Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    hfauve Le 22/11/2020 à 18:15:43

    Il s'agit en fait de la première histoire de Stany Derval, sortie dans Spirou en 1968 alors que Mitacq avait un peu lâché la patrouille des Castor qu'il avait dessiné pendant 13 ans sans interruption.
    Stany Derval se retrouve embarqué dans une histoire de groupe paramilitaire qui enlève le fils de l'un des leurs pour l'empêcher de les quitter.
    Le scénario est sans grand intérêt. On a presque l'impression que Stany Derval ne sert pas à grand-chose dans une aventure ou il intervient souvent à point nommé, servi par le hasard et les circonstances, sans pour autant emmener le lecteur avec lui.
    Côté dessin Mitacq avait atteint sa maturité, quand aux couleurs elles sont typiques des séries réalistes de la période fin des années 1960 - début des années 1970.
    Il manque indubitablement la patte d'un grand scénariste qui aurait pu donner à cette histoire le souffle qui lui manque.