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Histoire
Série finie
Europe
34 albums
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Conspiration politique à Venise. Vasco finit du mauvais côté de l’histoire romancée du doge Marin Falier. Retour de personnages connus de la série, scénario d’espionnage, décors et dessins de qualité, réalité historique et fiction se mêlent à merveille. À lire absolument si vous aimez la bd historique.
Un polar médiéval sans grand intérêt du point de vue de l’enquête. Son seul avantage reste le dessin des décors, vêtements, objets, et autres armoiries des Hohenzollern. Ça reste quand même insuffisant.
Un album quasi-ésotérique. Aucun intérêt historique mais les décors de Cappadoce et les costumes sont magnifiquement dessinés. Une scène de bataille médiévale réussie au programme également !
Cet album trimballe le lecteur dans des intrigues politiques entre Gênes et Venise autour de Constantinople. Moins réussi et juste que les deux premiers, il reste plaisant à lire (et à relire).
Les deux premiers tomes de Vasco sont une vrai réussite aussi bien scénaristique qu’historique. Tout amateur de saga historique devrait les avoir lus. Le dessin de Chaillet est précis et à plutôt bien vieilli. Un véritable plaisir de le relire.
Bon scénario.
A noter le clin d’oeil à Jacques Martin / Giaccomo Martini page 7.
Un illustre peintre siennois qui passe plus de temps dans les tribunaux que dans son atelier !
Voilà encore un très bon album de Chaillet autant dans le dessin que le scenario.
Nos comparses Vasco, Van loo que vous connaissaient maintenant et d'un troisième larron que je tiens secret sont en vadrouilles dans les Ardennes Belge ils vont voyager et dormir à La roche-en-Ardennes vous y ferrez le chateau médiéval reconstruit ils prendront la direction à l'abbaye d'orval et sa bonne bière et termineront dans le beau chateau fort de Bouillon à 500 mètre des Ardennes Française.
Pour celui-ci je suis plus mitigé sur l'histoire de cet album les dessins sont bons certes mais pas les meilleurs non plus et le scénario est un peu en dessous de ce que notre ami Chaillet m'a fait vivre dans d'autres BD.
Voilà encore un album a la hauteur tant par les dessins, l'histoire en elle même avec comme d'habitude des renversements de situation que Chaillet adore nous faire vivre.
Notre ami Vasco doit partir illico en Flandre d'abord dans la ville de Gand et en suite à Bruges(Belgique)que les Belges appelle la petite Venise du nord et de la de nouvelles péripéties pour notre héro...a lire
5/5
Oui je sais mais quand on aime on n' compte pas.
Encore une belle histoire bien ficelée un bon scenario qui tient la route et que dire de notre belle France un très beau lieu ici reprit pas Chaillet ...Carcassonne et sa cité médiévale que du bonheur dans ses dessins.
Super bd dessin de Chaillet Venise et ses gondoles, ses ruelles ambiguës des palais et des églises somptueuses j'ai aimé.
Coté scenario des rebondissements en vois tu en voilà excellent comme pour les autres tomes que j'ai déjà lu.
On est loin des scénarios des premiers albums depuis une bonne dizaine d'albums déjà. Mais depuis que Révillon a repris le scénario, il y a eu un net redressement.
Quant au dessin, je le trouve tout à fait convenable.
Et la fin est très adroite, toute en finesse et en sensibilité.
Dommage que ce soit le dernier épisode !
Une aventure qui n'en est pas une et dont le mérite est de clore les aventures de notre héros. On est bien loin des scenarii et du dessin des premiers tomes, c'est dommage.
Vasco part pour Carcassonne car son père, proche des cathares, est condamné à mort. La cité est menacée par les anglais du prince Noir. Un album fidèle à la série avec des dessins très précis et des textes qui freinent parfois l'intrigue.
Très intéressant. Il y a une bonne intrigue, le dessin est très bien, contrairement à ce que faisait Toutblanc. les personnages sont attachants. Cela vaut au moins un bon Chaillet. J'ai beaucoup aimé la suite aussi, même si Sophie est éclipsée par une jolie blonde. On attend les prochains albums avec impatience.
Cette série avec un héros sans caracrtère était devenue sans âme, sans intérêt....voire ringarde.
Elle ressuscite grâce à ces deux auteurs qu'ils convient de saluer tant pour la qualité et les précisions des dessins que pour la très bonne tenue du scénario.
Avec tous mes encouragements pour la suite !
Vasco est à la cour du grand Khan Toghan pour établir un accord commercial entre l'Italie et la Chine, sur le commerce des soieries. Cet album termine la saga chinoise de Vasco.
Dans cet album, Gilles Chaillet nous plonge dans le Tibet du 14e siècle où Vasco est confronté à la secte du Lotus Blanc. Les décors, les costumes sont magnifiques.
Vasco Baglioni et Van Loo sont à la cours du vizir Bâhrâm Ghör. L'intérêt de l'album relève sans doute de la beauté des dessins des villes orientales.
Vasco voyage à Jérusalem, au Saint-Sépulcre. Basileus Cantacuzène a été déchu de son trône. Sophie a été répudiée par son mari, Orkhan. Elle a été donnée à Ashraf, le jeune prince de la ville d'Ispahan.
Ce album se veut la suite du "Chemin de Montségur". Vasco est au château de Sicart le Diable. Il comprend que dans les fondations du château, se cachent les cathares qui ont survécus au massacre de Montségur.
Vasco arrive à Carcassonne car il a entendu que son père, Francesco Baglioni est condamné au buché pour hérésie cathare. Vasco vient en aide à son père. Cet album est important car on en apprend plus sur la famille de Vasco.
En avril 1355, Vasco et son oncle sont en route vers Venise où ils doivent apporter de l’argent au Doge. Chaillet rend à merveille Venise du 14e siècle au prise avec la peste.
Vasco est envoyé à Nuremberg pour enquêter sur la un prêt d’un Prince de Hohenzollern qui régente le château. Les dessins de l'Allemagne médiévale sont très bons.
Le scénario perd un peu en rythme. Ce n'est pas le meilleur album mais le dessin reste irréprochable.
Dans ce troisième album, Chaillet nous plonge dans le Byzance du 14ième siècle. C'est probablement un des albums les plus historiés.
Arrivé à Avignon, Vasco se sent menacé. Il va affronter surprend le gouverneur véreux Malatesta, la sorcière Locuste… Ce second album reste bon tant au niveau dessin que scénario.
A Sienne, en 1347, Vasco Baglioni va être d’acheminer l’or de son oncle jusqu'à Rome. Gilles Chaillet, élève de Jacques Martin, nous lance ici son personnage fétiche. Histoire et ligne claire: grandiose.
Vasco confronté avec ses souvenirs d'enfance dans les environs de Naples. Un album qui tient ses promesses et clôt le diptyque commencé avec l'album précédent.
Parue en 1984, c'est une sympathique histoire entre les deux personnages principaux même si la trame reste parfois compliquée. On reconnaît bien l'influence de Jacques Martin, le maître de Chaillet dans la description des vestiges historiques. C'est l'attirance de Vasco pour la princesse qui en fait finalement tout l'attrait. SIXTYBEN.
De la déception à l’état pur. Quand on a été recommandé par Historia, on ne prend pas de libertés avec l’Histoire sans risquer l’escroquerie avec le lecteur. Or, c’est pourtant ce qui se passe ici. L’architecture (demeures, calvaires) n’est pas du XIV°, mais plutôt du XVII°. D’ailleurs, elle est riche et on ne comprend plus pourquoi les habitants sont si pauvres. L’abattage des vaches (planche 22) est ridicule : on n’abat pas un bétail qui peut vous permettre de passer l’hiver. Si l’auteur confond vache et cochon, où va t-on ? D’ailleurs, si le dessinateur s’était renseigné, il n’aurait pas dessiné du bétail de race Limousine, mais plutôt de race Bretonne Pie-Noire. Erreur historique stupide.
Que les auteurs aient voulu raconter un drame, très bien. Mais ils auraient pu lire une Histoire de la Bretagne et en finir avec cette légende de Bretagne perpétuellement misérable. Au XIV° siècle, le niveau de vie en Bretagne était supérieur au niveau de vie français. C’est surtout à partir du XIX° que les écarts se sont accentués.
Si on donne dans le genre historique en prenant de telles libertés avec l’Histoire, j’imagine les fausses idées qu’on peut répandre chez les lecteurs. J’imagine bien que la Bretagne n’a pas le monopole de leur fantaisie.
La qualité du dessin sauve la mise heureusement, mais ce n’est pas suffisant pour sauver une BD du naufrage. J’espère que par la suite, les auteurs sauront mieux coller à l’Histoire, ne serait-ce que par honnêteté intellectuelle.
En Cappadoce, trois Turcomans piégés par un orage se réfugient dans des troglodytes qu'on dit hantées. Poursuivis par des francs vivant de rapines qui veulent les dépouiller, deux mordent la poussière. Mais le troisième turc parvient à s'enfuir, traqué de près par un franc nommé Geoffroy. Ce dernier fait équipage avec notre beau Vasco, lui même flanqué de son amie la princesse Byzantine et d'autres compagnons d'aventures vers la citadelle de Kayseri, tenue par des mongols. Démasqué par le turc survivant, nos héros sont détenus en otage par les mongols qui les rendent responsables des troubles en leur royaume. Bien sur, ils parviennent à s'enfuir avec la complicité de grecs (pourquoi pas !) mais foncent tête baissés dans le piège des mongols qui désirent par ce stratagème découvrir le repère des francs. Après moults péripéties et trahisons, et un siège en règle des mongols, les turcs appelés à la rescousse (merci amie byzantine) délivrent nos héros et le lecteur un peu déçu par la même occasion ! Gilles Chaillet nous livre là un scénario un peu faiblard, mais la richesse des décors, la finesse du trait et la précision des reconstitutions sauvent l'album. Pas vraiment le meilleur album de Vasco.
Etant un fan des Bd historiques ou sur l'histoire j'ai essaye de lire un "VASCO " , cette serie est tres interessante ; la documentation sur la periode est precise , les dessins sont precis et tres detailles , le scenario estbien ficele mais malgre tout il manque un petit quelque chose pour la rendre sublime , dommage la decouverte de VENISE est magnifique ;
J'avous je ne suis pas un grand amateur du monde et de la culture chinoise, mais ici Chaillet nous restituts superbement une époque avec ces décors , costume etc....
Dans cette histoire, Vasco tente de faire signé un accord commercial a l'empereur et il est mélé a une intrigue de cour et de meurtre.
La fin est dramatique pour son ami le baron Van Loo.
Pour finir, j'aimerais bien savoir si cette album et un hommage a l'album de la série "Alix" : l'empereur de chine ? Car Vasco marche un peu sur les trace d'alix 1500 ans plus tard ...
J'avous je ne suis pas un grand amateur du monde et de la culture chinoise, mais ici Chaillet nous restituts superbement une époque avec ces décors , costume etc....
Dans cette histoire, Vasco tente de faire signé un accord commercial a l'empereur et il est mélé a une intrigue de cour et de meurtre.
La fin est dramatique pour son ami le baron Van Loo.
Pour finir, j'aimerais bien savoir si cette album et un hommage a l'album de la série "Alix" : l'empereur de chine ? Car Vasco marche un peu sur les trace d'alix 1500 ans plus tard ...
J'avous je ne suis pas un grand amateur du monde et de la culture chinoise, mais ici Chaillet nous restituts superbement une époque avec ces décors , costume etc....
Dans cette histoire, Vasco tente de faire signé un accord commercial a l'empereur et il est mélé a une intrigue de cour et de meurtre.
La fin est dramatique pour son ami le baron Van Loo.
Pour finir, j'aimerais bien savoir si cette album et un hommage a l'album de la série "Alix" : l'empereur de chine ? Car Vasco marche un peu sur les trace d'alix 1500 ans plus tard ...
Cette aventure de Vasco se situe cette fois dans les montagnes de l'afghanistan et du tibet.
Beaucoup de paysages montagneux, normal vu la situation géographique de l'histoire, trés bien rendu.
Dans se scénario Vasco croise la route du jeune Timour et de sa jolie nourice d'origine mongol... l'histoire évolue sur une intrigue d'assasinat politique et de sucession de l'empire mongol.
A noté, il me semble que c'est la premiére fois dans cette série que Chaillet glisse dans son histoire un peu de fantastique, avec 3 amulettes magique, et cela ne nuie en rien a la cohérence réaliste du récit.
Bravo.
la premiére page de cet album est incroyable est annonce avec force le mystére de cette histoire, situé comme le titre l'indique en grande partie a venise.
Le masque des membres de la secte est une superbe idée !
Comme d'habitude avec Chaillet : décor et mise en page impecable.
Pour moi cet album me rappel avec nostalgie sa prépublication dans le magazine "tintin", de plus il est basé, du moins en ce qui concerne le doge sur des faits historique.
Chaillet nous entraine dans le sud de la France, en particulier en Provence puis dans la Castille qui sombre dans la fameuse guerre civile entre Pierre le Cruel et Henri de Trastamare: autrement dit un épisode de l'Histoire souvent ignorée. Ce conflit est bien expliqué dans son enjeu international (rôle de l'Aragon mais aussi de la Grenade des Nazrides, c'est d'ailleurs de l'Alhambra que commence la 1° page). Les paysages , les dessins sont sublimes en particulier les panoramiques de l'Alhambra sous fond de coucher de soleil et celui de Burgos. Le fléau de la peste est bien mis en valeur, le suspens est bien ménagé du début à la fin et on a hate de lire la suite car on se doute que Vasco ne succombera pas à la terrible Dame Noire. Le seul petit souci historique me semble les circonstances exactes de la mort du sultan Abu Said (Mohammed VI) que Chaillet fait mourrir à l'Alhambra alors qu'il semblerait qu'il se soit enfui de Grenade avant d'être assassiné par des sbires du roi d'Aragon Pierre IV le Cérémonieux
L'introduction de Vasco dans ce premier album est intéressante. Elle propose tout ce qui fera le succès de la série. Rigueur historique, le moyen âge à une période où l’occident est sous la menace de l’invasion ottomane, Avignon (et ses papes) et de la peste. On y découvre que la finance est déjà maitresse du monde !
Chaillet s’inspire largement de son mettre Martin mais transfère Alix au moyen âge. Idée que reprendra également Martin avec Jhen. Qui a eu l’idée en premier ?
A lire, même si comme dans toutes les grandes séries, les albums ne sont pas tous égaux.
Cela faisait presque vingt ans que je n'avais pas eu l'opportunité de lire un tome de Vasco, car ayant été témoin de la prépublication des premiers tomes dans le journal hebdomadaire Tintin au début des années 80, il m'était resté un arrière goût qui ne m'avait guère poussé à entreprendre la lecture d'un nouveau tome.
Toutefois, le sujet de ce dernier tome tombe juste à point avec mes lectures récentes d'une autre série historique, et j'ai cru ainsi pouvoir profiter d'un nouveau regard sur cette période historique fort tumultueuse de l'Écosse vis-à-vis les forces envahissantes Anglaises.
Avec Gilles Chaillet aux commandes de la réalisation de cet album, le dessin classique est de mise, en respect avec ses autres publications du monde de Jacques Martin. Sur ce point, les amateurs du genre seront bien servis, par contre, au niveau de l’intérêt général que suscite l’histoire, ceux-ci le seront malheureusement moins bien. Un album avec des beaux rendus de chateaux et de villages Écossais d'époque, mais bon pour les amateurs de l’auteur seulement, malgré les dires de Historia qui ont cru bon de recommander l’album.