10:00:21

    Je suis plutôt un fanatique de Giardino, notamment pour ses dessins. Mais je trouve que la série semble s'essouffler, et que les 3 derniers tomes (d'ailleurs réédité dans une intégrale) sont moins bien que les deux premiers...
    Les dessins sont toujours réussis, le contexte historique passionnant. Mais... quelque chose ne m'a pas assez emballé... à lire tout de même si vous ne connaissez pas.

    padav Le 07/01/2012 à 09:57:30

    Un album bien mené. Les excellents dessins et la psychologie des personnages sont très intéressants, et l'atmosphère (dessins - dialogues - décors) très réusis. Un indispensable, ainsi que le tome 2.

    voltaire Le 16/04/2008 à 19:20:06

    Le titre de l'album indique bien l'atmosphère de l'histoire.
    Max s'est jeté dans cette aventure sans grande illusion sur le sort de son ami.
    Il n'a plus davantage d'illusions sur les "forces de progrès" noyautées par les staliniens.
    Guère d'illusions sur le sort des Républicains et encore moins sur le sort des ses frères d'armes.
    Quant à l'opportunité d'un amour naissant, il préfèrera le fuir croyant se sacrifier pour sa fille.
    C'est vraiment une fuite en avant sans aucune illusion. Mais Dieu que ce désespoir, que cette mélancolie sont belles à lire.

    NB : il y a presque 10 ans d'écart entre le premier album et ce 3ème qui clôt la série; seul le talent de Giardino (pour ne pas dire la grâce ou le génie) permet de tolérer un tel écart. Et que dire de Jonas Fink commencé encore plus tôt -1994- et toujours en rade après 2 albums !
    Au boulot M. Giardino ! vos admirateurs attendent vos suites avec impatience !

    Hugui Le 30/03/2008 à 17:10:49

    Fin de la trilogie espagnole où Fridman continue de chercher son ami disparu en se heurtant aux deux camps et en perdant ce qui lui reste d'illusions sur la justesse des combats menés. Finalement c'est l'attachement à sa petite fille qui lui fait résister à tout y compris aux tentations de l'amour et c'est finalement la partie la plus touchante de l'histoire.
    Très bon.

    voltaire Le 16/12/2007 à 20:02:48

    Suite directe de l'album "No Pasaran". Ce qui faisait le suspens des premiers albums était basé sur les ressorts du monde de l'espionnage, des trahisons et des double-jeu.
    Ici le suspens est lié à la guerre, d'où la petite marque de retrait par rapport aux volumes précédents.

    voltaire Le 16/12/2007 à 19:45:46

    Les aventures de Fridman remontent lentement le temps puisque nous sommes en Espagne durant l'été. La guerre civile est à son climax mais jette en fait ses derniers feux.
    A la demande d'une amie, Max part en Espagne à la recherche de Guido avec lequel il s'était quelque peu brouillé. Ce sera pour le lecteur de découvrir une Barcelone oppressante et en ruine.

    voltaire Le 16/12/2007 à 19:38:41

    Nous sommes fin 1938 à Istanbul. Le NKVD, l'ancêtre du KGB, a décidé de faire le ménage. Le hasard fait rencontrer Max Fridman et la ravissante Magda Witzman. Très vite Max s'aperçoit qu'il n'est pas en sécurité. Mais les choses seront plus compliquées que prévu.

    voltaire Le 16/12/2007 à 19:27:17

    Superbe et subtil thriller dans lequel les services secrets français et plus généralement démocratiques se font balader par les services secrets nazis.
    Un ton désabusé, désespéré, devant la menace imminente et inéluctable de la deuxième guerre mondiale.

    Hugui Le 19/11/2006 à 17:22:21

    Pour l'instant le scénario tient ses promesses, on est dans la fin de la guerre d'Espagne, et si on est du côté des républicains, il y a plus de victimes que de héros dans leurs rangs. Quel que soit le côté, la guerre et l'idéologie sont toujours sales pour Giordano, et on ne peut pas lui donner tord. Si Max n'a plus d'illusions, il est toujours porté par sa fidélité et sa peur, et à la chance d'être toujours accompagnée de jolis femmes. Alors on lui restera fidèle nous aussi.

    gabos Le 14/07/2004 à 11:18:50

    Bizarre qu'aucun avis ne soit délivré sur cette BD.
    Pourtant la série Max Fridman mérite qu'on s'y arrete et sérieusement.
    Le graphisme est très propre, le personnage principal est d'une force fabuleuse, anti héros : digne, sensible, intelligent mais fragile.
    Tous les scénarios sont remarqiablement ciselés et basés sur des faits historiques remarquablement documentés.
    A posséder absolument.