Jean Leclercq est né dans la région de Liège, en Belgique. Vers 2003, à l’âge de cinquante-deux ans, il réalise ses premiers dessins à son domicile et au Centre hospitalier spécialisé de Lierneux, dans l’Ardenne belge, où il vit. Partant toujours de modèles préexistants, il redessine des portraits de femmes et d’hommes célèbres trouvés dans son dictionnaire, des photos extraites d’ouvrages sur les animaux ou des illustrations issues de livres pour enfants. Mais l’essentiel de sa vaste production est constituée de cases de bandes dessinées. L’auteur s’inspire d’albums de Bob et Bobette, Tintin, Spirou ou d’anthologies du super-héros Marvel, notamment, et glane cette abondante documentation sur des marchés aux puces. Il reprend et transforme les figures phare de ces bandes dessinées et « dépose » des mots recopiés, sans jamais les lire, pour composer des phylactères. En 2008, Jean Leclercq intègre le collectif de la « S » - Grand Atelier, dans la commune voisine de Vielsalm, à raison d’un jour par semaine.
Jean Leclercq emploie le plus souvent de grandes feuilles de carton récupérées et trace vigoureusement ses figures à l’aide de stylo-bille, de feutres, de crayons de couleur et de gouache qu’il applique en aplat pur et vif. Chaque semaine, il réalise plusieurs dizaines d’œuvres, qu’il porte ensuite à l’atelier dans des sacs en plastique. Il est aujourd’hui l’auteur d’une œuvre prolifique de plusieurs milliers de pièces, régulièrement exposée lors d’événements dédiés à la bande dessinée et à la création autodidacte.
Jean Leclercq est né dans la région de Liège, en Belgique. Vers 2003, à l’âge de cinquante-deux ans, il réalise ses premiers dessins à son domicile et au Centre hospitalier spécialisé de Lierneux, dans l’Ardenne belge, où il vit. Partant toujours de modèles préexistants, il redessine des portraits de femmes et d’hommes célèbres trouvés dans son dictionnaire, des photos extraites d’ouvrages sur les animaux ou des illustrations issues de livres pour enfants. Mais l’essentiel de sa vaste production est constituée de cases de bandes dessinées. L’auteur s’inspire d’albums de Bob et Bobette, Tintin, Spirou ou d’anthologies du super-héros Marvel, notamment, et glane cette abondante documentation sur des marchés aux puces. Il reprend et transforme les figures phare de ces bandes dessinées et « dépose » des mots recopiés, sans jamais les lire, pour composer des phylactères. En 2008, Jean Leclercq intègre le collectif de la « S » - Grand Atelier, dans la commune voisine de Vielsalm, à raison d’un jour par semaine.
Jean Leclercq emploie le plus souvent de grandes feuilles de carton récupérées et trace vigoureusement ses figures à l’aide de stylo-bille, de feutres, de crayons de couleur et de gouache qu’il applique en aplat pur et vif. Chaque semaine, il réalise plusieurs dizaines d’œuvres, qu’il porte ensuite à l’atelier dans des sacs en plastique. Il est aujourd’hui l’auteur d’une œuvre prolifique de plusieurs milliers de pièces, régulièrement exposée lors d’événements dédiés à la bande dessinée et à la création autodidacte.
