Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Kent, Nick

Kent, Nick

  • 65125
  • Kent
  • Nick
  • le 24/12/1951 (GRANDE-BRETAGNE)

Sa biographie

Nick Kent est un journaliste musical anglais. À dix-neuf ans, il étudie la littérature anglaise au Bedford College et fait ses débuts dans la presse underground naissante. Durant l'été 1972, il rejoint le New Musical Express (NME) pour lequel il travaille comme jeune journaliste. Mais souhaitant découvrir les ficelles du métier de rock critic, il rassemble ses économies et part à Détroit, aux États-Unis, pour y suivre les précieux enseignements de son modèle, le journaliste déjanté Lester Bangs, directeur du célèbre magazine musical américain Creem.

De retour à Londres au printemps 1973, Nick Kent participe à la renaissance éditoriale du NME aux côtés de son rédacteur en chef Nick Logan, de Charles Shaar Murray et Ian MacDonald. Il accueille chez lui l'Américaine Chrissie Hynde, qu'il fait entrer au journal comme pigiste. Mais en 1975, l'abus de drogues (il devient dépendant à l'héroïne et à la cocaïne) tarit son inspiration et a raison de son talent d'écriture.

À cette époque il rencontre les Sex Pistols à qui il fait découvrir le son des Stooges. Lui-même devient chanteur d'un autre groupe punk appelé The Subterraneans, avec les futurs membres de The Damned. Nick Kent ne compte pas que des amis chez les punks : en 1976, au cours d'un concert des Sex Pistols au 100 Club de Londres, il est tenu en respect par le couteau de Jah Wobble, tandis que Sid Vicious lui assène sur la tête un violent coup de chaîne de vélo rouillée. Selon la définition de Nick Kent, un rock critic est un journaliste qui ne se contente pas d'écrire sur le rock mais vit comme les rockers. En cela il perpétue la tradition du journalisme gonzo inaugurée par Hunter S. Thompson ou Lester Bangs.

Dans les années 1980, il écrit pour The Face, le Sunday Times, Spin et Vox (en) entre autres magazines des deux côtés de l'Atlantique. En 1988, après s'être débarrassé de son addiction aux drogues dures, Nick Kent s'installe en France, à Paris, et collabore pour une émission de la BBC ainsi que pour l'émission Rock Express sur M6. Il écrit également pour Les Inrockuptibles, Rock & Folk et tient une chronique hebdomadaire dans Libération.

Il continue à écrire pour la presse (notamment The Guardian) et il a publié un livre de souvenirs des seventies en 2010 sous le titre Apathy for the devil. Sa compagne est la journaliste Laurence Romance. Il est le père du musicien Perturbator.

Nick Kent est un journaliste musical anglais. À dix-neuf ans, il étudie la littérature anglaise au Bedford College et fait ses débuts dans la presse underground naissante. Durant l'été 1972, il rejoint le New Musical Express (NME) pour lequel il travaille comme jeune journaliste. Mais souhaitant découvrir les ficelles du métier de rock critic, il rassemble ses économies et part à Détroit, aux États-Unis, pour y suivre les précieux enseignements de son modèle, le journaliste déjanté Lester Bangs, directeur du célèbre magazine musical américain Creem.

De retour à Londres au printemps 1973, Nick Kent participe à la renaissance éditoriale du NME aux côtés de son rédacteur en chef Nick Logan, de Charles Shaar Murray et Ian MacDonald. Il accueille chez lui l'Américaine Chrissie Hynde, qu'il fait entrer au journal comme pigiste. Mais en 1975, l'abus de drogues (il devient dépendant à l'héroïne et à la cocaïne) tarit son inspiration et a raison de son talent d'écriture.

À cette époque il rencontre les Sex Pistols à qui il fait découvrir le son des Stooges. Lui-même devient chanteur d'un autre groupe punk appelé The Subterraneans, avec les futurs membres de The Damned. Nick Kent ne compte pas que des amis chez les punks : en 1976, au cours d'un concert des Sex Pistols au 100 Club de Londres, il est tenu en respect par le couteau de Jah Wobble, tandis que Sid Vicious lui assène sur la tête un violent coup de chaîne de vélo rouillée. Selon la définition de Nick Kent, un rock critic est un journaliste qui ne se contente pas d'écrire sur le rock mais vit comme les rockers. En cela il perpétue la tradition du journalisme gonzo inaugurée par Hunter S. Thompson ou Lester Bangs.

Dans les années 1980, il écrit pour The Face, le Sunday Times, Spin et Vox (en) entre autres magazines des deux côtés de l'Atlantique. En 1988, après s'être débarrassé de son addiction aux drogues dures, Nick Kent s'installe en France, à Paris, et collabore pour une émission […]

Sa Bibliographie

Les tableaux synthéthiques ci-dessous peuvent être faussés par des éditions anniversaires (souvent post-mortem). Ils ne tiennent pas compte des autres pseudonymes sous lequel signe cet auteur.

Autres collaborations de à Rôle
Kiss the Sky 2022 Préface