C'est depuis son enfance que Nicolas Brossault dessine. Une passion qu'il pense hériter de sa mère et de sa grand-mère. "Elles étaient toutes les deux artistes peintres", précise-t-il. Après un an et demi passé aux Beaux-arts, il décide de quitter la prestigieuse formation. Son créneau, c'est la représentation urbaine. Un choix loin de convenir aux enseignants. Malgré des boulots comme développeur web ou animateur, Nicolas ne perd jamais une occasion de dessiner. Entre une à deux heures par jour. Pourtant, dans le domaine, c'est considéré comme peu. "Les artistes professionnels dessinent entre cinq à six heures. Mais moi, parfois j'ai la flemme", raconte-t-il en riant. À l'aide de son calepin et d'un crayon, ce passionné arrive à reproduire des scènes remplies de réalisme. Nicolas espère maintenant que son dessin fera la différence face aux quinze finalistes. "Je ne me prends pas la tête. J'y vais pour le plaisir. Si ça passe, tant mieux. Dans le cas contraire, je ne serai pas déçu."
C'est depuis son enfance que Nicolas Brossault dessine. Une passion qu'il pense hériter de sa mère et de sa grand-mère. "Elles étaient toutes les deux artistes peintres", précise-t-il. Après un an et demi passé aux Beaux-arts, il décide de quitter la prestigieuse formation. Son créneau, c'est la représentation urbaine. Un choix loin de convenir aux enseignants. Malgré des boulots comme développeur web ou animateur, Nicolas ne perd jamais une occasion de dessiner. Entre une à deux heures par jour. Pourtant, dans le domaine, c'est considéré comme peu. "Les artistes professionnels dessinent entre cinq à six heures. Mais moi, parfois j'ai la flemme", raconte-t-il en riant. À l'aide de son calepin et d'un crayon, ce passionné arrive à reproduire des scènes remplies de réalisme. Nicolas espère maintenant que son dessin fera la différence face aux quinze finalistes. "Je ne me prends pas la tête. J'y vais pour le plaisir. Si ça passe, tant mieux. Dans le cas contraire, je ne serai pas déçu."