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Morita, Hélène

Morita, Hélène

  • 43766
  • Morita
  • Hélène
  • FRANCE

Sa biographie

Après des études d'histoire de l'art, de chinois et de lettres, Hélène Morita fut envoyée deux ans durant comme professeur de français en Inde au lycée de Pondicherry. Elle a ensuite enseigné, à Tokyo, la langue et la littérature françaises une dizaine d'années à l'Institut franco-japonais ainsi qu’à l'Université de Nagoya. C’est à la fin de son séjour au Japon qu’elle a commencé à traduire des contes de Kenji Miyazawa, écrivain du début du 20e siècle considéré comme auteur classique par les japonais - cependant, encore inconnu pour les lecteurs francophones. Pour sa traduction de Train de nuit dans la Voie lactée de Kenji Miyazawa, Hélène Morita a été couronnée par le Prix Shibusawa-Claudel en 1990, ouvrant ainsi une porte vers un autre goût de la littérature japonaise. Depuis 2007, Hélène Morita traduit Haruki Murakami (Le passage de la nuit, Saules aveugles, femme endormie, Autoportrait de l’auteur en coureur de fond et l’incontournable trilogie 1Q84) (Belfond). Elle veille aussi à mettre en lumière des chefs d’œuvres classiques comme ceux de Sôseki Natsume (Botchan, À l'équinoxe et au-delà, Le mineur) (Serpent à Plumes), de Michio Takeyama (La Harpe de Birmanie) (Serpent à Plumes) et de Osamu Dazai (Bambou-bleu et autres contes) (Serpent à Plumes). Tout récemment, les lecteurs francophones ont pu découvrir un inédit de Yasunari Kawabata (Prix Nobel littéraire 1968), Les pissenlits, grâce à la traduction de Hélène Morita (Albin Michel, 2012).

Après des études d'histoire de l'art, de chinois et de lettres, Hélène Morita fut envoyée deux ans durant comme professeur de français en Inde au lycée de Pondicherry. Elle a ensuite enseigné, à Tokyo, la langue et la littérature françaises une dizaine d'années à l'Institut franco-japonais ainsi qu’à l'Université de Nagoya. C’est à la fin de son séjour au Japon qu’elle a commencé à traduire des contes de Kenji Miyazawa, écrivain du début du 20e siècle considéré comme auteur classique par les japonais - cependant, encore inconnu pour les lecteurs francophones. Pour sa traduction de Train de nuit dans la Voie lactée de Kenji Miyazawa, Hélène Morita a été couronnée par le Prix Shibusawa-Claudel en 1990, ouvrant ainsi une porte vers un autre goût de la littérature japonaise. Depuis 2007, Hélène Morita traduit Haruki Murakami (Le passage de la nuit, Saules aveugles, femme endormie, Autoportrait de l’auteur en coureur de fond et l’incontournable trilogie 1Q84) (Belfond). Elle veille aussi à mettre en lumière des chefs d’œuvres classiques comme ceux de Sôseki Natsume (Botchan, À l'équinoxe et au-delà, Le mineur) (Serpent à Plumes), de Michio Takeyama (La Harpe de Birmanie) (Serpent à Plumes) et de Osamu Dazai (Bambou-bleu et autres contes) (Serpent à Plumes). Tout récemment, les lecteurs francophones ont pu découvrir un inédit de Yasunari Kawabata (Prix Nobel littéraire 1968), Les pissenlits, grâce à la traduction de Hélène Morita (Albin Michel, 2012).

Sa Bibliographie

Les tableaux synthéthiques ci-dessous peuvent être faussés par des éditions anniversaires (souvent post-mortem). Ils ne tiennent pas compte des autres pseudonymes sous lequel signe cet auteur.

Autres collaborations de à Rôle
Kaikisen / Le Pacte de la mer 2004 Traduction
Murakami - Le Septième homme et autres récits 2021 Traduction