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Arrivé à Brest il y a une vingtaine d’années, Éric Jolivet s’est longtemps illustré dans la peinture à travers de nombreuses expositions qui l’ont menées jusqu’à Paris. Recentré depuis deux ans sur le dessin, il s’est inspiré des carnettistes de la Belle Époque pour travailler la forme et les couleurs. Il s’est lancé dans un pari un peu fou, celui de créer le carnet de croquis d’un médecin de passage à Brest en… 1897 ! En collaboration avec l’historien Olivier Polard, il s’est plongé dans une ville aujourd’hui disparue grouillante d’activités. Du Grand Café de la rue de Siam à la Caserne du Deuxième Dépôt, des bordels de la rue des Sept-Saints aux halles Saint-Louis un jour de marché, c’est toute une vie quotidienne brestoise qu’il met en lumière à la manière des dessinateurs du siècle dernier.
Arrivé à Brest il y a une vingtaine d’années, Éric Jolivet s’est longtemps illustré dans la peinture à travers de nombreuses expositions qui l’ont menées jusqu’à Paris. Recentré depuis deux ans sur le dessin, il s’est inspiré des carnettistes de la Belle Époque pour travailler la forme et les couleurs. Il s’est lancé dans un pari un peu fou, celui de créer le carnet de croquis d’un médecin de passage à Brest en… 1897 ! En collaboration avec l’historien Olivier Polard, il s’est plongé dans une ville aujourd’hui disparue grouillante d’activités. Du Grand Café de la rue de Siam à la Caserne du Deuxième Dépôt, des bordels de la rue des Sept-Saints aux halles Saint-Louis un jour de marché, c’est toute une vie quotidienne brestoise qu’il met en lumière à la manière des dessinateurs du siècle dernier.
Les tableaux synthéthiques ci-dessous peuvent être faussés par des éditions anniversaires (souvent post-mortem). Ils ne tiennent pas compte des autres pseudonymes sous lequel signe cet auteur.
